Ambassade des homme-loups.

L'habitation, la plus grande du village, était construite avec un bois sacré. Mergalian avait spécialement demandé, dès son accession au rang de chef du village, que ce bâtiment soit construit: il avait décidé que le village devait désormais s'ouvrir au monde, et avait ordonné que des messagers s'en allassent porter sa voix dans tout les royaumes alentours. Et maintenant, ça y était: l'ambassade était terminée. Tous les artisans du village s'étaient réunis afin de créer le plus bel édifice qui soit, et pour cause: de l'éxterieur, on aurait dit un enchevêtrement de racines immenses, qui s'écartait en deux endroits pour former les porte: par celle de devant, l'on rentrait et sortait lorsque nos intentions étaient amicales, par celles de derrière, lorsque la guerre était proche ou déclarée.
Si de mémoire d'homme on avait creusé un chêne pour en faire un endroit habitable, sûrement l'intérieur aurait ressemblé à celui dûdit bâtiment: les murs semblaient d'écorce, mais de fines nervures les traversaient, et huit sièges semblaient en sortir, à deux mètres du sol, quatre de chaque côtés de la salle, encadrant celui du fond, dans lequel reposerait Mergalian. Le sol était plus bas que les murs, si bien que les entrées étaient en pente du côté des amis de la tribu, mais qu'il fallait enjember un marche faîte de racines piquantes lorsq'uon se trouvait du côté des ennemis. Il n'y avais pas de fenêtres, mais les murs laissaient entrer une douce lumière. Dehors, les garde de l'ambassade ne se postaient pas de chaque côtés des entrées, mais en hauteur, sur le toît arrondi, où plutôt dans: des emplacements spéciaux avaient été aménagé entre les grandes racines, invisibles depuis le sol. Mergalian était prêt. Les messagers reviendraient bientôt.

bonjour, je suis finwë, de la maison de calmirté. ouvrez vos portes et menez moi a votre maître. je viens trouver un terrain d'entente entre nos peuples .

ok. peux tu me la crée stp

"Une porte pour les vils et les méprisables, une autre pour les amis et ceux qui ne nous veulent de mal. Choisis la tienne, voyageur, notre Seigneur t'attend depuis deux jours déjà", dit la garde, les yeux cachés par un casque d'argent fin sculpté en forme de visage végétal.

Le diplomate regarda les portes et réfléchis.
Il était certes venu discuter pacifiquement et d'affaires commerciales, mais il ne voulait en aucune façon paraître orgeuilleux et donc manquer de respect envers ses hôtes.
Il pris son courage à demain et, intérieurement, pensa que cette fois les elfes auraient pu rajouter une porte pour ceux qui venaient la première fois, ou n'ayant qu'un but lucratif.

Il passa la porte des amis, et fut soulagé lorsqu'il apercut les gardes partir du bâtiment, malgré que son inquiétude se raviva lorsqu'il entendit du bruit qui venait de toit.

Il apercut un homme qui semblait être le chef et lui dit :

"Messire, mon nom a peu d'importance, sachez juste que je viens du Gondor, de Cair Andros, plus précisément. La Forteresse a entendu parler de votre récent besoin d'argent et souhaite mettre à disposition un stock d'or qu'elle vous propose en prêt. Nous disposons actuellement de 175 pièces d'or. Qu'en pensez-vous?"

L'homme sur le siège haut regarda longuement l'homme, réfléchissant à ce qu'on lui avait de lui et de là où il venait.
"C'est avec plaisir que j'accepte cette aide de la cité fleurie de Cair Andros. Je vous rendrais cette somme d'ici deux mois, des interêts. Toutefois, nous allons marquer cette transaction dans le Livre."
A ces mots, un homme qui n'était pas là la seconde d'avant se retrouva devant l'Elfe, lui tendant un livre ouvert. Le messager humain put se rendre compte qu'il l'était à légèrement moins de la moitié. La couverture semblait faite de bois nervuré, comme tout le décor de la pièce. Le Seigneur tendit la main, et la seconde d'après le manuscrit était dedans.
Il saisit une plume, et écrivit. Au bout de quelques instants, il s'interrompit et leva la tête de sa page, pour regarder l'émissaire.
"Que diriez-vous de 30 pièces d'or d'interêt, ami mortel?"

L'ambassadeur écouta l'Elfe. Sur le coup il ne comprit pas pourquoi celui-ci dénnomait sa patrie come une "cité fleurie". Sans doûte Mergalian n'avait-il jamais posé un pied à Cair Andros. Mais il se ravisa par la suite, [supposant qu'il s'agissait sans doûte d'une métaphore.
Il répondit après la réplique du Nando :

"Parfait! Je suis content de cette transaction, ainsi-soit-il!
Que cela marque le début des amitiés entre Haral'Mh'Idan, prononca-t-il avec un accent maladroit, et Cair Andros!"

Puis lorsque l'elfe reparti avec le livre des comptes, l'humain s'empressa d'ajouter :

"Et, si vous le permettez, nous aimerions installer entre nos deux villes un système de pigeons voyageurs qui permettrait de nous contacter plus rapidement et ainsi nous informer.
Qu'en pensez-vous?"

[Economie modifiée ; -175po]

un elfe,qui venait sans doute de l'autre cotée de la foré vue ses habits, sorti de la foré et s'avança vers les gardes. gardes,je voudrai parler a votre seigneurie , je suis un émissaire de Sylfiria et je parle au nom du seigneur finwë , qui souhaite s'entretenir avec vous et avoir votre amitié ainsi qu'un traité commerciale qui vous convienne. j'aimerai également un prêt en or de 650 pièce, fouillez moi, je ne suis pas armée . je veux aussi vous vendre du bois

A Tùor:
L'Elfe resta un instant silencieux, puis ajouta, amusé:
"Si cela vous permet d'éviter des déplacements impromptus, qu'il en soit ainsi." Puis il annonça à deux gardes qui apparaissaient à la porte:
"Reconduisez l'émissaire jusqu'en bordure de forêt, qu'il puisse repartir sans être inquiété. Que la lumière des Valar vous illumine."
A Finwë:
Le garde toisa quelques instants l'étranger, puis lui annonça:
"Bienvenue, frère des forêts. Notre seigneur est malheureusement occupé pour l'instant, mais un autre homme va vous prendre en charge." Il conduit alors le visiteur jusque dans un petit bâtiment en bois, semblant créé à partir d'un arbre qui aurait été coupé sans être modifié.
"Que voulez-vous exactement, frère des forêts?", vous demanda alors un homme qui se trouvait au milieu de la pièce.

l'émissaire s'avança et dit: [b]je suis venue ici pour vous vendre du bois contre de l'or, ou vous demandez de me prêter assez d'or pour acheter a mon seigneur une épée. mon Maitre m'a également demandé si vous avez besoin de quoi que ce soit. il veut également une alliance entre nos peuples, uniquement juré sur la confiance que vous avez en lui.

HRP
j'enlève parce que je me suis engagé un peu trop vite et sans réfléchir

L'Elfe resta un long moment ainsi, à contempler l'émissaire, puis, enfin, prit la parole:
" Ce sera un honneur pour nous que de vous conter parmi nos amis. Malheureusement, nous préférons ne pas nous engager au point de faire un alliance: nos deux nations ne se connaissent pas assez. Pour ce qui est du commerce, c'est avec plaisir que nous en ferons avec vous, mais nous possédons du bois en quantité plus que suffisante: les Bois sont, sur ce point comme sur de nombreux autres d'ailleurs, bienveillants à notre encontre. Quant au prêt, il est, je le pense, envisageable, mais tout dépend de la somme que vous souhaitez nous demander."

je pourrai également vous vendre des chevaux....pour le prêt , ce n'est plus la peine, car le prix de l'arme est si élevée que je ne pourai rembourser votre prêt avant les trois moi suivant.

"Comme vous le souhaitez, frère-seigneur. Pour ce qui est des chevaux, cela dépend de ce que vous offrirez en échange, en effet, nous en possédons également en quantité largement suffisante pour subvenir de nous même à nos besoins."

alors, qu'accepteriez vous contre de l'or, frère d'une autre horizon ?

"Nous n'avons malheureusement pour l'instant que peu de ressources à vendre, mais, si vous souhaitez plus tard commercer avec nous, nous en serons ravi. Au revoir à présent, frère, et que la forêt vous soit amicale." A ces mots, il se retira dans l'ombre, et la porte s'ouvrit, laissant entrer les deux gardes qui avaient jusque là attendu devant la porte.
"Messire, nous allons vous reconduire jusqu'aux portes de la ville, si vous en avez terminé".

L'Elfe parlait au garde, qui lui enjoignait d'attendre qu'un diplomate du village n'arrive, lorsqu'il fut dépassé par un Elfe habillé de vert, encore trempé de sueur par le voyage qu'il venait de faire. Le garde, en le voyant, le salua de la tête: "Bonjour mon Seigneur, dit-il, vous devez être fatigué après un si long voyage, voulez-vous que j'apprête...
- Non, Ellyaph'an, je vais m'occpuer de notre hôte d'abord. Entrez, je vous en prie, Seigneur des Terres Mortelles. Nous allons regler ces affaires. Au fait, reprit-il, s'adressant de nouveau au garde, vous pouvez dire aux gens du village que l'alliance est conclue. Nos cousins de la Lorilorien sont désormais nos alliés." Puis il entra dans l'ambassade, et, se plaçant sur son siège, il écouta attentivement l'ambassadeur. Enfin, il reprit:
" Nous pouvons vous prêter de l'or, frère, donnez-nous seulement le montant que vous souhaitez, mais, pour ce qui est de l'Alliance, je crains que ce ne soit impossible: j'ai passé avec un ami Sylvain un pacte, qui m'interdit une nouvelle alliance avec des elfes de la forêt noire. Ceci dit, vous pourriez, si vous le souhaitez, devenir notre vassal: le but de l'Alliance que je viens de passer avec l'ami dont je vous parle est de réunifier le Royaume des Elfes, nous le dirigerions, en quelques sortes, mais vous auriez évidemment votre mot à dire. La seule chose que vous nous devriez, c'est un soutien de frère à frère, dans toutes situations, et nous rejoindre lorsque nous partirions en guerre, ou vous appellerions. En échange, nous vous protègerions, et vous et votre peuple bénéficieriez de notre soutien également, en toute occasion. Qu'en dîtes-vous, Seigneur?"

" Bien, frère, dit Mergalian, je suis heureux de voir que vous acceptez aussi facilement ce que je vous propose. Je vous prie d'attendre un instant, le temps de rédiger le traité."
Prononçant ces mots, il tendit les bras, et un Elfe sortit de l'ombre, habillé de telle manière et portant tel masque qu'il semblait faire partie du bois du bâtiment (peut-être était-ce vrai?), et lui donna un parchemin. Alors Mergalian s'en saisit et, tirant une plume des longues poches de sa robe, il commença à écrire.
Après un certain temps, il leva sa plume du parchemin, relut ce qu'il avait écrit, et signa. Puis il tendit de nouveau le papier à l'Elfe qui était retourné dans l'ombre, et l'apporta au Seigneur Bang:

Citation :

Est scellée par ce traité la mise au service du Seigneur Bang au Seigneur Mergalian. Le Seigneur Bang, ainsi que son peuple, devront, à partir du moment où ce pacte sera effectif, écouter et obéir indifféremment aux ordres des Seigneurs Mergalian Des'Mhola et Lenwë Felagund, leur apporter soutien en cas de guerre, et les servir, même si les instructions qui lui sont données lui paraissent incongrues ou mal appropriées sur le moment. En contrepartie, et quelques soient les circonstances, les deux Seigneurs de La Grande Alliance devront apporter leur soutien militaire au Seigneur Bang lorsque celui-ci le demandera, les routes commerciales établies entre ces trois nations ne seront pas taxées, ou le seront, le cas échéant selon un commun accord. Le but ultime de ce pacte est de réunir le Royaume des Elfes. Le but ultime des ce pacte est de leur permettre de retrouver un poids économique et politique conséquents sur la Terre du Milieu. Le but ultime de ce pacte est de chasser de celle-ci toutes les engeances des Ténèbres et les fils du Seigneur des Anneaux.
Pour sceller ce pacte en avance, qui ne prendra effet qu'à partir du mois prochain, soit celui de Février, afin que le Seigneur Bang ai le temps de développer suffisemment sa ville, le Seigneur Mergalian Des'mhola lui ocrtroie la somme de 600 îèces d'or, à rembourser en même temps que le pacte devient effectif, sans interêts.

Mergalian Des'mhola, fils d'Etarh'ar, seigneur des temps anciens, chef de la tribu d'Haral Mh'Idan.

Falindor Bang, seigneur de la cité de Salindor.

Falindor revint quelques heures plus tard voir son suzerin Mergalian avec le traité d'alliance avec Tùor.
"Mon seigneur je souhaiterai que vous me validiez ma future alliance avec le seigneur Finwé et mon alliance avec le seigneur gondorien Tùor.Avoir un allié dans ce peuple ne peut que nous étre bénéfique."

HRP
je suis désoler si je dis une bêtise, mais on a pas le droit de vassaliser un joueur de moins d'une semaine.


RP
un ambassadeur de Sylfiria se présenta devant la porte de l'ambassade. il dit au garde d'une voix enjouée:
je viens au nom du seigneur finwë, et je n'ai pas d'arme. je souhaite m'entretenir avec votre seigneur. je ne suis pas presser, mais le plus tot sera le mieux.

Le garde le regarda un instant, puis baissa les yeux sur l'arme que l'ambassadeur lui tendait, adressant de nouveau un long regard à l'Elfe, avant de lui répondre enfin:
"Frère, paix sur toi et les tiens, dit-il, je vais te conduire dans un bâtiment autre que celui-ci, car déjà il est occupé par quelqu'un qui, ce me semble, est l'un de vos alliés, mais, je t'en prie, garde ton arme, jamais Elfe n'attaquerait Elfe, n'est-ce pas?"
Puis, le conduisant dans le même batiment que celui où avait été conduit le précédent émissaire de Sylfiria, il le quitta sur le seuil, se postant de vant la porte tandis que l'ambassadeur entrait.
Un Elfe s'avança doucement:
Paix sur toi et les tiens, frère, dit-il doucement. Sa voix était douce, limpide, comme le ruisseau poissonneux ou le bruissement du vent dans les arbres, et ses yeux reflètaient la sérénité qu'il semblait éprouver. Que nous vaut donc l'honneur de ta visite?"