Une visite peu commune

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Il regarda le parchemin. C'était peu, dans l'espace des montagnes, mais ça faisait déjà plus que toutes les mines de Cair Andros.

"-Non, aucune. Je vais envoyer cette Carte à Tirith Nindor pour délimiter le périmètre. Avec votre accord, nous marquerons la zone avec des drapeaux : les hommes ne connaissent pas aussi bien les montagnes que vous, et tout cela est un peu...abstrait pour eux. Les hommes seront là demain, je pense."

[Economie modifiée : -70 pièces d'or]

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Alors nous partir.
Vous débrouillez sans nous.

Et les Orques commencèrent à rebrousser chemin.
Seul un regardaient la tête penchée de côté l'homme qui restait seul au milieu de ces baraques en ruine.
Mais il ne disait rien laissant les autres s'éloigner en ralant sur le trajet du retour.
Mais satisfait de la bourse bien garnie qu'ils portaient.
Leur chef sera content.

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L'émissaire envoya alors ses messages à Tirith Nindor.
Logistique, hommes et matériel, tout arriverait le lendemain. Ici-même. Puis, ayant envoyé par pigeon le tout, il prit un couverture qu'il avait sur lui et dormit. Il ne fit pas de cauchemards, ni de rêves, d'ailleurs. Il ne pensa à rien. Il dormit, c'est tout. Il était fatigué. Toute cette journée avait requis de grands investissements physiques, mais il était content de ce qu'il avait fait. Historique, c'était...historique, oui.

Non-non, n'insistez pas, il ne fit aucun cauchemard, je vous dis. Non-non, il ne...bon, d'accord, il a repensé à la mort de son hamster, Pouki, qui avait un jour décidé de suivre un lemming, mais juste un peu, c'est tout.

Le lendemain, il fut réveillé à l'aube, par un costaud et ce qui semblait être un architecte.

"-Eh, c'est ici les mines?
-Un? Ah, oui.
-Allez, suivez-nous les gars!"

L'émissaire se leva, et vit plus loin quelque centaines d'hommes avec des pioches, du matériel pour retaper les baraquements, des vivres, etc...
Ca deviendra un vrai petit village de mineurs, se dit-il.
Et il sourit. Ça y était.

[Ça se passe comment, maintenant?]

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[HRP]

Maintenant, tu te concentre et nous écris de beaux RP ^^

En effet, il va falloir mériter ton or.
Montre nous ce que va faire tes hommes, comment ils vont vivre, etc...
A toi d imaginer, d'inventer.
Mais si tu as besoins d'aide, je suis pas loin Wink

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L'aube se levait sur les montagnes. Lentement, mais sûrement, la lumière envoyée par l'âstre que chevauchait Arien repoussait les armées sombres de la nuit, demeure éternelle de Tilion. Pierre par pierre autant que montagne par montagne, tous furent illuminés, et les petites et antiques créatures nocturnes que créa Morgoth puis Sauron, seules avec les Orques à avoir survécu, s'enfouirent,loin dans les profondeurs ancestrales.
Alors, lorsque toutes les terres furent sous le joug du Soleil, apparut (du moins pour les yeux de créatures fondamentalement diurnes), des camps de mineurs.

Partout, des hommes s'affairaient, alors qu'au loin un émissaire à cheval repartait vers sa cité. Celui-ci se retourna en souriant bêtement, puis fût pris d'un mal du pays frénétique et lança son bolide (sic, mais dans le sens physique du terme) au galop en filant au rythme de deux kilomètres avec le canasson le plus lent de la région. Rapprochons-nous des montagnes. Avançez la caméra 5, s'il vous plait. Avec le dolly et en vue plongeante. Voilà, stop. Voici un village de mineur.

Celui-ci est encore jeune, on voit des traces d'une ancienne occupation par les orques. Des planches délabrés servent de pont au-dessus de fossé remplis d'un liquide nauséabond, autant que ce qui aurait résulté d'un jet d'urine de pingouin dans du fromage corse assaisoné avec une centaine de kilos d'algues bretonnes bien odorantes. Les preuves des sévices infligés par les pigeons, cachés dans les intertices entre les toits et les goutières (oui, les orques ont parfois un sens de l'architecture assez curieux), sur les malheureux murs de la plupart des bâtiments sont aussi visibles que les trous béants dans les portes de la mairie (les orques peuvent oublier les clés, comme les humains, mais ils n'apellent pas de serrurier pour rouvrir la porte).

Ici et là se trouvent les ordures, apparat de toute bonne créature de base du Mordor. Il y en a dans les rues, mais aussi dans les maisons, que ce soit dans les chambres ou les salles à manger, encore plus dans les auberges (au moins un truc en commun avec les humains), et une concentration record dans une cave en dessous du plus grand des bâtiments (ben oui, les orques aiment la pourriture, mais faut pas exagérer).
En tous cas, on est sûr que les anciens locataires n'étaient pas des elfes.

Mais déjà, les hommes apportent leurs améliorations. Prenons par exemple un des villages un peu plus loin, occupé depuis le premier jour.
Déjà, la différence est frappante : les rues sont propres, certes pas comme dans les grandes cités de ce monde, mais il n'y a plus de saletés, ni d'égouts à ciel ouvert. Des escaliers en pierres ont été construits aux endroits glissants, des rues ont été tracées, et des routes construites menant vers les autres villages (en fait, la plupart mène vers le flanc de la montagne, il est rare de trouver un passage direct dans ces étendues escarpées et mortelles), car la première règle dans la construction de quoi que ce soit dans un endroit pareil, c'est de ne pas le laisser coupé du monde.

Les aménagements ont été effectués, et on trouve maintenant un grenier rempli de blé, un entrepôt rempli de viandes, sel, alcools (il est rare que l'eau ne soit potable) et autres légumes se conservant facilement jouxtée par une taverne, et un dispensaire. Dans le plus grand village se trouve une clinique avec 3 médecins, pour ce qui est des maladies bénignes, mais il faut tout de même rapatrier les blessés.

Les baraquements sont construits par les mineurs eux-mêmes, qui parfois rajoutent une touche personnelle mais cela reste des logements de travail, et tous se ressemblent fortement. Des sentiers mènent aux mines, parfois des cordes -il faut dire que Sauron ne pensait pas vraiment aux humains lorsqu'il a fondé sa forteresse-, et des rails sont installés pour acheminer les minerais, avec des freins pour la descente bien évidemment. Près des entrées se trouvent un petit bâtiment contenant tous les équipements des mineurs, car c'aurait été trop lourd de tous ramener en haut (d'ailleurs, l'équipe d'installation s'est vu grâcié trois jours de travail, tant la tâche fût dure).

Donc, le soleil se lève. Les mineurs aussi. Observons ce jeune homme. Il s'appelle Ceroth, il a 26 ans, et vient, au contraire de la plupart des mineurs, de Cair Andros. Il se trouve dans le baraquement C-A1, celui des androsiens, justement. Ils sont assez peu nombreux pour qu'on les regroupe, ça crée moins de tensions. En effet, cet accord d'exploitation a été crée pour les mineurs de Tirith Nindor, que les plaines environnantes n'aide pas en matière de minerais.

Ils sont 6 dans le baraquement. Il y a Ceroth, donc, Berund, Darc, Régis-Robert, Jérôme et...Caroline. Ca a fait un choc pour les autres mineurs de savoir qu'il y avait une femme dans leur équipe, mais ils s'y sont vite fait.
Ceroth est le frère de Berund. Ces deux-là ne se séparent jamais. Berund a 27 ans, et a entraîné l'autre dans cette "aventure" afin de gagner un peu plus d'argent qu'en travaillant comme livreur dans un supermarché (nouveau concept à la mode à Cair Andros), et ainsi pouvoir nourrir leur famille. En effet, ces deux-là viennent des couches les plus pauvres de la société androsienne, ce qu'on peut appeler comme les descendants des "clients".

Pendant 500 ans que les politiciens se sont affrontés, ils ont finis par recruter des oisifs afin d'en faire une véritable armée de campagne personnelle, les payant soit en argent, soit en nourriture, soit en logement, et parfois même les trois vers la fin. Bien évidemment, des affrontements éclatèrent entre les différents "clients" et cette pratique fût interdite avec l'accession au pouvoir de Tùor.

Se retrouvant sans travail, la plupart se recasèrent dans des métiers d'artisanat, une majorité reparti vers la campagne et cultivèrent de nouveaux champs : les sociologues parlèrent de "renaissance rurale" qui fut elle-même accentuée par la conquête de Tirith Nindor. Les autres, des oisifs acharnés, ne trouvèrent pas d'emploi, faute de qualification. C'est ce qui arriva à la famille de Berund et Ceroth.

Darc, lui, vient d'une famille moyenne, tout comme Jérôme et Caroline. Ils n'ont aucun lien de parenté, mais sont amis. Ils sont tous les enfants de longues lignées de mineurs, et, voyant les mines de Cair Andros pleines, ils décidèrent, lorsqu'ils entendirent parler des Montagnes Noires, d'y aller.
Régis-Robert, lui, n'avait rien à voir avec les mines, mais venait d'un village un peu spécial. Tous y sont consanguins, et ont une fâcheuse tendance à se comporter à demi comme des chiens, à regarder pendant des heures des dessins d'un écureuil nommé "Hugo délire", d'avoir très peur de "Mr Crocodile", et à lire le Club des Cinqs. Et ce digne représentant de ses congénères est en fait l'ami de Darc, qui l'hébergeait chez lui (D'ailleurs, Régis-Robert est un exemple pour tout son village : c'est le seul à avoir réussi à aller en ville). Maintenant, il suit le groupe dans les mines, et pourra sans doute leur être utile.

Le groupe se lève, et prend le petit-déjeuner, composé de pain, de beurre, et d'une pinte de bière (les mineurs sont assez rustres, même les jeunes).
Le repas fini, ils enfilent leur combinaison, et vont sur la place centrale du village, où est fait l'appel, tous les jours à 9h. Cet appel fut instauré
depuis que quelques mineurs se soient perdus en montagne. Chaque mineur est affilié à un peloton de 5 à 10 hommes, chacun ayant une tâche spécifique dans la mine, et le tout est soigneusement noté dans un journal quotidien : nom et prénom du mineur, numéro du peloton, et lieu et opération du jour. Or les androsiens sont aujourd'hui affecté au peloton 12, celui qui va délimiter les drapeaux zone d'activité.

"-Darc, Darc, Darc, c'est quoi qu'on va faire?
-Calme-toi, Régis-Robert, calme-toi, lui répondis Darc. On va planter des drapeaux.
-Mais à quoi ça sert?
-Ca sert à montrer où des individus comme toi ne doivent pas aller.
-Ah...Et pourquoi on a pas le droit d'y aller?
-Parce que si t'y vas, Mr Crocodile va t'croquer la kike.
-Ah! Non! Non! Ah! J'irais pas, j'irais pas, promis!
-chut, on nous donnes nos ordres."

Berund s'avança vers le bureau de coordination, où on donne les ordres. Des fonctionnaires spécialement amené de Cair Andros y écrivent les y écrivent sur du papier elfique, tout droit venu de Salindor pour l'occasion (ce sont les seules feuilles à pouvoir résister en hauteur), et les cartes des zones pour les équipes de placement de drapeaux (idem). Ayant acquis leurs directives, ils suivirent les autres mineurs vers le haut de la montagne, mais bifurquèrent vers la droite au moment d'arriver à l'entrée de la mine, pour aller dans une petite cabane où se trouvent l'équipement pour les "pelotons 12". Ils prirent les piolets, drapeaux, et autres équipements nécessaires à l'exploration des montagnes.

Puis, ils se mirent en marche vers la zone à délimiter. Au loin, en bas et vers le haut, on pouvait voir les autres équipes de délimitation. Tout serait fait en un jour. Et il n'y aurait pas de problème pour les Orques.

"-Dîtes, fit Jérôme aux autres, vous savez combien on est payés pour les drapeaux?
-Je crois, répondit Berund, qu'on a le salaire moyen des récoltes de ce matin. Si on a une moyenne de 15 couronnes de bronze par mineur, on aura ça.
-Ah, voilà la zone, dit Caroline. Darc, la carte.
-Alors, il faut planter un drapeau près du grand rocher là, tu le mets à environ 1 mètres au sud de l'entaille. Voilà.
-Eh ben, elles sont vachement précises ces cartes elfiques.
-Il parait qu'ils ont utilisés un aigle et un faucon et qu'ils ont lu dans leurs esprits.
-Ba, trancha Jérôme, c'est que des conneries. Ils sont juste bon en cartographie.
-T'as sans doute raison. Continuons."

Et ils continuèrent durant le reste de la matinée, plantant drapeau sur drapeau, sauvant deux fois Régis-Robert de la sortie de la zone in extrémis, et rentrèrent aux baraquements pour prendre leurs nouveaux ordres. Ils étaient affectés au peloton 3bis. 3bis parce que la mine se divisait en deux à l'endroit où travaillait le peloton trois bis. Ils reprirent le chemin vers le haut, et se rendirent cette fois à la cabane des mineurs, prirent une pioche chacun, et s'enfoncèrent dans la mine avec un chariot. Ils rencontrèrent d'autres mineurs qui leur indiquèrent la direction, et arrivèrent dans la bifurcation 3bis.

"-Ah, v'la la cavalerie! Héhé! Ramenez-vous, on a un problème avec le couloir d'aération!"

Les mines sont un endroit sec, et sans courant d'air. C'est pourquoi on est obligé de construire un deuxième couloir, vertical celui-là, qui permet de créer un courant d'air. C'est une des raisons pour lesquelles les mineurs humains sont moins bons que les nains : leur méconnaissance de la creusée verticale les empêchent d'aller plus profondément. Même si là, on a trouvé une petite parade : On a relié les mines entre elles, ce qui fait qu'on a pu faire petit à petit deux couloirs long de 10 mètres.

"-Mais le 2e couloir semble bouché, et on ne sait actuellement pas pourquoi!
-Vous savez à quelle hauteur c'est bouché? On ne voit rien là-dedans!
-Vaut mieux éviter les coups de grisou, alors on a prix ces petites lampes elfiques. Y a pa à dire, ces elfes, s'ils n'étaient pas aussi douillets, ils feraient de sacrés mineurs!
-Et si on était pas allié à Salindor, on serait dans la merde, répliqua un autre mineur."

Après moult débats, Régis-Robert servit enfin à quelque chose. Fidèle à son côté canin, il parvint à se faufiler dans le trou et déloger une pierre de taille moyenne. Il s'avéra plus tard que c'était lui-même qui l'avait mis dedans pendant la délimitation, croyant à une tanière de chat (les consanguins ont
vraiment des idées bizarres, parfois), et qu'il se surpassa pour faire oublier sa faute.

Après cela, sur un vent plus frais traversa la mine, et, à terme, déplaça les possibles gaz inflammables, et on alluma les lampes.
L'activité repris. On délogea du fer en grande quantité dans le couloir 3bis. Dans d'autres parties de la mine, des mineurs découvrirent des filons d'or, comme en témoignèrent leurs cris de joie. Régis-Robert flanqua un tel coup de pioche à une pierre qui ressemblait à un crocodile à corps de chat, qu'il en délogea la plus grande pépite d'or jamais trouvé de l'histoire de Cair Andros.

Les forges et les bijoutiers de Tirith Nindor vont avoir fort à faire pendant 5 ans. La journée terminée, tous rentrèrent au baraquement, mais mangèrent sur la place centrale, un grand banquet ayant été préparé dans tout les villages de mineurs pour fêter le nouvelle exploitation.

Le Soleil se couchait, privant de son aura Udùn, pierre par pierre, montagne par montagne. Demain une nouvelle journée commencera.

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Citation :: Les baraquements sont construits par les mineurs eux-mêmes, qui parfois rajoutent une touche personnelle mais cela reste des logements de travail, et tous se ressemblent fortement. Des sentiers mènent aux mines, parfois des cordes

Et ça ne te coute rien ???

Citation :: et des rails sont installés pour acheminer les minerais, avec des freins pour la descente bien évidemment.

je crois pas... au moyenne age on utilisait des rails ???
Même après on en utilisait pas...

Sinon, très jolis RP, un peu spécial, mais sympa.
Mais qui te dit que tu as déjà trouvé de l'or ??
Wink

Allez, continue comme ça, je me réjouis de lire la suite study

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Du haut de la montagne se dressait le plus grand chevalier au monde, son armure scintillante et sa stature forte imposant à tous son autorité. Chaque roche, chaque pouce de terre l'acclamait silencieusement, et le vent le fouettait comme pour l'approuver. Le grand Hugo Délire, bras armé de la Reine Karen Cheryl, pourfendeur de crabes-jaunes, et trouveur de trésor, était conquérant...jusqu'à ce que Régis-Robert se réveille.

La routine commençait à s'installer -et ce n'était pas plus mal, vu le temps qu'ils resteraient-, et le repas fut rapide, car minuté par le Ô combien subjectif temps. Et ils montèrent vers la mine, comme toujours. On venait d'apprendre que la montagne sur lequel on était situé s'apellait "Grableurg", ce qui veut dire "une montagne" en dialecte local.

En effet, lorsque les premiers explorateurs vinrent ici afin de...d'explorer, donc, ils se jetèrent tous sur les indigènes pour leur demander le nom des lieux en leur montrant du doigt ceux-ci. Cela a donné des énormités géographiques telles que "Ragoul" (ton doigt, crétin) ou encore "Treulgusch" (tu as envie de ce pigeon?). La mine vers laquelle se déplaçaient les mineurs, elle, se nommait Blagourshdoniatovskyiotaï (oui, et ben, quoi, qu'est-ce quelle a cette cabane abandonnée?).

Tandis qu'ils avançaient en passant par Klovordoursk'akanakana'ishkaku! (Le chemin de bouse pour les bouseux comme vous, pardi!), dans le village, qui autrefois se nomma Etipeutipapa'KapouË! (Fa f'est ma maisooon, madame*hic!*), on évaluait le coût des villages de mineurs.

"-Pour une maison, ça doit bien faire 2 tonnes de bois, c'est ça?,
calcula l'adjoint aux finances envoyé par Cair Andros. On a une
vingtaine de maisons par village et on a deux villages, donc environ 80 tonnes de bois, plus les chemins, 20 tonnes de bois et 5 tonnes de fer pour les chemins renforcés. Parfait. C'est beaucoup, mais ça va permettre une plus grande productivité."

Le groupe des mineurs arriva à destination. Il se mirent en position dans leur filon, et commencèrent leur travail. Aujourd'hui, ils devaient positionner les renforcements pour éviter les écroulement de couloirs. Ils plaçaient des poutres en bois, renforcées de tiges en fer, faîtes grâce à 20 tonnes de bois et 3 tonnes de tige en fer ramenées de Cair Andros. Avec ça, on aurait de quoi faire pour tout la durée de l'exploitation. En outre, on avait installé un ingénieux système qui permettait l'acheminement de plus grandes quantités de fer et or. Chaque mineur devait placer ses découvertes dans un chariot se trouvant au couloir principal de chaque mine. Le chariot était sur roues, et était attaché à une corde, elle-même remontant jusqu'à dehors, et s'enroulant autour d'une grande roue.

Cette grande roue, qu'on apellait "la roue de l'écureuil", pouvait tourner autour d'elle-même, au moyen de quatres hommes placés dedans et courant. Grâce à ce système, les hommes pouvaient remonter jusqu'à quatre fois leur poids. Et ainsi augmenter la productivité. Le tout avait coûté 20 tonnes de bois et 5 tonnes de fer, qui seraient bien vité renfloué par les atouts de la machine.

Pendant ce temps-là, le convois ramenant les 70% dû aux orques acheminant les découvertes de la mâtinée à Morannon. Il y en avait deux, un à midi, et l'autre le soir. Un plus grand partait toute les semaines pour ramener les pépites louches, expertisées pour vérifier s'il ne s'agissait pas de camelote gobelines. Ils se plaçaient à l'endroit même où s'étaient trouvé l'émissaire qui débuta cette grande histoire, puis repartaient, tandis qu'on le rechargait.

L'exploitation était lançée. Et aux yeux des gondoriens, elle marchait à merveille.

[HRP : Tu me dis si les prix ne sont pas bon. Et pour la durée de l'exploitation, elle commence maintenant?]

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Oui, je te laisse faire des RP Wink

Et parfois, je poste un petit poste pour ton or ou ton fer ^^

Parfait pour tes prix.

P.S.
30 pièces d'or de gagné Wink

» visite a son cousin
» Visite macabre...
» Visite a Cassadar.
» Petite visite de courtoisie
» Meneldor rend visite aux Nains