Ni pion ni tour ni cavalier. Mais qu'est-ce donc ?

( j'ai pas pu poster hier pour le tour 7, je vais le faire tout de suite. Pour mon tour 8, je vais poster après la fin de semaine, à cause que ma fin de semaine sera chargée. Désolé! )

[ TOUR 7 ]

La seconde ligne de 200 archers et arbalétriers au front se rangèrent sur les côtés, 100 d'un côté et 100 de l'autre, environ, un peu moins à cause de nos morts. Ceci en restant à couvers et en évitant de se mettre devant meurtrières et crénaux afin que l'ennemi ne voit pas ce qui se passe.

Et à cet instant, des deux flancs, six cent flèches et carreaux en deux volées furent envoyées sur les arbalétriers d'Orthanc, environ.

Les quatre balistes de Thralloth firent feu sur les balistes ennemies, celles en face de chacune d'elles.

Mes messagers s'embourbaient de plus en plus.

- Mon horreur! Mon horreur! Malgré le travail acharné de nos peons, la porte a été écorchée! Ils ne tarderont pas à rentrer!

- Maintenez le rythme!

Les peons continuèrent à réparer le mur, jeter les débris en feraille entre la porte du mur extérieur et la palissade, puis renforcèrent la porte. Ils commençèrent à se faire moins présent sur le sol car ils savaient que l'ennemi rentrerait bientôt...

Les fantassins continuèrent de former la colonne en tortue, vingt par quarante-cinq. Orgerg'gaeul faisait les cent pas en marchant de long en large entre la colonne et la porte du mur intérieur.

- Grrr... approchez-donc, lâches élevés dans l'ouate. Affrontez les bêtes de guerre élevées dans le sang et le combat!

(hj: Désolé pour la brièveté du post...)

TOUR 8

Lorsque les béliers d'Orthanc, après un assaut grossier sur ma porte, ils se heurtèrent à une colonne de débris de ferraille et de restes du mur qu'ils avaient assallis, une colonne de trois mètres de haut, de toute la largeur de la porte et un peu plus, et ce, jusqu'à la porte de la palissade en face qui en était recouverte, leur barrant leur passage... ou leur ralentissant le passage. Mais le génie d'Huruk II en avait sûrement vu d'autres. Une cinquantaine de mètres séparait les deux portes.

Mais la porte qui céda fut comme un bruit d'explosion dans tout Thralloth. Je le sus avant l'arrivée des messagers.

- La porte! Ils ont enfoncé la porte! me disaient-ils

Les volées de carreaux sur mes arbalétriers en projetèrent certains du haut des remparts, s'écrasant sur le sol, au sens large, une chute d'une vingtaine de mètres de haut.

Mais chaque Thrallothien savait très bien une chose: Oui, l'armée ennemie pouvait instaurer la peur et l'angoisse dans ma grande ville... mais pour mes Thrallothiens déjà endurcis par la vie, puis ensuite par Thralloth même, cette peur n'était rien face à celle de ma vengeance sur eux si jamais Thralloth tomberait.

Ainsi, chacun donnait tout ce qu'il avait pour faire son effort de guerre. Jusqu'à la mort, ou ce sera pour l'éternité, c'est ce qu'ils se disaient.

La colonne de fantassins était à présent formée. Orgerg'gaeul marchait de long en large face à la colonne, devant la porte, de plus en plus vite, il ne demandait qu'à en découdre. Les tambours et les cris gardaient haut le moral de mes ouruks d'armes!

Les arbalétriers étaient à présent massés sur les côtés entièrement, mais sans le montrer à l'ennemi. Afin que le plus longtemps possible, que les volées des arbalétriers d'Orthanc s'abattent sur la facade avant, vacante.

De l'orient vint deux volées de 350 flèches et carreaux; de l'ouest deux autres volées de 350 flèches et carreaux, toutes en direction des arbalétriers d'Orthanc.

Mes quatres balistes firent feu sur les balistes devant elles.

- Les malades ont les tripes au gosier, mon Horreur! me disaient-on

- Il faut les retenir au mur extérieur!

Les peons furent tous au sommet du mur. Ils projetèrent encore quelques débris et ferraille, du haut du mur, sur les béliers et ceux qui étaient autour de la porte et des murs. Et lancèrent les plus gros morceaux devant les béliers. Mais ils prenaient beaucoup de places, certains prirent les cordages pour se rendre au mur intérieur. Et ils se mirent à mettre des débris entre la porte de la palissade et le mur intérieur, de même que de la feraille et renforcèrent la porte de la palissade et la porte du mur intérieur.

[HRP : Bon ben ça m’aura pris du temps et la tête cette histoire mais je pense pouvoir continuer le truc. Donc, je poste un tour de bataille ici et toi, tu me fais un postes pour 10 tours de bataille, comme pour les batailles du Harad et celle de la Moria où les joueurs ne passent plus. Au moindre soucis, mp ]

Les troupes d’Orthanc entraient doucement par la brèche dans le mur. La confiance montée à bloc par leur travail, les manipulateurs des béliers entrèrent au pas quand les ordres leur parvinrent. D’abord à la suite de la tortue Ourouk-Hai, puis se précipitant droit vers la porte de la palissade. La violence du coup fut telle que la porte trembla sur ses gonds. Les cris et rires rauques des Ourouks d’Orthanc vinrent faire écho au bruit qui se répercutait sur les murs environnants.
Autour d’eux, une vingtaine de soldats vint se plaquer contre la palissade et tenta de voir au-delà via les rainures entre les poteaux, mais ils étaient si proches qu’on ne pouvait rien déceler. Les autres troupes se plaquaient contre le premier mur, se prémunissant ainsi des flèches et carreaux ennemis.

Dans la plaine, les ouargues continuaient leur avancée alors que derrière, les manieurs de baliste redoublèrent d’efforts pour démonter les balistes ennemies. Et par miracle, après qu’ils eurent tirés, ils ne virent que deux carreaux ennemis venir heurter leurs propres troupes. La confiance se raffermi et les soldats hurlèrent leur satisfaction.
Cette fois ci, les traits de Tralloth ne vinrent que des flancs. Ils vinrent après les tirs des arbalétriers d’Orthanc qui gaspillèrent une partie de leurs tirs sur le centre du mur. Mais maintenant qu’ils étaient localisés, nul doutes qu’ils seraient la prochaine cible des arbalétriers ennemis…


[HRP : Ok, c'est court, mais l'essentiel y est^^]

L'angoisse se lisait dans les yeux de mes messagers. Pour moi, qui savait tout ce qui passait en Thralloth, je savais que notre victoire était au seuil. Orthanc n'avait aucune idée du sort qui l'attendait.

S'en prendre à moi est la pire idée qui soit.

- Ça y est! Ils ont passé la porte du mur extérieur! Nous ne tiendrons plus longtemps, mon Horreur!

- Grrr... chiez-leur dessus, je m'en fiche, vous devez les retenir au premier mur! Si leurs béliers atteignent la palissade, je ferai exécuter deux ou trois officiers!

- Mon Horreur! Les malades ont leur vomissure en pleine gueule et vont tout lâcher très bientôt!!!

- Eh bien qu'ils y mettent toute la sauce au moment venu! GRROOOAAAAARRR!!!

La volée de carreaux qui s'abbattit sur le flanc de Thralloth eut raison de nombreux arbalétriers. Pas loin d'une cinquantaine furent abbatus, ou poussés en bas du mur. Des cris de douleur retentirent, indiqua à Orthanc que leur volée avait porté ses fruits. Un vent de panique les menaça, mais leur lieutenant, en dépit du carreau qu'il avait reçu dans la cuisse, pour la première fois à genoux de toute sa vie devant des simples soldats, répliqua:

- GRRR... Ils ont découvert notre ruse... eh bien doublons-la! En avant, marche!

GRRROOOOAAAARRR!! HUSH-TAL'RAH!!!

Le cri retentit jusqu'à l'autre flanc. C'était un jargon militaire de Thralloth, connu seulement des officiers.

Les arbalétriers sur les flancs revinrent tous se positionner sur la partie frontale du mur, désertant les flancs.

Et ce, dans la discrétion. Bientôt, Orthanc enverra une autre volée, et ce sera uniquement sur flancs, là où il n'y avait plus personne! Les arbalétriers se mirent en deux rangées, mettant le feu et le poison à leurs carreaux, sans se voir de l'extérieur.

Enfin, presque plus personne. Les blessés remuèrent tous. Sur les deux flancs, au total, il restait une cinquantaine d'arbalétriers blessés, encore capables de bouger. En rampant, ils encochèrent dans la souffrance et envoyèrent déspérément leur cinquantaine de carreaux hors de Thralloth, plus ou moins dans la direction des arbalétriers ennemis.

Simplement faire croire à Orthanc que leurs arbalétriers avaient presque tous exterminé ceux de Thralloth... Après cette volée, la plupart des cinquante blessés rendirent l'âme, vidés de leur sang.

Les peons sur les murs continuèrent de réparer les murs tant bien que mal et de jeter des débris sur le tas de débris obstrant les béliers d'Orthanc et la plupart de leurs troupes, et de jeter des débris divers sur la tête des ennemis.

La colonne de fantassins hurla de plus en plus fort, frappant épée contre bouclier dans un orchestre des plus harmonieux.

Le commandant de l'infanterie faisait les cent pas devant sa légion, d'une lourde respiration, prêt à repousser l'ennemi, attendant avec patience.

LES BALISTES de Thralloth firent chacune feu de leurs projectiles enflammés sur les balistes qui étaient devant elles.

Étrangement, les peons de Thralloth, depuis l'aqueduc relié aux divers puits d'eau de Thralloth, puisèrent de l'eau et les acheminèrent au mur et par le système de cordage, achmeminèrent plusieurs kilolitres d'eau en direction du troisième mur, le plus rapidement possible.

[HRP : Bon, visiblement, il y a des débris devant la porte de la palissade, balancés par les péons... Seulement, tes péons, je vois pas trop ce que c'est? Ta milice? Moi je veux bien, mais c'est pas en si peu de tours qu'ils peuvent combler énormément le chemin. Surtout s'ils doivent se déplacer au vu de leur vitesse/tour. Donc, je vais réctifier, mais il n'y aura pas autant de débris que tu le penses.

Ensuite, c'est pas à toi de dire que tes hommes meurent suite à leur dernière volée. I'm the boss^^]

Les arbalétriers d'Orthanc continuaient de répendre la mort sur les remparts ennemis. Les troupes des flancs étaient à présent réduites à très peu de choses et ce furent deux pitoyables volées d'à peine quelques flèches qui parvinrent parmi les troupes d'Orthanc, tuant une poignée de troupes. Bien peu de choses en sommes...
Mais les ourouks d'Orthanc ignoraient que les soldats de Tralloth s'amusaient à faire des voyages vers le centre de la muraille... Un voyage qui leur prendrait du temps qu'ils ne consacreraient pas au tirs.

Ensuite, faisant suite aux petits carreaux, ce furent les grands carreaux des balistes venir s'exploser parmi les troupes de Tralloth et dans un cri de joie, les artilleurs de l'Isengard virent de lourds panneaux de bois voler en l'air quand leurs traits tombèrent sur la muraille centrale. Comme pour confirmer les pensées des soldats, une seule baliste fit feu à ce moment-ci.

En bas des murs, les soldats continuaient de déblayer les débris sous couvert de la tortue Ourouks-Hai. Visiblement, les soldats ennemis avaient comblés le passage avec des débris, mais le peu de temps, de bras et de matériel ad hoc les avait obligés à n'obstruer que le passage menant à la porte d'un gros tas s'étendant deux mètres devant la porte. Les porteurs du béliers attendaient donc pendant que les autres travaillaient.

Quand aux ouargues, elles se rapprochaient fortement du grand contingeant de soldats d'orthanc qui attendait non loin...

Continuez !! Hurla le lieutenant des arbalétiers.
Que la moitié tirs et que le reste attendent de voir d'où viennent les tirs ennemis.
Tout se passait bien, bientôt les arbalétiers ennemis ne seront plus. Mais il ne fallait pas prendre de risque.


Devant, les troupes déblayaient les débris rompant leur formation de tortue.
Il fallait accélérer un peu.

Derrière, on amenait une échelle qu'on posait contre la palissade pour voir ce qu'il y avait de l'autre côté (sans passer de l'autre côté).
Les cavaliers Ouargue s'arrêtèrent sur un mouvement de leur général.
Ils s'étaient approché, maintenant il leur fallait attendre que les portes soient ouvertes pour charger.


Encore plus derrière ceux qui manipulent les balistes continuent leur travail en visant la dernière baliste ennemie.
Ils devaient la détruire, il le fallait.

Comme toujours, les ordres furent donnés et immédiatement exécutés : les ouargues s'arrétèrent, les remblais furent enlevés, et la moitié des arbalétriers envoyèrent à nouveau une volée sur les flancs des murs ennemis.

Derrière les traits des arbalètes, vinrent ceux des balistes, laissant de rares survivants sur les deux extrêmités du mur. Mais alors que le bruit des mourrants, des cliquetis des armes, se faisaient entendre, on entendit les Ourouks éhorter leurs compagnons préposés aux béliers à se mettre à l'ouvrage. Dans quelques instants, ils s'occuperaient de mettre en pièce la porte ennemie et s'y engouffreraient pour attaquer la dernière porte.

Dans la plaine, les ouargues restaient calmes, toutes proches du mur et attendant les ordres, alors que derrière, une baliste fut détruit par un tir ennemi et qu'un autre pieu embrocha un Ourouk. Visiblement, celle qui avait des ratés venait d'être réparée!

A côté des béliers, une échelle fut posée et l'ont envoya un éclaireur. Il scruta discrètement derrière la palissade pour n'y voir aucune troupe. Juste une petite distance entre celle-ci et le mur et dépourvue de troupe ou d'autres obstacles...

[ TOUR 10 ]

Enfin ce que je souhaitais entendre!

- Ça y est! Nos malades sont prêts à dégueuler à votre ordre!

- Lâchez tout et ne perdez rien pour rien! Que Thralloth les engloutisse!

Enfin, les chaudrons étaient en place! Directement au-dessus des béliers, deux chaudrons de trois mètres par trois mètres par trois mètres, un pour chaque bélier, relâcha un jet de lave en fusion vomie du fond du puit d'Isengard, qui s'abbattit directement sur les béliers et toutes les unités à moins de cinquante mètres des portes à la ronde... il fut possible que les portes et les murs en souffrent, mais ce genre de chose se réparent assez vite.

On consacra cinq chaudrons à droite et cinq chaudrons à gauche pour anhiler tous les soldats ennemis bloties contre le mur; ils versaient et dès que la lave s'écoulait, les Thrallothiens traînaient les chaudrons pour faire une traînée sur la ligne de soldats blotties plutôt que de faire des flaques inutiles et superflues. Maximiser chaque litre.

- Hyr gor!!!

Ce fut le signal pour les archers et arbalétriers concentrés sur la partie avant du mur intérieur de Thralloth. Ce fut alors deux volées successives de 650 projectiles enflammés et empoisonnés qui volèrent à l'unisson sur les arbalétriers d'Orthanc pendant qu'ils rechargeaient leurs arbalètes, croyant en avoir finit avec les arbélétriers de Thralloth, et croyant qu'ils étaient situés sur les flancs.

La dernière et non la moindre des balistes de Thralloth orienta son tir non pas vers les balistes ennemies mais vers l'officier qui commandait l'armée d'Orthanc. Et l'immense pieu de flammes fut tirée avec une précision mortelle. De toute manière... les balistes d'Orthanc ne risquaient que d'endommager les murs, mais il était impossible qu'ils fassent des tirs en cloche pour atteindre les arbalétriers s'ils étaient à l'avant. Enfin, je le souhaite...

[ TOUR 11 ] (Meneldor, tu éditeras svp, merci! Et attendez-moi pour la suite svp, merci!!!)

Bon ben non! Déjà, pas de tours 10 après le 11, faut pas déconner. Ensuite, je t'avais prévenu par MP que je continuerais la bataille après les 48h et que tu pouvais m'envoyer tes ordres par MP pour tous les tours qui seraient joués pendant ton absence, que je m'en occupais.

Alors, POUR LA DERNIERE FOIS, marre des rechignements et de tes pleurnicheries à chaque fois qu'une décision d'admin ne te convient pas! Il y a des règles, suis-les!!!
J'ai pas encore vu un autre joueur me raler dessus car je lui donne pas tout ce qu'il veut selon ses lubies du jour. Alors, fais comme tout le monde, joue en suivant les règles et amuse toi!!!

Je réponds ce soir à la bataille en éditant ce post, les 48h après le tour 11 seront passées.

[HRP : Bon ben temps que je suis dans le mouvement, je poste un nouveau tour de bataille. De toute façon, on a dépassé les 48h.]

La bataille continuait en faisant défiler inlassablement les mêmes séquences : les balistes qui s'opposaient dans un combat dont l'issue était depuis longtemps dessinée. Les arbalétriers d'Orthanc visant inlassablement le mur. Les ouargues piétinant d'impatience, le goût du sang se faisant attendre depuis que ses effluves avaient stimulé leur appétit et leur soif de vie. Les soldats attendant impatiemment les corps à corps que l'ouverture des portes des deux murs ne manqueraient pas de leur offrir.

Mais, chose changeante quoique toujours cyclique, le déblayement des débris laissa place au tambourinement des béliers contre la porte de la palissade. La porte soutint le premier choc, mais les gonds menaçaient de tomber à tout moment. Comme pour couvrir les hourras et les cris de joie des réguliers d'Isengard, des cris parvinrent du milieu du mur intérieur de la ville. D'immenses récipient furent déversés du haut du mur et vomirent leur "lave en fusion" sur... le sol, l'ordre ayant été donné bien trop tôt! Aucune troupe en présence, rien à atteindre...

Pendant ce temps, les ourouks archers des flancs furent promptement éliminés et une baliste de Ruzdush fut détruite pendant que deux d'Orthanc l'étaient...

[HRP]
Pour Ruzdúsh the Horrible, on ne peut pas monter sur une palissade... je veux dire par la, que c'est qu'une ligne de poteau... donc tu peux pas faire verser de l'huile sur mes troupes



[RP]

Les manieurs des balistes rechargeaient le plus rapidement possible pendant que deux d'entre eux visaient tranquillement.
Doucement mais surement, ils anéantiraient les ennemis.
Encore et encore des dizaines de balistes arrosent la ville, massacrant, écrasant, fesant monter la peur des projectiles, les fesant oublié le reste des troupes qui arrivent bientôt.


Les cavaliers Ouargue se préparent à charger, ils gardent leur ouarge sous contrôle et attendent que l'ordre vient.

Les arbalétiers continuent calmement de tirer.
Une moitié sur les côtés et le restent attendant de voir d'où viennent les tirs ennemis avant de tirer.
Dites chef... on va rester derrière pendant l'attaque ?? Demanda l'un d'eux à son lieutenant.
-Mais non, dés qu'on peut on avance et on aidera les autres. Il y a pas de raison qu'ils s'amusent et pas nous.
-Bien dit chef.
-Ouais, bien parlé.


Pendant ce temps, les manieurs du bélier s'en donnaient à coeur joie et fonçait contre la porte, se réjouissant déjà du moment où elle tombera.
Les troupes autour hurlent leur plaisir et leur envie de sang.
Bientôt ils pourront en profiter pleinement. Bientôt ils pourront tuer.
Pendant ce temps, les échelles étaient amené derrière la palissade en bois.

Roku regardait les troupes se préparer à avancer vers le mur suivant.
Ils étaient survolté, et il ne valait mieux pas tenter de les contenir. Bientôt cette cité tombera, Huruk II sera content.

C'était un cris de rage parmi les arbalétiers.
Le temps semblaient comme ralentis, le lieutenant vit clairement un flèche arriver sur lui et lui transpercer l'épaule.
Il grogna en regardant les dégâts autour de lui. Des Ourouks sans vie gisaient sur le sol alors que d'autres râlaient contre ces petits bouts de bois.
Il hurla quand même Arbalétiers, visez tous au centre, massacrez moi ces larves. Le sang coulait de sa blessure et la douleur irradiait dans toute l'épaule.
Mais il pouvait encore bouger un peu le bras, il ne pouvait pas l'enlever... pas comme ça. Qu'importe, il la brisa d'un coup sec et encouragea ses troupes:
Allons Ourouk-hai montrons aux autres que nous fesons du bon travail. Repeignons ce mur du sang de nos ennemis tuons tuons !!!
Et tous se remirent à tirer en prenant pour cible le centre du mur, la d'où venait les tirs ennemis.


Pendant ce temps Roku s'énervait lui aussi contre cette satanée porte.
Mais jetez la en bas, allez, tous à l'intérieur !! Montrons leur notre envie de leur sang !

Aussitôt le bélier fonça accompagné par de nombreux fantassins et tous passèrent la deuxième enceinte... plus qu'une.
Alors que les béliers se dirigeaient vers la dernière porte, les Hommes de Dun envahissaient la deuxième enceinte emmenant avec eux les échelles qu'ils ne posaient pas encore.

Afa regardaient tout cela de plus loin, il attendaient de pouvoir charger avec la cavalerie.
Tout se passait bien, il n'avait pas à intervenir. Pourtant, il redoutait quand même la dernière défense de l'ennemi... elle sera sanglante, ça c'est certain... mais les troupes Orthanc le sont encore plus quand on se moque d'elles.

Cette cité tombera et tous ceux qui s'opposèrent à Huruk II brulerons avec leur crasse.



Les Ourouk-Hai et Hommes de Dun de l'Isengard avaient jusqu'à présent peu hurler et exécutaient les ordres sans rien dire.
Mais les arbalétiers commençaient enfin à se lâcher devant la dernière volée reçue.


Loin derrière, les manieurs des balistes rechargeaient et continuaient de tirer en rigolant.
Ils fesaient un concourt pour savoir qui des balistes avaient empallé le plus de monde.
Aussi, un Ourouk-Hai dans chaque groupe gravaient sur les pieux un chiffre pour pouvoir reconnaitre les projectiles.
Projectiles qui commençaient à manquer... les réserves de pieux baissaient dangereusement...

[HRP : Arrggghhhh tout mon beau rp s'est effacé!!!!!! Navré, mais par manque de temps, je vais devoir te résumer ça :s Je m'appliquerais pour le prochain vu que tes posts sont aussi bien qualitativement que quantitativement ]

La porte tomba sous les assauts des béliers, laissant entrevoir la dernière paire de portes. Mais derrière, le spectacle qui s'offrit à leur vue fut celui d'une immense marre de quelque liquide semblable à de la lave en fusion mais qui n'en était pas!!!!

Plus loin, les balistes d'Orthanc explosèrent la dernière de Ruzdush tandis que les arbalétriers se firent feu mutuellement... Il n'en restait plus des masses à Tralloth!!!

[HRP] Zut...
Tant pis, je ferais avec ^^'


[RP]



Les Ourouk-Hais et les Hommes de Dun entraient enfin dans l'avant dernière partie de la ville. Mais une étrange substance recouvrait le sol, qu'était ce ??? Un nouveau poison, un piège ??
Roku n'hésita pas, il attrapa un homme de Dun à côté de lui et le jeta dans le liquide.
L'homme se releva vite en hurlant:
Dégueulasse du vomit... espèce d'en...
Il se tut en voyant qui venait de le pousser, et baissa la tête alors que les soldats autour d'eux éclataient de rire.

Aussitôt Roku cria pour couvrir les rires:
En avant, faites tomber cette porte.
Massacrons cette bande de larve, il nous ont montré leur nourriture, qu'ils nous montre leur sang maintenant. En avant, en avant !!!
Il regarda l'homme de Dun qui ne savait plus quoi faire et lui fit un signe de tête pour qu'il avance avec les autres. Soulagé, l'homme fonça se positionner derrière la porte.

Aussitôt l'armée chargea, les béliers foncèrent contre la porte et le reste des troupes s'engagea le long du dernier mur, les échelles furent amené, mais sans être posées...



Derrière, les arbalétiers continuaient d'arroser le mur, mais en fesant bien attention à tirer sur le haut du mur, voir de l'autre côté.
Il fallait éviter de toucher nos alliés, mais si par le plus grand des hasards, il y a des troupes ennemies derrière, pas grave du tout qu'elles savourent les carreaux de l'Isengard.
Tout les arbalétiers hurlaient maintenant en tirant sans arrêt.
Leur chef avait crié un dernier ordre: Feu à volonté. Et attendait maintenant un signal de la ville pour faire stoppé les tirs.

Il attendait, l'attente... qu'elle nullité que cette invention.
Les cavaliers Ouargue pensaient comme lui, ils en avaient plus qu'assez de devoir attendre la sans rien faire.
Mais la présence du général les empêchait de trop râler...



Encore plus derrière, les manieurs de balistes continuaient de tirer...
Mais maintenant leur cible était la ville toute entière.
Il fallait arroser l'avant de la ville, semer la peur et le doute... et qui sait gagner au concourt...
d'ailleurs écoutons ce que dise trois Ourouk-Hai autour d'une des balistes.

-Allez, bouge toi, faut qu'on recharge plus vite si on veut gagner.
-Fais ce que j'peux.
-On va gagner, on va gagner, on va gagner, on va gagner, on va...
-Oh ta gueule, va aider les deux autres à amener l'autre pieux au lieu de raconter n'importe quoi.
-C'est pas n'importe quoi... on va gagner et c'est tout.
On recevra un baril spécial de bière Naine... je le veux ce baril.
-Alors dépêche toi de nous aider.
Mais le pieux était déjà là et mit en place.
-Ça y est.
-Réglage fait.
-Feu !!

Et le pieu partit droit vers la ville, un pieu où était inscrit le chiffre 7, le chiffre de leur groupe.
Avec un peu de chance un ou deux des crétins en face se le prendront...
Oui, ils l'espéraient tout en chargeant à nouveau leur baliste.

Sur les murs de Tralloth, un Ourouk-Hai arbalétrier regardait autour de lui. Un monceau de cadavres et de blessés étaient à terre. D’autres étaient tombés et leurs corps désarticulés se trouvaient sur le sol même de la ville, devant la lourde porte qui y donnait accès. Les balistes étaient en miettes et certains de leurs manieurs étaient percés de gigantesques pieux et empalés sur les maisons de la cité guerrière, symboles de la folie de leur seigneur qui avait osé penser pourvoir vaincre Orthanc avec trois pitoyables murailles et un semblant de lave en fusion qui augmentait son mysticisme factice.

Il empoigna son arme, gueulant à ceux qui étaient encore en vie de faire comme lui. Mais à peine avait-il mit en joue qu’un pieu fila depuis l’autre côté des murailles. Il était effilé et portait le chiffre 7. Un son de mort retentit tandis qu’il avalait la distance le séparant de sa proie qui n’eut pas le temps d’esquiver. Le pieu lui défonça le crâne et l’empala sur un haut bâtiment, faisant de lui le plus beau trophée dont pouvait rêver les Ourouks de l’équipage 7. Voilà qui devrait leur assurer une victoire dans la catégorie artistique !!!

Juste devant eux, les arbalétriers envoyèrent d’immenses volées sur leurs opposants et n’eurent rien en retour ! La menace semblait être éliminée à moins qu’il ne s’agisse d’une pseudo tactique semblable à toutes les blagues dont Tralloth avait fait montre avant le reste de la bataille !

Près de la porte, les troupes entrèrent dans l’immense mare bouillante et ne s’en formalisèrent point. Les lourdes chausses des soldats les rendant quelque peu sensibles à la chaleur, mais rien d’incommodant. Ils commencèrent à envoyer leurs béliers sur la porte qui tremblait assaut après assaut, menaçant de céder. Mais chose bizarre, alors qu’un des soldats regardait en l’air, rien ne vint les troubler. Ni huile bouillante, ni projectile et même aucune insulte ! Un sentiment bizarre s’empara de ceux qui l’avait remarqué…

Les arbalétiers réarmaient encore leur armes de jets alors que leur chef scrutaient le premier mur.
Enfin une bannière étaient agitées depuis le premier mur.
La bannière de l'Isengard.
Aussitôt le lieutenant criait: Stopper le feu, en avant, en avant. Allons massacrer ces imbéciles.
En avant !!
L'ordre était transmis à travers tout le régiment les derniers tiraient alors que l'ordre fusaient.


Devant le mur, les échelles étaient préparées mais toujours pas posée.
Bientôt, bientôt se disait Roku qui surveillait l'avancée du bélier.
Ou en était-il ???
CAr pendant cetemps, le bélier fonçait encore et encore contre la porte, le bruit se répercutant à travers toute l'armée, à travers toute la ville.
L'armée était prête, enfin ils allaient pouvoir charger, enfin ils allaient pouvoir tuer.

Pourtant ils eurent un petit moment d'hésitation, rien ne venait de la ville, que se passait-il ?? Préparait-il une contre attaque ???
Qu'importe, l'Isengard était bien plus puissante.



Loin derrière les balistes continuaient d'arroser la ville.
L'équipe 7 rechargeait le plus rapidement possible leur armes tout en s'insultant joyeusement.
-Plus vite pauvre larves, les 8 sont déjà prêt...
-Tais toi, on a un tir ou deux d'avance !!
-On va gagner, on va gagner,...

Mais pendant ce temps l'équipe 8 ne se laissait pas aller.
-Allez, on est devant.
-Pas sur...
-Mais si, mais si.
-J'y crois pas une seconde... mais il vont voir qu'on est balèze.


Pourtant la réserve de pieux arrivait au bout il n'en restaient presque plus... Bientôt ils ne pourront plus tirer.

Dans la ville, un Ourouk-Hai apeuré courait comme un dératé, laissant derrière lui la dernière porte protectrice de la ville. Il filait contre le vent, dépassant les maisons qui étaient quelques temps plus tôt le théatre de la vie quotidienne de Tralloth. Il était atterré : ses compagnons gisaient là dans une marre de sang. Il était désormais le seul rescapé de son unité et il voulait fuir. Fuir loin de la mort et de la souffrance. Peu lui importait que la honte s’abatte sur lui, que son honneur soit bafoué ou qu’il ne sache pas si tous les ourouks du front étaient morts. Seul comptait sa vie et il comptait bien s’assurer qu’elle soit sauve !

Devant les portes, les troupes de l’Isengard se rassemblaient, prêtes à prendre d’assaut les murs de la ville et ses quartiers, lorsque la porte serait mise à bas. Mais tandis que les béliers s’abattaient avec violence sur les portes, celles-ci résistaient. Mais un sentiment de malaise s’empara de plusieurs troupes. Un silence de mort régnait de la ville et l’odeur de sang et de mort portée par le vent laissait les soldats sceptiques. Seuls les bruits des béliers et des tirs des balistes troublaient encore ce silence de mort…

Les manieurs de balistes chargeaient leur dernier traits en espérant faire encore mouche...
Une espérance partager par tout les groupes.
Après tout un tonneau de bière était en jeu.


Les arbalétiers enfin tous en mouvement s'approchaient de la cité mais sans se placer devant la porte... car si la cavalerie chargeait... il vaudrait mieux ne pas être devant.
Les blessés étaient laissé agonisant à leur place... on s'en occuperait bientôt.



Pendant ce temps, les troupes devant le dernier mur commençaient vraiment à craindre un piège de l'ennemi.
Roku criait aux manieurs des béliers: Allez, faites moi tomber cette porte, accélérez la cadence.
Tout en criant, il regardaient du coin de l'oeil les échelles préparées le long du mur.
Bientôt ils pourront charger... bientôt.
Il fit un signe de tête et on prépara les échelles.



Le Général Afa regardait tout ce qui se passait sans bouger.
Ses ordres était exécuté et lui ne comptait pas prendre des risques inutiles en s'avançant ou en donnant de nouveau ordres. La cité serait prise qu'importe les pertes.
Pourtant l'absence de réponse venant de la ville l'agaçait profondément.
Aussi donna-t-il des ordres aux cavaliers qui l'accompagnaient.
Préparez vous !!
Nous fouillerons cette cité pour retrouver leur Seigneur. Il doit être vivant... celui qui le ramènera sera bien récompensé. Ceux qui gênerons les autres seront tués... et ceux qui ne feront rien seront livré à Huruk II.

[HRP : Du fait de mon retard, j'accélère les batailles, mais ne pensez pas que cela favorise ou défavorise au niveau des pertes. Si vous aviez des réclamations, pas de soucis, j'écoute =) ]

Comme toujours, Afa savait quoi dire pour motiver ses troupes. Mais il ne s'agissait pas des menaces qui rassurèrent les soldats. Loin de là... c'était la récompense, l'avancement dans l'armée et la promesse d'autres batailles où ils pourraient propager la mort dans les rangs des races qu'ils jugeaient inférieures.

D'ailleurs, de plusieurs gorges s'élevèrent des rugissements qui vinrent se répercuter sur les murs de la ville, les rendant plus impressionnants. Et alors les béliers vinrent percuter les portes avec violence à plusieurs reprises. Les ourouks pataugeaient dans la pitoyable mixture envoyée par leurs ennemis et courraient avec rage contre le mur. Si bien qu'après de plusieurs coups, les portes s'ouvrèrent violemment. Et là, ce fut la surprise : personne, pas un chat.
Alors que les balistes envoyaient une nouvelle fournée sans victimes, les ourouks d'Huruk voyaient les carreaux s'empaler dans les batiments et ils virent le carnage que leurs armes de tir avaient fait. Les premiers ourouks entrés dans la ville, regardèrent sur le mur d'enceinte et y virent les cadavres pendouillant.

Comprenant qu'il n'y avaient personne, ils levèrent leurs épées et hurlèrent en se disperçant dans la ville tandis que d'autres grimpaient aux échelles ou que la cavalerie commençait à avancer... annonçant le dernier chapitre de cette bataille riche en paradoxes...

Telle une vague venant s'écraser sur les rochers, les soldats Ourouks-Hai se déversèrent dans la ville avec célérité. Les maisons étaient fouillées, les portes défoncées, les meubles renversés. Rien n'était laissé au hasard : les maisons étaient fouillées, les grandes et les étables de même! La ville militaire qu'était Tralloth ne pouvait rien devant cette marée qui renversait tout sur son passage et prenait possession des lieux. Mais alors qu'elle avançait dans la ville, un bâtiment grandissait de plus à plus. C'était vraisemblablement le palais de Ruzdush!!!

Derrière, alors que les soldats montaient aux échelles ou entraient par la porte, les cavaliers se rapprochaient, passant à côté des arbalétriers et s'apprétant à entrer dans la ville. Ils allaient enfin pouvoir se battre et étaient excités!

Les balistes commençaient à être rangées et le matériel aussi. Les soldats marchaient sur des oeufs tellement ils redoutaient la colère d'Afa si jamais l'une tombait en rade à cause d'eux...

Les oriflammes et les bannières d'Orthanc dominaient la ville. Elle commençait à tomber entre ses mains et ses soldats pénétraient plus en avant dans la ville, prenant possession de tous les endroits possibles, massacrant les pauvres fous qui n'avaient pas pu fuir.
Plusieurs équipes s'organisèrent et certains se mirent à s'occuper des blessés et à organiser quelques tours de garde tandis qu'un bélier était amené dans les tréfonds de la ville, ainsi que quelques échelles.

Afa et ses ouargues continuaient de se répandrent dans la ville. Rapidement, se déplaçant sur la rue principale, il arriva auprès des premiers ourouks qui faisaient face à l'immense château propriété de Ruzdush, l'encore seigneur actuel de Tralloth. Tandis qu'il observait la tour, de plus de plus de troupes se rassemblaient derrière lui après leurs pillages et massacres...