La chaleur insoutenable du désert nous assomais les uns après les autres. Trempés de sueur, nous cherchions le mumakile perdu dans l'immensité de notre désert. Fouillant les oasis et coin d'eau nous le cherchions, sa fureur l'avait peut être mener en plein millieu du désert, si tel était le cas, nous ne retrouverons pas sa carcasse de sitôt.
Nous faisions du plus vite que nous pouvions, espèrant trouver notre monstre avant qu'une cité adverse ne nous le vol. Parcourant de nombreux kilomètres chaque jours, nous allâmes prêt des villes gondoriennes mais celà fût sans résultat. Rentrant alors à Has Adri nous fîmes rapport que la bête avait surement perit, ainsi s'arrêtèrent les recherches de la bête.
Quelques jours plus tard, une caravane marchande décrêtat avoir croisée un mumakile entre nos deux cités.
Sortant de la cité, nous parcoururent sur nos montures la route pour aller à Gobël Mirlond. Et à nôtre grande surprise nous croisâmes le monstre.
Se dernier se situait prêt de l'enclos à oliphant ou il avait toujour vécut. Quand nous arrivâmes la bête se reposait. Le cornac descendit de sa monture et s'approcha doucement de la bête. Il remarqua rapidement que sa trompe était salement amoché, en effet la blessures n'avait jamais été soigné et était désormais peut ravissante à voir. Il commença à le toucher comme les dresseurs avaient l'habitude de faire pour le mettre en confiance, la bête ne broncha pas et resta impassible. Puis se raprochant de sa tête, l'homme commença à l'escalader pour la commander. Mais la bête nerveuse d'un petit mouvement fit tomber le suderon. Ce dernier se releva, puis se dirigea plus prêt vers la trompe de l'animal. Avec l'aide des cavaliers, ils se procurèrent de l'eau et du tissus. L'homme lavait du plus doucement qu'il pouvait les blessure du mumakile, puis il enroula plusieurs dizaines de mètres de tissus autour de la trompe du monstre. Puis il hésitat à remonter sur la bête, vue son état psycologique il craignait qu'elle ne le rejete une fois de plus mais de façon violente.
L'homme restat donc plusieur jours auprès de la bête, s'occupant d'elle. Je ne pût voir dans quel condition il réussit à chevaucher l'animal, mais quelques jours après je fut envoyer avec des hommes à Gobel Mirlond, nous passames prêt de l'enclos et au loin je reconnut un mumakile dont la trompe était recouverte de tissus, au dessus de lui, une minuscule silhouette semblait le diriger...