Ambassade des homme-loups.

Voyant un elfe généreux et souriant, en face de lui, le cavalier solitaire ne put s'empêcher lui même un sourire.

"Mon seigneur acceptera généreusement cette amitié j'en suis plus que certain.J'en suis moi même heureux que vous nous offriez votre amitié, et nous espèrerons que vous recevrez chaleureusement la notre en retour."

Il tira vers lui la bourse, l'attachant à sa ceinture sans prendre le temps de compter les pièces, ni même de sous peser un peu le sac de cuir pour vérifier la quantité approximative d'or dedans. L'elfe sembla interloqué d'une telle négligence à l'égard de se prêt. L'elfe d'Imladris lui répondit en souriant.

"Notre relation devra être basé sur la confiance... Et je vous fais confiance, je ne pense pas que j'ai besoin de compter le contenu de ce sac pour m'assurer de la somme que vous me prêtez.

Si cela ne vous ennuie pas je m'en retourne par chez moi, au delà des Monts Brumeux..."

Après ces mots, il parti comme il fut venu : sur sont cheval, puis disparaissant dans le lointain sous l'ombre des arbres, s'échappant vers les pieds des Monts Brumeux, l'unique obstacle entre les Nations d'Heral'Mh'Idan, et Imladris.

[Economie modifié, +280 PO.
Je te les rends dimanche 6 juillet avec intérêt car je serai absent jusque là]

Une charrette arriva dans la ville des hommes loups, avec un retard plus que considérable. Quelques tonnes de fer s'entrechoquaient dans la charrue, laissant échapper de clair tintement d'acier. Rentrant en ville sous le modeste costume de marchand, celui ci se dirigea vers l'ambassade passant inaperçu, parmi les marchant vacants, comme dans toute citée. S'arrêtant devant l'ambassade, il appela un garde.

"Hola l'ami !!!!! Donne ceux ci à ton seigneur, et fais porter ce fer dans vos réserves...

Et attention de ne vole rien ou tu pourrai recevoir quelques présent désagréable de la part d'Imladris..."

Laissant ses derniers mots pesé dans l'air, le charretier donna une bourse de cuir d'un bon poids au garde et conduisit sa charrette vers les hangars ou le fer était entreposé.

[dsl pour le retard, je te rend 280 PO, et 7 tonnes de fer en intérêt.]

Un cavalier arriva en grande pompe avec une escorte. Ils portaient tous les couleurs de Salindor. Le cavalier de tête n'était autre que Falindor Bang le vassal du seigneur Mergalian venu pour des raisons importantes ils s'arrêta et demanda à son escorte de s'arrêter à une certaine distance et demanda à ce qu'ils dressent la tente. Le seigneur alla se présenter devant la porte et attendis qu'on lui ouvre.

La porte de l'ambassade s'ouvrit au bout de quelques heures, trois Elfes en sortant pour aller à la rencontre des visiteurs qui, manifestement, s'impatientaient.
"Hola, j'arrive!, cria à leur intention celui qui menait le trio, puis rajoutant plus bas, j'espère leur raison importante, pour ôser briser le silence de la forêt. Le voyant arriver, les gardes, au casque entremêlé de branches cachant leurs yeux, pour toutefois dévoiler leur bouche, restèrent stoïque. Mais cette froideur n'était qu'apparente, car, en arrivant, il hocha la tête à leur encontre, et, avec un sourire, ils la hochèrent à leur tour et commencèrent d'ouvrir les lourdes portes de bois qui fermaient l'entrée du village aux visiteurs impétueux.
" Ca fait un temps qu'ils attendent, dit l'un d'eux, et ils commenceraient presque à m'énerver, ajouta-t-il en souriant franchement cette fois. C'est qu'ils sont d'une impatience, ces humains: à toujours vouloir tout, tout de suite, mais jamais là pour agir lorsqu'il le faut".
Elengmar, s'esclaffa et, retroussant ses manches brun-vertes, s'apprêta à les acceuillir.
Lorsque finalement les lourds battants lui permirent d'apercevoir ses interlocuteurs, son sourire se figea. Il s'agissait d'Elfes. Et, manifestement, pas des mêmes horizons.
" Et bien et bien, frères, en quoi Haral Mh'Idan pourrait-elle vous être utile?"

HRP: Désolé de faire un RP aussi court, mais c'est simplement une action.

L'elfe, ignorant superbement ce compatriote de la forêt noir, ne répondit pas.

Il faisait froid, très froid, et la neige recouvrant la foret noir la rendait encore plus impénétrable. malgré cela un cavalier s'y aventurait. Cela faisait plusieurs jours qu'il déambulait de plus en plus profondément dans celle-ci économisant ainsi ses forces et celles de sa monture. Et au vu de quelques être observateur on pouvait se rendre compte que celui-ci savait exactement où il se rendait.

Enfin un beau matin le cavalier se présenta aux portes de Haral'Mh'idan. Il était fortement couvert de peau de bête ce qui amplifiait sa forte carrure.

Il sauta lourdement à terre s'enfonçant assez profondément dans la neige. Il maugréa l'égerment car de la neige venait de remplir ses bottes. Une fois qu'il réussi à se sortir de ce mauvais pas et à retrouver un appuis ferme sur la neige il s'avança vers la porte tirant son cheval.

- Holà ! Hurlât il de sa puissante voix. Y a t'i kekun ? Je viens parler affaire. Pi fait froid.

Trois individus aussitôt descendirent d'arbres proches dans lesquels ils se tenaient, à l'affut, se rattrapant dans la neige. Se relevant, ils montrèrent au cavalier étranger leur visage dont la partie supérieure était masquée par un casque blanc entrelacé de branches. Il s'agissait d'Elfes. Aussitôt debout, ils dégainèrent leurs armes, encerclant l'homme.

Etranger, ceci n'est pas une bonne période, pour rendre visite aux Elfes de Haral Mh'Idan. Le froid envahit nos coeur en même temps que nos forêts, pour des raisons qui sûrement te sont inconnues. Décline ton identité, et les motifs de ta visite. Si tu es armé, remet-nous ta dague. Si tu viens avec des intentions mauvaises, repars t-en désormais, avant qu'il ne soit trop tard. Maintenant, agis, notre temps est compté.

Pour toute réponses trois créatures masquée avec un casque fait de branches avaient surgis des arbres et encerclèrent le pauvre cavalier d'une manière fort peut accueillante. Alors que les elfes avaient dégainés leur armes notre héros en fit autant et écouta ce que les elfes avaient à dire.

Étranger, ceci n'est pas une bonne période, pour rendre visite aux Elfes de Haral Mh'Idan. Le froid envahit nos coeur en même temps que nos forêts, pour des raisons qui sûrement te sont inconnues. Décline ton identité, et les motifs de ta visite. Si tu es armé, remet-nous ta dague. Si tu viens avec des intentions mauvaises, repars t-en désormais, avant qu'il ne soit trop tard. Maintenant, agis, notre temps est compté.

Moi c'est.... L'homme regarda tour à tour les elfes et s'était rapproché de son cheval... Hum....Tirpus... Bon je viens parler affaire comme j'ai dit déjà. J'ai besoin de beaucoup d'or, leur rétorqua t il tout en gardant son épée à la main, maintenant vous voyez que je suis armé faudrait être fou pour se balader sans arme, continuât il tout en prenant une jolie masse d'arme qui pendait à la scelle de son cheval, je veux bien vous les remettre mais vous êtes qui d'abord ? Par ce que c'est bien joli de me prendre mon épée et ma masse mais des gars qui tombent des arbres avec des casques bizarres plein de branche ça me fait pas confiance.

L'homme était en position de défense, campé sur ses fortes jambes prêt à bondir où à esquiver un coup, le corps à demi courbé et même comme cela il dépassait d'une bonne tête les elfes lui faisant face sans compter qu'en poids il devait au moins égaler le poids des trois réunis, de deux pour sur.

Par contre l'expression du visage était plutôt bonne enfant et si l'on y prêtait attention un léger sourire apparaissait aux commissures des lèvres. Mais les elfes allaient ils remarquer ce détail et acceuillir notre héros où allaient ils faire fi des bonne moeurs, généralement propre à leur peuple, et tenter de massacrer notre homme ?

Ah. Bien. Ouvrez les portes!, dit l'un d'eux dans la langue de l'individu afin qu'il sût que ce n'était pas un piège. Nous sommes les guetteurs de la ville, homme. Sois bienvenu.

Malgré leur expression presqu'amicale, les Elfes ne rengainèrent pas. Au contraire, et tandis que deux énormes battants formés de rondins de boix luttaient contre le sol, ils encadrèrent le marchand, un de chaque côté de lui, l'autre derrière. Tranquillement, et sans plus lui demander ses armes à son grand étonnement, ils le conduisirent jusqu'au penne de la ville. Là, deux gardes attendaient. Sans prononcer un mot, ils regardèrent non pas l'homme, mais son escorte, et l'un d'eux hocha la tête, comme en réponse à quelque signal lancé silencieusement.

Bien, dit l'autre, Bienvenue en notre ville, marchand. Tu peux garder avec toi tout ce que tu possèdes, si tu le souhaites toutefois, ton cheval sera conduit aux écuries de la ville. Excuse l'accueil froid de mes compagnons de meute, mais l'heure n'est pas pour nous à la gaieté. J'espère que ceci sera pour toi une raison suffisante de leur comportement, car nous ne pouvons t'en fournir d'autres. Quoi qu'il en soit, et pour l'heure, sois le bienvenu, et sâche qu'en notre ville tu ne crains rien que nous, hahaha!

Le rire avait beau être joyeux, il surprenait d'autant plus après l'entrevue avec les guetteurs. Si le marchand à ce moment là s'était retourné, il se serait rendu compte que ceux-là avaient d'ailleurs disparu, rappelés par d'autres tâches plus importantes. Il ne lui restait plus qu'à entrer en Haral Mh'Idan. Peut-être n'était-ce après tout pas une mauvaise chose, qu'on ne lui demandât plus ses armes.

Alors que la tension était palpable les elfes finalement décidèrent de laisser entrer notre homme tout en l'escortant. Alors qu'ils prirent position autour du cavalier celui-ci remis sa masse d'arme sous la scelle de son cheval malgré la grande envie de s'en servir contre l'elfe qui se plaçait derrière lui, notre homme avait horreur qu'on se mette derrière lui et il lui fallu un gros effort pour se contenir.

Hors donc il attrapa la bride de son cheval et le petit groupe avança dans la ville.

L'homme ne profita pas vraiment du spectacle qui s'offrait à lui ses pensée et de furtifs regard étant dirigé vers l'elfe de derrière. Arrivé au coeur de la ville la petite troupe s'arrêta e face de deux nouveaux gardes dont l'un prit la parole.

Bienvenue en notre ville, marchand. Tu peux garder avec toi tout ce que tu possèdes, si tu le souhaites toutefois, ton cheval sera conduit aux écuries de la ville. Excuse l'accueil froid de mes compagnons de meute, mais l'heure n'est pas pour nous à la gaieté. J'espère que ceci sera pour toi une raison suffisante de leur comportement, car nous ne
pouvons t'en fournir d'autres. Quoi qu'il en soit, et pour l'heure, sois le bienvenu, et sache qu'en notre ville tu ne crains rien que nous, hahaha!


- Merci, répondit Tirpus qui remis son épée dans son fourreau. Je vous confie mon cheval mais faite attention hein ! C'est une bonne bête mais il as tendance à mordre. Tirpus laissa éclater un puissant rire auquel ce joint les hennissements de sa monture. Notre homme s'approcha alors de son robuste percheron gris et lui appliqua une bonne calque sur la croupe. Claque qui résonna et obligea le percheron a plier les pattes postérieur.

Tirpus tendit alors les rennes du percheron au garde et rajouta :

- Ah ! Je laisse ma masse d'arme mais pas touche.

Tandis que son cheval était emmené dans les écuries publiques, Tirpus fut conduit jusqu'à l'ambassade de la ville. Les gardes qui la parcouraient grâce aux chemins de racines créés dans le toit étaient là encore une fois, comme s'ils ne devaient jamais quitter leur place. Toutefois leur casque, s'il était le même, avait pris une teinte bien différente: les racines de métal ciselé qui le composaient étaient d'un blanc de neige. Coïncidence? Le diplomate put se dire que non, mais, étant donné qu'il n'était auparavant jamais venu, il ne pouvait savoir si il en avait existé un d'une couleur autre. Il fut invité à s'introduire à l'intérieur du bâtiment, remarquant à l'intérieur qu'en face lui se trouvait une sortie qui paraissait moins... avenante. Là, un Elfe haut perché sur l'un des fauteuils de bois sortant du mur, s'adressa à lui. Ou plutôt une Elfe, eut-il l'occasion de remarquer:

Bonjour à toi, étranger. Je suis Neffamel, chef du village de Haral Mh'Idan. Qu'est-ce qui t'amène en nos contrées reculées par cet hiver mordant?


Tandis que Tirpus ouvrait la bouche pour répondre, aux portes de la ville, un garde conduisait à l'entrée de la même ambassade un Emissaire de l'Ouest. Au bout d'une dizaine de minutes, celui-ci arriva à destination, passa par la même porte qui avait déjà accueilli tant de personnes autrefois, et se retrouva face à Neffamel, engagée dans une discussion animée avec un homme qui, manifestement, n'était ni du village, ni habitué au froid.

Étrange image que l'homme dépassant de deux têtes l'elfe qui le précédait, sans parler de la différence de poids, les deux déambulant dans la ville elfique tout en étant suivit en hauteur par les gardes.

*J'aurais tout vu.* Pensa Tirpus. * Les casqués se prennent vraiment pour des araignées.* Mais il n'eut pas le temps d'approfondir sa réflexion que déjà ils entraient dans l'ambassade. De nouveau une surprise attendait notre homme, l'elfe qui s'adressa à lui était haut percher sur un fauteuil sortant du mur.

Bonjour à toi, étranger. Je suis Neffamel, chef du village de Haral Mh'Idan. Qu'est-ce qui t'amène en nos contrées reculées par cet hiver mordant?

Tirpus regarda un instant l'elfe et examina avec attention le fauteuil. Il semblait même ne pas avoir entendu la question de l'elfe vu qu'il ne réagit pas. Son regard resta porter pendant quelques minutes sur le fauteuil.

Puis son regard parcourra la salle et enfin s'arrêta sur l'elfe qui s'était adresser à lui. Sa puissant voix, si elle avait été un instrument de musique aurait pu être comparé à une grosse caisse, remplit la salle :

- Bonjour. Dit enfin Tirpus tout en accompagnant les gestes à la parole. Original la déco ici, un peut étrange, mais Original. Le choque des culture peut parfois donner d'étrange résultat. Tel était donc la réaction de notre homme.

- Moi j'suis Tirpus. J'aurais besoin de beaucoup d'or. Combien pourriez pourriez vous me donner ?

L'homme afficha alors un large sourire et termina ainsi :

- L'hiver mort pas il est juste froid.

Neffamel observa plus attentivement l'homme face à lui, intriguée. Après quelques instants de réfléxion, elle répondit:

Bien, ambassadeur. Tu viens de terres lointaines, et ce que tu fais de ton argent ne nous regarde pas. Combien veux-tu que nous te prêtions exactement? Et à qui appartiens-tu, toi que nous n'avons jamais vu ici? Réponds promptement, et reglons cette affaire.

L'Elfe se retourna, au moment même ou l'un des scribes de la cité sortait de l'ombre des branchages qui composaient les murs de l'ambassade. A la main, point de plume, mais un stylet de bois. La transaction était prête à être effectuée.

Tirpus venait de remarquer une chose l'elfe qui s'adressait à lui était en fait UNE elfe. Le décor de la pièce et les étranges habitudes des ces elfes à se promener en hauteur avait tellement intriguer notre héros qu'il n'avait pas prêté attention à son interlocuteur qui en l'occurrence était une interlocutrice.

Mais lorsque celle-ci lui parla d'or il reporta toute son attention vers elle et lui répondit avec un large sourire :

- Ben m'dame j'aurais besoin de 5 000 pièces d'or où plus si vous le pouvez. En fait tout ce que vous pourrez me donner ça ira.

Tirpus fit alors une courte pause pour reprendre sur un ton joyeux :

- Moi j'appartiens à personne. Suis pas un esclave. Si non je serais pas ici tout seul.

C'est alors qu'un scribe sortit de l'ombre des branchages ce qui fait déclencher un mauvais réflexe de défense de la part de Tirpus mais qui réussit à se contrôler en voyant un elfe avec un plume dans la main. *Pfffffuiiiiiii mais il sont fou ici. Ils veulent que j'ai une attaque ? Vivement qu'on en finisse que je retourne à la civilisation*
Pensa Tirpus alors que l'elfe lui répondait.

Neffamel se retourna vers le scribe, échangeant avec lui quelques chuchotements mélodieux qu'il sembla comprendre malgré les deux mètres qui les distinguait. Aussitôt, celui commença à écrire, sans encre, tandis qu'elle se retournait vers Tirpus:

Homme, nous sommes près à te concéder une somme de 4500 pièces d'or, à rembourser d'ici deux mois. Tu dis que tu n'appartiens à personne, mais es-tu donc un aventurier, pour venir quérir cette somme? Tu dois bien venir de quelque cité abandonnée.

Elle s'arrêta un instant, tandis qu'un garde entrait en compagnie d'un autre Elfe, manifestement étranger.

Mais quels interêts es-tu prêt à nous concéder pour cette somme? Tes armes? Des forces? De l'or?

Sans lui laisser le temps de répondre, Neffamel se tourna vers l'Elfe qui venait de s'adresser à elle, et enchaîna:

Mmmmh... Cousin, votre proposition est... interessante. Attendez un instant, que cette affaire soit conclue, nous allons en parler.

L'elfe chuchota quelque chose au scribe qui se mis à écrire. Tirpus regarda alternativement les deux elfes sans trop comprendre ce qu'il se passait mais ne s'en inquiéta outre mesure. *Y'as pas à dire ils sont.... Spéciaux ici.* Pensa-t-il. Puis Neffamel s'adressa directementà lui.

Homme, nous sommes près à te concéder une somme de 4500 pièces d'or, à rembourser d'ici deux mois. Tu dis que tu n'appartiens à personne, mais es-tu donc un aventurier, pour venir quérir cette somme? Tu dois bien venir de quelque cité abandonnée.

* Abandonnée, Abandonnée mais j'm'en vais te l....* Tirpus n'eut pas le temps de terminer sa phrase intérieur qu'un garde accompagné d'un autre elfe entra. Ce qui par chance le calma un peut. Il préféra donc ne pas relever le manque de tact de l'elfe et se focalisa sur l'or.

Il répondit donc simplement :

- Ça me va pour la somme d'or et pour le temps de remboursement. Par contre pour les intérêts je ne sais pas. C'est comme vous voulez. Je ne voit pas très bien ce que mes armes ou des forces vous rapporteraient
mais si c'est cela qui vous intéresse alors pourquoi pas.