Ambassade d'Imladris

le jeune esclave s'inclina

-trés bien je revien dé demain avec le fer

6 hommes arrivèrent dans la pièce, la ou se tenait Galedor. Les 5 gardes du corps et le diplomate portaient tous les couleurs de la cité de Drogan Nifur. Les gardes du corps du diplomate étaient très lourdement armuré, et leur grandeur ne mentait pas qu'ils étaient bel et bien Numénoréens Noir. Leur armur luisait sous les rayons du soleil qui pénétraient dans la pièce. Le diplomate alla prendre place à la table, tandis que ses hommes d'escorte l'attendirent à l'extérieur de la pièce. Puis le diplomate prit la parole.

- Bonjour l'ami. Je me présente, Argon, diplomate de Drogan Nifur, la cité combattante. Nous avons réçamment fouillé les plaines, les montagnes et les moindres recoins en Arnor et en Angmar. Nous avons remarqué que nos deux cités sont très proche, et que conclure une alliance serait des plus favorables pour nos deux peuples.

Puis le diplomate attendit une réponse de la part de l'elf

[Evite la magie, on ne passe pas les gardes d'une ambassade d'un claquement des doigts ^^.
Petit conseil pour la suite, je doute qu'une seule ambassade dans le jeu soit sans garde, et leur rôle et de désarmer les éventuels visiteurs. Si tu dit déposer tes armes de toi même, un joueur pourra être plus enclin à négocier avec toi, par cet acte de bonne fois.
Je vais donc rectifier ton entrée.]

6... C'était les nombre de Numenoréens Noir, qui emplit de courage, décidèrent de passer les portes d'Imladris, aussi armé que pour menait une guerre. Les gardiens les arrêtèrent.

"Où comptez vous allez ainsi armé ? Nul ne vous fera du mal ici."

Ils attendirent, comme espérant qu'ils s'exécutent d'eux même.

"Donnez moi vos armes, vous les récupérer en partant. Ne vous faites pas de soucis, elle vous serons rendu en parfaite état."

Plus par obligation que par volonté, la troupes d'hommes donna toutes ces armes, mais ils eurent l'autorisation de garder leurs armures, comme pour qu'ils puissant se rassurer eux même. Ensuite, on les conduit jusqu'à la Dernière Maison Simple, qui était bien vide en ces temps. Non loin de l'entrée, discutaient deux elfes, qui tournèrent la tête à l'arrivée des hommes sombre. Un des Numénoréens s'avança.

"Bonjour l'ami. Je me présente, Argon, diplomate de Drogan Nifur, la cité combattante. Nous avons récemment fouillé les plaines, les montagnes et les moindres recoins en Arnor et en Angmar. Nous avons remarqué que nos deux cités sont très proche, et que conclure une alliance serait des plus favorables pour nos deux peuples."

Un des elfes se leva et s'approcha de lui, puis le salua respectueusement.

"Le seigneur Galedor est actuellement absent, je me nomme Ëlandor, fils de Galedor. Je suis habilité à parler en sont nom. Venez vous assoir je vous en pris."

Les hommes suivirent l'elfe jusqu'à la table, où le diplomate s'assit en face de l'elfe, ses gardes du corps juste derrière son siège.

"Vous dites souhaitez vous allier à nous, mais que retirerez nos deux cité d'un tel accord ? Et plus important encore pour moi, êtes vous réellement digne de confiance ? "

Il l'observa le Numenoréens Noir sous toutes les coutures.

"Avouez qu'un Numénoréens Noir qui viens frapper à ma porte pour demander une alliance, avec des elfes... Il y a de quoi éveiller la méfiance. Je veux connaître vos claires intentions, avant de m'engager..."

Un cavalier, seul, franchit les portes. Il arriva au devant de l'ambassade, et dit au garde qui se tenait devant la porte, tout en relevant son capuchon:
" Salut à toi, cousin des hautes terres. Paix sur toi et tes frères. Mon nom est Galarian, et je suis ici au nom de mon seigneur Mergalian, fils d'Ethar'ar, seigneur des temps anciens. Je viens ici afin de m'entretenir avec ton maître, conduis-moi à lui."

-Mais qui vous a parlé de papier ? Dit le diplomate en souriant.

-Je crois que nos deux peuples tirrerons grand profit de cette amitié.

Je viens vous accorder mes hommages au nom de mon maître. Il veut vous assurer ses salutations et espère que nos deux peuples pourront entretenir des relations stables et amicales. Il vous demande également si vous accpeteriez de commercer avec lui, en lui vendant des troupes et ressources.

@ Mergalian

Grisin écouta avec attention l'elfe.

"Nous acceptons avec grande joie les hommages et l'amitié de votre seigneur. Vous lui présenterez nos respect également, et nous espérons faire durer cette amitié.

Nous ne pouvons malheureusement pas vous vendre des troupes, mais nous disposons de ressources importante, que nous sommes prêt à échanger ou à prêter, contre remboursement."

Il avait ouvert un livre de compte mis à jour, qu'on venait de lui apporter, et regarder les finances de la ville.

-Non, je crois que le fait de s'avoir que nos deux peuples sont allié me suffit. Resterait il peut-être à remplir une ou deux paperasse, et nous aurons la preuve de notre amitié.

Puis il sortit un parchemin de son grand manteau, et le posa sur la table.

Merci à vous, ami. Pour ce qui est des troupes, ne pourrions-nous engager chez vous quelques elfes dont vous pouvez vous passer quelque temps?
(vous les dirigeriez, mais selon nos ordres)

@ Gordor

Ëlandor se sentit presque vexé à la dernière remarque du numénorrèen, le voyant sortir une page blanche,il fit grise mine.

"Vous ne nous faites pas confiance ? Vous voulez un papier qui nous obligera à vous aidez si vous vous en prenez aux Arnorien, ou à qui que se soit d'autre.

Si nous signons un papier aujourd'hui, se sera un acte commercial, rien de plus."

Cette fois Ëlandor espérait que ses propos était on ne peu plus claire.

@ Mergalian

Grisin lui sourit, gentiment, voyant l'empressement du diplomate.

"Êtes vous en mauvaise posture ? Si vous souhaitez des troupes, c'est que vous devez avoir des raisons... Non ?"

Comme pris sur le fait, le diplomate regarda aux alentours, puis reporta son attention lorsque Grisin repris la parole.

"Votre parole fera office d'amitié, et même si, j'en suis désolé, nous ne pouvons vous envoyer des troupes, nous pouvons vous prêter les ressources nécessaires pour en faire. Nous pouvons convenir d'un échange ou d'un prêt ? Qu'en dites vous ?"

Galarian sourit doucement.
"Ne vous inquiétez pas, pour cela, ami. Je ne prépare pas déjà la guerre, mais parfois elle intervient sans que nous le souhaitions. Pour ce qui est du pacte commercial, cela m'honore, mais ne signons pas de futiles papiers entre Elfes. La parole donnée et la parole tenue ont chez nous plus de valeur."
Puis, se penchant par-dessus la table et y aposant ses mains, il parla, tout sourire ayant disparu de son visage.
" Pourriez-vous m'accorder un prêt en or assez connséquent? Je vous laisse décider du taux de bénéfices que vous désirez en tirer lorsque je vous rendrais cette somme."

@ Mergalian [toute les dates sont RP]

Grisin élargit encore son sourit. Il prit un bout de parchemin vierge, et son livre de compte. Il demanda à un elfe de lui apporter plusieurs bourse en cuir, ainsi qu'une importante somme de pièces d'or. Il prit ensuite une
plume, et mit le papier en face de lui.

"Je suis ravi que vous acceptiez notre parole, en lieu et place d'un traité. En revanche, pour tout commerce, nous mettons par écrit toutes les transactions, pour nos archives."

Il réfléchi un instant puis se mit à écrire sous le regard de Galarian.

Citation :

Par la présente, Imladris s'engage à prêter 800 pièces d'or au seigneur Mergalian, représenté par Galarian ici présent.
Le remboursement se fera pendant les mois de Novembre, Décembre, durant lequel le seigneur Mergalian devra rembourser 450 pièce d'or par mois. De plus, d'ici à la fin du mois de Janvier de l'An 3, 250 pièces d'or
supplémentaire devront être versé à Imladris.

Lu et approuvé par Galarian, représentant d'Haral'Mh'Idan, et du seigneur Mergalian.

Grisin fini de marquer son papier avant de le montrer à Galarian.

"Voilà, j'espère que cette somme vous sera suffisante, mais nous ne pouvons vous prêter plus. Voyez vous des modalité de paiement à modifier ?"

Galarian soupira de soulagement:
"Je vous remercie, cousin des Terres de l'Ouest. Cette somme nous permettra de développer notre économie à une vitesse considérable."
Puis, se saisissant du papier:
"Je signe ici au nom de mon seigneur et ami, Margalian Desm'hola, fils d'Ethar'ar, seigneur des temps anciens."
A ces mots, il saisit la plume et y apposa sa signature.
"Je m'en repart maintenant, mais, dans deux mois, heure pour heure, je serai de retour à vos portes, la somme due entre les mains. Merci encore à vous et à votre peuple."
Et, rabattant son capuchon sur son visage, il sortit, franchit de nouveau les portes de la ville, mais dans le sens inverse cette fois, et, après avoir salué les gardes, il enfourcha son cheval au pelage brun, et partit au galop. Après quelques minutes, la pluie se mit à tomber doucement.

@ Gordor

Ëlandor était visiblement gêner par se visiteur, à la fois, suspect, mais en même temps proche de ses convictions diplomatique.

"La Paix est une chose qui n'a pas besoin d'un quelconque papier pour être officiel. Nous n'avons pas de raison de nous en prendre à vous, et encore moins de vous affirmer, notre amitié par un vulgaire papier.

Si vous souhaitez la paix, ranger donc votre papier, il n'a pas besoin d'être gaspillé, alors que je vous donne ma parole."

Prononçant sa dernière phrase avec un peu plus de fermeté, il montra clairement qu'il ne signerez aucun papier, autre que commercial.

@ Mergalian

Montant sur son cheval, Galarian oublia presque ce pourquoi il était venu. Un elfe accouru derrière son cheval, pour lui porter deux lourde bourse en cuir, qu'il acrocha à la selle. De loin Grisin lui addressait de grand signe de la main.

"Au revoir ami..."

Galarian , sur son cheval, chargé de lourdes sommes, quitter Imladris, il repris ses armes, et quitta la ville ancienne.

[Economie modifier, fais en de même, mais n'oublie pas de le préciser ici est sur ton livre de compte.]

-Je suis honoré de par vos paroles, car peux importe le bon vouloir, une amitié ne se fait pas par papier. Même si nous ne croyez pas du tout en nous, vous pouvez être sur que vous pourrez compter sur notre appui en cas d'attaque. Nous ne demandons pas la même chose de votre part, seulement nous esperions d'avoir votre confiance.

Ces paroles dit, le diplomate avait empli ses paroles de sérénité et de vérité.

un elfe se présenta a la porte de l'ambassade de la ville d'Ilmadris, joyaux d'Eriador, vu sa carrure et ses vêtements, il devait venir de Mirkwood, la foré noir.
gardes, je suis un emissaire de Syltiria et je voudrai voir sa seigneurie Galedor , et trouvez un terrain d'entente entre nos deux peuples. j'aurai également besoin d'un prés conséquent en or, fouillez moi si vous le désirer, je n'ai pas d'arme pour le moment . j'en achèterai bientôt et je serai ravi de vous les remettre. pour le moment je n'ai qu'un couteau de chasse dont je ne voudrai pas me séparer , car j'y tient énormément. puis je le garder?

il se dévoiler autant au gardes, car ne connaissant pas leur pére, on ne pouvait exclure qu'il soit fils de roi et d'ailleurs c'était des elfes, donc il n'avait aucun secret pour son peuple et ses plus proches parents.