Calenhad prend d'assaut le village de Julasta [Ne passe plus...]

Les armées du Seigneur de Calenhad, Dimitrov prennent pour la première fois les armes pour attaquer un village. Ce village, Julasta, vivait paisiblement jusqu'à ce que les guetteurs signalèrent l'arrivée d'une armée rohirrime!

Les cors sonnèrent et les soldats se préparèrent au siège. Le Roi enfila sa tenue de combat et donna ses dernières instructions à ses généraux, afin que tout se déroule comme prévu! Le stress montait à l'approche de la bataille bien que le village semblait confiant...

On vérifia l'état de la porte de la palissade ainsi que du reste de l'enceinte.





Armée de Calenhad, attaquants:
- 600 archers
- 200 gardes de Médusel
- 200 Cavaliers du Rohan
- 600 Guerriers de l'Ouestfolde
- 100 Paysans
- 10 catapultes
- 10 échelles
- 1 bélier en métal


Armée de Julasta, défenseurs:
Invisible


Renforts pour Calenhad:
- 400 Guerriers de Ouestfolde
- 200 Archers
(Arrivée TOUR N°37)



J'attend le placement de Calenhad, bonne chance

Le voyage fut long. La plus imposante armée jamais monté par le village de Calenhad allait se déverser sur le village isolé de Julasta. Dimitriov avait hâte. Non pas hâte que les combat commence et que le sang soit versé. Il était excité car sa vision s'accomplissait. Lui, à cheval, suivit des quatre personnes qui lui était le plus cher, ses trois amis d'enfance et son frère, eux égàlement en cheval, et une massive armée en arrière plan. Personne, y comprit les quatre hommes qui étaient ses proches, pensait que l'ambition de conquête de Dimitriov allait se réaliser. tous pensait que s'était le pouvoir qui lui montait à la tête, que rien n'allait se passer. Mais ils se trompaient tous. Cette bataille allait leur montrer la force de la détermination du jeune seigneur. Cependant, une défaite à sa première bataille allait ruiner le peu de crédibilité qu'il avait. Il fallait qu'il gagne.

L'armée était bien organisé. Au centre, à 120 mètres de la pallisade du vilage, se trouvait les archers répartit sur six lignes de cent hommes, chacun séparé de son voisin par deux mètres. Les guerriers de Ouestfolde se trouvait immédiatement derrière les archers, eux aussi sur six lignes de cent hommes. Les catapultes, tant qu'à elles, était légèrement en retrait, à 150 mètres de la pallisade, chacune d'entre elle actionné et protégé par dix paysans. Sur le flanc gauche, su même coté de la fôrêt qui bordait le village de Julasta, se trouvait les cavaliers du rohan. Sur le flanc droit étaient les gardes de Médusel. Les échelles et le bélier étaient empillés, en retrait, une dizaine de mètres derrière les catapulte.

Dimitriov fit signe à sa suite de l'accompagner alors qu'il allait ''négotier'' avec les gens du village. Les cinq hommes avançèrent vers le village, mais Dimitriov arrêta aussitôt l'un d'entre-eux.

-Tu reste avec l'armée, Octavius.

Son frère eu l'air abasourdit.

-Mais...Pourquoi? C'est ton jours de gloire, je ne peux...

Il fut interrompit par son frère qui l'attrapa par la nuque et l'attira vers lui, collant son front sur le sien.

-Tu es celui qui reprendra les rennes de Calenhad si je tombe. Tu dois vivre pour le village...Et pour moi. Je ne pourrai vivre si tu meurt, ma peine serais trop grande.

Avant même que son frère put ouvrir la bouche pour répondre, il repartit au galop avec les trois autres hommes. La petite troupe s'arrêta à une soixantaine de mètres des portes de la pallisade, attendant les émmisaires de la ville.

La porte souvrit doucement en grinçant.
Deux hommes en sortir, ils étaient tout deux armés, mais leur matériel semblait laissé à désirer.

Un des Hommes prit la parole:
Je suis Alakazam, commandant de ce village. Qui êtes vous et que nous voulez vous ???

L'autre homme ne dit rien et se tenait derrière le commandant. Ils étaient tout les deux grands et imposant.
Avec des cheveux et des yeux noirs.


[HRP]
La cavalerie et les garde de méduseld sont à quel distance de la palissade ???

[Ils sont à 125m.]

Dimitriov, du haut de son cheval, inclina respectueusement la tête afin de saluer le commandant. Même s'ils étaient venu en envahisseur, cela ne devait pas dire qu'il fallait manquer de manière.

-Je suis Dimitriov, seigneur du village de Calenhad, du Rohan. Ma raison de notre venu ici me semble évidente...

Il fit une courte pause.

-...Nous sommes là afin de faire passer votre village sous mon contrôle. Tout simplement.

Il refit une pause. Il jouait avec le feu et il le savait.

-J'imagine que vous n'allez pas me céder gentiment les clés de la ville. J'avourais que cela ferais bien mon affaire.

Dimitriov écouta patiemment les paroles du chef du village de Julasta, le visage impassible. Comment osait-il l'insulter et insinuer que les habitants du Rohan sont lâches et perfides?! Pour une personne dans une si facheuse situation, il tenait la bride nettement trop haut.

-Voyez-vous, je doute que vous possédiez suffisamment de ressource qui permettrait de détourner mon attention de votre village. Je me suis laisser dire que les hivers, surtout le dernier, sont assez dure par chez vous et que vous manquiez de nourriture...

Il fit une pause, laissant le temps au commandant de comprendre qu'il en savait plus qu'il en parraissait.

-Bien entendu, je dit tout cela dans votre intérêt. Si vous me donner des ressource, rien ne peut m'empêcher l'utiliser afin d'agrandir mon armée, puis de revenir. D'ailleur, si vous passer sous mon contrôle, toutes ses carences dont votre village a seront miraculeusement...réglées. Votre économie sera haussé, vous pourrez profiter des hectares de terres cultivables qu'offre les immenses plaines du Rohan et vous aurez accès à une armée suffisamment imposante afin de pouvoir faire fasse à n'importe quel envahisseur. Vous aurez tout cela, et même plus. Tout ce que je vous demande, c'est que vous devenez mien. C'est tout. Vous avez tout à gagner et rien à perdre. Est-ce un si grand sacrifice que cela?

L'homme regardait Dimitriov sans broncher, son regard était triste, même si on pouvait lire au fond de ses yeux un feu de révolte bruler.
Nous gagnerons une armée ???
Mais c'est nous qui la composerons...

Nous gagnerons de la nourriture ???
Mais ce ne sera que nos ressources que vous nous rendrez...

Nous gagnerons une sorte de protection... mais nous perdrons notre liberté.


Nous ne souhaitons pas vivre en plaine, partir se battre au loins ou autre.
Nous sommes un peuple paisible et nous ne souhaitons que vivre tranquillement ici.
Laissez nous en paix, allez affronter des Orques ou des Ourouks.
Je vous le redis, nous sommes pret à payer pour que vous nous laissiez en paix.

Dimitriov commençait en avoir assez de cet homme. Il était têtu comme une mule. Ne voyait-il pas tout ce qu'il avait a lui offrir? Il se mit à la place de son interlocuteur. Qu'aurait-il fait s'il avait été à sa place? Probablement qu'il n'aurait pas perdu de temps avec cet discution inutile. Il aurait probablement dit dès le début: ''Aucun fils du rohan ne servira un envahisseur. Nous nous reverrons sur le champs de bataille.'' ou un truc dans le genre. Finalement, ils se ressemblaient beaucoup. C'était surement pour cela qu'il le trouvait si agaçant.

-L'armée sera composé par les forces de nos deux village. Et d'après ce que je sais, ce sera principalement les forces de mon village qui la composera.

Vous voulez de la nouriture, nous voulons partager les autres ressources. Chacun y trouve son compte.

Et pour la liberté...Ce n'est qu'un mots, une illusion. Aucun être humain n'as jamais été libre, du jours de sa naissance, jusqu'à celui de sa mort. Tous sont esclave de bien des choses. D'une personne plus haut socialement, d'un parent, d'un mari, ou tout simplement de l'opinion des autres. Il y a seulement deux cas où quelqu'un peut être réellement libre, Soit qu'il vit en hermite quelque part, soit qu'il dirige son propre village et qu'il fait ce qu'il veux, sans se soucier de l'opinion des autres. Donc, la seule personne qui sera moin libre sous mon règne sera vous, le chef de ce village.

Mais bon, j'imagine que peut importe ce que je vais dire, vous allez refuser de m'accepter comme dirigant. C'est regretable, mais à l'allure que vont les choses, j'ai l'impression que la prochaine fois que nous nous verrons ce sera sur le champs de bataille. Je ne le souhaite point et tout est encore de votre recours...

-Excusez-moi si je vous ai mal comprit, cela doit être quand vous vous êtes nommez comme commandant du village qui a due m'induire en erreur. Mais quoi qu'il en soit, que vous désiriez, ou non, de vous battre contre nous, ou tout autre éventuel aggresseur, le seul fait de ne pas vouloir vous battre ne suffit en rien à protéger le village des attaque. Mon armée devant vos porte en est la preuve.

Il reprit son souffle. Il savait déjà qu'aucun village ne se soumettrait à son commandement avec seulement des mots. Le mieux qu'il pouvait avoir avec de tel conversation était, avec de la chance, une alliance. Cependant, il ne désirait pas s'allier avec le premier village venu. Il avait bien plus d'intérêt à le conquérir.

-Sachez que vos paroles ne sont pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Je suis prèt à négotier le prix du retrait de mon armée et de celui pour que jamais nous ne revenions.

Dimitriov ne partageait pas l'emtousiasme des deux hommes. S'il acceptait d'être payé pour partir, il allait moin recevoir que s'il aurait prit le ccontrôle du village. Il allait falloir que cette offre en vaille le coup.

-Je suis ravi que vous soyez ravi. Mais je crois que ce serait plutôt à vous de parler. Que vaut votre village pour vous? Que seriez vous prêt à donner afin de le voir libre comme il l'a toujours été?

Comment ?? le visage des deux hommes s'assombrirent.
Et bien... nous vous proposons 20 tonnes de bois et autant de fer... nous pouvons aussi vous offrir quelques chevaux....

Ils semblaient trouvé cette remarque louche, mais ne dirent rien.

Dimitriov tenta de rester calme quand il entendit la première offre des Julastanien. Le prenait-il pour un imbécile? Une grande gamme d'émotion s'empara de Dimitriov. Il passa par la colère, l'envie de rire, la pitié...Et tout cela en tentant de garder un visage impassible. Cependant, de ne fut pas chose facile. On dirait qu'il pouvait commençer à crier après les émissaires. Cependant, lorsqu'il ouvrit la bouche, seul un long soupir en sortit, comme s'il venait de faire évacuer la pression qui venait de s'accumuler à l'intérieur de lui. Reprenant le contrôle de lui même, il put continuer à négotier dans son état normal: L'indifférence.

-Sans vouloir vous manquez de respect, est-ce tout ce que votre village vaut à vos yeux? Est-ce tout ce que vous êtes prèt à mettre afin de sauver l'intégrité de ses murs? J'ai bien peur que votre village vaut plus à mes yeux qu'aux votre...Je pense qu'une offre de 900 pièces d'or en plus de ce que vous m'avez offert devrait suffir afin d'attirer mon attention loin de vos terre.

Dimitriov s'attendait à une très mauvaise réaction de la part des émissaires. Il n'avait jamais vraiment eu l'intention de négotier le retrait de ses troupes autrement que par une rédition totale du village. C'était à contre-coeur qu'il avait accepter de parler d'accepter une compensation en échange de la paix. Néanmoins, il attendait la réaction des émissaires. Peut-être allait-ils lui faire une offre qui allait l'interreser...mais il en doutait.

Dimitriov était un peu exaspéré de son interlocuteur. N'avait-il pas comprit qu'il s'aggissait de l'avenir de son village qu'il s'agissait, et non d'un achat dans un quelconque marché.

-Je tiens à vous rapeller qu'il ne s'agit pas de l'avenir de mon village qui est en jeux, mais du votre. Cependant, j'avoue m'être emporté. Disons que 200 pièces d'or par mois pour les quatre prochain mois en plus des ressources déjà offerte devrait suffire.

Dimitriov ne pensait pas pouvoir allez plus bas que cela. Il ne demandait que quatre mois de leur économie contre une vie de liberté. Était-ce si dire à accepter que cela. Il espérait que l'émissaire allait voir les choses comme lui et qu'il accepte...mais il en doutait fort.

Dimitriov regarda l'homme. Tout comme lui, il davait faire façe à un dilemne. Son interlocuteur devait choisir entre deux sorte de mort, alors que Dimitriov devait choisir entre ses ambitions personnelles ou le sort d'un village. Dimitriov n'était pas sans coeur, mais, justement, ses plan lui tenait à coeur. Il avait quelque chose qu'il avait besoin de savoir et eux aussi.

-Dites-moi, votre économie est-elle si mauvaise? Parce que si c'est le cas, vous devriez peut-être reconscidérer le fait de passer sous mon contrôle. Sachez que la première chose que je ferais serais de rendre votre village aussi fort économiquement que mon village, et ce, avec les ressource que Calenhad a à offrir. Je ferais creuser des mines, planter des forêts, construire des forges et je m'assurerais que personne ne manque de nourriture à sa table, quitte à faire agrandir les champs de mon village.

Il avait dit cela avec de la compassion dans la voix. Il ne voulait plus seulement contrôler ce village. Il voulait l'aider.

-Un village capable de produire une armée aussi grande que la mienne n'est telle pas préférable à un village se demandant s'il vont réussir à passer l'hiver? Pourquoi ne voulez-vous pas cesser de survivre et commencer à vivre? Je ne suis point un tyran et vos villageois pourrons encore annoncer avec fierté qu'il sont des habitants du Gondor.

Il fit une pause. C'était beaucoup demander à un seul homme qui n'était même pas le chef de ce village.

-Retourner dans votre village et dites à ses habitants tout ce que j'ai à leurs offrir en échange de si peu. Je vous attendrai ici et seul.

Dimitriov espérait que les émissaires pensent que le fait qu'il reste seul façe à l'ennemis soit perçu comme une forme de courage et que cela démontre de la force de ses conviction. Il descendit donc de son cheval et tendis la bride à sa suite qui le regardait les yeux ronds. Tous voulurent protester que leur chef reste seul mais Dimitriov les empêcha de parler et leur ordonna de rejoindre l'armée.

*S'ils me tue, la fureur de l'armée sera telle qu'il ne restera plus une pierre debout de ce village à la fin de la journée. Prions pour qu'ils soient aussi stupide.* Pensa-t'il

Sa suite quitta le lieu de la négotiation et Dimitriov espéra que la délégation de Julasta en est fait pareil.

C'était long avant que l'homme revienne. Trop long. Dimitriov fixait le village, cherchant un indice sur ce qui se passait à l'intérieur. Mais surtout, il fixait le ciel au-dessus du village, espérant qu'aucune volée de flèches meurtrière apparaissent à sa vue. Finalement, l'homme revint. Se fut un soulagement pour Dimitriov, sa vie n'allait pas se finir en étant troué de flèche. Cepandent, quand l'homme fut suffisamment près afin qu'il puisse discerner les traits de son visage, son expression le rendit encore plus inquiet que la crainte d'une volée de flèche. Il ne laissait rien transparaitre. Il pouvait aussi bien lui annoncer la rédition du village que sortir une lame et le transpercer sur le champs.

Ils étaient donc là, seul, face à face, chacun ayant les regards de son peuple fixé sur son dos. Nul n'osait parler. Tout était parfaitement silencieux. Même le vent semblait avoir cesser de souffler face à cette ambiance lourde et incertaine. Finalement, un osa briser ce silence, et ainsi, faire le premier pas pour ce qui pourrait être le pire, ou le meilleur.

-Alors, Julastasien. Quel est la réponse de votre peuple?

C'était bref. Il ne voulait pas trop en mettre. C'était inutile.

C'est donc avec grand peine pour se retenir de trembler que Dimitriov attendit la réponse de l'émissaire qui devait sceller leurs destin à tous.

[HRP: Si j'envoie immédiatement des renfort de mon village en passant par les montagnes (puisque ça va être uniquement de l'infantrie, j'imagine que ça va aller), ils vont être là vers quel tour?]

Le sort en était donc jeté. La guerre allait éclatée. Dimitriov ne pouvait pas dire que ce n'était pas ce qu'il voulait. Il avait fait tout ce qu'il avait fait pour ce moment et il n'avait aucune intention de reculer maintenant qu'il y était. La seule chose qu'il regrettait était que l'homme avec qui il avait négotier allait surement mourrir au cours de la bataille. Il avait trouvé cela très rafraichissant de voir que malgrée la distance, malgrée la différence de culture, malgrée tout ce qui pouvait différencier deux villages, leurs désirs de rester eux-même était plus fort que n'importe quelle armée.

-Qu'il en soit ainsi. Nous nous reverrons donc sur le champs de bataille. J'espère que vous avez mit vos citoyens en sécurité, je ne souhaite point de perte civil.

Il se retourna et retourna au-près de son armée. Mais à peine eu-t'il fait un pas qu'il s'arrêta et, sans se retourner, dit à son interlocuteur.

-Essayer de ne pas mourrir. Les hommes de valeur tel que vous sont très utile aux hommes ambitieux tel que moi.

Il reprit sa marche vers son armée.

[HRP]
Les renforts... disons pas avant le tour 40 (et je le dis comme ça de tête sans même regarder.Mais peut être que c'est plus vers le tour 30)


[RP]
L'homme se retourna sans rien dire et marcha jusqu'à la porte, avant de la franchir il se retourna et cria:
Jamais je ne serais à la botte d'un homme comme vous, si je ne suis pas mort dans cette bataille, je vous ferais regrettez de nous avoir attaqué sans raison aucune.

Il se retourna à nouveau et passa les portes qui se refermèrent sur lui.
La bataille semblait inévitable... mais était ce vrai ??

Dimitriov sourit et ria intérieurement à la remarque de l'homme. Quel dommage qu'il ne puisse l'utiliser, il trouvait sa compagnie très divertissante. Quel dommage qu'il doit mourrir, lui et des centaines de ses camarades.

De nouveau parmit les siens, Dimitriov fut rejoint par sa suite. Son frère, Octavius, lui apporta son cheval qu'il monta aussitôt. C'était donc ainsi, les conflits allaient pouvoir commencer. Et quoi de mieux pour commencer une guerre qu'un discour. Il prit un grande inspiration, et c'est en faisant des allers-retours du flanc gauche au flanc droit de son armée qu'il tenta de les motivés.

-SOLDATS! Mes frères! Habitants de Calenhad! Ces gondoriens sont plus têtues qu'un cheval sauvage.

Il eu quelques rires dans l'armée. C'était une blague courante au Rohan.

-Apparemment, ils ne savent pas que mourrir de faim est dangeureux pour un peuple et que repousser une main aidante est malpoli. Mais bon, je ne vais pas vous énnoncer toutes leurs insultes, je souhaite prendre contrôle de ce village, et non le réduire en cendre.

Cette bataille est gagné d'avance. Nous sommes supérieur en nombre, mais surtout en qualité. Nos flèches sont plus précise et meurtrière que les leurs. Nos fantassins sont plus fort et vaillant que les leurs, notre cavalerie est plus rapide et talentueuse et nos catapultes auront vite fait de réduire leurs défenses en miette.

Il déguaina son épée et la brandit haut afin tous puisse voir son éclat.

-POUR LE ROHAN! POUR CALENHAD!!!

Il rengaina son épée et alla se placer une dizaine de mètres devant les catapultes avec sa suite.

-Cette forêt ne m'inspire guère confiance. Que trois de nos catapultes tirent dans la forêt qui borde le village tandis que les sept autres tirent sur la pallisade. Qu'ils enflammes leurs projectiles. Je ne veux qu'il n'est rien qui puisse ralentir nos forces. Que le reste de l'armée reste sur leurs position le temps que la palissade soit détruite.

Sa suite transmit ses ordres aux conscerné. La bataille allait pouvoir commencer.