Ambassade de Minas Ancalimë

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Les yeux du voyageur étaient rêveur, il se sentait appaisé des dire du vieil homme, cette endroit semblait exclus de tout chaos, pas de tempête de sable, pas de frénésie d'oliphant qui ravagent des villages entier. Le voyageur voyant se pays comme une pause revigorante, calme et inspirante. Il sentait en ce peuple une certaine fierté et un savoir vivre qui lui rappelait sa contrée natale.

" C'est avec joie que je vous attendrais au port de notre nouvelle cité portière : Gobel Mîrlod, je n'y est pas encore mit les pieds mais ce village à été épargné des catapultes m'a t'ont dit. Je me demande quelle sorte de ville elle est, mais peut importe désormais notre royaume est accèssible par les flots grâce à cette conquête de notre roi. "

Puis il reprit :

" Par le passé beaucoup de guerre ont été faites, Suladân premier s'est laisé tenté par Sauron, de peur que sont peuple perdent fâce au Gondor il s'allia avec le mal contre un autre mal qui venait de Minas Thirit. Le suzerain d'Has Adri tient d'autant plus à conserver l'honneur de sa famille qu'il n'a presque pas connue, notre sang bouillone de la haine du serpent et je pense que nous ne pardonnerons jamais au Gondor. Cependant nous n'avons pas connut ces guerres, et c'est dans le but de profiter du présent qui nous est offert que nous amerions ne pas étendre notre haine aux delà des hommes du Gondor, je respecte tout de même votre fougeux roi et le félicite pour le calme et l'ordre apporté dans cette contrée. "

Il réfléchit comme nostalgique :

" Celà me rapelle le maître d'Has Adri quelques années plus tôt, je suis certains que nos deux empereurs s'entenderaient à merveille. "

L'homme de Suladân était totalement perdu dans ses songes, partagés entre la gloire passé et le calme rassurant présent, il oubliait totalement ce pourquoi il se trouvait ici et la caravane. son cerveau pétillait de désirs.

Ils s'entendraient certainement, d'après votre description. Dommage qu'une alliance entre nos deux nations ne soyent illusoires au vu de la distance séparant nos deux cités.
Mais vous me semblez sage et réflechi, tout comme votre seigneur! J'ai hâte de pouvoir le rencontrer!

Alors qu'Erenil terminait sa phrase, deux hommes entrèrent. C'étaient Taslan et le jeune homme qui revenait faire le rapport de l'inspection des chevaux. Ce dernier chuchotta à l'oreille d'Erenil puis parti. Taslan salua l'Haradrim et tendit un rapport à Erenil avant de partir à son tour.

Le vieil homme s'excusa auprès de son invité et étudia le parchemin. Visiblement les chevaux de Mians Ancalimë étaient suffisamment nombreux, mais d'après les informations qu'il venait de recevoir, les chevaux qu'on lui proposait étaient en excellente forme et d'excellentes bêtes... Il réfléchi quelques instants puis dit :
Malheureusement, je ne peux me permettre d'acheter tous vos chevaux mais je peux en prendre un vingtaine pour vous montrer l'amitié de notre village. Qu'en dites-vous?

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Cette arrivée soudaine remit le haradrim à sa place. Réfléchissant il dit :

" Très bien, celà me convient parfaitement, je vais immédiatement chercher les bêtes. "

Le jeune marchant partie et revint quelques heures plus tard avec des bêtes et quelques hommes.

" Voila vos vingts bêtes, vieil homme et comme vous m'avez reçu excellament dans le plus humble des conforts je vous en offre la moitié de plus. J'ai sélectionné moi même ses bêtes et je peux vous assurer quelles ne vous déplairont pas. "

Les hommes descendirent de leur monture et remirent les trente cheavaux à la cité.

" J'espere que l'Harad pourra vous aider un jour, si vous avez des problemes quelconque, passez par notre et désert. "

Une petite troupe de nains arrivaient à Minas Ancalime et regardait d'un air suspicieux la companie haradrim qui se trouvait là. Que faisaient ils donc ici, si loin de leur terres ? Après s'être présenté aux gardes arnoriens ; l'émissaire nain fut introduit dans l'ambassade humaine ...

"Salutations noble arnorien ; je viens du Mont Solitaire et j'apporte avec moi le remboursement du prêt que vous nous aviez fait. Vos 35 pièces d'or sont dans ce coffre ; j'ai également avec moi plusieurs tonnes de fer que nous sommes prêt à vous donner en remerciement si vous en avez le besoin. Encore une fois, Erebor vous remercit pour le geste que vous avez fait envers notre cité. Que sous votre gouverne, l'Arnor retrouve sa splendeur d'antan."

Le nain avait parlé de la voie rugueuse qui caractérisait les siens et en utilisant des termes qui devaient retranscrire le langage nain, que la plupart des hommes trouvaient lourd et bien lent ; répétant sans cesse serments et salutations.

Erenil entendant cette voix si particulière sortit du salon où il était. Il fut tout heureux en entendant les nains dire qu’ils venaient rembourser leur prêt. Il s’avança vers les gardes et dit :

Faites entrer tous ces Nains voyons, nous n’avons pas à prendre de telles mesures avec un peuple ami. Et occupez-vous de leurs montures et de leur convoi comme s’il s’agissait du notre.

Puis, se tournant vers le nain qui était déjà entré dans l’ambassade,

Cher ami, que votre barbe fleurisse et jamais ne tombe ! Vous êtes vraiment tombé à point nommé, nous ne vous attendions pas de sitôt. Suivez-moi dans ce salon, nous y serions à l’aise pour discuter calmement autour d’un bon verre ou d’une excellente chopine.

Dehors, des hommes s'afféraient avec les montures et les chariots qu'ils mirent dans des entrepôts laissés libres pour éviter tout chapardage d'enfants ou qu'une pluie imprévue ne vienne gâter la cargaison, ne sachant pas ce qu'elle était, il valait mieux ne prendre aucun risque. A l'intérieur, Erenil était excité. Ces nains tombaient à point pour lui permettre de faire l’achat de chevaux du Harad qui lui permettrait ainsi d’excellentes relations avec les suderons. Il amena donc les nains dans le salon qu’il avait précédemment partagé avec le vendeur de chevaux. Il fit enlever les restes de nourriture et les verres et fit apporter de nouvelles victuailles et des boissons pour accompagner le tout. Une fois callé dans un fauteuil avec les nains, et tandis qu’un domestique servait les invités conformément à leur désire, il entama la conversation :

J’espère que vous avez fait un excellent voyage mes chers nains. Cela n’a pas du être de tout repos depuis l’Erebor ?

L'ambassadeur souriait et s'est avec plaisir qu'il s'installa confortablement face à Erenil tout en se servant sur les plateaux ammenés par un domestique.

"En effet, la route est longue pour venir jusqu'ici ; mais les bonnes relations que nous entretenons avec Thranduil, l'un des seigneurs de la Forêt Noire nous ont permis de raccoursir le trajet ; si nous avions du contourné la forêt de Mirkwood le trajet aurait été encore bien plus long. Mais un si bon accueil est une bien bonne récompense après ce périple."

Le nain sirotait à présent la boisson que l'arnorien avait fait servir et semblait profiter du confort de la pièce. Après une courte pause, il reprit cependant.

"J'ai donc avec moi vos 35 pièces d'or, et également d'autres ressources afin que si vous le vouliez nous puissions faire de suite un autre échange commercial ; avez vous besoin de quelque chose, ou souhaitez vous échanger quelque chose, et quels seraient vos prix ?"

Erenil écoutait le nain tout en buvant cette bière offerte par Orik Fergusson et dont il adorait vraiment le goût, lui qui n'était pas très friand de celles deceux de sa race. Quand il eût entendu le Nain lui proposer un commerce, il le regarda :

Tout d'abord, laissez-moi vous remercier de nous rembourser maintenant ce prêt car il tombe à un excellent moment. Malheureusement, nous ne sommes pas en mesure d'acheter quelque ressource actuellement. En effet, seule notre production d'or laisse à désirer. Me laissant commander par mon coeur, j'ai d'or et dèja promis un achat de chevaux aux haradrims que vous avez certainement croisé en arrivant. Achat à mon avantage certes et d'excellente qualité, mais que je n'aurais pas du me permettre. Je dois donc me forcer à refuser votre offre même si la qualité du fer du Royaume Nain d'où vous venez à traversé l'histoire et les lieues pour parvenir à mes oreilles. Mais soyez assuré que si nous avions besoin de quelquechose, nous ferions appel à vous immédiatement. Nous préférons traités avec des amis même si cela devrait nous coûter un peu plus cher.

Il prît sa chope et la porta à ses lèvres lorsque la porte s'ouvrit avec fracas et qu'un jeune homme tomba devant les nains! C'était Taslan qui, dès qu'il avait entendu qu'il y avait des Nains, s'était précipité dans l'ambassade, bousculant des gens, pour pouvoir être à côté d'êtres qu'il adorait particulièrement. Erenil éclata alors de rire devant la scène.

Je vous pris d'excuser ce jeune homme, c'est le même dont la fougue avait déjà marqué notre précédent entretien. Comme je vous l'avais sans doute dit, il tient votre race en haute estime et adore votre peuple!

Tandis que Taslan se releva rouge de honte et s'excusait en époussiérant ses vêtements, Erenil se reprit d'un fou rire...

L'émissaire nain buvait lui aussi la bière des Montagnes Bleues à petite gorgée et sourit lorsque le jeune humain pénétra à grand fracas dans l'ambassade.

"Oui, en effet ; je m'en rappelle et il n'y a aucun mal. Si ce jeune homme désire visiter un jours Erebor il y sera bien accueillit."

Le nain avait rajouter ces mots en regardant le jeune homme qui écoutait à présent, attentif.

"Je comprend parfaitement la situation économique ; les villages humains sont d'un certains conforts et je dois dire que les progrès de votre peuple en artisanat et en architecture sont remarquables ; mais vous ne pouvez évidement profiter des mêmes mines que mon peuple. Si jamais vous désirez un jours nous emprunter ou échanger de l'or, n'hésitez pas. Nous pouvons en prêter d'assez grande quantité ; et peut être pourrions nous mêmes vous acheter du bois si vous le désiriez."

Le nain s'arrêta et termina sa bière pusi reprit ; commencant à se redresser.

"Vous m'excuserez mais la route est longue jusqu'aux Monts du Fer ; et il me tarde de revoir les cimes du royaume nain aussi ne pourrais-je pas m'attarder ici. Transmettez à votre seigneur les amitiés dse nains du Mont Solitaire ; et n'hésitez pas si vous désirez commercer avec nous."

Taslan et Erenil saluèrent les nains :

Nous prenons bien note de votre proposition de vente ou de prêt. Nous vous souhaitons tout de même un bon retour en Erebor.

Ils raccompagnèrent les nains jusqu'à la sortie de l'ambassade. Une fois dehors, des palefreniers ramenèrent les montures et les chariots de convoit des Nains. Taslan resta un long moment à les regarder partir...

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Un cavalier solitaire arriva dans la lointaine cité de Minas Ancalimë. Celui-ci était grand, barbu et son armure était aussi brune que sa barbe. Il avait due traverser la moitié de la terre du milieu afin d'arrivé à la ville. Qu'est-ce qui avait prit à Dimitriov d'aller faire du commerce à une place aussi éloignée? Quoi qu'il en soit, Locos obéissait aux ordres de son ami, même si ceux-ci était étrange. Mais aux moins, dans le village, il eu la chance de trouver rapidement l'ambassade. Il y avait même un homme qui semblait admirer le paysage. Locos s'approcha.

-Hola! Je vien de la part de Dimitriov, chef de Calenhad. Je peux parler avec celui qui s'occupe du commerce?

Taslan sursauta en regardant cet étranger. Réalisant qu'il venait pour un quelconque commerce et que l'haradrim reviendrait bientôt, il se décida à mener cette affaire lui-même et ainsi permettre à Erenil de revoir le marchant de chevaux. Il s'avança alors vers le cavalier et dit :

Suivez-moi mon brave et soyez le bienvenu à Minas Ancalimë. Je vais m'occuper de vous. Laissez votre cheval ici, des palefreniers viendront s'en occuper. Pour ce qui de vos armes, déposer les sur les tables à côté des gardes. Suivit de l'homme il se dirigea vers le salon.

"Dire qu'on vient juste de l'aménager et que déjà trois cités ont envoyés leurs émissaires! "

Il ouvra la porte et fit signe à son hôte de s'assoir. Prenant place à son tour, il entama la discussion :

Que me vaut l'honneur de cette visite, noble étranger de Calenhad?

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Locos déposa sa lourde masse sur la table que l'on lui avait désigner et s'assit lourdement sur la chaise encore une fois désigné. Il fallait dire que faire dieu sait combien de lieu en cheval, et de surcroit en armure, n'était pas bon pour l'arrière train. Il poussa un long soupir de soulagement avant de commencer à parler.

-En bref, mon seigneur veux vous emprunter 280 pièce d'or et vous les rendre le mois prochain, en plus des intérêts. Ça ferait environ 340 pièce d'or. Alors, qu'est-ce que t'en dit?

Taslan fût surpris du ton de cet homme et du fait qu'il le tutoyait. Mais il fit son possible pour ne pas le montrer. Il regarda alors l'homme et dit, connaissant l'état des caisses de la cité,

Nous acceptons cet échange. Reposez-vous encore quelques instants de cette traversée, je vais prévenir mes hommes de vous apporter votre or.

Il sorti et revint quelques instants plus tard accompagné d'un homme portant le coffre rempli de pièces d'or.

Si vous voulez, nous pouvons vous offrir l'hospitalité pour cette nuit, histoire de ne pas traverser la moitié de la terre du milieu deux fois avec un seul arret!!!

Pendant ce temps, Erenil était partis à la rencontre des haradrims qui rapportaient les chevaux. Il regarda les palefreniers prendre les bêtes et tendit un coffret avec 40 pièces d'or à l'émissaire en tenant ces paroles :

Que cet achat soit synonyme d'amitié entre nos deux cités. Certes elles sont éloignées, mais que cela ne nous empèche pas d'être amis. Bien sûr, nous tâcherons de venir vous voir dès que possible, pour profiter du soleil qui nous fait défaut ici!

Il serra chaleureusement la main de l'homme...

Nombre de messages : 225 ~ Fiche ~ ~: Homme ~:

Locos prit le coffre.

-Merci de votre hospitalité, mais non merci. Si je tarde plus, Dimitriov va me faire chauffer les oreilles.

Il commença à rire.

-On se revoit le mois prochain. À plus!

Sur ce, il quitta l'ambassade, retrouva son cheval, et repartit vers Calenhad.

[Modifions nos économie!]

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Le marchand prit l'argent et la mit dans une des sacoche que portait son cheval.

" J'espere aussi que cet amitié sera profitable à nos peuples, je vais maintenant m'en aller continuant de courir le monde. J'espere un jour avoir l'occasion de vous voir dans Has Adri. "

Après avoir remercié et salué le vieil homme, il repartit avec sa caravane vers une autre cité.

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Un cavalier elfique dans la brume du matin et se prèsenta devant
l'ambassade. Il montre aux gardes qu'ils ne portait pas d'arme à sa
ceinture.
Le garde lui demanda abruptement.

"Pourquoi venez vous dans notre noble cité ?"

L'elfe venu de loin afin de conclure des affaires dans la cité, se
montra agacé les manières du garde. L'émissaire descendit de cheval et
se planta devant le garde.
Il lui repondit d'une manière non chalante.

"Mes affaires ici ne regarde que moi et votre seigneur,
maintenant, écartez vous que je puisse m'entretenir lui."

Le garde s'écarte malgré lui et l'elfe entre dans la grande batisse.
Il parla d'une voix claire.

"Je souhaite m'entretenir avec le seigneur Meneldor, le maître de ces lieux.
Je souhaiterai lui proposer un echange, du bois contre de l'or prècisement."

Il s'avança un peu plus et attandit qu'un homme se présente à lui.

Erenil et Taslan s’entretenait sur le prêt réalisé par Taslan avec Dimitriov. Cela avait sans nul doute était facile vu que Calenhad avait déjà fixé le taux de l’échange, mais le fait était que Minas Ancalimë réaliserait un bonus non négligeable. La conversation dura encore longtemps jusqu’à ce qu’un garde frappa à la porte. Il entra sur un ordre d’Erenil et fit son rapport :

Il y a un elfe dehors, il s’est avancé en fustigeant Thorn du regard et de la langue. Mais il faut reconnaître que ce dernier est assez irritable et froid depuis quelques jours…

Taslan prit la parole :

C’est vrai qu’il est assez désagréable. Honnêtement, c’est assez surprenant que les trois dernières visites diplomatiques n’aient pas échouées, avec ces hommes attendant l’émissaire qu’ils accompagnaient, il aurait pu causer de graves problèmes…

Erenil réfléchit et dit :

Il doit avoir un problème. Renvoyez-le le régler de suite chez lui. Qu’il revienne un fois l’esprit serein et apaisé. Remplacez-le par un autre garde. Et qu’on s’occupe de sa monture.

Puis, se tournant vers Taslan,

Suis-moi, allons rencontrer cet elfe.

Ils partirent voir l’émissaire de Galedor. Ils entendirent ses paroles alors qu’ils étaient dans un couloir adjacent au sien. Quand ils débouchèrent face à lui, l’elfe se présenta calmement. Erenil prit alors la parole :

Bienvenu seigneur immortel. Je suis heureux de vous recevoir ici. Cet échange n’est malheureusement pas possible, nos caisses ne sont pas très remplies. Les Nains d’Erebor nous ont recemment proposé un tel commerce et nous avons du décliner leur offre. Cependant, que cela ne nous empêche pas de discuter à l’aise ! Suivez-nous dans le salon, nous pourrons y discuter tranquillement.

Sur ces mots, ils se dirigèrent vers le salon et y installèrent comfortablement…

Nombre de messages : 445 ~ Fiche ~ ~: Elfe ~:

L'émissaire fit un sourire à Erenil et le suivi dans le salon. Il
avait retrouver son vrai visage souriant qu'un elfe devait montrer aux
autres races.

"Je suis ravi de pouvoir vous affirmer l'amitié des elfes d'Imladris. Mon seigneur n'a pu se déplacé.
Il
est lui même en voyage avec le seigneur Eléandoreil, ils sont allés
retrouver un autre seigneur humain du nom de Valindor, qui tenté de
reprendre Annùminas.
Ils auraient fait une découverte intéressant mais je n'en sais guère plus"

Il s'assit confortablement dans un grand fauteuil, et regarda Erenil avec interet Erenil.

"
Mon seigneur Galedor, souhaite plusieur choses : la première est de
rétablir le contact avec les nation de l'arnor, Homme ou Elfe, puis de
reprendre contact avec les royaumes elfes du Rhovanion.
Mais c'est
encore en voie d'accomplissement, et le temps manque a mon seigneur
pour le faire lui même, à cause des menaces gobelines dans les
montagnes, il va devoir prendre en main la situation personnellement."

Il s'arréta soudainement puis repris hésitant et rieur.

"Mais
voyons, c'est vous qui m'invitez, et je prend la parole sans vous la
demander, je suis vraiment navré, mon voyage ma fait perdre mes bonnes
manières.
Parler moi donc de votre seigneur puisqu'il est absent, de vous de votre cité ..."

Il n'y a pas de problèmes avec cela Noble Immortel!

S'exclama Erenil. Puis, servant un verre à son hôte et faisant de même pour lui, il poursuivit plus sérieusement :

Le Seigneur Valindor... Nous ne le connaissons que de nom mais nous sommes très amis, mon seigneur et moi-même, avec son bras droit Darith. J'espère que cette découverte dont vous parlez inaugure de bonnes choses pour lui et son peuple.

Il marqua un temps d'arrêt,

Et votre amitié est réciproque, sachez-le. Tout comme les Seigneurs Valindor et Elessar, nous n'aspirons qu'à réunifier l'Arnor. Cependant, cela ne devra pas se faire au détriment des relations avec d'autres peuples. Nous sommes déjà liés avec les nains. Pour ce qui est des Elfes, le Seigneur Meneldor lui-même veut aller rencontrer les différents seigneurs. C'est pour cela que nous avons eu un peu de retard dans nos relations avec votre peuple.

Erenil s'arrêta un instant, le temps qu'un domestique apporte quelques victuailles pour les deux hommes qui s'entretenaient. Puis, il poursuivit :

Vous m'avez demandé de vous décrire cité et Seigneur. Et bien, nous sommes encore un petit village commandé par un seigneur jeune et fougueux qui n'aspire qu'à rendre sa gloire d'antan à l'Arnor. Et ce, quelque soit la manière d'y parvenir. Mais pas au détriment de ses amis. D'ailleurs, si vous le souhaitez, nous pouvons vous aider dans cette chasse aux gobelins, dès que notre village sera un peu plus prospère et développé. Après tout, à quoi cela servirait que nous apprenions à nous connaître en vue d'une amitié si on vous laissez vous débrouillez seuls...

Erenil termina cette phrase en jettant un regard plein de malice à son interlocuteur, tout en pensant :

"Visiblement, notre petit village à la capacité de se faire de bons et grands alliés. Espérons que cela continue comme cela. Et notre peuple vivra longtemps en paix..."

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L'elfe ayant écouté avec attention Erenil, il repris la parole.

"Je dois vous remerciez pour cette accueil et pour votre patience. Je dois cependant vous laissez.
Je fut cependant enchanté de faire votre connaissance sachez que mon nom est Gueladar, je suis juste un simple émissaire. Si vous et votre seigneur venez un jour à Imladris, je tacherez de vous accueillir personnellement."

Sur ceux, il se leva et salua chaleureusement Erenil puis retourna vers chez lui.

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Un mois après que Locos fut venu à Minas Ancalimë, afin d'emprunter de l'or au seigneur des lieux, il était de retour avec le coffre contenant le remboursement du prêt. Ce fut une longue route qu'il due faire afin de pouvoir accomplir sa tâche. Mais comme l'on dit: Chose promise, chose due. Il en allait de son honneur.

Ce fut donc un grand gaillard, un coffre sous le bras, qui se présenta devant les gardes de l'ambassade.

-J'ai une livraison pour le maître des lieux. D'ailleur, il attend ma venu. Conduisez-moi à lui.

Il entendit qu'on l'invite à entrer.

Sujet: Re: Ambassade de Minas Ancalimë Lun 14 Jan 2008 - 18:44

Les gardes acceuillirent Locos et lui demandèrent de le suivre. Son cheval fut confié à la garde du Maître des écuries, un homme d'une cinquantaine d'année dont les connaissance quand aux soins à apporter aux animaux étaient presque proches de celles que connais tout bon Rohirrim.

Le garde et Locos avancèrent dans un couloir éclairé et richement garni de tableaux représantant des scènes relatant les évènements majeurs de l'histoire de l'Arnor.

Soudain, une porte s'ouvrit et Erenil apparut. Le vieil homme fumait une pipe et quittait le salon où il avait longuement discuté avec Gueladar, l'émissaire de Fondcombe. A la vue de Locos, il congédia le garde et invita l'envoyé de Dimitriov à prendre place dans le salon. Une fois assis, il entama la conversation :

"Je vous remercie d'avoir tenu parole. J'espère que ce prêt aura été utile à votre seigneur."

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Locos suivit le garde jusqu'à l'émissaire, où il accepta avec joie l'invitation à prendre place dans le salon. Le voyage avait été long et une selle de cheval n'est pas le meilleure endroit pour faire un somme. Il s'assit lourdement dans au fauteil, avec un soupir de soulagement, après avoir déposer le coffre contenant les 340 pièces d'or à ses pieds.

-Yep. Dimdim....Hum, je veux dire monseigneur Dimitriov à bien apprécier votre prêt. Il a pu recruter une armée digne de ce nom avec ça. Et disons que ça lui à fait vachement plaisir.

Sujet: Re: Ambassade de Minas Ancalimë Lun 14 Jan 2008 - 19:59

Erenil sourit et croisa ses doigts sous son menton, appuyant ses coudes sur la table.

"J'en suis fort aise. J'espère en tout cas que cette armée ne signifie pas qu'il ait des problèmes!"

Le vieil homme supposait que non, mais il avait quelques doutes quand au niveau intelectuel de ce Locos. Il se demandait quel genre d'homme était le seigneur Dimitriov pour faire confiance à une telle personne!

(Sans doute quelqu'un qui a du voir ce que les autres ne voient pas chez cet homme et qui confient les missions importantes à ceux en qui ils ont confiance!)

A cette pensée, Erenil eut beaucoup de sympathie pour Locos, en effet il préféré les gens privilégiant l'amitié que les capacités. Souriant encore plus à Locos, il lui demanda :

"Dites moi un peu jeune homme, quel genre d'homme est le Seigneur Dimitriov? Vous semblez beaucoup attaché à lui je me trompe?"

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Locos éclatta bruyamment de rire à la remarque de l'émissaire.

-Des problèmes? Naah...En fait, je crois que c'est plutôt lui qui va les créé.

Il recommenca à rire. Il était de très bonne humeur, comme d'habitude finalement.

-Ouais, Dimitriov et moi on est ami depuis qu'on est au comme ça. Il placa sa main à la hauteur de la table. M'enfin, depuis qu'il est haut comme ça, moi j'ai jamais été aussi petit.

Il recommença à rire.

-C'est une bonne personne. Par contre les gens qui ne le connaisse pas ne s'en rendent pas toujours compte. C'est pour ça qu'il n'a pas été acceuillit avec joie quand il est devenu chef...mais maintenant ça va. Ajouta-t'il comme pour se rattrapper. Avant qu'il devienne chef, il invitait à sa table ceux qui n'avait pas assez pour se nourrir eux-même. Je l'ai même déjà vu sculpter un cheval de bois pour un gamin, même s'il l'a nié quand je lui en ai parlé.

Locos était un bavard, on avait même pas besoin de lui demandé pour qu'il se mette à raconter ses histoire à qui voulais bien l'entendre.

-Depuis qu'il est devenu chef, il a...un peu changé. Mais je le comprend, il a la pression de tout le village sur les épaules...Le pauvre...

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