Ambassade de Calenhad

[D'après la règles de protection des nouveaux, tu n'as pas le droit de me proposer de traité. Personnellement, je dit fait ce que tu veux Tes paroles scellerons notre destins hihi]

Meneldor put bien voir que les ''gardes'' n'avait rien de vrai guardien, ce n'était que deux paysans à qui on avait donné une épée et un bouclier. Des enfants qui jouait avec des jouets qui n'était pas de leur âge. Quand tu t'approcha d'eux, ils ne dégnèrent même pas te regarder, se concentrant sur leur partie de dés. Quand celui qui sembla perdre en eux marre de se faire plumer par son collègue, il finit par porter son attention sur toi.

-Mouais? Qu'est-ce-qui y'a? Voulez voir le patron? Y'é en'dans. Z'aller qu'à aller le voir.

Sur ses paroles rempli de sagesse, il retourna à sa partie de dés avec l'espoir de reprendre ses pertes.

[HRP : oui, je m'en suis souvenu après donc, je vais faire sans traité ]

L'émissaire resta un instant incrédule devant la chose à force humaine qui gardait l'ambassade. Soit le seigneur était à l'image de ce type, soit il aimait s'occuper lui-même des émissaires. Cette pensée le fit trembler de tout son être. Il reprit contrôle de lui et se dirigea vers la salle. Il entra et se présenta en pliant son torse jusqu'à ce que sa tête soit à hauteur de ses cuisses.

Bonjour Maître des chevaux, je viens de Minas Ancalimë pour vous présenter les respects de mon seigneur et vous souhaiter bonne chance dans la gestion de votre cité. Il me fait aussi vous dire que si vous aviez la moindre question ou besoin d'aide, il recevrait vos émissaires ou vos pigeons chaleureusement.

Là, il se rendit compte de sa dernière phrase. Il pensa

*accueillir chaleureusement des pigeons? Ca veut dire quoi ca?

[Tu peux me traité si tu veux, par contre c'est pas dit que je vais dire oui]

Quand tu rentra dans la maison, tu vit un homme assis à une table, entrain d'écrire sur un bout de papier. Il ressemblait très portrait à la description que l'on avait fait du nouveau seigneur de Calenhad.

-Merci de tant de bienveillance, mais vous les adresser à la mauvaise personne. Car voyez vous, mon frère à subitement quitter la maison durant le souper et je ne l'ai pas revu depuis. Mais par chance, vous vous adressez à la bonne personne pour ce genre de discution.

Il se leva.

-Je suis Octavius, le frère cadet de Dimitriov, le chef du village. Je suis celui chargé des relations avec les autres peuples. Mais où sont passés mes bonnes manières. Vous devez être fatiguer après un tel voyage, asseyez vous donc et buvez avec moi.

Il se rassis et se versa une coupe de vin et une également à l'émissaire. Quand son interlocuteur se fut bien assis, il reprit la parole.

-C'est une bien longue route que vous avez fait pour venir ici. J'imagine que votre intention n'était pas selement de venir nous dire bravo pour tout et bonne chance. Je me trompe?

Il prit une gorgée de vin, une étincelle dans l'oeil.

[HRP : que c'est chaud de se récupérer après une bourde;) ]

L'émissaire fût surpris d'une telle réaction. Ce n'était ni un rustre, ni un psychopathe. En tous cas, il n'en avait encore rien montré. L'émissaire le remercia alors d'un signe de tête pour son offre et prît le verre. Puis, s'asseyant, il but une gorgée et écouta Octavius.

En effet, j'ai aussi eu pour ordre de vous proposer un traité commercial, enfin, une promesse de traité commercial quand vous serez dans le besoin serait plus exacte. Je pense que votre frère n'a nul besoin de s'embarrasser de telles questions pour le moment au vu des derniers évènements qui ont secoués sa vie. Une accession au trône est toujours un élément important dans une vie, quelque soit la manière dont elle est vécue.

Et tandis qu'il finissait sa phrase, il porta son verre à ses lèvres...

Octavius approuva d'un hochement de tête.

-Vous avez raison. Mon frère, aussi fort qu'il soit, porte un grand poid sur ses épaules et succédé suite à la mort du précédent chef, notre père, bien que fréquent, est toujours d'une grande tristesse.

Il vida d'un trait le contenu de son verre, noyant les noirs souvenirs du décès de son père. En se remplissant de nouveau son verre, il dit.

-Heureusement pour vous, mon frère ma chargé d'établir ce genre de traité. Cependant, j'ai bien peur que nous avons rien à vous offrir, excepter des chevaux.

Il prit quelques gorgé de vin, laissant à l'émissaire le temps de réfléchir.

-Alors, seriez-vous intéresser à fournir à vos cavaleries les meilleurs chevaux que le Rohan à offrir?

Octavius parru décu, mais son sourire ne s'effaca pas.

-Je suis certain que nos peuple pourront s'entraider un jours, d'une façon, ou d'une autre.

Il lui serra la main et retourna à ses papiers.

Un émissaire arriva dans le petit village de Calenhad . Il était escorté de deux Gardes de la Citadelle à cheval qui furent autorisés à se promener dans le village en attendant l'émissaire . Celui-ci s'avançat jusqu'a l'ambassade en demandant son chemin , puis accrocha son cheval à un arbre avant de se présenter devant un des gardes , il le salua et dit :

"Bonjour mon brave ! Je suis envoyé par Minas Tirith pour traiter avec votre Seigneur . Dimitriov est-il présent actuellement ? Sinon je me contenterais d'un de ses représentant . Mais je vous serais reconnaissant de faire mander quelqu'un ."

Il attendit patiement la réponse du Garde .

Oups sorry je savais pas ... Est-il possible de laisser le post pour le rendre valide dans une petite semaine ??

la règle s'applique meme si c'est presque moi qui l'a proposé? Je veux son oorrr:(

Alors va chez lui

(sa va avoir aucun sens si je vais chez lui. Bon, ignoron cette intervention et continuons)

L'émissaire recu le même genre d'acceuil que celui de Meneldor, c'est-à-dire l'indifférence la plus total. Les deux gardes étaient encore plongé dans une partie de dés, avec quelques curieux qui les regardaient. À la fin de la partie, qui dura encore une bonne dizaine de minutes, les gardes prirent enfin conscience de l'existence de l'émissaire.

-Gnein? Voulez-voir le chef? Y'é pas là. Y fait des trucs, quelque part. Entrez voir l'autre, y devrait être là.

Sur ce, il retourna à son ''poste''.

L'émissaire d'abord excédé par l'absence de réaction des gardes finit par être absorbé par le jeu , si bien que quand le "garde" s'adressa à lui il sursauta , mais lui obéit et alla voir "l'autre".
Il rentra dans la maison , et cria :

"Y'a quelqu'un ? Je suis un émissaire de Minas Tirith ! J'ai une demande à faire à un responsable de ce village !"

Et encore une fois il attendit une réponse .

(ah, je vien d'allumer sur qqch. Je ne permet pas a tes garde de se promener partout dans le village lol.)

La réponse ne se fit pas attendre. Dès que le messager eu finit de parler, une porte s'ouvrit et un homme entra dans le hall où l'émissaire se trouvait. Le nouvel arrivant était Octavius. (veut pas me retaper toute sa description lol). Il regarda l'émissaire, puis s'inclina respectueusement.

-Je vous souhaite le bonjours, messager de la cité blanche. Je suis Octavius, frère cadet de Dimitriov, le chef du village, et également la personne désigner afin de faire affaire avec les autres villes.

Il se redressa.

-Je vous en prit, asseyer-vous donc.

Il alla s'asseoir à la grande table qui était au milieu du hall. Il se servit une coupe de vin, et une à l'émissaire.

-Que nous vaut l'honneur de la visite d'un représentant de la grande ville du gondor? Et que peut faire un simple village du Rohan pour vous aidez?

L'émissaire accepta la coupe de vin et la leva pour porter un toast à Octavius , il but un peu et dit :

"Je m'appelle Lokar , je suis un émissaire de Minas Tirith comme vous avez put le constater . Nous avons appris que votre jeune village possédait un peu d'or et comme nous sommes dans le besoin nous avons pensé à vous en emprunter . Nous avons besoin de 150 pièces d'or , que nous nous engageons à vous rembourser avec un interêt de 20 pièces d'or et de 30 chevaux . Je ne doute pas que celà vous soit inutile par la suite . Alors qu'en dites vous ?"

L'émissaire ne comprit pas bien pourquoi Octavius lui demandait si les conditions lui convenaient puisque c'était lui qui les avait énoncées en premier . Quoiqu'il en soit , il répondit :

"Oui celà me va, nous vous apporterons l'or et les chevaux au début du mois de juillet . Peut être à ce moment là pourrons nous parler également diplomatie . Mais nous verrons ."

L'émissaire attendit qu'on lui apporte les 150 pièces d'or .

Octavius parru satisfait. Il se leva et partit par la porte par laquelle il était arrivé, d'où il revint quelques minutes plus tard, un sac en cuir à la main.

-J'espère que vous allez respecter votre parole, homme du Gondor.

Il lui tandis le sac.

(modifions nos économie:D )

L'émissaire prit le sac et répondit :

"Les hommes de Minas Tirith tiennent toujours parole ! Vous en aurez confirmation dans moins d'un mois . A présent je dois retourner à la cité blanche . Je vous remercie encore au nom de toute notre ville . A très bientôt !"

L'émissaire sortit de la maison , jeta le sac d'or sur le dos de son cheval et s'en alla chercher les deux Gardes de la Citadelle , il les trouva dans un troquet , en train de siropter une bière . Quelques instants plus tard ils partirent ...

[Je modifie !!]

Quelques semaines plus tard , le même émissaire entra dans Calenhad , à la tête d'une escorte de 10 hommes et d'un troupeau de 30 chevaux . Il laissa son escorte dans le village et se dirigea vers la maison où il s'était rendu la dernière fois . Voyant que les gardes jouaient encore et toujours aux dés , il ne prit pas la peine de leur parler et entra dans la maison , un lourd coffret sous le bras .

"Ohé Octavius ! Je suis l'émissaire de Minas Tirith ! Vous savez Lokar ! Je viens rembourser notre dette !"

L'émissaire trouva Octavius entrain d'écrire sur ses habituelle papiers. Quand ce dernier vit l'homme du gondor rentrez, il se leva, le sourire au lèvres.

-Je vous souhaite le bonjours. J'espère que voyage voyage s'est bien passé. Vous êtes pile à la date où j'attendait votre retour. J'imagine que c'est le remboursement. Dit-t'il en désignant d'un mouvement de la tête le coffret que l'émissaire transportait.

Lokar posa bruyamment le coffret sur la table où Octavius était en train d'écrire et répondit :

"Oui , il y'a dedans 170 pièces d'or . Quand aux chevaux j'ai demandé à vos garçons d'écurie de s'en occuper . Il y'en a 30 comme prévu . De très belles bêtes qui valent leur pesant d'or ."

Il marqua une pause et reprit :

"Votre aide à été grandement appréciée à Minas Tirith , et Regnak , actuel Intendant , m'a chargé de vous transmettre toute son amitié . Si jamais vous avez besoin de nous dorénavant , nous vous aiderons dans la mesure du possible ."