Le premier argument de Thelen résume la situation à mon avis : le bien et le mal sont des notions abstraites créées par les hommes pour les qualifier. Un elfe pense différemment. Tandis que nous ne pensons qu'a aggrandir nos royaumes et marquer l'Histoire de notre empreinte, les Elfes immortels ne pensent qu'à vivre en harmonie avec ce qui les entoure.
Mais il y a autre chose que nous avons d'énormes difficultés à appréhender : la situation sociale. Dans l'oeuvre de Tolkien, tout n'est que guerres de pouvoir et combats sanglants. Nous, dans nos petites vies bien rangées, devons reconnaitre que nos problèmes qui nous paraissent insurmontables ne sont en rien comparable à ceux-là. Alors comment les comprendre? Le bien ou le mal prend une tout autre tournure à ce moment.
Nous posons une limite entre ces deux notions via notre vécu, notre expérience. Comment pourrions-nous faire autrement? Par exemple, je suis un jeune homme d'unee vingtaine d'année, vivant au siècle de la technologie dans un pays riche. Ma notion du bien est différente de celle d'un paysan Rohirrim vivant dans la peur d'une attaque Orc.
Alors que nous condamnons un génocide, exterminer les Orcs nous parait juste. Mais où est la différence? Ce monde est simplifié en bon/mauvais et cette V2 nous permet d'y évoluer avec nos valeurs. Mon interprétation est magistralement illustrée dans le second tome de la trilogie (qui sera en quatre tomes ^^) de l'Héritage de Paolini. Les gros monstres du début se révèllent de précieux alliés qui se sont joints au dictateur pour pourvoir plus facilement aux besoins de leur famille.
Mais ceci toujous au dépend d'un autre peuple. Bon, je pourrais discuter de ceci durant des heures mais il ne s'agit pas de notre monde. Je m'en tiendrais donc à ce que j'ai écrit.
En éspérant avoir trouvé les mots pour exprimer ma pensée