Ambassade d'Osnim

*Ils venaient donc pour des affaires, ces hommes ne pensaient donc qu'à celà?* Pensa Lifaen.
*S'ils étaient tous comme ce Cirné, dont les 'mérites' avaient été contés dans toute la cité, il faudra s'en méfier...*

On peut dire que vous tombez bien... Nous avons effectivement plus d'une cinquantaine de tonnes de bois qui étaient inutilisés, et dons condamnés à pourrir.
Je n'ai pas les comptes exacts mais je vais demander...

Il se retourna vers un petit elfe qui se tenait derriere lui, et lui murmura quelques paroles.

Nous avons donc 80 tonnes de bois, selon nos derniers comptes à vous vendre.
Je vous propose donc 520 pièces d'or pour le tout, celà vous convient-il?

Les Hommes furent conduits dans les réserves de la cité, et , aidés par les elfes commencèrent à charger le bois dans les nombreux chariots]

[Economie modifiée]

Une fois le chargement fini, les hommes remercierent les elfes puis repartirent, une affaire rondement bien menée...

[Eco modi]

Economie modifée

Alors que l’hiver continuait à enneiger les contrées de l’Eriador de son magnifique manteau blanc, un groupe d’hommes à cheval perturba la tranquillité de la nature. Son passage rapide perturbait les animaux qui cherchaient pitance en ce moment de la journée, tandis que les traces de sabots de leur monture laisser une marque semblable à une cicatrice sur la parure immaculée de la terre.

Mais rapidement, ils arrivèrent à destination. Osnim, la cité du Seigneur elfique Lifaen était là, se dessinant de plus en plus nettement devant eux à mesure que leurs pas les rapprochaient d’elle.

Ils arrivèrent rapidement au poste de garde, et une fois leur identité donnée et leur provenance donnée, ils furent conduits à l’ambassade. Alors que leurs regards ébahis par tant de beauté, se perdaient dans la ville, ils furent bien plus surpris devant l’ambassade dont la couleur portait à croire qu’elle avait été comme recouverte elle aussi par le manteau de mère nature.
Les hommes stoppèrent alors leurs montures et le meneur seul descendit de la sienne. Il se dirigea vers l’ambassade et une fois à hauteur des gardes, il remit ses armes avant de donner le motif de sa visite.

Nobles seigneurs immortels ! Pardonnez-nous de troubler votre quiétude, mais nos seigneurs se sont entretenus sur un prêt et je viens aujourd’hui finaliser l’accord. Pourrais-je être introduit à qui de droit afin de venir faire ce pour quoi je suis ici ?

Tout en attendant la réponse de ses interlocuteurs, l’émissaire arnorien laissait son regard se perdre dans l’ambassade. Les arts des elfes enivrant comme toujours les sens des mortels…

Bien sur! nous avons étés informés de votre venue, suivez moi...

L'émissaire fut conduit dans la plus grande salle de l'ambassade.

L'arnorien, remarqua le garde, était sensible aux beautés de l'art Elfique, ce qui n'était pas le cas de tout le monde...
Ils arrivèrent enfin, Lifaen étant déjà assis s'un côté de la très longue table sculptée.

Le garde se retira et pris position derrière la porte.

Lifaen prit la parole:

Vous avez fait un long voyage, et vous devez certainement être fatigué, je serais donc bref.
Je récapitule les termes de notre accord, pour être sur qu'il n'y ai pas de problème : Un prèt de 4000 pièces d'or, en trois remboursements : un de mille pièces d'or, et deux autres de mille pièces d'or; est-ce bien cela?

Voyant l'émissaire hocher la tète, il reprit:

Nous avons déjà préparé l'or, et plusieurs elfes vous aideront a le transporter.
Avez-vous quelque chose a ajouter?

Economie modifiée

L’émissaire arnorien fut quelque peu surpris de la récapitulation Lifaen. Il se remémora les paroles de ses supérieurs afin d’être sur de ne pas se tromper et de vexer l’elfe. En effet, c’étaient les premières relations de Minas Ancalimë et d’Osnim. Aussi, valait-il mieux qu’elles se passent sans accros. Il prit alors la parole, sereinement.

Seigneur Lifaen, laissez-moi vous dire que le fait que vous me recevez personnellement, sans déléguer cette responsabilité est un geste que nous ne saurions oublier.
Cependant, une chose m’ennuie dans votre récapitulation. Il n’est nullement fait mention du remboursement des cent tonnes de bois que nous vous avons promis avec le premier versement qui aurait lieu au début du mois suivant celui qui nous arrive.

Nous aurons donc un premier versement d’un millier de pièces d’or et de cent tonnes de bois et deux autres d’un millier de pièces d’or chacun.

Les deux protagonistes signèrent le contrat notifiant les termes exacts du prêt et en prirent une copie. Puis, l’émissaire prit congé de son éminent hôte et s’en retourna auprès des siens, rapportant l’objet de sa visite.

[HRP : Eco modifiée. Merci/ Ok, tout s’est fait un peu vite, mais j’ai la permission de Lifaen et là, il est en vacances ]

Conformémant à leur promesse, des hommes de Minas Ancalimë revinrent à la date convenue avec le premier remboursement du prêt que leur avait octroyé Lifaen, Seigneur d'Osnim.

Les hommes arrivèrent avec quelques chariots, de quoi transporter la centaine de tonne de bois et les coffres contenant le millier de pièces d'or qu'ils devaient payer.
C'est ainsi que les chariots et leurs gardes arrivèrent à Osnim. Une fois au poste de garde où ils étaient attendus, ils furent orientés vers l'ambassade.

Là, ils remirent les ressources à qui de droit, s'excusant de ne pouvoir aller voir le souverain des lieux, mais ils ne voulaient nullement déranger et étaient attendus à Minas Ancalimë le plus rapidement possible.

[Eco modifiée : - 1000 pièces d'or et 100 tonnes de bois]

[HRP : Double post, mais nécessité fait loi. Economie modifiée : - 1000 pièces d'or]

Ce fut par une journée froide mais ensoleillée qu'une petite caravane accompagnée d'hommes en armes quitta la ville de Minas Ancalimë en direction du Rudaur. En effet, conformément à leur parole, les dirigeants de Minas Ancalimë envoyèrent la seconde partie du remboursement. Une jolie somme qui pourrait attirer les voleurs et les bandits de grand chemin.

Mais heureusement, il n'en fut rien et Minas Ancalimë put s'acrréditer de sa dette.

[HRP : triple post, mais faut ce qu'il faut^^ et Eco modifiée]

A nouveau, des cavaliers escortant une caravane flaquée des armoiries de Meneldor de Minas Ancalimë arrivèrent en vue de la discrète cité elfique du nord du Rhudaur. Osnim croissait au fur et à mesure de leurs pas et ceux-ci n'était pas mécontents du voyage.
Ils avaient du faire un détour par le Chemin Vert vers les Monts Brumeux pour ensuite reprendre vers le nord. En effet, les rumeurs d'une bande de bandits de grand chemin en maraude leur était parvenue et ils avaient jugé bon de ne pas risquer leurs vies inutilement.

C'est donc avec une grande joie qu'ils s'acquittèrent de leur tâche en remettant les mille dernières pièces du prêt contracté auprès du Roi Lifaen. Ce payement était accompagné d'une courte lettre.

On accorda aux deux gardes de suivre Protimold, ils furent conduits à une grande salle joliment decorée, il s'assit suite à l'invitation de l'homme qui s'était presenté à lui.

L'émissaire d'Edoras ne savait pas qui il était... Mais peu importait tant qu'il avait de l'autorité.

Merci de ce chaleureux accueil. Mon nom est Protimold, je suis envoyé ici de la part de mon seigneur pour vous demander un échange, vos forêts doivent regorger de bois, et nous en avons justement besoin, nous sommes prêt à échanger 1 tonne de bois contre 1 de fer, avantageux non ?

L'homme se tut alors et laissa le temps à son interlocuteur de réflechir à l'offre quelques secondes avant de conclure

Qu'en dites vous ?