Ni pion ni tour ni cavalier. Mais qu'est-ce donc ?

Une nouvelle manoeuvre venait d'être effectuée par Ortanc la Grande... Elle qui avait l'habitude de bouger depuis de nombreux mois ses pièces venait d'utilisé un coup assez prométeur... Nombreuses pièces avait été mobilisé pour l'occasion... Fou, Dame... Un Mat se dessinait à l'horizon pour Thralloth mais le Roi est protégé...

Ortanc saura elle maitre en echec les tentatives de survies dérisoires de son enemi ? Un coup du berger est en passe de se produire donnant la victoire à Huruk II mais qui sait... Les Thrallothiens pourait réserver bien des surprises...

Cartes :

Attaquant Huruk II :
- 3'500 Hommes de Dun
- 1'500 Fantassin Ourouk-Hai
- 750 Piquiers Ourouk-Hai
- 1'500 Arbalétiers Ourouk-Hai
- 375 Cavaliers Ouargue
- 3 Berserkers
- 30 Balistes
- 50 Echelles
- 2 Bombes
- 2 Béliers en Métal renforcé

Défenseur Ruzduh :
- 100 Hommes de Dun
- 500 Fantassins Ourouk-Haï
- 400 Arbalétriers
- 5 balistes
- 10 échelles
- 3 tours de siège
+ 500 fantassins ourouks miliciens
+ 400 archers ourouks miliciens

Fortification :
Pallissade
Mur d'enceinte en pierre
Mur d'enceinte en pierre renforcée

Remarque : Je m'y connais pas trop en echec si ce n'est que le coup du berger se joue avec une dame un fou et sur la faiblesse d'un pion, en outre, on peut mettre mat quelqu'un en 4 tour si ma mémoire est bonne x] Huruk poura peut être nous en dire plus et si mon choix a été bon ^^

Bonne chance à vous deux, que le meilleurs gagne, j'attend votre disposition à vous deux. Ici pour Huruk (sauf indications secrete huhu) en Mp pour Ruzduh.

EDIT Talio : Après les problèmes liés à cette bataille, c'est moi qui la reprends.

Les tambour sonnaient, l'armée se plaçait.
Doucement les troupes se mettaient en position devant Tralloth.

Afa, le général Ourouk-Hai dépêché ici se tenait sur sa monture et observait les alentours.
Il venait d'Ilagam, cité prise par Huruk II. Il avait rejoins les rangs de son nouveau Seigneur avec plaisir et y trouvait son compte. Après quelques testes pour prouver sa fidélité, il était à nouveau à la tête d'une puissante armée. Afa observait ses troupes, il se fesait doucement vient, il approchait de la soixantaine mais restait imposant et respecté.


Alors que les balistes se plaçaient à 110m de la première palissade et que la deuxième rangée à 115 (Attention, baliste deuxième rangée entre première rangée).
RIEN COMPRIS DU TOUT... Oublié de te relire peut-être?...

Chaque baliste étaient actionné par 7 Ourouk-Hai.
Devant se plaçaient les fantassins Ourouk-Hai et les hommes de Dun portant les échelles et les béliers.

Les piquiers se trouvaient diviser en deux groupes égal sur chaque côté des balistes.
Les arbalétiers se trouvaient derrière les balistes, prêt à avancer.
Et les cavaliers Ouargue se plaçaient derrière tout ce jolis monde.
Les bombes se trouvaient à l'arrière avec les Berserkers qui ne semblaient pas content de se trouver derrière.


Afa leva un bras et trois cavaliers Ouargues s'élancèrent vers la ville pour des pourparlers.
Tout se présentait bien pour Afa.



[HRP]
Pourquoi le coup du Berger ???
C'est juste un placement de pièces ^^
Après viendra le coup.

Schéma de la bataille :


Les pourparlers étaient terminés, et ils avaient tourné court... Afa voyait bien le sort réservé aux diplomates ennemis à Tralloth...

La bataille pouvait commencer...

Début du tour 1

PS : Ruzdùsh pourrais-tu m'envoyer le placement de tes troupes par MP, ainsi que leurs actions (par MP).... Tu peux poster un message ici si tu veux faire un petit rp également

Merci et bonne bataille à vous deux ^^

[HRP]
Pardon pour le placement des balistes...
Je voulais dire:
B=baliste

Citation :

Camps ennemis


B B B B B B B B
.B B B B B B B

(ligne décalée pour pas qu'ils ne se tirent dessus)
Compris ???


[RP]

Ainsi ces imbéciles ne voulaient même pas discuter... ont ils seulement compris qu'ils n'avaient aucune chance ???
Ils leur suffisait de se déclarer vassal d'Orthanc et ils auraient été tranquille, sans rien payer comme taxe...
Une belle bande d'imbécile se disaient Afa.
En avant, montrons à ces chiens se qu'il en coute de tuer de émissaires sans même les écouter.
Montrons leur notre colère.

Aussitôt, les balistes furent mises en action, elles visaient en premier lieu les balistes ennemies si elles sont visibles,sinon, elles tirent partout sur le mur pour éliminer les adversaires qui s'y trouveraient.
(((Si balistes ennemies visible sur le deuxième mur, mes balistes tirent dessus.)))


Les fantassins sauf une cinquantaine et les hommes de Dun commencèrent à avancer en prenant les échelles et les béliers.
Les arbalétiers leur emboitèrent le pas pour s'approcher des fortifications ennemis.
Les piquiers se mirent euxaussi en mouvement, ils étaient loin mais avaient tout leur temps, ils avançaient doucement.

C'est une immense masse qui se déplaçait devant les murs de la ville.

Les cavaliers Ouargues et les berserkers attendaient, ils étaient tous impatients, mais leurs ordres étaient clair, ils serviraient plus tard.

Les messagers me firent le message:

- Mon Horreur, les balistes ennemies ont commencé à abîmer nos remparts et nos bâtiments!

- Allez chercher ce qu'il faut et éteignez les feux. Réparez-moi ces remparts!

En prenant leurs jambes à leur cou, les messagers allèrent faire le message à mes Peons. Ils courrurent chercher du mortier, fait avec de la boue et des cadavres, ainsi que des pierres extraites du puit d'Isengard et se dépêcherent de se rendre aux remparts, en montant les échaffaudages des palissades afin de réparer les deux murs de pierre en même temps.

Ils bouchèrent les trous autant que possible. Pendant ce temps, les tirs de Thralloth continuaient d'abbreuver l'ennemi, par le feu et le poison.

À présent que l'ennemi approchait, avait atteint une certaine distance, une flèche explosive fut envoyée au-dessus de la grande ville puis explosa. Tous les arbalétriers et archers qui avaient été disposés ailleurs que sur le rempart attaqué firent volte-face vers ce côté, s'acumulèrent aux extrémités, sauf 100 archers et 100 arbalétriers, ces 200 derniers allèrent rejoindre le rempart attaqué pour qu'il y ait trois vollées plutôt qu'une, afin que le mouvement soit plus fluide. Ceux aux extrémités, aux côtés des 2 balistes, soit les 200 restants, se mirent en formation 2 de largeur, 100 de longueurs sur les extrémités du rempart et tirèrent sur les extrémités de la masse ennemie, et toutes flèches et tout carreau était enflammé et empoisonné.

Les 2 balistes qui n'étaient pas sur le rempart attaqué étaient aux extrémités de l'ovale. Elles firent feu vers les extrémités de l'armée d'Orthanc.

Les trois balistes sur le front attaqué firent feu ( PS: je crois que tu as oublié mes tirs de balistes dans le tour 1, est-ce possible? ) sur les balistes.

Une volée en direction des béliers, une autre sur les premiers rangs, le mouvement était continu.

Afa observait la bataille de loin, le vent soulevait les branches d'un buisson devant lui, sa Ouargue grogna doucement en réponse aux cris des autres destriers qui attendaient.
Afa sentait le martèlement des troupes d'Orthanc fonçant vers l'ennemi, sentait la colère et la peur qui émanait de la cité mais aussi l'envie de sang et de frustration des soldats d'Huruk II.

Il ne bougea pas, s'imprégnant de la bataille, analysant les positions des troupes ennemies.


Le lieutenant aux balistes baissa le bras et c'est une nouvelle pluie de carrots qui partit, ayant toujours pour cible les balistes ennemies et les troupes sur le mur.

Arbalétiers en position !!
Un cris déchira l'air et d'un même mouvement les arbalétiers s'arrêtèrent et armèrent leur engins de mort.
Un second cri déchira les cieux FEUX et avec lui, une pluie de carrots s'abattit sur les troupes ennemies visible sur les murs.


Les hommes de Dun et les fantassins Ourouk-Hai continuaient leur course vers le mur, les fantassins Ourouks essayaient de se protéger des flèches ennemies avec leur bouclier laissant les hommes de Dun sans grande défense.

Derrière, les piquiers continuent leur marche pour aller les aider.


Afa se détourne un instant de ce qui se passe sur le champs de bataille et jette un coup d'oeil à l'une des plus grande puissance d'Orthanc, la cavalerie. Ils étaient la, attendant leur heure, sachant que bientôt ils pourraient faire parler leurs lames.

Afa sourit, tout se passait bien, il aurait surement pu épargner plus de vie, mais Huruk II avait été clair, il fallait se dépêcher, il était temps de passer à l'action.


Orthanc donnait la mort pour lui avoir simplement refusé de parlementer...
Orthanc donnait la mort si on l'insultait...
Orthanc donnait la mort si on lui manquait de respect...
Orthanc donnait la mort si on tuait sa population...

Ruzdúsh avait commis toutes ces erreurs... il ne lui restait que peu de possibilité, il ne lui restait que la mort.

Fin du tour 2

[HRP]

Citation :

( PS: je crois que tu as oublié mes tirs de balistes dans le tour 1, est-ce possible?

Nulle part tu ne donnes l'ordre à tes balistes de tirer...
Concernant ton ordre de rassembler tes archers pour tirer 3 volées, cela ne te rapportera rien... puisque si tu tires 3 volées, il te faut 3 personnes par arbalète (un qui tir, et 2 qui rechargent) donc tu n'y gagnes rien [/HRP]


Conformément aux ordres, 200 archers disposées sur le pourtour et qui ne faisaient pas directement face à l'envahisseur coururent sur le mur pour se placer face aux armées d'Orthanc qui les chargeaient. 200 restèrent sur les côtés et tirèrent une volée vers l'armée ennemie. Pendant ce temps, les 400 qui étaient déjà en place tirèrent également... D'abord une de 200, puis une autre de 200.

Les ourouk-hai encaissèrent la volée et poursuivirent leur marche, passant par dessus les cadavres et les simples blessés.

De la position du général Afa il était impossible de dire où se situaient exactement les troupes de Tralloth... Mais c'est alors que les balistes firent feu ! Les flèches géantes partirent de la seconde fortification, derrière la palissade en bois... Une flèche atterrit sur les piquiers, et une autre sur les hommes de Dun.

"Regardez mon général ! cria un homme de Dun de sa voix grave, les balistes sont sur les remparts les plus à l'intérieur de la ville ! Et pas sur la première rempart !"

Les arbalétriers d'Orthanc étaient en position et lâchèrent une volée en direction des remparts. La plus proche fut visée, mais il était impossible de savoir si quelque chose avait été touché... Afa ne distinguait rien et cela était bien étrange...

Le tir des 30 balistes d'Orthanc se poursuivait également...

Début du tour 3

Ruzdúsh the Horrible a écrit:

Les trois balistes sur le front attaqué firent feu sur les balistes.

( pour le tour 2 )

Mes messagers me revinrent assez vite. Ils continuaient de brailler que nos remparts recevaient les tirs de balistes ennemies.

On me rapporta que la chose se corçait. L'infanterie ouruk haï se servait de leurs boucliers pour parrer nos tirs.

Grooarr! Leur lâcheté ne cessera donc jamais?

Mais le pire était que les troupes ennemies continuaient de progresser malgré tout.

Mes chefs de guerre ne perdirent pas de temps.

- Que l'on redouble d'ardeur pour ces réparations! Ne ménagez pas notre fer, utilisez des alliages pour renforcer ce qui a été détruit! dit le général Mur d'acier

- Que nos balistes pulvérisent sur-le-champ celles de l'ennemi! Construisez-en d'avantage! Vous monterez nos nouvelles sur nos tours de siège afin de leur offrir davantage d'altitude et de portée! dit mon chef des machines

- Que l'on prépare la soupe! Et amenez-la dans plusieurs bols! dit mon chef étrange

Sans perdre l'espace d'un instant, mes messagers s'activèrent.

Les peons continuèrent de prendre des poutres et prirent des blocs de ciment et des tiges de fer pour aller réparer les dégâts faits par les balistes ennemies. ( hj: tu me diras combien de fer ça me coûtera )

D'autres se livrèrent à diverses tâches...

Puis je dis mon mot:

- Grrrr... vous allez brandir nos bannières le plus haut possible. Ainsi que le drapeau rouge. Qu'ils voient les cadavres, qu'ils comprennent le sort qui les attend! Continuez le feu! Inutile de tirer sur l'infanterie. Nous les attendrons au pied de nos murs! Concentrez les flèches et carreaux sur les autres unités, sans rien changer d'autre. Que les balistes sur les côtésmettent les feu aux béliers, à présent qu'ils sont assez proches, que ceux à l'avant détruisent les balistes ennemies! Et que Thralloth comprenne que notre viande ne s'arrêtera pas tant qu'il n'y a aura pas un vainqueur!

Archers, arbalétriers et balistes tenèrent leurs positions. Mes messagers transmirent mes ordres. Et tentèrent de faire comprendre à tous les Thrallothiens que l'armée d'Orthanc ne fera pas de quartiers. Thralloth en fera donc moins.

Les 200 du côté est tirèrent sur l'extrémité est de l'armée d'Orthanc, en continuant les rotations pour que le tir soit continu.

Les 200 du côté ouest firent de même du côté ouest.

Les 400 à l'avant firent de même pour le front.

La première volée des 400 à l'avant fut envoyée sur les arbalétriers d'Orthanc. La seconde fut pour les piquiers et les hommes de Dun. En prenant soin de mettre le poison sur les pointes et le feu, afin que les cibles soient tuées dès qu'ils soient touchés par la moindre flèche, ou le moindre carreau. Et de mettre le feu à leurs chairs, et à tout ce qui pouvait brûler.

Ils cessèrent de tirer sur les fantassins, se concentrant uniquement sur les autres.

Ceux sur les côtés firent de même pour les extrémités de l'armée d'Orthanc, afin de ne pas se faire encercler.

Les deux balistes sur les côtés éjectèrent leurs projectiles enflammés sur les béliers et les trois balistes à l'avant firent feu sur les balistes ennemies.

Les peons voyagaient d'un mur à l'autre par le biais des cordages en transportant les matériaux de réparation.

Les fantassins mirent leurs boucliers au-dessus de leurs têtes en essayant de recouvrir également les archers/arbalétriers au cas que l'ennemi enverrait ses flèches par-dessus les murs de Thralloth.

Les peons hissèrent haut nos bannières, celle de Thralloth se tenait fièrement au-dessus de ma tour, bien haute, avec tout plein de crânes de créatures des montagnes embrôchées par le mât soutenant la bannière.

Le pavillon rouge avec le crâne noir fracassé fut visible, signifiant que l'ennemi de Thralloth ne survivra pas. Malheur aux vaincus. Pas de quartiers, pas de prisonniers.

Puis des carcasses plus ou moins humanoïdes furent hisser en les propulsant par-dessus le mur extérieur, où les balistes avaient frappées et que mes peons réparaient avec tant d'ardeur, tenus par une corde. Un tas de carcasses sales furent visibles de l'extérieur, afin que l'ennemi voit à quel point les Thrallothiens étaient des malades dégénérés. Des animaux sauvages qui prenaient plaisir à tuer.

[HRP]

Ruzdúsh the Horrible a écrit:

Ruzdúsh the Horrible a écrit:

Les trois balistes sur le front attaqué firent feu sur les balistes.

( pour le tour 2 )

Et tes balistes ont tiré au 2è tour, puisque tu en as donné l'ordre... c'est au premier tour par contre qu'elles n'ont pas tiré puisqu'il n'y avait pas d'ordre...[/HRP]

Fin du tour 3

Les arbalétriers d'Orthanc reçurent leur ordre et se mirent en marche aussitôt ! Ils étaient à environ 75m du premier mur.

Plus loin devant, les hommes de Dun mêlés aux Ourouk-hai, transportaient toujours les béliers et les échelles tout en marchant aussi vite que possible vers le mur... Il leur restait maintenant encore un peu plus d'une trentaine de mètres pour y arriver...

Afa observait toujours les murs, à la recherche d'un signe qui lui permettrait de savoir où exactement se trouvaient les troupes ennemies... Il ne les voyait pas, par contre, il voyait clairement d'où étaient tiré les volées de flèches ! D'ailleurs, une volée de 100 flèches partit du côté droit des remparts qu'il avait face à lui, et elle fut suivit par une autre volée du même côté. Ces deux volées atterrirent sur les piquiers ourouk qui avançaient avec le reste de l'armée. Soudain, une autre volée de 100 flèches partit de l'autre extremité du mur, complètement à gauche... et elle fut à son tour suivit par une autre volée de 100 flèches.... toutes deux visaient les piquiers à l'extrème gauche de l'armée d'Orthanc...

Puis ce fut le centre du mur qui fourmilla de centaines de carreaux d'arbalètes qui visaient les hommes de Dun et Ourouk-hai... Puis une autre volée d'environ 200 flèches et provenant du même endroit s'envola et atterrit sur les arbalétriers qui couraient.

Un des lieutenant d'Afa vint à lui :
"Voilà Monseigneur, je pense que vous savez maintenant où se trouvent les troupes ennemies, même si nous ne les voyons pas... Elles sont visiblement réparties équitablement sur le mur le plus proche de la ville... le dernier que nous auront à passer."

Les trente balistes continuaient leurs tirs massifs en direction des murailles de Tralloth. C'est alors que les balistes ennemis les attaquèrent directement ! 3 tirs furent directement dirigés contre eux ! Une baliste vola carément en éclat alors que des ourouk-hai qui en maniaient certaines tombèrent sous le poids et la force des flèches géantes !

Dans la ville, les petits orques qui avaient pour mission de réparer les murs et la palissade commençaient sérieusement à prendre peur... Certains fuyaient devant les tirs des balistes d'Orthanc, d'autres par contre tentaient tant bien que mal de remplir leur rôle.

Des cadavres furent pendus aux remparts...

Début du tour 4

[/quote]

HRP : Cette bataille est un vrai enfer... pour moi...
Essayez d'être clair dans vos propos !
Ruzdush arrête stp d'inventer des histoires de balistes qui se créent durant le combat, etc...

merci, et bonne bataille à vous deux.

Ruzdúsh the Horrible a écrit:

Les deux balistes sur les côtés éjectèrent leurs projectiles enflammés sur les béliers

(pour le tour 3)

La frénésie des mes messagers ne faisaient que s'accroître.

- Mon seigneur! Mon seigneur! L'infanterie de l'ennemi se sont massés sur le mur extérieur pour se couvrir de nos flèches et carreaux!

Mes chefs de guerre ne perdirent pas de temps.

- Qu'en est-il de leurs arbalétriers?

- Ils ne tarderont pas à les rejoindre!

- Abbatez-les! Deux volées sur eux, une indirecte sur ceux qui sont acculés à nos murs! Qu'en est-il de nos côtés?

- C'est la même chose.

- Non. Dis-je. Que toutes les flèches et carreaux de Thralloth volent vers les arbalétriers ennemis. Si les fantassins ennemis sont avec eux, ils pourraient peut-être couvrir leurs compagnons avec leurs boucliers. Ils tentent de nous intimider. Et ils n'ont pas compris dans quel cauchemar ils se sont plongés.

Mon regard bouillonnait d'assurance.

- Bien, mon Horreur. Je vais transmettre aux archers et arbalétriers de ne pas faire de tirs indirects et d'abbattre les arbalétriers ennemis.

- Bien. Que nos balistes fassent voler leurs balistes en éclats.

Les messagers s'activèrent et allèrent transmettre mes ordres. C'est alors qu'un messager horrifié et hurla en trombe:

- LES BÉLIERS!!! LES BÉLIERS ENNEMIS SONT À NOS PORTES!!!!

Je me mis à me bidonner farouchement.

- HA HA HA HA!! Ainsi, ils se sont tous donné rendez-vous au pied des murs et portes de Thralloth! Convoquez tous nos malades et qu'ils aillent leur dégueuler dessus, HA HA HA HA HA!!!

Mon chef étrange, visiblement faible d'esprit pour un ouruk haï, mais qui ne l'était pas tant en réalité, se mis à rire avec moi.

Sur les remparts...

Les deux cent archers arbalétriers du côté de l'ouest firent feu en deux volées continues vers les arbalétriers ennemis.

Les deux cent archers arbalétriers du côté de l'orient firent feu en deux volées continues vers les arbalétriers ennemis.

Les quatre cent archers arbalétriers du front firent feu en deux volées continues vers les arbalétriers ennemis.

Les trois balistes à l'avant firent feu sur les balistes ennemies.

Les deux balistes sur les côtés firent feu sur les balistes ennemies.

[HRP]Pas besoin de me citer tes ordres Ruzdush
Si je ne dis rien, c'est que tes balistes n'ont pas touché les béliers ennemis.
PS : Et merci pour les ordres, c'est beaucoup plus clair et donc beaucoup plus facile pour moi ^^[/HRP]

Fin du tour 4

Les fantassins ourouk accompagnés par les hommes de Dun coururent pour se coller contre les murs ! Ils se pressèrent devant la porte, et les ourouk-hai levèrent leurs boucliers pour s'abriter des projectiles qui venaient des remparts. Un bélier était déjà en place et commençait à taper sur la porte ! L'autre arriverait d'ici peu...

La porte vibrait et le bruit se faisait entendre jusque dans le palais de Ruzdush au centre de la ville ! Elle ne tiendrait pas longtemps, surtout avec l'arrivée d'un second bélier.

A l'arrière de la formation, les 29 balistes se réorganisaient ! Ils avaient de nouveaux ordres et devaient donc ajuster la trajectoire de leurs projectiles en modifiant la visée des engins. 7 balistes visaient les archers de droite, 7 autres se chargèrent de ceux de gauches, les 7 suivantes prirent pour cible le centre du mur, et les 8 dernières s'occupèrent de viser dans la direction des balistes ennemies. La manoeuvre leur prit un certain temps, et ils ne purent tirer tout de suite...

Depuis Tralloth, toutes les balistes firent feu en même temps, et toutes dans la même direction : les balistes d'Orthanc ! De nouveau, une baliste vola en éclat ! Des morceaux de bois giclèrent et des ourouk-hai moururent sous les traits acérés... Une flèche géante atterrit juste à côté d'une baliste, endommageant ses roues et empêchant la baliste de bouger !

Par contre, aucun ourouk-hai ne sortit du lot pour aller rejoindre les 50 fantassins juste devant eux... Il ne devait pas y avoir de manoeuvre en trop...

Pendant ce temps, les arbalétriers couraient toujours vers la cité. Ils étaient à présent à un peu moins d'une cinquantaine de mètres des murs. Soudain, une large volée qui provenait de toutes les troupes disposées sur le mur décolla ! Les arbalétriers étaient visés cette fois, et ils furent bien visés ! Toute la première ligne s'effondra d'un coup ! Les arbalétriers encore debout ne s'arrêtèrent pourtant pas...

Début du tour 5

HRP : Ruzdush, pourrais-tu utiliser une couleur un poil plus clair stp ?
Pour mon confort, merci

Afa restait droit sur sa Ouargue, il savait ce qui allait se passer.
Orthanc subissait de nombreuses pertes mais la prochaine volée serait meurtrière.
Bientôt les ennemis fuiront.

Les cavaliers Ouargues s'impatientaient et ils avaient raison de l'être.
Mais pas encore, pas encore...


Les arbalétiers furent fauché par les tirs ennemis, mais ils ne s'étaient pas arrêté.
Mais maintenant c'était le moment.
Stop, en position !! Hurla une voix, aussitôt les arbalétiers s'arrêtèrent et se mirent en position.
Feu

Et une volée de flèches accompagna les carreaux des balistes sur le troisième murs...
La mort s'abattit...


Les béliers continuaient de percuter la porte, les fantassins restaient en tortue.
Les Hommes de Dun ainsi que les piquiers restaient le long du mur, se servant au pire des morts comme d'éventuels boucliers.

(hrp: celle-ci te sied-t-elle mieux?)

- CARREAUX!!! À COUVERT!

Et voilà, l'ennemi avait envoyé une puissante volée en tir indirect vers le rempart intérieur!

Les fantassins se mirent à couvers sous leurs boucliers en couvrant un arbalétrier chacun à côté de lui, se collant le plus possible... l'heure n'était pas à se poser des questions douteuses...

Tous se massèrent contre le rempart équitablement, en évitant de se mettre devant les meurtrières.

Pendant ce temps, massés contre le mur, les archers et arbalétriers firent feu sur les arbalétriers ennemis.

Une fois la volée passée, la seconde lignée d'archers et arbalétriers du front se mirent en position et envoyèrent une volée en tir indirect vers les béliers, puisqu'ils ne pouvaient les voir, mais connaissaient tous bien les dimensions de leur ville chérie. Ils espérèrent que les béliers prennent feu suite à cette volée de 200 flèches et carreaux enflammés et empoisonnés.

Mes archers et arbalétriers sur le côté de l'ouest envoyèrent deux volées consécutives vers les arbalétriers ennemis.

Mes archers et arbalétriers sur le côté de l'orient envoyèrent deux volées consécutives vers les arbalétriers ennemis.

Mes messagers se faisaient de plus en plus nerveux.

- Mon horreur, mon horreur! L'ennemi a envoyé une volée de carreaux par-dessus le mur d'enceinte fortifié! La seconde volée du front a été dirigée non vers les arbalétriers, mais bien vers les béliers! Un autre bélier est en route vers nos portes!

- Parfait, j'allais en donner l'ordre. Renforcez la porte extérieure. Que nos balistes éclatent l'autre bélier si il est encore en vue. Sinon, éclatez leurs balistes. Maintenez le cap avec les archers et arbalétriers.

Un autre messager s'activa.

- Mon horreur! Nos fantassins tentent tant bien que mal de protéger nos archers et arbalétriers contre les tirs ennemis!

- Les archers et arbalétriers ennemis tomberont à le prochaine volée. Que nos fantassins soient prêts au combat. Lorsque l'ennemi arrivera par nos portes, si notre colone de soldats se tient dans le portail, le nombre de soldats n'aura alors plus d'importance! Mais laissez-les venir jusqu'à l'enceinte! Fortifiez nos portes! Et surtout, gagnez du temps!

Je dis la dernière phrase en regardant mon chef étrange, qui me dit solenellement:

- Nous n'avions pas prévu que les malades marchent lentement. Il leur faudra du temps pour enteindre le mur extérieur pour dégobiller.

Personne ne semblait comprendre quoi que ce soit, à part lui et moi, bien sûr. Bon sang, j'entends les béliers résonner jusqu'ici.

- Il faudra un chef pour mener nos soldats! dit un des chefs de guerre

- Qu'on aille quérir Ozberg'gaeul. répondis-je sèchement. Et approchez les tours des balistes

Tous les fantassins reçurent l'ordre de descendre des remparts, ils se mirent à descendre, et plus tard, seront en position de colonne devant la grande porte du mur intérieur... mais cela va prendre du temps de positionner tous ces soldats! Et pendant qu'ils descendent, ils positionnèrent leurs boucliers de sorte à pouvoir encaisser une seconde volée ennemie!

Ceux qui étaient derrière la file d'attente restèrent proches des archers et arbalétriers, pour les protéger en cas d'une autre volée, de même qu'eux-même!

Les tours de siège approchèrent de l'endroit où étaient les balistes. On les prépara au cas où les balistes devaient y être chargées, mais ce n'était pas le cas pour l'instant.

Pendant ce temps...

Un jeune gamin de Dun arriva au manoir de Ozberg'gaeul. Il frappa avec ardeur sur la porte. Un garde personnel lui répondit.

- Qu'est-ce que ça est?

- Un message de la part de l'Horrible! Nous sommes attaqués!

- Gaeuh?

- Je dois voir Ozberg'gaeul!

- Meuh!

Le garde, portant une armure ouruk et un fier pike, l'amena dans le vaste manoir de celui qu'on surnomme: « Le casseur de gueules ». Parce que des gueules, il en cassé depuis sa création il y a deux ans.

- Ozzi! C'est pour toi!

Un lit fait de fourrures de boucs figurait au milieu. L'endroit à l'allure de donjon donnait la chair de poule au gamin. Une silhouète grande et bâtie s'en éleva. Il y avait un harem de jeunes femmes de Dun dans son lit. Toutes lui apportaient leurs caresses et leurs charmes, sort qu'elle appréciait par rapport à toutes les horreurs qu'on aurait pu leur imposer à la place. Repoussant celle sur lui, mon fier casseur de gueules se leva. Il était plus grand que la moyenne des ouruk haï. Pas plus grand et dangereux que moi, mais il avait de l'expérience en tant que tueur d'Houruk Haï.

En Isengard, il fut fait prisonnier à cause de quelques indisciplines dans l'armée, malgré son rang d'officier. Il avait tué de nombreux soldats récalcitrants et même des supérieurs qui le faisaient chier.

Aujourd'hui, je l'ai libéré de son esclavage, et donné ces quelques femmes pour calmer quelque peu ses ardeurs, ha ha ha ha!

- GRREUHH... Qu'est-ce qui se passe?

- Ozberg'gaeul! Nous sommes attaqués!

- Atta... quoi?

À ce moment, un trait de baliste défonça le plafond de sa demeure, le surprenant. Son harem poussa des cris horrifiés.

- Vous devez vous rendre à la porte du mur intérieur pour diriger nos soldats! L'ennemi va bientôt pénétrer et vous devez le tenir dans la porte! Il ne doit pas entrer dans Thralloth!

Le harpon tomba du plafond et atterrit juste à côté de son lit. Les filles sortit en épouvante, s'aculant contre un mur. Le gamin se cacha derrière le garde, surpris et nerveux. Ozberg'gaeul marcha vers le harpon et se pencha pour l'examiner. Il reconnu la bannière d'Huruk II qui traînait derrière. Il leva la tête vers le ciel, le visage de fauve menaçant:

- Grrr... l'Isengard... j'aurai enfin ma vengeance... GRRROOOAAARRR!!!!

Pendant ce temps, les cinq balistes firent feu vers le bélier qui approchait, ou s'il n'était pas en vue, les balistes ennemies vis-à-vis elles.

Ozberg'gaeul sortit de chez lui, sa fière armure de plaques soudées, renforcées et cloûtées revêtue, son pavois dans la main gauche, sa hallebarde géante dans la main droite, ses deux épées à double pique dans leur fourreaux accrochés à son dos. Sous son casque, il écumait de rage, fonçant vers la porte, voyant les soldats commencer à se positionner.

Il hurla à l'intention des fantassins se mettant en poisition progressivement:

- SOLDATS DE THRALLOTH! Ceci est un grand jour! Une journée baignée par le sang de notre ennemi, pas le nôtre! En cette journée mémorable, Thralloth aura reçu son baptême de sang, et du feu! C'est par le sang et le feu que le règne de l'Horreur sera emtamé, et c'est par le sang et le feu qu'il devra se terminer! Mais ce jour n'est pas adevenu! Aujourd'hui, nous massacrerons et mangerons ce qui reste de cette armée envoyée par Huruk II lui-même, la ligne de front de la grande armée de l'Isengard! Pour le feu! Pour le sang! Et pour l'Éternel Horreur! GROOOOAAARRRR!!!

Un hurlement de la part de chaque fantassin de Thralloth, en mouvement ou en position, retentit et résonna dans toute la Grande Ville.

Pendant ce temps, les orques peons sur la muraille extérieur déplaçèrent des poutres en fer pour les mettre sur la porte afin de la renforcer, ils tentèrent, par le système de cordage, d'en recouvrir la porte et les clouer au portail, afin que la porte soit hermétique. S'il le faut, ils remirent une seconde couche par-dessus, perpendiculaire à la première.


(hrp: J'ai mis les contres-attaques en orange^^)

[HRP] Ruzdush, qu'est-ce que tu appelles "tir indirect" ?
Tu veux faire ricocher tes flèches contre quelque chose ou quoi ?
J'ai un peu de mal avec cette notion de tir indirect...

Fin du tour 5

Les balistes étaient prêtes à faire feu ! Chaque groupe avait sa propre cible !

7 carreaux géants s'abattirent aux environ du centre du mur... Mais peu tombèrent en plein dessus ! Il fallait encore effectuer certains réglages...
Il en fut de même pour les autres balistes qui tentèrent tant bien que mal de suivre leurs ordres...

Sur la droite du mur, seule une baliste parvint à faire mouche... les autres tirant principalement au dessus. Sur la gauche du mur, 2 carreaux géants tombèrent en plein dessus... On pouvait entendre des cris provenir des unités positionnées sur le mur.

Concernant les balistes qui tiraient sur les catapultes, leurs carreaux volèrent dans leur direction et s'écrasèrent sur elles... L'une des balistes de Tralloth vola en éclat ! (la baliste qui sauta était placée en plein centre du mur).

Quant aux arbalétriers d'Orthanc, ils s'arrêtèrent instantanément au son de la voix de leur général. Ils mirent en joue, et lachèrent leurs carreaux en direction du dernier mur... Ils visèrent juste devant eux...

Sur le rempart, les troupes de Tralloth se pressaient contre le parapet devant eux, tentant d'éviter les créneaux... Mais ils n'eurent que très peu de temps pour se déplacer, et bien que les ourouk levèrent leurs boucliers pour protéger un maximum de leurs compères, La volée de plus de mille carreaux s'abattit sur eux et fit plus d'une centaine de morts !

Après avoir reçu les flèches, tous les arbalétriers et archers qui pouvaient tirer tout de suite se levèrent et lancèrent une volée en direction du bas de la porte du premier mur... Ils ne les voyaient pas, et ne savaient même pas avec certitude s'ils pouvaient les atteindre... Ils tirèrent haut dans le ciel, et les flèches atterrirent devant la porte, mais pas sur les béliers qui étaient bien trop proches du mur...

Des hommes de Dun et des ourouks tombèrent sous les carreaux des arbalétriers de Tralloth... Mais devant eux, rien n'avait l'air de vouloir empêcher les orques de taper sur la porte... Le premier bêlier continuait son travail, et le second arrivait maintenant au contact de la porte et commençait ses mouvements de va-et-vient... Les deux frappaient avec violence sur la porte et les ourouks de Tralloth ne pouvaient que les entendre faire...

Les archers qui se trouvaient sur les côtés du mur se levèrent également après avoir reçu les tirs des balistes d'Orthanc. Ils tirèrent sur les arbalétriers ennemis ! Deux volée d'un peu moins de deux cents flèches s'abattirent sur les arbalétriers d'Afa...

Début du tour 6

Ces coups de béliers excitaient la haine à chaque coup dans mon coeur à l'égard du félon Huruk II.

Et excitaient quelque peu mes messagers. Ils m'arrivèrent en trombe:

- Mon Horreur, mon Horreur! Le second bélier est toujours debout et a rejoint l'autre! Et pire encore, nous avons commencé à subir des pertes! Une centaine, environ, de nos soldats sont tombés sous les carreaux d'Orthanc!

Le chef des archers répliqua sèchement.

- Nous sommes mieux protégés qu'eux! Ne cessez pas de tirer et restez couverts derrière les murs! Bon, pour le temps que les arbalétriers ennemis seront encore debouts, l'ensemble des archers et arbalétriers sur la facade avant vont se rabattre sur les côtés. Il faudra beaucoup plus de temps pour les arbalétriers ennemis pour contourner Thralloth!

- Et nous avons perdu une baliste!

Le chef des machines repris:

- Les tours sont-elles prêtes à acceuillir les balistes?

- Nous n'attendons plus que vos ordres!

Je continuai:

- Vous allez leur balancer sur la gueule tout ce que vous pouvez avec notre fer, sur les béliers. Et ne cessez pas de renforcer la porte! Ce sont des hommes de Dun qui sont en bas pour la plupart, de leur côté. Ce sera le chaos pour introduire leurs soldats dans notre grande ville. Ces archers et ces balistes doivent être éradiquées au plus vite! Conservez le même rythme!

Mon messager retourna transmettre mes ordres.

Les archers et arbalétriers à l'avant envoyèrent deux volées successives d'environ quatre cent flèches et carreaux sur les arbalétriers ennemis.

Simultanément, les deux cent archers et arbalétriers du côté de l'orient envoyèrent leurs deux cent flèches et carreaux en deux volées successives sur les arbalétriers ennemis.

Les deux cent archers et arbalétriers du côté de l'ouest envoyèrent leurs deux cent flèches et carreaux en deux volées sur les arbalétriers ennemis.

Par la suite, les archers et arbalétriers sur l'avant allèrent rejoindre ceux sur les côtés, en se déplaçant contre le mur le plus possible, en position penchée. Et sans passer devant meutrières et crénaux, afin que les arbalétriers ennemis ne se doutent de rien. Ce mouvement, je crois, n'est pas visible de l'extérieur. Une manoeuvre qui plut à mes soldats.

La baliste de l'orient tira sur les balistes devant elle, celle de l'ouest et celles à l'avant firent de même avec celles devant elles.

Les nuées de feu des volées de Thralloth étaient fantastiques. Si l'ennemi envoyait une autre volée, ils se massèrent contre le mur en se recroquevillant, se protégeant avec leurs énormes arbalètes. Le mur montait à un mètre au-dessus de leurs têtes et ils tiraient par les meutrières, les pertes par carreaux devraient donc être minimes... enfin, je le souhaite...

Devant la porte, à environ cinquante mètres, la colonne de fantassins faisait face, d'une largeur de 20 fantassins et d'une longueur de 50 fantassins, environ. 20 fantassins, c'était la largeur de la porte.

Ils mirent leurs boucliers ennemis au-dessus de leurs têtes. Tous étaient prêts à en découdre dès que l'ennemi passera, de les repousser hors de Thralloth. Des chansons de guerre dans notre langue retentirent, les tambours s'agitèrent, les hurlements tentèrent de couvrir le bruits des béliers.

Pas loin d'un millier d'Houruk Haï hurlèrent toute leur rage et se montèrent le moral ainsi.

GROOOOOAAARRRR!!!

Au mur extérieur, les peons rassemblèrent les matériaux morts, de même que des morceaux de ferraille énormes et les jetèrent sur les béliers ennemis.

D'autres continuaient à renforcer la porte avec d'immenses poutres en fer. La porte bougeait sous le coup des béliers. Les peons travaillèrent comme des diables, la sueur au front!

Un des ouvriers eut alors une idée.

- Je sais! Ces béliers sont lourds et difficiles à transporter! Nous allons tourner cela à notre avantage! Apportez les morceaux de fer dont nous n'avons pas besoin!

Ils continuèrent à renforcer la porte en mettant des couches de poutres recouvrant hermétiquement la porte.

Puis ils prirent alors des gros retails en fer dont ils n'avaient pas besoin ou qui étaient tombés des murs et les mirent de façon à bloquer la porte, mais formèrent une marée de bidules en fer jusqu'à la porte de la palissade, la recouvrant elle-même de morceaux de fer.

- Vous voyez? Lorsque les béliers vont pénétrer le mur extérieur, ils devront passer par-dessus tout ce bordel en fer qui fait bien deux ou trois mètres de haut! Sans parler des soldats qui vont se presser pour entrer! Beau travail, continuons! L'Horreur nous récompensera!

Ils continuèrent de réparer le mur, fortifier la porte et alimenter le bordel de fer et de pierre.

HRP:

Citation :

Devant la porte, à environ cinquante mètres, la colonne de fantassins faisait face, d'une largeur de 20 fantassins et d'une longueur de 50 fantassins, environ. 20 fantassins, c'était la largeur de la porte.

Ils mirent leurs boucliers ennemis au-dessus de leurs têtes. Tous étaient prêts à en découdre dès que l'ennemi passera, de les repousser hors de Thralloth.

Elles apparaissent comme ça par magie tes troupes ? POUF !?

Non, il ne me semble pas... Donc si tu veux avoir des troupes à cet endroit, tu donnes des ordres, et tes troupes se déplaceront... Pour le moment il n'y a personne à toi de l'autre côté de la porte, à part quelques gobelins qui courent dans tous les sens pour renforcer les brisures de la porte et de la muraille.

Citation :

Nous sommes mieux protégés qu'eux! Ne cessez pas de tirer et restez couverts derrière les murs! Bon, pour le temps que les arbalétriers ennemis seront encore debouts, l'ensemble des archers et arbalétriers sur la facade avant vont se rabattre sur les côtés. Il faudra beaucoup plus de temps pour les arbalétriers ennemis pour contourner Thralloth!

Je n'ai strictement rien compris...
Tu veux que tes archers se déplacent ? Ou tu veux qu'ils tirent (comme c'est marqué plus bas dans ton RP, en orange)

Fin du tour 6

Les deux béliers tapaient encore et toujours avec force contre la lourde première porte de Tralloth et... CRAAAAAC ! Un grand bruit prit le pas sur tous les autres : la porte venait de céder ! Aucune troupe ne pouvait encore passer, mais le centre de la porte était maintenant détruit. En regardant furtivement de l'autre côté, les ourouk-hai et hommes de Dun se rendirent compte qu'il n'y avait aucun ennemi derrière cette porte !

"Encore un effort bande de rats ! hurla un ourouk-hai en direction de ses acolytes qui maniaient les béliers. La porte est ouverte ! Encore quelques coups et elle sera détruite et nous pourrons passer !"
Derrière, les hommes de Dun et les piquiers se pressaient contre eux pour se protéger des volées ennemies...

Les balistes d'Orthanc tirèrent une fois de plus, chacune tentant de viser les mêmes cibles que précédemment... Elles se réglaient peu à peu... Le tir fut déjà plus efficace ! La plupart des traits atteignirent leur but, bien que faisant peu de morts : les remparts protégeaient bien les unités ennemies. On put néanmoins entendre quelques cris...

Les arbalétriers d'Afa lâchèrent une volée en même temps que les balistes. Leurs flèches atterrirent au même endroit : sur les remparts, au centre ! Les archers ennemis mêlées aux ourouks se protégèrent comme ils le purent, mais une cinquantaine d'entre eux tombèrent tout de même. Après avoir encaissé les carreaux ennemis, ils se préparèrent à faire feu à leur tour, visèrent les arbalétriers et lâchèrent leurs projectiles fumants ! A leur droite et à leur gauche, les autres archers firent de même. Près de six cents flèches atterrirent sur les arbalétriers d'Orthanc qui rechargeaient leurs armes pour la prochaine vague. Plus d'une centaine s'effondrèrent !

Ce fut au tour des balistes de Tralloth de faire feu ! Leurs traits acérés atterrirent sur le groupe des balistes, et deux d'entre elles volèrent en éclats ! Des morceaux de bois giclèrent et blessèrent les ourouk aux alentours...

Pendant ce temps, à l'intérieur des remparts, des gobelins tentaient de récupérer un maximum de matériaux possible et de les laisser trainer pour ralentir la progression des béliers dans Tralloth...

Début du tour 7

Fin du tour 7

Les deux béliers frappèrent au même instant, et les deux pans de la porte giclèrent une bonne fois pour tout, laissant la voie libre aux armée d'Orthanc ! Conformément aux ordres, les béliers ne bougèrent pas... Ils patientèrent sagement pendant que les ourouks passaient devant et commençaient à mettre en place la tortue pour leur permettre d'avancer à l'abri des projectiles ennemis.

Les hommes de Dun et les piquiers ourouks se collaient toujours derrière les ourouk-hai...

Au loin, à plus d'une centaine de mètres du mur devant lequel se massaient les troupes d'Orthanc, les ouargues commençaient à bouger progressivement en direction de la ville...

Quelques mètres devant, les ourouk qui maniaient les balistes s'employaient à semer la mort sur les remparts, bien qu'ils ne voyait plus les troupes ennemies (en réalité, c'est à ce moment qu'ils se demandaient s'ils les avaient jamais vu).
Leurs flèches partirent en direction des remparts ! Six traits sur la gauche, sept sur la droite, six au centre et sept qui se répandaient sur les balistes.

De nombreux cris se firent entendre depuis les murs, bien plus que d'habitude...

Quant au balistes ennemies, il fallait maintenant attendre leurs tirs pour savoir si Orthanc en avait touché ne serait-ce qu'une seule... Afa patienta, patienta et patienta encore...

Un trait ennemi s'envola dans le ciel... puis un autre... Afa espérait... Mais un autre prit son envol... Afa priait... Et un dernier décolla également ! Ces quatre projectiles étaient toujours dirigés contre les balistes d'Orthanc, mais cette fois, une seule d'entre elle fut touchée, et seulement partiellement.

"Mais bon sang ! grommela un des ourouk-hai. Aucune n'a été détruite encore ! Mais c'est impossible de leur tirer dessus à ces saletés de morceaux de bois ?"
L'ourouk retourna à sa catapulte alors que Afa et les ouargues passaient tranquillement son unité pour continuer vers Tralloth.

Les arbalétriers d'Orthanc mirent en joue et firent feu aux ordres de leur nouveau capitaine ! Les carreaux s'abattirent sur les rempart avec un bruit assourdissant, comme un coup de vent brutal fauchant les blés au soleil. De nouveau de nombreux cris résonnèrent et... aucune flèche ne vint depuis les remparts en réponse à la volée des arbalétriers d'Orthanc.

Début du tour 8

Les arbalétiers tirèrent... aucune volée ennemie ne vint en retour.
Que se passait-il ???
Ou était passé les ennemis ???
Tant pis, on ne s'arrête pas.
Tirer encore, ne leur laissez pas le temps de partir ou de se reprendre. Tirez !! Hurlait un des lieutenant. Ils n'étaient plus des cibles, ils pouvaient donc continuer leur travail.
Il fallait les terroriser, leur faire prendre conscience que le ciel leur en veut. Qu'il n'y a pas d'échappatoire. Ainsi était la technique de combat d'Orthanc, la PEUR.



Contre le mur, les tortue s'étaient avancées, aucune trace de l'ennemi.
Bélier en avant. Cria Roku qui regardait la palissade en bois.
se disant qu'elle ne tiendrait pas longtemps. Mais il fallait prévoir des ennemis de l'autre côté...

Les béliers s'avancèrent et commencèrent leur travaille.
Quelques hommes de Dun avançaient eux aussi le long de la palissade en bois protégé par les fantassins Ourouk-Hai.
Mais seul une vingtaine d'Hommes s'avançaient, le reste restaient en arrière. à l'abri du premier mur.
Les Hommes de Dun qui s'avançait se plaçaient contre la palissade et essayaient de voir entre deux troncs si ils pouvaient apercevoir des ennemis.
Ils se plaçaient proche de la palissade pour éviter des flèches pouvant venir du dernier mur.



Afa regarda les manieurs de balistes, ils semblaient de plus en plus énervé.
Mais ils essayaient tant bien que mal de pulvériser les armes de sièges adverse.
Fallait-il qu'il leur donne de nouveau ordre ???
Non, il devait préparer la cavalerie. Il fallait que la cavalerie soit prête.
Les cavaliers Ouargues s'approchèrent encore un peu en s'espaçant un maximum les un des autres.


Les balistes tirèrent encore après avoir un peu modifié l'angle de leur tir.
Les Ourouk-Hai regardaient tout en rechargeant si ils avaient atteint leur objectif...
Allaient-ils enfin voir leur effort couronné de succès ???