Ambassade de Minas Ancalimë

Le seigneur Finwë s'assit et dit: enchantée, Taslan. je viens vous remetre une bourse de 120 pièce d'or, qui conclut notre prêt.j'aimerai rencontrer le seigneur Meneldor, est ce possible?

HRP
économie modifiée

Taslan servit un verre et le tendit à son nouvel hôte. Puis, il héla un garde pour récupérer l'or et le mettre en lieu sûr.

Je vous remercie pour avoir tenu votre parole. Cela ne fera que renforcer nos liens.

Mais malheureusement, vous ne pouvez voir Meneldor en ce moment. Il est occupé avec le Seigneur elfique de Fennas Drunin. Et dans le cas où il aurait déjà terminé, il n'est pas repassé par l'ambassade. Je ne peux donc pas vous aider sur ce sujet.
Mais je peux tout de même écouter ce que vous aviez à lui dire. J'ai les pouvoirs pour résoudre la plupart des situations et je connais la politique de mon Seigneur et ami.


[HRP : Economié modifiée. Merci^^]

Le seigneur Finwë s'y attendait et dit: oui, bien sur, je comprends . mais si vous le voulez bien, nos deons partire. au revoir et bonne chance pour vos projets.

Une longue procession de chariots se profila à l'horizon de Minas Ancalimë, Tom et Broland étaient de retour... Et pas avec un mince chargement ! Ils saluèrent les gardes en arrivant devant les portes, depuis leur dernière visite ils étaient bien connus et appréciés. Ils chevauchèrent jusqu'a l'ambassade, le convois de chariots les suivant. Là il mirent pieds à terre et accostèrent un garde :

"Salutations mon brave, savez vous si nous pouvons rencontrer le Seigneur Erenil ? Nous avons un lourd chargement à lui donner, pouvez vous annoncer Tom et Broland ?"

Le garde les regarda et prit la parole d'un ton ravi:

Nobles Seigneurs! Votre présence dans nos murs est des plus appréciable! Je vais de ce pas quérir le seigneur Erenil afin qu'il vous reçoive immédiatement.

Finissant de parler sur un sourire, il disparu quelques instants. Pendant ce temps, un des gardes s'occupa des chevaux tandis qu'un autre disait aux gondoriens qu'ils pouvaient garder leurs armes s'ils en avaient.

Et puis, l'autre garde réapparu et du haut du parvis de l'ambassade, appela les deux émissaires.

Mes Seigneurs, veuillez me suivre, le vieil Erenil vous attend.

Alors que les deux hommes suivaient le garde, il leur dit que la nouvelle de leur venue avait grandement fait plaisir au vieux diplomate.
Puis, ils arrivèrent bientôt au salon où ils avaient été reçus lors de leur précédente visite. Quand ils entrèrent, le garde les salua et retourna à son poste.

A l'intérieur, l'atmosphère n'avait en rien changée. Elle était toujours chaude et agréable. Juste un détail semblait nouveau : du feu crépitait dans l'âtre, la faute à ce foutu hiver, assez froid dans les terres Arnoriennes.
Dans le salon, se tenaient trois personnes. Une jeune femme dans un divan près de l'âtre, Erenil devant le feu et un jeune homme qui regardait par la fenètre, le ciel sans nuages.

A l'entrée de Tom et Broland, Erenil traversa le petit salon, monta la marche qui donnait accès à ce petit "renfoncement" et alla saluer chaleureusement les deux hommes.

Mes bons amis! Que nous vaut cette joie de vous revoir? Rien de grave j'espère!
Avez-vous fait bon voyage? J'espère que celui-ci ne fut pas aussi mouvementé que le dernier...

Mais avant qu'il puisse continuer, le jeune homme s'avança tandis que la jeune femme se levait pour rejoindre le petit groupe.

Erenil, prends un peu le temps de respirer, tu vas nous faire une crise. dit-il dans un sourire avant de se tourner vers les deux hommes.

Ainsi voilà les deux fameux Tom et Broland dont Erenil nous a tant parlé! Je suis heureux de faire votre connaissance et je vous souhaite la bienvenue dans cette ville.

Mais j'oublie tous mes devoirs, et disant cela, il se tourna vers la jeune femme blonde aux yeux bleus. Voici Emerwen, une de nos meilleures diplomates et surtout, ma fiancée.

Ils rougirent tout deux mais pas pour les mêmes raisons. En effet, ils n'étaient pas encore fiancée, mais Emerwen le souhaitait et n'attendait que ça, pensant attendre encore longtemps, alors que Meneldor, lui, préparait sa demande avec minutie.
Puis, il se présenta :

Et moi, je suis Meneldor, le seigneur de cette ville, pour vous servir. dit-il manchinalement, en usant des vieilles formules de politesse.

Tom et Broland suivirent le garde, bavardant un peu avec lui, puis ils furent introduits dans le fameux salon dans lequel ils avaient passés un si bon moment avec Erenil, ils furent étonnés d'y trouver tant de monde. Tom fut le plus rapide à réagir, ils mis un genou au sol devant Meneldor, et fut vite suivit par Broland. Ils attendirent le temps réglementaire et se relevèrent, Tom pris la parole :

"Monseigneur, c'est un grand honneur de vous recontrer ! Je suis fort heureux de vous voir ici !"

Puis il se tourna vers dame Emerwen et se pencha pour lui faire un baisemain, Broland plus pataud se contenta d'un signe de tête et d'un sourire poli, a son habitude, ce fut le vieux Tom qui pris la parole :

"Mademoiselle, vous êtes encore plus belle que tout ce que j'ai put entendre jusqu'a présent ! C'est un honneur pour moi de vous rencontrer !"

Et enfin il se tourna vers Erenil, et comme pris par une seconde jeunesse, l'enlaça comme un ami d'enfance :

"Mon cher Erenil ! Vous m'avez manqué ! C'est un immense plaisir de vous revoir ! Nous sommes venu faire un cadeau à votre cité, en guise d'amitié nous vous apportons 90 tonnes de bois !"

Erenil fut surpris mais rendi l'accolade à son ami. Quand les deux hommes se séparèrent, on pouvait voir le sourire qu'on deux amis qui se retrouvent après un long moment durant lequel ils furent séparés.

Tandis que Tom expliquait la raison de sa visite, Meneldor invita tout le monde à s'assoir dans les confortables divans de la pièce. Puis, il se dirigea vers une armoire d'où il sorti quelques verres, travail d'un verrier local. Ainsi qu'une bonne bouteille de vin. Il la déboucha et servit un verre à toutes les personnes présentes. Puis, il se rassit quand Tom arrêtait de parler.

Et bien, nous vous sommes extrêmement redevables pour cela! Nous avions justement un besoin considérable en bois. Nous avons d'ailleurs demandé un prêt de cette ressource en Erebor et notre convoi devrait bientot arriver.

Puis, Erenil prit la parole :

Comme l'a dit mon Seigneur, votre geste vous honore et nous vous en sommes extrêmement reconnaissants.
Mais sinon, quelles nouvelles du Gondor? Votre peuple se remet-il de la mort du grand Marchemort? Comment s'en sort Regnak?

A ce moment, une personne frappa à la porte et les personnes en pleine discussion furent interrompues. Meneldor donna la permission d'entrer. Quand il vit quelle personne les interrompait, il comprit qu'un problème était survenu. Il n'en montra rien et accueilla le nouveau venu en le présentant aux gens présents.

Puis, il reçut la lettre et la lu attentivement. Il se leva alors, s'excusant auprès de Tom et Broland, alla près d'une commode et prit un papier qu'il se mit à remplir. Ensuite, il tendit la réponse à son messager, lui disant de renvoyer le papier à l'expéditeur.

L'homme le prit et salua l'ensemble des personnes avant de retourner à son poste et de renvoyer un oiseau.

Emerwen regarda alors Meneldor,

Un problème?

Non, rien. Ne t'inquiètes pas. Une petite missive sans la moindre conséquence.

Il sourit à Emerwen puis se retourna vers les deux gondoriens.

Nous disions donc... quelles sont les nouvelles de la Tour de Garde?

Au dehors, les hommes de Minas Ancalimë commençaient déjà à décharger les chariots et emmenaient les 90 tonnes de bois dans les entrepôts.

[Economie modifiée. Merci mon cher et à charge de revanche^^]

Après avoir échangés quelques paroles pour signifier que ce cadeau était offert de bon coeur, Tom répondit à la question d'Erenil :

"Et bien messire, il semble que les malheurs soient l'apanache de la Cité Blanche... En se rendant à Harlond la famille royale a été capturée, Harlond nie toute implication dans cette affaire, mais les petites gens parlent de trahison... Le Gondor n'est plus ce qu'il était, personne ne peut avoir confiance en son voisin... A l'heure qu'il est, des négociations sont en cours pour faire libérer Regnak et sa famille, mais le prix à payer sera élevé... Enfin sans ça, la cité plongeras dans le chaos, et nous ne pouvons pas nous permettre de perdre à nouveau notre Seigneur..."

[Economie modifiée]

Les éminents diplomates de Minas Ancalimë étant occupés, les easterlings furent accueillis par un simple diplomate qui les invita dans un bureau. Là, un coffre les attendait.
Il leur indiqua poliment les chaises puis, s'assit à son tour avant de prendre la parole.

Eh bien, la célérité de votre voyage est impressionnante et témoigne de la qualité de vos bêtes. Nous sommes contents de votre générosité et soyez assurés que nous vous considérons désormais comme un peuple ami.

D'ailleurs, voici ce que nous vous devons, dit-il en désignant le coffre.
Vous avez 1000 pièces d'or et pas une ne manque. Vous pouvez vérifiez si vous le désirez.

Il marqua une pause puis poursuivit.

Et tant que nous y somme, votre voyage a du vous fatiguer. Vous pouvez vous restaurer et dormir dans une des chambres de l'ambassade. Nous serons honnorés de vous avoir parmi nous encore quelques jours. finit-il dans un sourire.

[HRP : économie modifiée. Merci^^]

[Eco modifiée]

Ces nouvelles installèrent un silence froid et pesant sur l’assemblée. En effet, Erenil avait raconté les malheurs de la cité blanche à Meneldor suite à la mort de Druss Marchemort… Les arnoriens se regardèrent les uns les autres sans savoir que dire. Mais, troublant ce silence, Erenil laissa parler son expérience de la vie.

Je comprends votre désarroi, et nous sommes tous très peinés et partageons votre douleur. Nous ne savons pas quoi faire pour vous aider, mais si vous aviez besoin de quoi que ce soit, soyez assurés que nous ferions ce qui est en notre pouvoir pour vous venir en aide.

Les arnoriens ne savaient pas que dire, quelques peu gênés par tant d’impuissance.


Dans une pièce adjacente, le diplomate était toujours occupé par son entrevue avec les Rhuniens. Ses propos ayant visiblement un peu vexé ses hôtes, il tenta rapidement de se rattraper :

Je suis navré si je vous ai vexé. C’est que j’ai rarement assisté à une entrevue pleine de confiance des deux partis. Je doutais des propos de mon Seigneur Meneldor lorsqu’il disait que nos deux peuples pourraient être amis, mais visiblement nous le sommes selon vous !

Et je reconnais que c’est un moment que je n’oublierai pas dans ma carrière !!

Sur ces mots, les easterlings se mirent à accepter l’invitation du diplomate et allèrent vers leurs chariots…


A l’entrée de l’ambassade, Quarrel fut fouillé par les gardes qui l’amenèrent devant un diplomate, expliquant que Meneldor était occupé.
Une fois dans la pièce, le diplomate prit la parole :

Bienvenue parmi nous cher ami, que puis-je donc faire pour vous ?

L'homme le regarda de haut. Son impressionnante carrure enfoncée dans son fauteuil faisait mentir sa fonction en même temps qu'elle lui assurait une écoute incomparable de la part de ses interlocuteurs. Son visage carré arborait un air contrarié, mais il parla quand même :

Je ne nomme Tambë. Mais personnellement, je ne vois pas en quoi cela fera que nous parlerons plus librement. Je n'ai pas pour habitude de parler librement lorsqu'une personne me demande dès notre première entrevue, un prêt d'une telle importance.

Vous devriez comprendre qu'il s'agit là de près de la production de deux de nos cités et qu'il nous est impossible de vous fournir cela. Je pense que le premier prêt octroyé est suffisamment généreux et d'ailleurs, vous l'avez extrémemment bien usé d'après le message que j'ai réçu.

Je ne peux donc vous répondre favorablement. Surtout que vous êtes aussi prié selon notre accord d'adresser vos souhaits d'achats à mon seigneur. Donc, j'aimerais que vous me notiez sur un parchemin ce que vous souhaitez faire avec cet argent.

Tambë avait certes été froid, mais il connaissait son sujet et ne s'embarrassait que peu des sentiments pour ceux qui n'avaient pas gagné sa confiance.
Tenant son nom de son père, forgeron, il était aussi froid que l'acier, mais pouvait se montrer bouillant si on le choffait à blanc... Suffisait de rester dans les limites. Raison pour laquelle Meneldor l'avait chargé de s'occuper spécialement des relations avec Grislac.

[HRP : Réponds ici, mais pour le parchemin, MP]

Quarell fut déçut, car cela les aurait
aidé encore plus. Mais il répondit, tendant un papier ou était écrit
...........
Bien. Nous nous contenterons du dernier prêt, monseigneur Tambë. Je vous
suis reconnaissant de m’avoir accordé de votre temps. Maintenant, j’aimerais regagner
ma cité, que j’ai quittée depuis trop longtemps.

Alors qu'un silence pesant s'installait dans la pièce suite aux informations que Tom avait dévoilées, un page entra dans la pièce et, saluant les maîtres des lieux, vint chuchoter dans l'oreille du vieux marchand. Celui-ci écouta et sourrit de toutes ses dents, bien qu'il en manquât une ou deux... Il se tourna vers ses hôtes et dit d'un air joyeux :

"Grande nouvelle ! Un pigeon viens d'arriver à notre convois, il porte un message annonçant la libération de la famille royale, ils sont tous sains et saufs ! Et... le message annonçait aussi que la Cité Blanche manque de bois... Celà peut paraitre brusque comme transition, mais Regnak, en plus de ses salutations amicales, vous demande si vos stocks vous permettrez de faire un échange, disons une centaine de tonnes de bois contre autant en fer ?"

Erenil le premier répondit à Tom, le sourire illuminant un visage trahissant le poids des années.

Et bien voilà une fort bonne nouvelle ! Je ne sais comment vous montrer la joie qu’elle nous procure ! Et…

Avant qu’il ne poursuive, il fut coupé par Meneldor qui murmurait à Emerwen,

Heureusement qu’il ne sait pas, il est là limite en train de danser…

Les paroles du jeune souverain et le rire de sa compagne firent se reprendre le vieil homme. Il toussota et poursuivi, faisant mine que leurs remarques ne l’atteignaient pas.

Hum hum… et bien, ce petit échange pourrait se faire dans les plus brefs délais. Vos chariots sont toujours là, il est tout à fait possible de les remplir de notre bois afin de vous permettre de rapidement renflouer vos entrepôts. Puis, il se retourna vers Meneldor pour ajouter, A moins que quelqu’un ait une remarque à faire ?

Meneldor, lui, porta son verre de vin à ses lèvres et répondit, les yeux fermés,

Je ne vois pas qui pourrait avoir une raison de refuser, la Cité Blanche ayant déjà prouvé qu’on pouvait compter sur elle.

Il reposa alors son verre et parla au page.

Excusez-moi jeune homme, mais pourriez vous transmettre à Thorn, de faire porter 100 tonnes de bois dans les chariots de nos hôtes. Et qu’il ne se permette pas de vous faire une remontrance.

Bien seigneur ce sera fait !

Pendant ce temps, Taslan avait rédigé le contrat et l’ayant fait signer à Meneldor, avait contourné Erenil, sachant que son sourire ennuyait le vieil homme. Il le tendit donc à Tom et Broland.


[Economie modifiée^^ Dire que tu me donnes 90 tonnes de bois et que je t'en vends 100 dans le même échange :p Ironie Ironie...]

La caravane tant attendue arriva enfin a Minas Acalinë... Un homme descendits et dit au gardes:

Voici le remboursements... Ou devons nous le déposer?

Ces hommes avait l'air rude et impoli, et ne mirent aucune intonation amicale dans leur voie...

hrp: économie modifié.

C'est par un temps gris et sous une averse de neige qu'un convois s'approcha de Minas Ancalimë. Les gardes eurent beaucoup de mal à identifier la provenance de ce convois et en fait ce ne fut que lorsque qu'un de ses membres s'identifia qu'ils leur fut possible de les reconnaître.

Le convois avait fait halte aux portes et un des cavaliers, chaudement emmitouflé, c'était avancé :

- Bonjour ! Je suis Adelmir, eldar de Fennas Drúnin, puis-je m'entretenir avec votre seigneur ? Avait-il dit de sa voix de baryton.

La chaleur émanant des corps des elfes et des chevaux s'élevait en volutes autour d'eux donnait un aspect mystique à la scène.

Les gardes de l'ambassade accueillirent les envoyés de Grislac mais furent quelque peu surpris par leur manière de faire. Ils ne leur firent donc pas montre d'une quelconque hospitalité et appelèrent rapidement des responsables de la guilde des entrepôts pour récupérer les ressources.

Puis, ils détournèrent le regarde et laissèrent ces gens retourner d'où ils venaient.


Un peu plus tard, ce furent des elfes qui se présentèrent au poste de garde. Leur politesse et leur amabilité contrastant avec celle des précédents énergumènes, les gardes leur apportèrent quelques boissons chaudes qu'ils avaient coutume de préparer durant leur service pour les soutenir, et se mirent à les conduire à l'ambassade.

Une fois celle-ci devant eux, ils les laissèrent et retournèrent à leur poste. Les gardes de l'ambassade prirent la relève et introduirent Adelmir auprès d'un diplomate compétent.

[HRP : Economié modifiée Quarell : + 1145 pièces d'or, 29 tonnes de fer et 1 tonne de bois]

Tom et Broland sourrirent a la joie d'Erenil et aux paroles de Meneldor, et Tom pris la parole pour répondre au Seigneur de Minas Ancalimë :

"Et bien mon Seigneur, si vos hommes peuvent charger le bois, nous enverrons d'ici même un pigeon a Minas Tirith pour les avertir d'envoyer 100 tonnes de fer à votre cité. A présent, bien que celà me fasse mal au coeur, nous allons devoir vous quitter si vous nous le permettez..."

Lui et Broland se levèrent et les saluèrent, et Broland pris pour une fois la parole :

"Ce fut une fois de plus une joie de venir ici, et un honneur de vous rencontrer Seigneur Meneldor et dame Emerwen, j'espère que nous reviendrons au plus vite..."

[Eco modifiée]