Une ville en plein désert reçoit des ... pirates!!!!

La pauvre petite ville d’An Karagmir n’avait pas les effectifs suffisants pour endiguer une telle marée humaine. Près de dix milles haradrims assoiffés de vies et de sang déferlaient sur elle et ses pauvres défenseurs qui n’étaient même pas la moitié d’eux. Mais sans savoir pourquoi, leur souverain, avait cru qu’ils pourraient gagner. Le sacrifice des deux mumaks étant sa stratégie. Il avait espéré qu’ils feraient plus de victimes, mais il avait vraisemblablement sous-estimé l’armée d’Erelond. Ne pensant que seul Kasmish pourrait les vaincre mais jugeant qu’il serait aux avant-postes, il avait visé trois mille morts mais n’en avait eu qu’un peu moins de la moitié. Mais qu’à cela ne tienne, il avait d’autres atouts dans la manche et il espérait bien les sortir au bon moment.
Actuellement, il se trouvait sur une espèce de tour de guet, deux cent mètres derrière les barricades et, à l’aide d’une longue vue, suivait l’évolution de la bataille avec attention.

Il vit les troupes de Kasmish arriver contre les nombreuses palissades qui garnissaient les rues de la ville qui faisaient face à l’envahisseur. Les premiers combats opposants lanciers à lanciers ou épéistes faisaient rages. Et le front augmentait d’instants en instants. Alors que les soldats se déversaient toujours de plus en plus, profitant de l’espèce de place qui se trouvait entre la palissade est les premières maisons. Alors qu’au départ, les hommes se battaient pour trois rues, l’on était maintenant à cinq. Les défenseurs ne voulaient rien lâcher, conscients qu’ils mettraient la vie des autres en jeu par leur échec. Dans la mêlée, le seigneur d’Erelond, flanqué de ses deux gardes du corps n’était pas encore au combat qu’il sentait déjà le parfum de la mort…

Autour de la ville, les cavaliers continuaient de se déplacer tandis que les archers avançaient en rang, épaulés des lanciers et des épéistes les accompagnants. A nouveau trois tirs de catapultes volèrent vers eux et plusieurs perdirent la vie, mais cela ne les arrêta pas. En réponse, les servants des catapultes lâchèrent une nouvelle volée, mais sur la palissade et uniquement de rochers. Deux tirs la touchèrent et la brisèrent un peu, mais pas suffisamment pour que des troupes puissent s’y engouffrer.

La bataille continuait. Le front s’élargissait et les combats continuaient sur les palissades. Astucieusement, les soldats d’An Karagmir retiraient rapidement les blessés et les cadavres pour éviter que leur sang ne se répande sur le sol et ne le rende glissant. Chose que ne faisaient pas les lanciers et corsaires de Kasmish. Certains commençaient à glisser et étaient happés par les soldats ennemis usant de leurs lances ou de leurs épées.
A présent, six accès barricadés voyaient le combat se dérouler. Le sang coulait à flot, l’acier tranchait la chair et les os, les boucliers étaient détruits mais aucune palissade n’était mise à bas. A nouveau, une pluie de traits parvint de derrière les palissades et tomba parmi les corsaires, fauchant de nombreuses vies. Une nouvelle goutte s’évapora dans cet océan de haine et de cruauté qui tentait de déferlait sur les murs ennemis.

Les échelles continuaient de déverser leur flot de troupes tandis que les béliers avaient été abandonnés sans vergogne, leurs porteurs n’espérant qu’être les premiers à se battre et à ôter des vies ennemies.
Les catapultes lachèrent une nouvelle volée sur la palissade tandis que celles des ennemis atteignirent à nouveau les archers qui étaient maintenant à 60 mètres de la palissade.

La bataille débutait à peine et déjà de nombreux soldats gisaient dans leur sang, morts ou agonisants. Et ce n’était qu’un prémisse au carnage qui semblait se préparer…

[ouaip, désolé, j'ai pas trop eu le temps de venir ces derniers temps.
J'ai une question : il est possible de défoncer la barricade avec les béliers?]

Kasmish marcha sur un corps et faillit glisser. Il jura. Il savait que ce n'était mêe pas la peine de donner l'ordre d'évacuer les corps car personne ne l'entendraient. Et ceux qui l'entendrait n'y feraient même pas attention. La frénésie de ses hommes étaient telle que rien ne povait les arreter, pas même la mort.
Ainsi, les combats continuèrent. Si ils prenaient une palissade, ce serait déjà bien.
Toujours plus de sang, toujours plus de haie, toujours plus de morts. Maintenant qu'il y songeait, des femmes et des enfants voyaient ça, et si ils survivaient, ils ne s'en remettraient jamais. D'ailleurs, même les hommes ne s'en remettraient pas. Pas même ses hommes. Car aussi féroces soient-ils en combat, il n'étaient pas des bêtes immondes. Certes, ils n'avaient guère de pitiée, mais ils n'étaient pas des orcs. Ils étaient juste des guerriers condamnés à mourir, si ce n'était pas ici, ce serait autre pars. Mais au moins, ils ne mouriraient pas de vieilesse. Il parait que des hommes étaient comme ça en gondor. C'était peut être la pire chose qui pourrait arriver à un Erelondien.

[HRP : Ouais et c'est d'ailleurs plus facilement détruisible que les palissades ]

Les combats duraient avec rage, chaque homme ne voulant rien lacher à son adversaire. Les envahis tenaient toujours leurs positions dans un brouhaha assurdissant et de plus en plus de corsaires, d'archers et d'autres troupes se déversaient dans la ville. Parmi tout ce fourmillement de troupes et sous la pluie de traits ennemis, Kasmish entouré de ses deux gardes du corps se frayait un chemin. Bousculant les hommes, ses deux acolytes amenèrent leur seigneur aux abords d'une des barricades de fortune érigées plus vers la gauche du front. Il était prêt à faire étalage de sa lame, celle-ci ayant soif de sang et de vies.

Mais la position de Kasmish l'empêchait de se rendre compte de ce qu'il se passait à l'autre extrémité de la ligne de bataille : une rue vide de toute barricade mais aussi de tout attaquant au vu de la longueur de la ligne de bataille, telle une bouche refoulant un flot incontrolable de paroles, ce fut des bruits lourds et pesant de sabots claquant sur le sol qui en sortirent. Rapidement suivis de la cavalerie d'An Karagmir qui vola littéralement sur les corsaires et autres troupes, les écrasant sous leurs sabots dans un carnage incroyable.

A l'extérieur de la ville, les archers avalaient les derniers mètres de la distance et se plaçaient juste derrière les corsaires qui attendaient d'entrer dans la ville.

De plus, les tirs de catapulte continuèrent vers la ville tandis que ceux des ennemis ne touchaient plus personne...

La rage et la fureur des combattants avaient atteint leur paroxysme. La ville résonnait des bruits des armes qui s'entrechoquent, tranchent la chaire ou des hommes qui hurlent des promesses de mort rapide à leurs adversaires. Nul n'échappait à cette euphorie du moment, véritable ode au combat et à la guerre. Que ce soit le plus misérable des corsaire au vénérable chef de guerre en passant par l'archer ou le cavalier émérite. Nul n'était épargné par ce sentiment de plénitude que ne connaissent que les seuls vrais guerriers.

Kasmish en était plein, commençant à enfoncer une barricade à l'aide de ses deux acolytes trolls et d'une poignée de fier lanciers et épéistes. Leurs passes d'armes avec leurs opposants étant clairement à leur avantage. Pendant qu'ils ôtaient des vies à tour de main, les cavaliers tentaient de s'extirper de la marée d'ennemie qui menaçait de les engloutir. Ils savaient qu'ils ne faisaient que sacrifier leurs vies, mais c'était loin d'être inutile et cela leur suffisait.

Pendant ce temps, Garbon donnait des ordres et un bélier commença a avancer vers une palissade pendant qu'un soldat répondait à son supérieur :

"Seigneur, les cavaliers sont trop loins. Et ils ne peuvent porter le bélier une fois sur leur monture!"

A peine avait-il fini sa phrase que les archers se trouvant derrière eux envoyaient une volée loin derrière le front des combats...

Garbon ordonna. Par les soldats, sa volonté s'appliqua. La voix du commandant des archers, ne retentit pas une seconde fois. Une seule fois suffit et une vingtaine de soldats, corsaires et épéistes, se mirent à contourner la ville, contre la palissade de manière à ne pas être visible.

L'autre bélier continuait son petit bonhomme de chemin vers les palissades de fortune. Mais la marée de soldats dans laquelle se perdaient les flèches des archers d'An Karagmir, les empêchait de progresser rapidement. Mais déjà une palissade cédait quelque peu sous les coups des lames de la triade infernale. En effet, Sombrelune et les deux masses de ses deux acolytes tranchaient les corps et abattaient la palissade...

Toujours bien caché des yeux indiscrets par la palissade, les hommes d’Erelond qui étaient partis avec le premier bélier continuaient de la longer pour aller s’en prendre aux portes situées à l’opposée de la ville et ainsi prendre en tenaille les hommes d’An Karagmir, petite cité terrestre qui osait résister vainement aux terribles corsaires de Kasmish !

Kasmish qui, d’ailleurs, était affublé de ses deux immenses acolytes dénués de toute forme d’intelligence et qui, à tour de bras et de lames, venaient de prendre possession de la première barricade ennemie. Tandis que Kasmish tentait de héler ses hommes dans tout ce brouhaha, il ne fallut pas plus d’une minute à un groupe de corsaires particulièrement avide de sang, pour escalader la barricade et la défoncer depuis l’autre côté, laissant ainsi une porte d’entrée vers la ville. Un petit flot commença à se déverser tandis qu’à l’autre bout, la cavalerie ennemie sacrifiait certain de ses hommes pour trouver le moyen de repartir… mais les pertes étaient énorme et seuls quelques hommes réussiraient à fuir… s’il y en avait qui y parvenaient !!!

Les difficultés des cavaliers d’An Karagmir étaient sensiblement les même que celles des manieurs de l’autre bélier qui ne semblaient pas avoir la place d’avancer…

Kasmish? =)

[je suis désolé, j'avais retenu que c'était moi qui avait posté en dernier sur cette bataille, et j'attendais ton retour ^^]

Kasmish reprit son souffle. Il lui fallait se calmer un peu pour ne pas entrer dans une rage totale et risquer de perdre le cour de la bataille.
Les cavaliers éliminés étaient une bonne chose, maintenant, il restait à en finir avec cette tour. Le lâche de souverain qui s'y cachait allait bientôt faire sa connaissance... Bientôt.
Le bélier devait être en train de faire le tour de la ville, donc, les cavaliers corsaires pourraient venir l'aider sous peu. Le deuxieme bélier progressait lentement : aucun corsaire n'avait assez d'intelligence pour penser que ce bélier pourrait l'aider sur le front.

"Laissez passer le bélier les gars, yen a b'soin pour devant !"

Un grognement général dans la foule, suite à cet ordre de leur souverain. Certains s'écartèrent, d'autre non.

Kasmish s'essuya les mains sur son gilet taché de sang, et reparti à l'assaut, vers la tour.

[combien me reste-il de metres avant d'atteindre la tour ? Et reste-il des obsacles (soldats, pallissades) ?]

Kasmish se racla la gorge... Les deux brutes à coté se bouchèrent les oreilles. Partout ou presque partout dans la ville, on entendait la voix du seigneur pirate ordonner à ses hommes :

"Bloquez toutes les ruelles suspectes avec une phalange de lanciers. Et que ça saute, vauriens"lles suspectes avec une phalange de lanciers. Et que ça saute, vauriens"

Il se massa brievement le poignet, puis, d'un signe bref de la main, il ordonna à ses deux gardes du corps de l'aider à dégager la ville. L'ordre classique, quoi.
Mais, juste avant de rejoindre le front, une idée lui passa par la tête. Il avait vraiment été un idiot. Il recria alors, au malheur des oreilles proches de lui :

"Et débrouillez vous pour monter sur les toits pour nous débarasser des imbéciles d'archers. Réutilisez les échelles si ça vous chante, mais allez-y."

Il savait que ça allait faire plaisir à ceux de derrière, qui n'avait pas le loisir de s'amuser comme lui.

Les porteurs de bélier, eu, commençaient à crever de chaud sous le soleil. A l'intérieur, ils s'amusaient, alors qu'eux, n'avaient le droit que de trimer sous les rayons chauds. Finalement, l'un d'eux alla chercher des cavaliers, pour leurs demander d'utiliser les cheavaux pour pousser plus vite le bélier.

[Il me semblait me rappeler qu'il y avait des archers sur les toits. Si non, oublie les deuxiemes paroles de Kasmish]

[HRP : Ouahou, cette bataille m'était carrément sortie de la tête :/ J'espère que tu m'en veux pas trop :$]

Kasmish jaugea la situation avec calme et expérience. Ce vétéran de nombeuses batailles semblait analyser sans cesse ce qu'il se passait autour de lui et il se mit à donner les ordres ad hoc. Conformément à ceux-ci, une phalange de lanciers se précipita dans la rue qui se dessinait face à lui et se mit en devoir de protéger les accès à celle-ci avant de pouvoir avancer plus en profondeur pour les nettoyer.
Des corsaires s'engouffrèrent avec eux pour défoncer les portes des maisons et ainsi tenter d'atteindre les toits pour s'occuper de leurs occupants plus qu'agaçants.

Voyant cela; Kasmish sourit : ce soir, ils seraient nombreux à fêter la victoire des siens pensa-t-il. Il leva alors le bras, indiquant d'un signe de la main sans équivoque à ses deux molosses de le suivre, et il fonça en avant dans la ville.

Pendant ce temps, les autres guerriers de Kasmish prenaient plusieurs palissades et commençaient à ouvrir d'autres passages où s'engouffraient avec violence ses troupes, telle une marée insurmontable qui venait briser digues et autres dispositifs de rétention avant de s'engouffrer à l'intérieur des terres et de tout détruire sur son passage.
Et ceci, alors que les archers de Kasmish pillonnaient leurs homologues ennemis.

Autour de la ville, les porteurs du bélier envoyèrent l'un des leurs appeler les cavaliers, mais ceux-ci étaient loin... Déjà, arrivaient-il près de l'autre porte de la ville, laquelle était évidemment fermée.

TOUR 20

[désolé, j'ai peu l'occasion de venir sur le fofo]

"Aller, foie de Goren, on va défoncer cette petite porte !!"

Comme un seul homme, les porteurs de béliers chargèrent la porte dans l'espoir d'y ouvrir une brèche pour la cavalerie.


Quand à la charge des pirates, elle était toujours plus intense : les cris de guerre les poussaient toujours vers la ville, avec plus d'ardeur.
Et La Mort marchait avec eux.
Ou du moins, une de ses envoyée, car en ce moment, de nombreuses batailles faisaient rage en terre du milieu, et La Mort ne pouvait pas être partout à la fois.
Et dans les maisons, les corsaires taillaien en pièce les archers, impuissants face au guerriers enragés.

L'annexion de cette ville aux pirates de Kasmish se révélera surement très rentable.

[HRP : Désolé si mes propos étaient tendancieux, mais c'étaient les cavaliers qui étaient prêt de l'autre porte. Pas les porteurs du bélier. Eux, ils continuent leur marche.]

Les cavaliers de Kasmish attendaient derrière la porte, espérant trouver un moyen pour entrer. Pendant ce temps, les hommes au bélier continuaient d'avancer... lentement...

Dans la cité, la frénésie des combats ne semblait pas s'arrêter et il semblait même qu'elle redoublait. Les hordes de Kasmish continuaient d'enfoncer les barrières. Les défenseurs étaient submergés et massacrés dès qu'une barrière tombait. Cinq des six barrières étaient tombées et la dernière était en passe de subir le même sort. Les corsaires et autres combattants de Kasmish étaient trop nombreux et dès que l'un d'entre eux mourrait, deux le remplaçaient. Chose que ne pouvaient faire les hommes d'An Karagmir.
Dans la mêlée qui s'engouffrait dans les rues et ruelles, Kasmish efflanqué de ses deux molosses était au premier rang, hurla et se dirigea toujours plus profondément dans la cité.

Au niveau des maisons, les archers continuaient de tirer contre les soldats ennemis, mais déjà les corsaires d'Erelond pénétraient dans les maisons et se dirigeaient vers les toits...



[HRP : Désormais, on accélère les tours de bataille. Tu peux donc m'envoyer un mp comme dit dans les nouvelles règles ]

[je vois pas l'interet d'un mp si on est que tout les deux.]

Cette fois ça y était... Kasmish y était arrivé. Et il le prouva à ses hommes :

"Allez, les gars, c'est la dernière, cria-t-il, et après celle-ci, pensez à ce qui nous attend. Pensez au bonheurs d'une nouvelle ville à soumettre. Tuez les tous, et pas de quartier !!!"

Après ce bref encouragement, Kasmish s'élança vers les lignes ennemies, mais il était alors au deuxième rang. Il calma sa soif de sang : autant laisser ses hommes se faire tuer, après tout, il aurait le loisir de faire ce qu'il voudrait avec les surivivants de Karagmir.
Et ensuite, il prendrait la cité comme annexe.
Et ensuite, il s'allierait avec les autres puissances du mal et conquirait le monde
Et ensuite, il monterait ces puissances les unes contre les autres et serait le roi du monde.

Bien qu'il y ait du travail avant cela, Kasmish avait encore tout son temps : il était encore jeune et vif.

Le cri d'un mourant le tira de ses pensées. Aussitot, il réalisa que c'était trop facile. Ses ennemis ne pouvaient pas être aussi faibles. Il y avait forcement un piège quelque part.

La vague de mort qui avait pour visage les rictus des soldats d'Erelond continuait de s'engouffrer autant que possible dans la cité. Les hommes de Kasmish s'infiltraient dans les ruelles et les maisons, éliminant les archers postés sur les toits et les soldats qui osaient se mettre en travers de leur route. Les palissades avaient été misent à bas, les archers étaient attaqués mais tenaient bon et la moitié des cavaliers avait péri sous leurs lames.
La situation semblait favorable aux troupes du seigneur Kasmish. Mais celui-ci émit un doute. Et en effet, c'était trop facile. Il leva les yeux vers la tour qu'il s'était fixé comme objectif et à ce moment, un bruit de cor résonna dans la ville.

Et alors, un tremblement se fit sentir. Les soldats de Kasmish s'arrêtèrent alors qu'ils avançaient tous vers le centre de la ville que surplombait cette tour. Et là, avancèrent deux immenses compagnies composées d'épéistes et de lanciers. Ils étaient en formation compacte et avançaient en occupant toute la rue principale. Le groupe se divisa en deux sous-groupes au niveau de la grande place et chacun prit une des deux rues principales de la ville et foncèrent droit vers les soldats de Kasmish.

La vague mortelle d'Erelond allait s'écraser sur des rochers qu'elle ne pourrait peut-être pas éroder. Il ne restait qu'une cinquantaine de mètres avant le contact et les armes des nouveaux-venus semblaient acérées.