Erelond passe à l'attaque !

up...

HRP: Totalement désolé la rentrée m'a un peu accaparé ces derniers temps ce qui explique quelques oublis fâcheux...


Tour 11

Temps fort de cette bataille, les oignons écrasèrent un milicien, qui se releva avec plus de peur que de mal, mais puant assurément l'oignon...

Quand à ses compères, ils prenaient avantage des nombreux couverts fournis par les caisses (d'oignons entre autre) pour prendre à revers les archers et les tailler en pièce une fois encerclé.

Au port, les fantassins Gondoriens étaient presque anéantis par la masse adverse, plus que quelques fantassins, une vingtaine tout au plus, était encore debout. Mais leur sacrifice n'avait pas été vaint car les cadavres de Haradrims étaient aussi nombreux...

Un lieutenant avisa Neleht :

"-On attaque chef ? C'est le moment ! Sinon on va être réduit en pelotes d'épingles par ces foutus archers !"

Car en effet ces derniers leur tiraient dessus à courte portée, causant des racages dans les rangs peu protégés des corsaires. "Heureusement", une partie des archers adverses avaient d'autre cibles : les flèches Qualiennes trouèrent à qui mieux mieux les voiles des navires, Gondoriens et adverses entremêlés les uns les autres. Quant aux Gobel Tolfaliens, ils paralysèrent l'action d'une baliste, les servants refusant d'aller se mettre en position, ce qui relevait du suicide.

Qaunt aux navires en eux mêmes, la manœuvre Haradrims allaient se révéler difficile : les navires étaient tous accrochés entre eux à causes des grappins de l'abordage, et faire demi tour n'allaient pas être très facile. Surtout avec des voiles qui commençaient à cramer...Néanmoins on s'activait pour faire du mieux que possible.

Car en même temps les trébuchets continuaient de pilonner sous les ordres très laconiques du général de Gobel Tolfalas. Et un ou deux navires de plus commencèrent à présenter des craquements douteux. Un navire pirate, et un Gondorien. Tous dans la même galère finalement.

Les Qualiens fessaient leur possible et les archers aux extrémités tirèrent une deuxième volée de flèches au bout de chiffon d'huile enflammé pour réduire toutes les voiles à néant. Parmi les archers du centre, ceux qui ne vissaient pas les balistes lâchaient tout simplement flèche après flèche dans la masse qui était l'ennemi.

Un archer seul chercha de sa main droite une autre flèche dans son carquois. Sa main glissa sur la première qu'il toucha et la fraction de seconde qu'il utilisa pour prendre la deuxième était de trop. Laissant assez de temps à un pirate d'apparaitre de nulle part, le bâtard donna un grand coup d'épée lui trancha l'assaille et une partie de la gorge.

Plus haut sur la pente un homme s'acharnait désespérément d'arrêter les balistes alliées, car ceux-ci ne l'écoutaient pas.
-ARRÊTER D'UTILISER LES TRÉBUCHETS!

TOUR 12 - Arrivée des renforts de Minas Tirith

Et crac La Flèche ! Par le fond après un boulet mortel fracassant tout l'arrière ! Boum Nilomi ! Voie d'eau extrêmement large sous la ligne de flottaison. Il faut dire qu'à force de tirer au même endroit des réglages avaient pu être fait, donc le tir était plus précis, mais pour une zone donnée, pas au navire près. Comme quoi la concordance entre deux généraux n'étaient pas toujours très bonne apparemment.

Mais les renforts de Minas Tirith arrivait, les voiles cinglaient vers Gobel Tolfalas. Entre eux et le port, un seul galion a réussit à se dégager et fait voile vers eux. Mais avec un équipage fort réduits du fait des tirs d'archers et des voiles trouées de toute part. Quant aux autres navires Haradrims ils tentaient toujours de se dépêtrer, mais non sans mal...

Dans le hangar, la tactique des archers paya et lorsque les miliciens chargèrent pour enlever la barrière improvisée ils furent cloués méchamment par des dizaines de flèches. Le restant de la milice reflua en désordre au milieu des gémissements de blessés.

A l'extérieur, le moment fort de la bataille arrivait : la charge des rôdeurs ! Les deux lignes se lancèrent l'une sur l'autre en vociférant : corsaires et fantassins cimeterres au clair et rôdeurs aux longues lames à la charge. Le choc fut violent et tragique, et une sombre mêlée qui allait faire couler beaucoup de sang commença : d'un côté des pirates sachant qu'ils devaient vaincre ou mourir, de l'autre des rôdeurs comprenant que le dernier rempart de leur ville était eux même.

Un incident survint néanmoins plus haut. Le lieutenant en charge des trébuchets vit deux des navires construit par ses compatriotes et lui même envoyés par le fond. Tout ça à cause de ces Tolfaliens sans discipline. Il avança à grand pas, fulminant, vers le responsable des trébuchets alliés et lui asséna une droite magistrale qui envoya son homologue au sol. Comment ce dernier allait-il réagir ?


HRP : Je contrôle ton lieutenant Robert car il sort de ses gonds donc même si ça te plaît pas il pète un cable et devient "hors de contrôle".

Les hommes attribués aux trébuchets étaient bouche bée. Bien qu'ils étaient surpris, ils étaient quand même du côté de leur supérieur. Ils n’allaient quand même pas laisser leurs navires immobilisés se faire coulé par des personnes qui ne voulaient pas écouter leur lieutenant Relje! Deux gaillards étaient prêts à intervenir si jamais l'homme au sol osait riposter. N'ayant pas manoeuvré les trébuchets depuis un certain moment les archers attendaient leurs encore leurs ordres, car leur commandant était trop occupé à engueuler un homme qui ne répondait même pas.


Ailleurs sur la pente de bataille, tous les Qualiens sauf les archers aux extrémités qui vissaient encore les voiles avec des flèches enflammées se battaient le mieux qu'il le pouvait. Le peu d'hommes d'épées qui restait encore debout reprit courage lorsqu'ils entendirent leurs alliées chargées et les archers quant à eux essayaient de tuer le plus de bâtards possible. Quelques un essayaient encore de visser les utilisateurs de balistes, mais considérant l'énorme masse qui se rua vers eux, la majorité changea de cibles.

Le chef de l'artillerie venait de se manger un droite monumental. Il restait quelque seconde à terre sans comprendre ce qui venait de se passer. Reprenant ses esprits il s'avanca vers le lieutenant Relje et lui dit d'un ton glacial:

Qu'est ce qui est plus important pour vous? Vos navires ou la vie de vos hommes? Moi je préfère de loin la vie de mes hommes! Pour leur permettre de survivre à cette bataille je suis pret à detruire vos navires tombé aux mains de nos ennemis . Vous avez perdu le controle de ces navires, les haradrim les utilise contre nous dorénavant! Si nous survivons à cette bataille, je suis sur que le seigneur Harima vous dédomagera pour la perte de votre flotte. Maintenant laisser moi travailler! Si vous aimer tant vous battre pourquoi n'aller vous pas au port? Il y a la bas des gens qui attendent les renforts qui sont menacé par la flotte haradrim.

puis il s'adressa aux hommes sous son commendemant:

Continuez de tirer, coulez tout les navires ennemis!

Dans le hangar, les miliciens venait de subir de lourdes pertes. Les survivants se mirent à couvert derriere les caisses d'oignons. Un de leurs chefs s'adressa à l'ennemi:

Haradrim! vous etes cernés! Vous etes en train de perdre la bataille! Déposez vous armes et rendez vous!

Au port, la bataille faisait rage en rodeurs et pirates. La bataille était indécise et nul ne pouvait prévoir son dénouement.
Les archers miliciens continuaient de tirer vers les navires haradrim qui essayait de quitter le port, esperant en tuer le plus de pirates tandis que les qualiens en finisaient avec les voiles des navires.

Eremul, tu a oublié ou c'est que t'es trop chargé?
en tout cas : up

re up

HRP/ Avant de poster je voudrais avoir plus d'info par rapport à ma position, je pensais arriver par la terre, pas par la mer. Eremul je pourrais avoir ces infos ? Merci ^^

Eremul t'as donné des infos? Il ne donne plus trop de signe de vie en ce moment. On fait quoi?

Nous patientons....

Il va normalement repassé dans pas longtemps pour une autre affaire.
Donc un petit peu de patience

up up up

[HRP : voilà, j'ai repris la bataille depuis le début, comptabilisé les pertes et suis prêt à vous permettre de la continuer. Si jamais il y avait des questions, n'hésitez pas

Je posterais un tour toutes les 48h pour ne pas qu'elle s'éternise vu que c'est déjà assez pénalisant pour les joueurs!]

TOUR 13

Que ce soit sur le port, les navires ou sur les lopins de terre aux alentours de la ville, la bataille était totale et ressemblait plus à un capharnaüm indescriptible qu’à autre chose ! Chaque centimètre carré de cette terre transpirait la souffrance et la violence et était empreinte du sang des combattants qui étaient déjà tombé. Nul ne pensait plus à autre chose qu’à tuer. La seule loi de la guerre était à présent d’application. Plus forte, plus intense que toutes les autres, c’était tuer ou être tuer.
Le plus beau combat était offert par les rodeurs de Gobel Tolfalas qui étaient opposés à une armée hétéroclite d’épéistes et de corsaires d’Erelond. Les deux armées n’étaient pas sensiblement différentes.
D’un côté, les rôdeurs, archers aguerris et épéistes hors paires mais plus adaptés à un environnement plus forestier tandis que les corsaires étaient plutôt des brutes assoiffées de sang mais sans aucune défense. Mais eux, étaient épaulés par un groupe d’épéistes ayant une armure bien plus conséquente que les deux autres types de troupes présentes dans le combat. Semblable en quelque sorte à une élite, ils allaient peser de tout leur poids dans ce duel qui se déroulait sur une longue ligne de bataille, les morts étant aussitôt remplacés par les effectifs des lignes suivantes.

Sur le port, alors que les autres troupes étaient occupées à se battre, les pirates se démenaient pour fuir, tandis que les archers gondoriens causaient moultes pertes parmi les rangs corsaires. Et pendant ce temps, leurs homologues haradrims étaient toujours embusqués dans l’entrepôt, coursés par les miliciens dont le nombre diminuait dangereusement au fil des minutes. Mais ils rattrapaient leurs ennemis, entrant dans un combat au corps à corps plus équilibré…

Au loin, les troupes de Minas Tirith arrivaient sur les nefs de transports et s'apprétaient à croiser le navire ennemi qui semblait ressemblait à un vaisseau fantôme sur lequel erraient bien peu d'âmes...

Dans la melée du port, aucun des deux camps semblaient prendre l'avantage. Il devenait impossible de ne pas marcher sur un cadavre. De nombreux corbeau se posait non loin du champ de bataille, se regalant du futur festin.

Dans l'entrepot, le corps à corps commenca où les miliciens étaient avantagés. Cependant certains archers ennemis semblaient vouloir s'enfuir. Certains miliciens, non occuper à abbatre un ennemi ou l'ayant deja fait, partirent à leur poursuite.

Du coté des trebuchets, le bombardement continuait. Mais malgré ce bombardement continue, deux navires avait reussir à s'enfuir du port.

[HRP/Combien de mètres avant mon arrivée sur la terre ferme ?]

Des soldats Gondoriens moururent sous les traits puissants des balistes Harradrims, les agonisants furent rapidement achevés, et tandis que les capitaines hurlaient leurs ordres, les Rodeurs en poste sur les nefs, firent feu sur les galères au sens littéral du terme, leurs flèches enflammées s'envolèrent vers les Haradrims, tandis que les Nefs filaient vers la terre ferme.

[HRP : Du fait de mon retard, j'accélère les batailles, mais ne pensez pas que cela favorise ou défavorise au niveau des pertes. Si vous aviez des réclamations, pas de soucis, j'écoute =) ]

TOUR 15

Le galion suderon qui prenait la fuite dépassa les deux nefs ennemies sous le feu des rôdeurs qui avaient su prendre place sur le pont, laissant leurs collègues dans les cales. Plusieurs soldats ennemis mourrurent sous leurs traits, réduisant encore le nombre de survivants. Ces mêmes survivants qui s'afféraient à retouner les balistes rotatives de leur navire pour pouvoir tirer sur les hommes de Minas Tirith qu'ils avaient dépassés.
Les gondoriens seraient rapidement à terre, croisant bientôt les navires pirates qui s'échappaient eux aussi. Plus qu'une petite centaine de mètres et ils seraient à terre.

Cette terre où les derniers pirates étaient éliminés par les archers qui venaient de prouver qu'ils avaient été le tournant de la bataille. Pendant qu'ils se tournaient vers l'affrontement voyant s'opposer les rôdeurs et les suderons, ils se rendirent compte qu'ils ne seraient d'aucune aide dans une telle mêlée.
Cette mêlée où l'on ne discernait aucun vainqueur mais où le nombre de combattants diminuait comme neige au soleil. Actuellement, on aurait dit que les rôdeurs dominaient l'affrontement, mais rien n'était moins sur.

Pendant ce temps, les bruits venant de l'entrepôt continuaient à résonner. Des bruits de fuite, d'arcs qui se bandent et dont la corde vibre, des bruits de lames qui s'entrechoquent et des cris annonciateurs de vies volées.
Dans un coin, quelques archers prenaient des cibles en ouvrant grand leurs yeux pour mieux viser dans cette obscurité, priant pour ne pas viser les leurs. Les miliciens eux, donnaient tout ce qu'ils avaient, prêt à donner leurs vies pour protéger leur ville et aider leur armée!