Derniers instants d'une ancinne Edoras ?

Bon allez, un petit RP pour le fun, donnez m'en des nouvelles On va dire que ca se passe lors du règne du père d'Eomund, Felemund


Le soleil disparaissait lentement derrière l'horizon lorqu'un cri retentit dans tout le village d'Edoras:

ILS SONT LÀ ! LES HOMMES DE DUN SONT LÀ

Felemund, qui s'était assoupie sur sa chaise, bondit en hurlant :

PRÉPAREZ-VOUS ! AUX ARMES ! C'EST CE SOIR OU JAMAIS !

Les armées d'Edoras apercurent au loin, dans la plaine, une armée d'au moins 30 000 barbares approcher. Les géneraux commencèrent à faire mentalement le décompte des hommes et des femmes d'Edoras et s'apercurent bien vite que 4000 guerriers, tout au plus, seraient en mesure de livrer bataille.

Ils ont regroupés leurs forces, mes espions avaient vu juste, le coup final est pour ce soir...

Soudain, de terribles cris de guerre, animés par un rythme endiablé de tambours, parvinrent aux oreilles des villageois. Quelques enfants éclatèrent en sanglots et accoururent vers les jupes de leurs mères. Avec courage et noblesse, un bon nombre de blessés se levèrent des civières, prêts à mourir dignement au champ de bataille.

Nous n'avons plus le temps de perdre ! dit alors Felemund ! Je passe à l'action...

Un instant ! mon roi, que pensez-vous faire ? Vous présenter seul devant 30 000 fous assoifés de sang ?

C'était un soldat qui venait de parler

Exactement, avait alors repondu le seigneur d'une voix decidée.

Le valeureux guerrier saisit un bâton et attacha à son extremité un morceau de tissu blanc. Il s'empara ensuite d'un grand bouclier et pria le soldat qui venait de parler, géneral de ses armées, de le laisser sortir du village, ce qu'il refusa :

Mais vous êtes fou, mon seigneur ! Vous préparez vous à livrer ce village aux barbares ou désirez vous vous suicider d'une originale facon ?

Ni l'un ni l'autre. Laissez moi passer, je vous l'ordonne, je vais aller parlementer et gagner un peu de temps...

MAIS DE QUOI PARLEZ VOUS, INCONSCIENT ? TU N'ARRIVERAS À RIEN CONTRE CES CHIENS GALEUX

Le géneral avait perdu tout respect pour son souverain dans le but de préserver sa vie

Faites moi confiance !

Le géneral se tassa alors et le laissa passer, non sans pousser un long soupir qui en disait long sur son avis concernant les actes de Felemund

Le jeune et puissant seigneur, qui avait perdu ces derniers temps beaucoup de ses hommes suites aux incessantes attaques des homme de dun qui venaient toujours chaque soir, ils s'étaient regroupés et les clans avaient été reformés. Leur but : reprendre un territoire qui n'était plus le leur depuis plusieurs millenaires. Le jeune souverai se dirigeait donc d'un bon pas vers les barbares. Tout à coup, les cris de guerre et les tombours se turent, laissant place à un silence de tombeau... Aussitôt, une salve de flèches volaen direction de Felemund qui eut immédiatement le réflexe de s'accroupir et de se protéger derrière son immense pavois. Cette première attaque passée, le courageux père du nouveau-né Eomund continua sa progression vers l'ennemi. En signe de paix, il agitait son drapeaux blanc en esperenat que ses adversaires comprennent qu'il voulait leur parler. Une deuxième vague de flèches s'éleva dans les airs. Une bonne vingtaine d'entre elles se fichèrent sur le bouclier, le rendant semblable au dos d'un hérisson. Malgré cette seconde agression, il prit son courage à deux main et continua sa progression vers la partie adverse...


Suite plus tard, a+

Pas mal du tout.
Tu t'améliore de RP en RP, bravo

Voici la suite... enjoy


Plus loin derrière le seigneur d'Edoras, tout le village regardait la scène avec angoisse. Le géneral, médusé par le courage du jeune chef, avait demandé à ses guerriers de se tenir prêts à livrer combat dès qu'il l'ordonnerait. Leur seigneur leur donnait une leçon de bravoure et, maintenant, plus personne ne craignait de mourir.

JE SUIS VENU PARLEMETER AVEC VOUS ! cria Felemund à l'armée barbare qui s'était considérablement rapprochée.

Une homme de près de deux mètres et pesant environ 150 kilo se détacha du groupe. Il avait les cheveux très longs et sales. Sa barbe, longue aussi et maculée de ce qui semblait être du sang séché, était répugnante à voir. Le seigneur d'Edoras aperçut de longues cicatrices encore rouges et galeuses qui émaillaient son corps sans armure. Puis il remarqua les dents ocres de l'homme de Dun lorsqu'il ouvrit sa grande gueule :

RENDEZ VOUS !... BIEN SÛR, NOUS VOUS FERONS PRISONNIER, MAIS VOUS AUREZ LA VIE SAUVE

MESSIEURS, ÉCOUTEZ MOI. JE VOUS DEMANDE DE LAISSER CES BRAVES GENS EN PAIX ET DE RETOURNER D'OÙ VOUS VENEZ...

Felemund n'eut pas le temps de terminer sa requête quand le gigantesque barbare se jeta sur lui et lui assena un formidable crochet au menton. Il vola à quelques mètres du sol et faillit se casser le cou en tombant. Encouragée par les cris de son armée, la brute le roua de coups de pieds puis s'assit à califourchon sur son dos. L'écrasant de tout son poids, il saisit la tête du seigneur et la frappa une bonne dizaine de fois contre le sol. Puis, le collosse l'empoigna alors par les cheuveux et le souleva de terre. Celui-ci saignait abondamment des oreilles et de la bouche. Malheureusement, le gigantesque poing du géant frappa encore une fois la figure du pauvre jeune homme et lui fractura du même coup le nez et la mâchoire

Les cris de guerres hystériques des barbares reprirent de plus belle, et la vallée fut de nouveau envahie par la cadence infernale de leurs tambours.

À suivre prochainement, merci d'avoir lu et merci Huruk pour le commentaire

Violent :guerrier: mais j'adore ^^

I love u huruk


Le seigneur d'Edoras avait été serieusement roudoyé et battu par le gigantesque colosse de 150 kilos, ce n'était là qu'une question de temps pour que ce dernier l'achève et ordonne la charge de son armée prête à en decoudre...

Felemund se leva en titubant, il fit quelques pas vers Edoras, il ne marchait pas droit, il était incliné en marchant avec des pas incertains et, quand il essayait de se redresser, une grimace suffisait à exprimer la douleure qu'il ressentait : Le père d'Eomund avait quelques côtes cassées, sans aucun doute...

Donc, sous les rires sadiques de son bourreau, le seigneur d'une ville essayait de la rejoindre. Le géant n'allait pas laisser sa victime s'en tirer à si bon compte, il fonca vers son rival et lui assena un puissant coup de pied juste derrière le genoux, Felemund perdit l'equilibre et retomba lourdement sur ses genoux, après avoir laché un autre cri, le barbare le prit par les cheveux et l'obligea à le regarder

REGARDE QUI VA TE TUER, CRÉTIN !! TE PRÉSENTER SEUL AINSI FACE À BOUNGA TU ES LE ROI DES FOUS. JE SUIS BOUNGA ET JE SUIS L'HOMME LE PLUS FORT DU MONDE !!!!

Le monstre ne semblait être capable de s'exprimer qu'en hurlant à gorge déployée. Entre-temps, il avait arrosé Felemund de plusieurs litres d'une salive malodorantes et gélatineuses... Bouga prit hache qu'il portait en bandoulière et la tint solidement entre ses mains poilues qui faisaient, chacune, la taille de la tête du seigneur d'Edoras. Le colosse fit un mouvemant de va et vient très lentement en faisant mine de vouloir décapiter Felemund : il s'assurait qu'un unique coup pourrait faire l'affaire, après un mielleux sourire avec lequel il exprimait toute la hargne qu'il éprouvait envers le peuple du Rohan, il brandit l'immense hache qui devait peser une bonne vingtaine de kilo et s'apprêta à l'abaisser lorsqu'il ouvrit des yeux ronds et tomba lui aussi à genoux : la pointe d'une flèche resortait de son ventre velu, maculée d'un sang frais.

Le géant se releva et donna un coup sur le crâne de l'homme agenouillé et vaincu, ce qui eut pour effet de l'assomer, d'ailleurs, un coup pareil aurait eu le même effet sur un boeuf. Il marcha tranquillement vers son armée, en crachant et toussantant du sang, une fois à leur hauteure, il hurla de toute la force de ses larges poumons :

CHARGEZ !!!

L'immense armée courut de facon chaotique et desordonnée vers les soldats d'Edoras prêts à cherement défendre leur vie : les armures brillantes de l'élite reflétait les rayons d'un soleil sur le point de s'éteindre pour laisser place à sa soeur : la lune.

Un cavalier souleva son seigneur et le déposa derrière sa scelle avant d'être monstrueusement talonné par une armée en furie. Heureusement que les cavaliers rohirrim étaient les plus rapides du mondes... Après lui avoir ouvert un couloir par lequel s'engouffrer, les rangs de l'élite se reformèrent aussitôt...

À la prochaine pour une nouvelle suite

+1 à ce qu'à dit Huruk =)

En effet c'est sympas

J'aime surtout le deuxième

Au niveau de la présentation, perso je trouve que les guillemets et pas trop de majuscule ca rend la lecture beaucoup plus simple, mais c'est qu'une question de gout