L'ancienne cité du Nécromancien assiégée par l'Empire de l'E

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Naen n'avait pas prévu de passer comme ça, mais si ça marchait... Le reste importait peu...

Toutes les troupes éxécutait patiemment les ordres... Elles savaient que bientôt la tactique serait prométeuses. Les Wain-raiders se mettaient patiemment en place pour que rapidement ils puissent se déverser dans l'embouchure de la porte juste aprés les trolls porteur des béliers...

L'Odeur de la peur se faisait sentir à chaque martellement de bélier qui sonnait comme un glas sur la ville de Dol Guldur...

Une chanson oriental vint alors à l'esprit de Naen qui commença à la chantonner... Les hommes autours de lui sourierent alors en entendant ces murmures mélodieux.

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Une pupille noir, entouré de gris, c'est le visage hideux de girbsgris.
Le regard vers le mur, il se sent kikitoudur.
Siuté a quelque pas des résistant, il a faim le pauvre enfant...
Ouai les gobelins on faim de combat!!!

Les trolls s'activaient a enfoncer la porte, lentement mais surement, les gobelins leur lancaient des cri d'encouragement, des vrai cette fois, les morceau de viande écrabouilléent qui était leurs anciens camarade leur avait fait comprendre qu'emmerder un troll c'est rarement payant.
Sauf les chef avec l'arme ultime pour dresser le troll, le fouet! Et la un troll lechait son arbre, plein de viande gobelinne, au lieu de frapper.

"Hey toi gros tas de graisse! Frappe la porte s'pas l'heure de manger!"

Pendant ce temps les archers continuait de faire pleuvoir la mort sur les ennemis, enfin il le croyait dur comme fer...Ou dur comme bois...argile?

TOURS 25, 26 ET 27

Les six trolls manieurs de béliers continuaient de frapper violemment leur arme de fortune contre la porte. Leurs immenses pieds raclaient le sol et y créaient des nids depoules parfois impressionnant. Ils glissaient parfois, mais continuaient de frapper, au son du fouet de leur chef.
Derrière, les chariots des wainraiders, les chevaliers lourds de Mistrand et le reste des trolls attendaient patiemment (enfin, pour les deux premiers, les trolls...) que la porte s'ouvre pour y entrer.
Au-dessus d'eux, les archers, tant humains que gobelins, continuaient de faire pleuvoir la mort sur leurs infortunés ennemis qui avaient été tout heureux de ne pas voir de pluie le jour de la bataille. Puis, au bout de deux volées, les portes de la villes s'ouvrirent enfin avec fracas!

Les guerriers de Mistrand hurlèrent leur joie. Le bruit fut tel que les derniers volatiles des environs qui n'avaient pas fuit auparavant, s'envolèrent dans un flot de plumes et de piaillements divers. Les premiers trolls lâchèrent alors leurs béliers de fortune et foncèrent droit dans le tas, suivis par les chariots, les cavaliers et les autres trolls.
Dans la ville, malgré le feu ennemi, les ordres avaient été donné de réaliser un certain repli stratégique. Pas énormément de temps au vu de tous ces tirs, mais les seigneurs de Dol Guldur privilégiaient la victoire au sacrifice des troupes. Dès lors, nombreux furent les arbalétriers à avoir reculé, tandis que les fantassins s'étaient réunis en énorme bloc. Environ 2'000 d'entre-eux faisaient face à Mistrand et aux Gobelins. Mais juste avant que le choc ne se passe, les balistes vomirent leurs puissants carreaux sur les nouveaux venus, en signe d'hospitalité. En effet, il fallait être idiot pour ne pas comprendre que les tambourinements à la porte étaient signe d'une gentille visite de courtoisie.
C'est ainsi que deux trolls furent littérallement empalés, détruisant trois chariots wainraiders. Une dizaine d'autres chariots furent détruits soit via les balistes, soit via le carambolage qui s'en suivit et un nouveau troll perdit la vie quand les cavaliers esquivèrent adroitement un carreau.
Un joli carton et une belle pagaille qui empêchait tout mouvement fluide. Les fantassins ourouks, eux, se pourléchaient déjà les babines, prêt à commettre un énorme carnage...

Les archers durent stopper leur tir, sachant pertinemment qu'ils causeraient la mort de leurs propres troupes. Il n'y eu donc que les deux salves précédent l'ouverture de la porte.

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Enfin l'ouverture tan attendue!!! Mais apparement sa semblais mal la, le chef gob' réagit plutot vite pour un mou du bulbe de la race gobeline.

"Hey carcasse de viande moisie!Ouai toi le troll! va avec tes copain et balancer les gravat qui encombre le passage sur les mec d'en face, défoncer les!!! Grouillez vous plus vite la voie sera libre plus vite vous irez frapper ceux d'en face."

Les archers eux avait compris qu'ils devaient tirer loin de la porte enfin plus derriere, pour ne pas blesser leurs allié combattant au corps a corps, les trolls eux començait a se servir des gravats pour les lancer sur les ourouk, et déblayer le chemin en meme temps.

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Naen donna vivement l'ordre aux archers de tirer sur les balistes du deuxieme mur pour empecher que ce facheux incident ne se reproduise... Une fois la voie fluidifier par le passage des trolls, le cour normal des choses reprendrait... Les wain-raiders se déverseront tranchant tout ce qui n'est pas gobelins ou rhuniens...

Continuant de chantonner, Naen ne semblait pas pertuber par la tournure des evenements...

TOURS 28, 29 ET 30

L'entrée des troupes assiégeante n'avait pas été des plus efficaces. Naen ordonna alors à ses archers de viser les balistes ennemies et d'ainsi les empêcher de tirer. De son côté, le général gobelin ordonna aux trolls de tout dégager de la manière qui leur allait le mieux : tout bazarder!
Ainsi les ordres furent transmis et les troupes s'activèrent : les tirs des archers filèrent vers les balistes, mais les ourouks eurent le temps de tirer une fois avant de se prémunir du mieux qu'ils pouvaient contre la pluie de flèches. Certains se mirent même à former des tortues pour défendre les balistes et continuer les tirs. Cela avait l'avantage de permettre un tir, mais pas de recalibrer véritablement la baliste... encore que l'équipement du carreau se révêlait un exercice des plus compliqués!
Ainsi, une salve eut le temps de partir et fonça sur les trolls et chariots qui tentaient de tout dégager. A nouveau, trois trolls mordirent la poussière et une dizaine de chariots furent mis hors d'état. Les chevaux paniquaient et la présence du dernier troll de l'avant-garde n'arrangeait rien. Présentant le moment d'entrer en action, les ourouks se mirent à avancer en encerclant les premiers entrés dans la ville. L'accueil s'annonçait chaleureux.

Derrière, les autres trolls tentaient de déblayer un peu, mais la présence des cavaliers lourds devant eux les empêcher de se bouger.

Et enfin, les balistes se turent. Même si certaines auraient pu tirer, la proximité des ourouks les en empêcher. Au pire, ils lâcheraient leurs traits si la situation dégénérait. Là, ils prenaient leur mal en patience et admiraient le spectacle. Car du spectacle, il y en avait : les chariots immobilisés offraient des humains en proies faciles au ourouks. Les chevaux étaient plus compliqués à éliminer, la terreur les rendant imprévisible, tout comme le troll qui frappait de gauche à droite avec sa massue.
Mais les ourouks n'étaient pas en reste et fauchaient de nombreuses vies et commençaient à lachérer le troll et à le blesser.

Une bataille incroyable dans un si petit espace. Par dessus le fracas des armes, un bruit se fit entendre : la porte du second mur s'ouvrit. Qu'allait-il se passer? Retraite? Renfort?

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Que les Infanteries lourdes remontent sur les murs par les tours et qu'ils attaquent les Ourouks !

Que les archers les plus proche attaquent les balistes tandis que ceux éloignés tirent entre les murs en évitant les alentours de la porte !

Donnez l'ordre aux wain-Raiders de ne plus rentrer, faites avancer la premiere ligne d'hallebardiers pour qu'elle rentre dans la cité ! Formation de combat à distance avec les hallebardes !

Ne faiblissez pas ! Ils jouent leur dernier atout, quoi qu'il puisse sortir de ces portes, n'ayez pas peur, ne craignez rien, ils déferlent l'orage sur nos têtes car ils ont peur de l'acier de nos épées. Mais quand plus aucun éclair de surprise n'illuminera leurs morals, nous dégainerons nos armes et les tuerons sans aucune pitier !

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"Gniaaaaaaaaaaaaaah!!! Archers montez la ou les tours sont cassées et tirer sur les ennemis de la haut, et les trouffions vous montez les couvrir, au cas ou..."

S'activant aux ordres du chef, les gobelins se dépechaient de rejoindre les positions indiquée, regardant d'un oeil asser interessé le carnage de la porte, beaucoup de viande...

TOURS 31, 32 ET 33

Ainsi, une fois encore, Naen et Flaich réagirent en conséquence face à une situation qui ne leur était pas favorable. Dès lors, les infanteries lourdes remontèrent dans les tours de siège et les gobelins filèrent sur les murs pour aller canarder les fantassins présent en bas.
Les archers rhuniens, visèrent, en deux salves successives, les zones désirées par Naen.

Quand aux hallebardiers et fantassins à haches, ils avancèrent vers la porte alors que les chariots n'étant pas encore entrés, s'éloignaient de celle-ci.

Au niveau de la porte, le troll fut mis à terre et le massacre continuait. Les ourouks n'étant pas au combat frappait leur bouclier de leur épée puis se mirent à s'en couvrir la tête lorsque les flèches se mirent à tomber. Une partie se dirigea alors vers les escaliers pour gagner les murs et attendre les fantassins lourds.
De l'autre porte, venait deux tortues ourouks hai. Ensuite, elles se mirent à se refermer doucement.

Naen voyait ses troupes prises au piège se faire allègrement massacrer tandis que les renforts arrivaient face à une masse de chariots détruits, corps de mercenaires et cadavres de trolls et chevaux. Le combat à la porte ne serait pas aisé...

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Les hallebardiers se mélengerent avec les fantassins lourds pour bénéficier de la protection de leur bouclier. Une formation phalange était adopté pour maintenir les Ourouks à porté tout en les empallant tandis qu'ils se protegeraient de la pluie de flèche qui continuait...

En haut, les fantassins lourds se massait et s'atendait pour former une masse compacte prêt à descendre. Cependant, ils se demandaient tous comment les Ourouks avaient pu deviner qu'ils attaqueraient par là... Cependant, rien n'entamer le moral des troupes. Se battre aux Corps à Corps, d'Homme à Ourouk, était ce qu'ils préféraient...

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La bataille a la porte semblait dure mais les archers profitaient de la hauteur pour tirer sur les ennemis en ayant moins de risque de toucher leurs allié, les gobelins sans arcs eux étaient en défense devant les acces possible ou pourraient passer les ourouks, ainsi qu'une vingtaine d'archer par acces pret a trouer le premier ourouk qui montrerai son nez.

"Archers visez les arbaletrier en priorité! S'il ne peuvent plus vous tirez dessus vous aurez un avatanges! Que les trolls restant se préapre pour entrer dans la melée que le jugera utile le seigneur Naen, ses troupes son déja la bas, je ne veux pas risquer que les trolls les bousillent aussi..."

Non ce n'était pas de la compassion, ou autre sentiment similaire, seulement de la peur d'avoir des réprimande de l'empire de l'est surement le plus dangeruex a l'heure actuelle.

TOURS 34, 35 ET 36

Les wainraiders s'étaient totalement retirés du chemin, tout comme les cavaliers lourds. Seuls les trolls restaient à porté de voix au cas où il faudrait du lourd. Les hallebardiers de la première ligne firent alors leur entrée dans la danse. Leurs longues armes happant les muscles de leurs ennemis avec une grande facilité, tant la dextérité de leurs manieurs était grande. La formation de phalange offrait une réelle protection, mais comme toute lance, une hallebarde plantée dans un corps ou attrapée au niveau de sa hampe par un ourouk, perdait ses avantages et il n'était pas rare de voir un des habitants de Dol Guldur infiltrer la garde des phalanges et massacrer plusieurs humains avant de trouver lui-même la mort.

Le combat semblait équilibré, avec un léger avantage pour les ourouks, plus puissants.
Sur les murs, les gobelins prenaient possession des chemins d'accès, guerriers devant, archers juste derrière. Le reste des archers restaient sur les murs avec les infanteries lourdes. Les tirs gobelins visaient la masse et les ourouks des escaliers, mais faisaient des dégâts seulement dans la masse. En effet, les soldats des escaliers se protégeaient plus efficacement de leur bouclier et commençaient à engager les gobelins qu'ils massacraient à tour de bras.
Mais quand vint le moment de les opposer à l'élite du Rhun, les combats s'équilibrèrent, avec un léger avantage pour les humains qui étaient en position supérieure.

Alors que la pluie de flèche continuait son macabre office, les deux tortues arrivèrent enfin prêt de la porte, à quelques pas des hallebardiers. Là, elles laissèrent place à ce qu'elles renfermaient : quatre berserkers dont les muscles saillant et les gigantesques lames ne laissaient rien présager. La surprise, mais aussi et surtout leurs aptitudes et leur puissance brisèrent les hallebardes et finalement, les hommes qui les tenaient, à l'aide des nombreux moulinets qu'ils réalisaient avec leurs épées.
Une nouvelle fois, les alentours de la porte étaient sous l'influence des autochtones et les envahisseurs ne pouvaient que constater leur impuissance. Peut-être les combats des murs leur permettraient-ils de retourner la vapeur?

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LACHEZ LES TROLLS !

L'ordre avait claqués, net, comme un fouet, un fouet qui claqua réellement peu aprés pour faire courir les brutes de cinq-cent kilos de muscles et de bestialitée... Lacher à pleine vitesse, ceux-ci foncerent droit vers les allentours de la porte.

CLAC !

Les trolls s'arrêtent aux niveaux des arbres débités et arracherent les branches les plus grosses qu'ils purent trouver pour s'en servir comme gourdins... Ils fendirent l'air pour tester leur armes de fortune et semblerent ravis...

CLAC !

Nouveau coup de fouet, les bestioles se mirent en branle, les hallebardiers en formations devant la porte ne purent que s'écarter en se compressant rapidement sur les cotés pour laisser passer les bêtes de combat.

CLAC !

Re-coup de fouet pour remetre en marche ces machines porteuses de mort... Celles-ci s'étant arrêter pour admirer un cadavre de troll cloué par un trait de baliste gisant un peu plus loin... L'un d'eux grogna sous le poid de la rage qui s'empara de lui. Tuer un compagnon, c'était inadmissible, surtout pour cette espece habitué à être au sommet de la chaine alimentaire et donc peu habitué à voir leur congénère mourir...

POUFM !

Les trolls fraperent sans se soucier de ce qu'il y avait autour. Ils fraperent les quatres petits curedents qui n'arretaient pas de gesticuler agités par quatres bestioles a peine plus grande qu'un homme ou du moins essayerent tout en évitant qu'ils ne plante leur pointe aiguisée dans leur corps auquels ils tenaient tout de même un tant soit peu...

Derriere, les hallebardiers se remirent en position pour aller aider les bêtes sans se prendre un coup mal placé tandis que d'en haut, les flèches continuaient de pleuvoir, toute d'un noir de jaie...

Sur les murailles, les Infanteries lourdes, voyant leur allier en danger de mort constant, allerent se porter à niveau des Ourouks encore non engager dans un combat d'un niveau plus hardu que celui contre les gobelins.

TOURS 37, 38 ET 39

Les trolls furent alors envoyé pour tenter d'enfin faire pencher la balance dans le camp des envahisseurs. L'empire de l'Est semblait avoir fait un choix judicieux en s'alliant avec les gobelins. En effet, ceux -ci leur fournissaient des trolls, puissants fers de lances qui tenteraient de rivaliser avec les berserkers, ainsi que les archers d'élites, occupés à décimer les ourouks fantassins présents dans l'entre-deux murs.

A leurs côtés, les rassurantes unités d'infanteries lourdes continuaient de combattre les ourouks haï qui reculaient peu à peu dans les escaliers.

Près de la porte, par contre, les trolls avaient oscis quelques ourouks, mais étaient rapidement venus à affronter les berserkers. Ceux-ci, équipés de lames aiguisées comme des rasoirs parvenaient à écorcher les trolls, mais avaient du mal à passer leur garde suffisamment longtemps pour les blesser mortellement. Les trolls faisaient montre de toute leur bestialité et enfin, parvenaient à ramener de l'espoir dans les esprits rhuniens. Ils faisaient jeu égal avec les berserkers et l'un des trolls parvint, d'un coup adroit, a envoyer valdinguer l'un des monstres ourouk hai, le blessant sévèrement. Le berserker se releva et retourna à l'assaut, ne sentant pas la douleur mais ayant du mal à respirer. Rapidement, deux trolls prirent l'ascendant sur lui et l'étripèrent, tandis qu'un de leurs camarades tombait sous les coups adroits d'un des compagnons de la précédente victime.

Et ceci, toujours sous les tirs des archers rhuniens...

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Les trolls voyait leur énemi tomber et dans le même temps, leur compagnon... Un enorme cri de rage s'éleva alors et un éclair de génie traversa leur petit cerveau avec deux neurones à l'interieur. Il semblait que, seul, un trolls ne vallait pas une ptite bête comme celle qui agittait le cure dent. Mais deux, voir trois, viendrait facilement à bout...

Ils déciderent donc de se regrouper en deux groupes pour mieux attaquer ces ptites bestioles qui n'était pas sans défences...

Tandis que l'un frapper l'autre parer et ainsi dessuite. Un mouvement en deux temps, un pour chaque neurone.

Clac, Bam, Clac, Bam.

Un coup chacun, ça rappellait les battements de tembours pour les faires avancer. Ca sonnait bien... Les trolls étaient heureux de faire un semblant de mélodie tout en faisant ce qu'ils aimaient et savaient faire le plus au monde. Tuer de la manière la plus barbare et efficace qu'il soit.

En haut des murailles, les Fantassins Lourds, Elite de Rhûn, entrainées aussi dûrement que le fer composant leur armures, unité sans failles; aucune, repoussant chaque Ourouks, les tranchants des épées s'abataient rapidement avant de se plonger vers l'Ourouk remplaçant celui qui venait de décédé.

Restant sur leur position, ils ne prenaient pas le risque d'avancer et de s'exposer à une mort rapide dans une conquête de quelques metres... Alors que, depuis l'arière, venait des milliers de traits Rhuniens qui s'écrasaient avec force et nombre sur les Ourouks et les Balistes...

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Les trolls semaient la mort comme l'indiquait leur instinct, les archerx gobelins aux continuaient de faire pleuvoir la mort sur les ourouks, des p'tits trous des p'tits trous toujours des p'tits trou, les troll faisaient des gros boum avec leurs masse, les gobelins eux des schlink et des "argh" quand il décochait, certain comptait meme le nombre d'ourouk touché.

TOURS 40, 41 ET 42

Le haut du mur extérieur de la cité était maintenant aux mains des infanteries lourdes et des gobelins. Ils commençaient maintenant à se répandre dans les escaliers, mais bizarrement, ne tentaient pas d'avancer, juste de tuer un maximum d'Ourouks qui se présentaient à eux. Mais le sang rendant glissant les escaliers, la fatigue du au combat et au poids de leur armure, causaient autant de pertes chez les Humains que leurs opposants Ourouks.

Au sol, les berserkers affrontaient les Trolls. 3 contre 5. Les trolls tentaient de s'y prendre à deux contre un, mais leur faible intelligence et le manque de place ne permettait pas de belles stratégies ou même feintes. Ils frappaient et il ne fallait pas en demander plus. Autour d'eux, les ourouks non engagés par des hallebardiers tentaient de venir se mêler à ce combat de titans, frappant les trolls aux articulations et principalement aux jambes, pour les mettre à terre et se jeter dessus, tels des lycaons dévorant leur proie encore vivante.
Ainsi, les combats continuaient. Deux trolls furent tués alors que dans le même temps, un berserker perdait la vie. 2 contre 3, l'écart se rétrécissait. Et le nombre d'Ourouks se mêlant à la bataille croissait, autant que leurs cadavres.
Bien qu'armés de leurs hallebardes, les rhuniens étaient impuissant à s'en prendre aux berserkers s'ils ne voulaient pas toucher un troll. D'ailleurs, les cadavres commençaient à poser problème pour la bataille.

Et du ciel, la pluie infernale continuait de tomber sur les combattants dont elle était maintenant devenue coutumière.

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Voyant les trolls se faire harceler par des Ourouks non engager, les Hallebardiers redoublerent d'effort sous les cris d'un des capitaines présent... Il donnait des ordres ainsi que l'exemple en allant accompagné d'autre hallebardier à l'encontre d'Ourouk non engager susceptible d'engager un troll...

En haut, les Infanteries d'Elites des premiers rang fatiguaient et tombaient sous cette fatigue de plomb accompagné d'un coup de lame Ourouk. Face à ça, un autre capitaine cria alors de faire des roulements, de revenir à l'ariere de la formation quand la fatigue était trop présente... Plus facile à dire qu'à faire mais, protéger de son bouclier, un fantassin arriverait bien à laisser place à un compagnon plus frais...

Les Archers eux, n'arretaient pas le déluge d'acier et de bois sur les Ourouk maintenant habitué à cette pluie. Ils ne voyaient pas les résultats de leur assaut répétés mais savaient pertinement que nombreux seraient les morts avec une fleche ou deux voir trois ou quattre dans le corps...

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Les trolls imposants n'était pas vraiment fait pour se battre contre la masse dans les endroits restreint, mais apparement le seigneur Naen avait une idée, enfin Flaich l'espérait pour les trolls restant...les arhcers eux continuaient leurs offices de mort, les traits mortels pleuvait sur les ourouk, ces derniers ne pouvant ou ne voulant pas riposter se faisait trouéer ou devait se protégé de leurs boucliers, ce qui handicapait les déplacement, de plus les archers avait établi un petit tour, tirer, reculer, laisser passer le voisin qui tire, recharger et attendre son tour.

TOURS 43, 44 ET 45

Sur les murs, les capitaines des impressionnantes et blindés unités d'infanterie lourde se mirent à ordonner un roulement. Mais les escaliers d'accès n'étaient pas très larges et après quelques tentatives infructueuses où les ourouks en profitèrent pour balancer les deux rhuniens par dessus bord, les autres préférèrent combattre normalement. Et toujours, ils tenaient, ne prenant aucun terrain, comme le voulaient les ordres.

En bas, près de la porte, alors que la plupart des ourouks subissaient la pluie de traits en continu, le combat des titans continuait. Finalement, la manoeuvre astucieuse des généraux de Naen fonctionna très bien et plus personne ne vint se mêler du combat des trolls et des berserkers. Le combat d'ailleurs, montrait toute la puissance dont ces créatures pouvaient faire preuve. Les gigantesques lames isengardiennes rencontraient violemment les épais marteaux des trolls et leurs gourdins. A un moment, un berserker coinça sa lame dans le gourdin de son adversaire. Il poussa pour le trancher et ainsi récupérer sa lame, mais le troll mit ce petit moment à profit pour lui défoncer l'épaule de l'autre bras d'un coup de marteau bien placé, ayant récupéré l'arme d'un collègue défunt. Dans un dernier souffle, le berserker lui trancha la tête d'un revers de l'épée, l'envoyant ensuite valdinguer dans la mêlée... tuant aussi deux ourouks. 300% de réussite... il aurait eu un prix s'il n'avait pas succombé à ses blessures en même temps que son adversaire.

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La stratégie du seigneur Nean semblait porté ses fruits, les trolls se massacraient joyeusement avec les berserk et les ourouks leurs foutaient la paix, pour pas changer les archers tiraient encore et toujours, les infenteries lourde du seigneur Naen étaient res appréciéent, meme sil les gobelins ne regardaient pas trop ce qu'elel faisaient, elle étaient utiles.

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La pluie continuait sans relache, tombant lourdement sur les Ourouks. Ourouks qui maintenant devaient être bien moins nombreux que lors des premiers combats. Enfin, c'est ce que pensais les archers et ce que pouvait vérifier uniquement les Infanteries lourdes qui transmetait les informations.

Infanteries lourdes qui ne manquaient pas de combatre acidument les Ourouks pour les envoyés dans la tombe.

En bas, dans la fosse, les trolls étaient toujours engager dans un combat à mort face au Berseks Ourouks. Ceux-ci leur donner du véritable file à retordre. Mais épaulé par les Hallebardiers, ils venaient de mettre à bas leur vis à vis et ne restait qu'un dernier monstre à tuer.

TOURS 46, 47 ET 48

Alors que la pluie n'en finissait pas de tomber dans l'entre-deux murs et sur le mur extérieurs, et que les gobelins visaient systématiquement les ourouks qui délaissaient leur protection pour aller affronter l'envahisseur, les deux trolls finirent par éliminer le dernier berserker, non sans que l'un d'entre-eux perde la vie et que le second soit blessé. D'ailleurs, dès que la place fut laissée par le berserker, les ourouks se jettirent sur le monstre esseulé. Enfin, esquivèrent les cadavres sur le sol et se jettirent sur le troll. Il en abatti cinq avant de périr lui même.

Ensuite, ce fut le combat entre les ourouks et les rhuniens. L'épée contre la lance. La force supérieure des ourouks était contrebalancée par les hallebardes effilées des humains. Le combat continuait allègrement, dans le sang et la souffrance, autour des cadavres et des chariots détruits. Tandis que sur les murs, les ourouks n'arrivaient toujours pas à gagner du terrain.

TOURS 49, 50 ET 51

Les lanciers commençaient à établir une "ligne" de bataille. Cela ressemblait bien plus à un demi-cercle sur lequel ils se battaient. La forme concave du cercle était un problème dans le sens où les ourouks affrontant un rhunien étaient plus souvent à deux que seuls. Mais la formation sur plusieurs rangées des Rhuniens leur permettait de compenser la faiblesse de leur ligne de bataille. En effet, la phalange se montrait incroyablement efficace pour tenir à distance les créatures créées jadis par Saroumane autoproclamé le multicolore.
Les ourouks parvenaient tout de même à faire des pertes, mais les humains s'empressaient de combler les postes vides et cela semblait tenir bon. D'autant plus que sur les murs, les infanteries lourdes donnaient l'exemple en tenant leurs positions, chaque soldat qui allait au front sachant qu'il n'en sortirait pas vivant, les ourouks arrivant inexorablement sur les escaliers rendus glissants par le sang des vaincus.

Mais, alors que la pluie incessante et le terrain que semblaient gagner les rhuniens auraient du leur saper le moral, les ourouks se révélèrent soudain plus agressifs, frappant plus violemment et parfois utilisant carrément leurs crocs pour éliminer leurs adversaires, se jettant sur eux tels des nains noirs sur une délégation diplomatique! Ils avaient réalisé que leurs balistes ne pouvaient plus tirer et que les portes ne s'ouvriraient pas pour un repli ou des renforts. Ils étaient condamnés à mourir et ils comptaient bien emmener le plus de rhuniens avec eux dans la mort! Rugissants, ils redoublaient leurs coup et leur hargne les rendaient insensibles à la douleur...

TOURS 52, 53 ET 54

La pluie rhunienne continuait à pleuvoir de manière drue, vainement, maintenant que les ourouks avaient appris à la gérer sans sourciller. Tandis que leurs homologues gobelins ajustaient leurs tirs et visaient leurs ennemis. Aussi bien que possible, ils visaient, tuaient et prélevaient ainsi plusieurs vies par salves, mais devaient faire très attention car les seules cibles disponibles étaient les ourouks affrontant les hallebardiers et uniquement ceux là. Dès lors, il arrivait qu'un humain soit blessé voir tué par un trait gobelin.

D'ailleurs, tout comme sur les murs, les rhuniens encaissaient vaillamment les coups ourouks qui avaient redoublés de violence et beaucoup mourraient, amoindris par la fatigue et leurs bras qui les tiraillaient. Mais peu à peu, le demi cercle augmentait en taille et les ourouks étaient plus nombreux à se battre. Et plus nombreux à mourir, leurs corps jonchant le sol, aux côtés de ceux de leurs ennemis ou de leurs camarades. Hommes et Ourouks étant égaux dans la mort...