L'ancienne cité du Nécromancien assiégée par l'Empire de l'E

TOURS 91, 92 ET 93

Inéxorablement, les envahisseurs pénétraient dans la ville, passant à côté des corps des leurs qui jonchaient le sol, parfois mêlés à ceux des ourouks qui les avaient combattus. Les rhuniens saluaient intérieurement leurs bravoure et leur sacrifice et poursuivaient leur chemin vers l'intérieur de la ville proprement dite. Les soldats continuaient de se disposer le long du mur, leurs incroyables effectifs emplissant peu à peu la ville...

[HRP : Désolé pour la longueur, mais j'ai vraiment rien à dire...]

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

Un cor sonna et les troupes s'engagerent dans la ville fouillant chacune des maisons. Celle fermée étaient enfoncer en faisant sauter les gonts aparant ou à l'anciene.

Il ne devait pas y avoir d'enemi dans le dos. C'est pourquoi Naen envoya égallement 2000 Cavalier lourds et les Wain-raiders passer la porte pour couvrir les flancs de son infanterie. Biensûr, en voyant ce beau monde bouger, le flot continu de troupe de Corps à corps stopa pour laisser la place à ce renfort lourd.

Bientôt Dol-Guldur tomberait, du moins, tous esperait que ça serait bientôt...

TOURS 94, 95 ET 96

A présent, environ 3'500 soldats étaient entrés dans la ville. Harbalétriers, archers et fantassins lourds avaient hâte d'en finir avec l'ennemi. Jugeant leur nombre suffisamment conséquent, Naen stoppa les autres troupes et envoya 2'000 cavaliers lourds et les mercenaires s'occuper de protéger les flancs. Cela leur prendrait du temps avant de pouvoir se poster sur les flancs, mais ils tachèrent de profiter de la fouille de la ville débutant, pour passer le long du mur, derrière les soldats.

La long file chevaline continuait encore et toujours à longer le mur afin d'aller se poster sur les flancs des troupes tandis que les archers gobelins tiraient encore et toujours sur les ourouks postés en tortue autour des balistes et qui n'osaient pas bouger, eux qui n'aspiraient qu'à se battre et pas à mourir comme des chiens victime des milliers de gobelins les tenant en joue.

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

La moitié des cavaliers lourds se dispersèrent derrière les fantassins et autre troupes de corps à corps les plus écartés du centre de la formation tandis que les Wain-Raiders accompagnés de l'autre moitié occupaient les flancs maintenant bien gardés.

Tous ce beau monde progressait lentement mais sûrement comme le disait un vieu proverbe oriental. La colone ne s'arretait jamais, les maisons ouvertes et inspecté par les premieres lignes, la seconde continuait jusqu'à la prochaine maison pour faire de même tandis que la troisieme ligne faisait de même avec la suivante et ainsi dessuite jusqu'à ce que la première ligne rejoigne à nouveau les Rangs.

Ce système de tour permetait ainsi une avancé constante et rapide dans la cité. Pour plus rapidement en découdre avec les chiens d'Ourouk ! -à ne pas confondre avec les Chiens d'Huruk, car ceci, est une autre histoire...-

TOURS 97, 98 ET 99

Suite au signal donné, les troupes investirent méthodiquement les habitations. Tandis que les uns défonçaient les portes, les autres y pénétraient, fouillaient et resortaient. D'autres encore, avançaient et faisait la même chose pour la seconde ligne de maison. Et ainsi de suite. Les investigations étaient sommaires et ne comportaient qu'une fouille visant à découvrir la présence de personnes dans les endroits visibles ou... savamment cachés. Mais il n'y avait rien jusqu'à présent.

Les cavaliers et wain-raiders, eux, continuaient de se positionner à leur place et tâchaient de ne pas prendre l'un des leurs sous leurs sabots.

TOURS 100, 101 ET 102

Les cavaliers et chariots étaient maintenant en position. Comme ordonné, la moitié des cavaliers s'éparpilla derrière les troupes d'infanterie tandis que le reste épaula les chariots mercenaires sur les flancs.

Ils avançaient calmement à présent, se contentant de suivre les troupes qui fouillaient à présent la septième rangée de maisons sans toujours rien trouver. La ville restait désespérément vide et silencieuse... Mais que se passait-il?

TOURS 103, 104 ET 105

Trois rangées de maison plus tard, il n'y avait toujours aucun signe des défenseurs. La tension montait d'un cran tandis que les hommes ressortaient des maisons laissées sans la moindre protection, les portes simplement fermées à clé, sans aucune barricade. Un simple coup d'épaule suffisait pour les mettre à bas et en gagner l'accès.

Le silence régnait dans la ville et dans les bois alentours. Hors de la ville, les troupes voyaient, par les deux embrasures de porte, les troupes s'enfoncer toujours plus en avant dans la cité ténébreuse.

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

La fouille continuait de plus belle et les troupes avançaient de plus en plus dans la cité sombre. Les soldats étaient maintenant rompu dans l'Art de la fouille et avançaient rapidement.

Tous se demandaient ce qu'ils faisaient, les capitaines encourageaient leur troupes comme ils le pouvaient en leur répétant que leur perte devaient être astronomique et qu'ils préferaient se retrancher sur une place forte. Cette hypothèse, surement la plus probable, rassuraient quelque peu les Rhuniens.

Tomber sur une place quasiment imprenable vallait mieux que sur une embuscade bien tendue.

Car il est toujours bon de voir tomber une place imprenable...

TOURS 106, 107 ET 108

Les coeurs rhuniens raffermis par la possibilité d'un valeureux combat contre des ennemis n'ayant plus rien à perdre, ils redoublèrent d'efforts dans la fouille des demeures ourouks-hai et Dunlendings. Les derniers hommes sortaient à présent de la treizième maison et s'apprétaient à aller fouiller la seizième quand soudain, survenant au milieu de ce silence de mort, quatre incroyables explosions retentirent aux alentours de la quinzième rangée de maisons. Deux explosions de part et d'autre de la rue principale qui soufflèrent plusieurs demeures, faisant s'envoler nombre de soldats et de débris. Les corps désarticulés retombèrent lourdement sous les yeux des survivants et des nombreuses troupes qui n'avaient pas été prises dans le souffle de l'explosion au vu de l'étendue de la ligne rhunienne.

L'incroyable phénomène ébranla les murs de la ville et les troupes postées à l'extérieur furent surprise par ce qu'il venait de se passer. D'autant plus que les seuls signes annonciateurs furent les quatre humains qui pénétraient dans les quatre maisons gardées chacune par un berserker prêt à se sacrifier pour sa cité. Mais leur cri d'avertissement s'évanouit en même temps que la mèche arrivait à son terme.

Puis, pour ne rien arranger, les archers gobelins postés sur les murs purent voir des ourouks et des hommes de Dun arriver depuis les deux côtés de l'entre deux murs. La véritable raison pour laquelle les troupes ne rencontraient aucune résistance dans la cité était enfin évidente! Heureusement, la position surélevée des gobelins permettait de ne pas être surpris par cette manoeuvre. Mais la centaine de mètre séparant les ourouks de la porte pouvait être rapidement parcourue...

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

Les Estafettes, vites averties, purent informer toutes les troupes du danger. Les troupes qui se commençaient à entrer dans la ville commencèrent à se rassembler autour des portes à l'exterieur de l'entre mur et à se préparer à les acceuillirs gràce à la combinaisons bien connue d'Infanterie lourde/fantassins coupler avec les hallebardes. En haut, les gobelins tirraient sans discontinuitée dans la masse des Ourouks et Dunlendings.

Leur flèches tombaient et faisaient tomber, mais à leur coté, vint s'ajouter les milliers de flèches Rhunienes des Archers qui venaient de recevoir pour ordre de tirer dans l'entre mur, Antre de ces Damnés... Ce déluge de flèche reprenant, nombreux Ourouks et homme de Dun ne pensant pas à se protéger dans leur charge folle tomberaient.

Les troupes déjà à l'interieur de la ville reçurent de nouveaux ordres, les unités de cavaleries devaient rejoindre les autre portes le plus vite possible en éliminant toute forme de résistance afin de prendre l'enemi à revers tandis que les fantassins devaient dorénavant courir pour s'étendre dans la cité plus rapidement.

Les troupes encore proche des Murs entreprirent alors d'envoyer les archers répartis au milieu d'eux sur le Mur pour pouvoir tirer en toute sécuritée. Les fantassins quand à eux, rassembler de nombreux objets à jeter par dessus les murailles et certains s'activaient à chercher l'huile destinée à être lancé sur les assaillants qui ne devait se trouver loin des murs, ce fait, ils s'empresseraient alors de l'apporter en haut pour qu'elle accomplisse son devoir.

TOURS 109, 110 ET 111

Estafette un jour, estafette toujours! Tel était l'un des plus courants dictons rhuniens qui devait prendre naissance après cette bataille, tant le travail des estafettes avait été important et leur rôle prépondérant dans la tenue de ce combat.
Les estafettes se mirent donc à transmettre les informations aux capitaines qui agirent en conséquence. Ainsi, les troupes ayant pénétré dans la ville sans être prises dans l'explosion se mirent à foncer vers la porte intérieure afin de la bloquer. Ils y seraient bientôt.
A l'opposé, les troupes postées à l'extérieur de la ville se mirent à bloquer l'entrée de celle-ci. La disposition était toujours la même : hallebardiers et fantassins lourds.

Les archers prirent autant que possible place sur les murs intérieur mais tombèrent nez à nez avec les ourouks postés autour des balistes que les gobelins avaient délaissés pour se concentrer sur les nouveaux arrivant. Les déplacements étaient mal aisés et seuls deux ou trois ourouks bloquaient chaque accès au mur autour des portes, leurs lames perçant les corps des archers rhuniens. Mais ces pertes étaient bien peu de chose par rapport à celles causées par le déluge de traits rhuniens et gobelins dans l'antre-deux murs. Les troupes ennemis avaient accéléré autant que possible et nombreuses étaient les vies perdues durant cette charge. Ils seraient bientôt face aux envahisseurs, mais les corps jonchant le sol entravaient leur course. Aussi, ceux qui le pouvaient, grimpaient sur les escaliers du mur extérieur afin de foncer droit sur les gobelins et les quelques troupes de lourdes postées.

Enfin, les cavaliers et chariots filèrent vers les autres portes, afin de s'occuper des retardataires.

Le combat était proche et allait engager un nombre important de troupes tandis que les blessés étaient laissés dans les décombres et que les troupes de l'avant garde s'enfonçaient dans la ville en reconnaissance.

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

Les soldats Rhuniens s'étaient légerement reculé par rapport au seuil des portes pour avoir à affronter un nombre réduit d'enemi simultanément. Du haut des murailles pleuvaient flèche et bientôt objet en tout genre. Des fantassins, voyant que les archers avaient du mal à faire entendre raison aux Ourouks des remparts allerent boté le cul à ces cul terreux et ainsi les transformer rapidement en Cul de jatte. Un texte pour une futur chanson rhuniene peut être...

Dans la ville, les troupes s'activaient pour faire les taches assignées. Les Fantassins pénétrant toujours plus loin dans la ville et les unités de Cavaleries se dépéchant d'aller aux portes de derrière.

Les Flèches continuaient de pleuvoir dans tout l'Entre mur entierement occupé par les enemis. Une consigne éclair fusait parmis tous. Interdiction de tenter une percée pour s'aventurer dans l'Antre ou Entre -cela dépendais du sens donné- à moins que vous ne teniez à vous retrouver épinglé comme des mouettes sur une poutre !

Comparaison un peu douteuse sur son utilitée mais totalement clair sur son origine... Les soldats de Riavod donnait du baume au coeur à l'armée Mistrandiene.

TOURS 112, 113 ET 114

Dans la ville, loin des combats, les fantassins avaient laissés en place leurs confrères blessés parmi les décombres et se dépêchaient de visiter la ville, fouillant systématiquement les petites places et les rues aussi rapidement et complètement (NDLR : je sais pas si ça se dit, mais c'est dans le sens "sans rien omettre")que ne l'aurait fait un fleuve en crue. Méthodiquement, tout était passé au crible, mais sans perdre trop de temps.

Les fantassins entendaient le bruit des sabots des unités de cavalerie résonnant dans la ville morte. Ce bruit diminuait au fil du temps, signe que les cavaliers devaient se rapprocher des portes.

Au niveau de l'entre mur, les troupes s'activaient : les unités de corps à corps reculèrent légèrement pour s'abriter dans le petit couloir des portes afin de diminuer l'afflux de troupes ennemies et de les laisser subir plus longtemps le déluge de traits. Les Ourouks ne subissaient pas trop de perte, à cause de leur lourde armure et des boucliers qu'ils plaçaient au dessus de leur tête. Mais les Dunlendings payaient chèrement la pauvreté de leur équipement et ils s'écroulaient souvent.
Au niveau des portes, les Rhuniens tenaient le coup, tout comme sur les murs où des fantassins prirent la place des archers pour s'occuper des Ourouks restés en faction.

A quelques mètres de là, les hommes envoyés fouiller les maisons ricanaient : amassant huile et objets en tout genre, ils allaient bientôt organiser un grand banquet pour leurs hôtes. Décidément, de grands invités prévenant ces Rhuniens!

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

OUAI !! FAISONS TOUT CRÂMER ! WHAAAAAAAA !!

Chef ! Y'a Ruiki qui fout encore le bordel avec ses instinct de piromane là !

Le capitaine qui était occuper à galvaniser ses troupes se battant prés de la porte ne pu retenir quelques mots à l'encontre de ce malheureux.

C'est ça envoyé le sur les murailles avec l'attiraile, au moins on l'entendra plus, et il pourra s'occuper de ces sales chiens comme ils le méritent ! Va leur crâmer la Peau du Cul et ramene la nous !

Un petite Rire collectif s'engagea lorsque tout le monde vit le "Ruiki" en question repartir boudant comme un gosse, alors que le combat faisait toujours rage prés de la porte monopolisant toute la concentration des capitaines. C'est alors que plusieurs personnes portant l'huile, avec en tête le Pyromane débileux de Ruiki, se rendirent en trotinant vers le bas des murailles en chantonnant pour remplir sa tache une fois la voie dégager par les fantassins.

ET ON LEUR PELERA LE JONC COMME A CES ELFES BIEN CRETINS !

Et, tout surprenant qu'il soit, d'autre reprenant la chanson dans un mouvement général pour donner du baume au coeur au troupes... Enfin, surtout pour éviter de penser que dans quelque seconde ils allaient se retrouver face à des bêtes enragés en première ligne.

Qu'on a pendu un beau matin !
Qu'on a penduuuuuuuuuu avec ses triiii i peuh !

Même si la chanson n'était pas très gaie en elle même, elle devait rappeler le son de la victoire des Rhuniens sur les Elfes. Et celà méritait bien de figurer sur le champ de bataille lors d'âpres combat.

Pendant ce temps, en haut des murs, le combat faisait toujours rage face aux Ourouks, les fantassins occupaient ces engeances tandis que les archers, essayaient tant bien que mal de se rendre utile. En plantant une flèche bien placé dans la face d'un enemi par éxemple. Le but était de dégager rapidement une voie pour que l'huile puisse remplir son affaire.

Dans la ville, les troupes allaient bon trein et ne rencontraient aucune résistance. La faute à l'attaque surprise par l'entre mur mais celà leur allait.

Sur la Muraille Exterieur, les Gobelins, voyant une masse confuse d'Ourouk leur tourner le dos pour faire face aux fantassins montant les Escaliers sur le deuxième mur, tirerent alors dans le tas pour en toucher un maximum et ainsi, soulager la tache des fantassins.

Sur cette même muraille, les troupes d'élite Rhuniene laisser en position recommençaient à se battre dans leur position favorite pour faire face aux Ourouks qui avait commencé à monter les escaliers pour prendre position sur le mur.

TOURS 115, 116 ET 117

La résistance des ourouks des murailles, bien que vaillante, fut futile. En effet, rapidement éliminés par les archers et les fantassins, au prix de plusieurs vies, ils laissèrent la place libre pour que l'on se mette à acheminer les stocks d'huile et autres brols vers le mur puis, à l'abri du parapet, à tout balancer sur les pauvres ennemis. Mais encore fallait-il les y amener, ce qui prendrait un peu de temps.

Dans l'entre murs, la pluie de trait continuait de faire son contingent de victimes et diminuait ainsi le nombre de troupes que les unités d'infanterie tenant les portes auraient à affronter. Surtout qu'elles tenaient assez bien le choc... pour l'instant.

Dans la ville, on continuait les fouilles, tandis qu'on entendait plus le son des cavaliers et chariots, certainement déjà loin...

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

Du coté des Chariots et cavalier, une formation spéciale serait addoptée, en effet, les charriots occuperaient toute la largeur de l'entre mur en laissant un passage assez conséquand au milieu que les cavaliers occuperaient.

En Haut des Murs on entendait quelque folle chanson toujours, des Sauts d'Huiles étaient gardé tandis que le plus gros était alors lancé en masse sur la masse Ourouks de façon assez répartie pour qu'un maximum d'enemi soit toucher. Une fois fait, les Archers ayant pris place lancerait des flèches enflammées dans la masse ainsi que les Sauts d'Huilles que l'on aurait préalablement enflammé.

Un bon Barbeuc s'annonçait alors que les Ourouks étaient contenu dans ce petit espace...

TOURS 118, 119 ET 120

Les cavaliers, dès qu'ils passeraient les portes et entreraient dans l'entre murs, adopteraient une formation accès sur la vitesse et la puissance de combat. Mais les troupes fouillant la ville n'avaient aucune nouvelle d'eux, se demandant où ils en étaient.

Tandis que les combats des portes continuaient et que les sempiternelles volées de flèches continuaient de tomber, diminuant rapidement les troupes ennemies, plusieurs barils ou autres contenants d'huile furent lancés sur les troupes à portée du mur intérieur. Tentant de répandre cela du mieux qu'ils pourraient, les défenseurs s'appliquaient à répandre cela de manière homogène. Alors que les ourouks et dunlendings se dépêtraient des débris et des flaques d'huile, les archers enflammèrent leurs flèches avec de l'étoupe et mirent le feu à cette huile. D'immenses flammes se mirent alors à brûler, profitant des corps jonchant le sol et des débris du combat précédent, les chariots des wainraiders formant de parfaits combustibles.

La panique s'empara peu à peu de la foule qui tentait de refluer vers la sortie mais ne pouvait pas, prise au piège par les autres troupes... Le massacre continuait.

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

SONNEZ LES CORS QUE CES CHIENS PRENNENT PEUR !

Tout ceux qui le purent sonnèrent alors leur cors à l'unisson dans cette bataille déchainé. Les fantassins continuaient de refluer les ennemis tandis que du haut des murs les Archers remplissaient leur rôle à merveille. Bientôt, les Wain-raiders et la Cavalerie déferleraient dans le Coridor pour enfin prendre ce monde en Mechoui géant (-et non pas sandwich-).

Dans la ville, les fantassins progressaient toujours tandis que les cavaliers, où qu'ils soient, continuaient leur tache.

TOURS 121, 122 ET 123

A l'ordre de Naen, les cors de toute l'armée sonnèrent, provoquant un vacarme encore plus assourdissant que celui de la bataille. Tandis que ce bruit résonnait dans toute la partie sud de Mirkwood, les archers et fantassins du mur intérieur se mirent à continuer de lancer de l'huile et des débris en tout genre pour enflammer les troupes ennemies.

La rage et la peur croissantes dans les rangs autochtones, les rhuniens aux portes furent surpris par un surplus de vigueur et de force. Acculés, les Ourouks et Dunlendings étaient mûs par l'énergie du désespoir et se mirent à pousser plus fort et à combattre de manière plus violente. Les pertes rhuniennes, bien que compensées, devenaient de plus en plus conséquentes. Mais heureusement, le massacre continuait dans l'entre mur et serait bientôt terminé.

Mais toujours aucun signe des cavaliers...

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

Les Fantassins avaient un peu plus de mal à contenir les Ourouks maintenant affolé mais ils devaient tenir jusqu'à l'arrivé de la calaverie et des Charriots.
Sur les murs, on s'activait à soulager les fantassins en lanssant tout ce qui pouvait l'être, S'il restait de l'huile, ou bien tout autre objet contondant. Banc, table, Corps Ourouk.

Les archers eux, tentaient de tuer un maximum de Dolguldurien.

L'arrivé des Cavaliers étaient tant attendue... Il fallait qu'elle arrive rapidement si Naen voulait évité un nouveau combat très couteux en vie humaine.

Dans la cité, les hommes avançait encore, aucune résistance visible, tous ce doutaient que le maximum des troupes enemis se trouvait dans l'entre mur mais il fallait s'en assurer...

TOURS 124, 125 ET 126

La cité restait étonnement calme, les fouilles ne donnaient rien et peu à peu les soldats se disaient que seul l'entre mur était utilisé par les soldats ennemis. Mais ils continuaient leur mission avec zêle.

Sur les murs, les rhuniens sortirent alors leur arme secrète. La plus puissante invention du Rhun serait utilisée lors de cette bataille pour apporter le coup de grâce à l'ennemi. Plus solide que l'acier Mistrandien. Plus incroyable que les bombes isengardiennes. Plus puissant que les armées pharaoniques de Minas Ancalimë (sisi xD), ils firent appel à ... la pierre de sucre! Une puissance phénoménale contenue dans un petit volume. Tous les rhuniens en prirent une et, tel un Popeye et ses épinards, furent rechargés d'énergie. Ils purent dès lors soulever et lancer portes et autres meubles voir même des voitures de l'époque, les charettes, s'ils avaient fait le plein de pates avant de venir. Et donc, c'est sous un déluge de traits, meubles, huile enflammée et même cadavres ourouks que les combattants ennemis tachaient de survivre.

Peu à peu, la situation se fit de plus en plus calme : les effectifs ennemis diminuaient. Mais aux portes, les ourouks continuaient d'enfoncer peu à peu la défense.

Et toujours aucun signe de la cavalerie...

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

Et oui, chaque Rhunien avait reçu une éducation dans l'Art et la Manière de renforcer son corps et son Esprit. En réalité, il s'agissait la d'une dérivasion d'un cours sur la botanique et la géologie mis en pratique. Une savante et merveilleuse application qui leur permetaient maintenant de compter un avantage certains sur leur enemi. Ou tout du moins, certains le pensait, et comme chacun le sait, rien de tel que d'être persuader d'une chose pour faire des miracles à partir de celle-ci.

Ainsi, le combat continuait avec rage en attandant la fin avec l'arrivée des Cavaliers. Du moins tous esperaient la délivrance le plus tôt possible et que les Cavaliers se hataient de venir ici. Voyant les troupes peiner aux portes, l'ordre fût donner de concentrer les tirs sur cette région pour soulager les troupes. Car, comme chacun le sait, avec une flèche dans la jugulaire, dans l'oeil ou dans le ***, on se bat beaucoup moins bien.

A l'interieur de la cité, le calme reignait, les fantassins continuaient d'avancer calmement mais sûrement.

TOURS 127, 128 ET 129

"Une flèche dans la jugulaire, ça aussi ça marche." Tel était le dicton gondorien qui se révêla tout à fait à propos en ce sombre jour. Les rhuniens continuaient de tirer sur leurs ennemis et de leurs envoyer des huiles ou des présents... tout en invités prévenants. De plus en plus d'Ourouks et de Dunlendings furent tués. Ils n'étaient plus très nombreux et à présents, attroupés autour des défenseurs rhuniens. Ils étaient pris à parti par les archers gobelins et archers rhuniens du mur intérieur.

Toujours aucun signe des cavaliers alors que les soldats fantassins continuaient de fouiller la ville.

Nombre de messages : 2770 ~ Fiche ~ ~: Orque ~:

TENEZ BON ! N'ENTENDEZ VOUS PAS LE CLAIRON QUI RESONNE !? N'ENTENDEZ VOUS PAS LE GALOT DE NOS COMPAGNONS D'ARME QUI ARRIVENT ? N'ENTENDEZ VOUS PAS LE GLAS DE NOS ENNEMIS !?

EN AVANT ! POUR LA VICTOIRE !

Les capitaines et généraux Rhuniens, dans les moments Oportuns, savent parfaitement trouver les mots justes pour gonfler les coeurs de courage. Les hommes ainsi galvanisé par ces encouragements devaient résister jusqu'à l'arrivée des troupes de Cavalerie.

Les archers envoyaient des traits bien placés sur les Ourouks guetant l'arrivée du coin de l'oeil des Cavaliers pour faire signe à la masse de stoper les tirs. Les capitaines envoyaient des ordres pour remonter le moral. Les Fantassins envoyaient des coups d'épée pour tuer les Ourouks. Les Généraux envoyaient des prieres muettes.

"Faites qu'elles arrivent..."

TOURS 130, 131 ET 132

Les Ourouks-hai étaient seuls désormais. Pas un seul Dunlending ne se tenait encore debout. Les derniers agonisaient sur le sol jonché de cadavres et inondé de sang. Aux portes, les derniers combats se poursuivaient quand soudain, les estafettes signalèrent l'arrivée des cavaliers et des mercenaires engagés pour la bataille. Aussitôt, comme ordonné avant la bataille, les troupes de tir à distance stoppèrent la pluie de traits et bientôt, l'on entendit plus que les sabots percutant le sol et le fracas des armes des combattants aux portes. Aucun Ourouk-Haï ne comptait se rendre. De toute façon, les Rhuniens ne leur aurait pas accordé la vie sauve. Mais eux ne semblaient pas avoir entendu la cavalerie.

Quand celle-ci débarqua, elle semblait meurtrie et bien moins nombreuse que ce qu'elle aurait du être. Quand aux mercenaires, ils étaient tout au plus une quinzaine de chariots. Mais la surprise des défenseurs fut grande. Les Rhuniens ne comprirent rien mais ne cherchèrent pas à comprendre. Ils lancèrent l'assaut et annihilèrent toute opposition.

Une nouvelle fois l'entre-deux mur était nettoyé. Une nouvelle fois, ils en étaient maîtres. Et la ville redevint à nouveau silencieuse alors que tout était fouillé, sans résultat.