Ambassade de Fennas Drunin

- Vous vous méprennez noble Guimmar... Dit-elle alors que celui-ci portait sa coupe à ses lévres...Il me semble que vous détennez l'unique "arme" permettant de changer toute chose : l'amour ! Et comme vous le décriver si bien, l'amour que l'on porte à ses amis, ses parents, ses proches.

Elle reservit alors la coupe de Guimmar, car celui-ci vennait de la terminer, et en profita pour remplir aussi la sienne.

Elle resta un instant silencieuse et pensive. Puis elle repris une gorgée de sa coupe et pris de nouveau la parole.

- Noble Guimmar, pensez vous que votre seigneur serait près à nous aider dans le cas où nous tenterions quelques actions sur les gobelins ?
Dans le cas d'une réponse positive nous n'aurions besoin de troupe qu'au niveau défensif. Soit en envoyant des troupe ici même pour assurrer notre defense, soit en interceptant toute troupe "ennemie" se dirigeant vers notre ville où en renfort des gobelin.
Si vous souhaiter interroger votre souverain vous pouvez utiliser un de nos faucons.

Guimmar fut très content que son amour lui fasse des éloges comme elle venait de le faire. En fait, il était aux anges. Et de surcroit, elle l'avait encore une fois appelé ''noble''. Cependant, sa demande qui vient après ces beaux mots assombrirent la joie de Guimmar. Bien sûr, il était prêt à affronter n'importe quel armée pour sa belle, mais Dimitriov ne ferait pas une guerre pour quelque chose d'aussi futile que le béguin d'une jeune fou pour une belle immortelle.

-Euh...Ahem...Je ne sais pas comment vous l'annoncer sans vous insulter mais,... Mon seigneur... Bien qu'il n'est rien contre vous ou votre village...Il...Disons que...Euh...

Comment pouvait-il annoncer que Dimitriov n'aimait pas particulièrement tout ce qui n'était pas homme, et encore, seulement certain... Il se doutait de la réaction de son ami s'il lui annonçait qu'il voulait faire la guerre aux cotés d'elfes.

-..Il n'aime....Il n'aime pas faire la guerre sans aucune raison. Pas que votre cause soit sans intérêt, bien au contraire, mais il ne va surement pas vouloir sacrifier la vie des habitants de Calenhad s'il n'as pas...Disons quelque chose à gagner en contre-partit...

Il avait un peu déformé la vérité, mais il le fallait. Il le fallait pour que son amour puisse continuer d'être. Sûrement qu'il serait capable de convaincre Dimitriov au nom de leur amitié s'il envellopait la demande dans de beaux mots de velour, mais il y avait encore des variables que seul quelqu'un comme Dimitriov pourrait calculer pour savoir si, oui ou non, il pourrait entrer en guerre.

Aux paroles de Guimmar le visage d'Anëlwen ce fit plus sérieux et une ombre de tristesse apparu dans son regard.

* Bien sur ils ne souhaitent entrer ne guerre tout comme nous. Mais comment faire ? Les gobelins ont déclanché les hostilitées et ne vont surment pas en rester là ! *.

- Je comprend très bien votre seigneur... Finit-elle par dire, d'une voix douce et mélancolique...Nous ne souhaitons pas plus que lui la guerre. Mais celle-ci est arrivée en terre elfique...

Anëlwen fit une pause et bu une gorgée de son verre avant de reprendre :

- Je ne peus offrire à votre seigneur que l'amitié de mon peuple, pour l'instant, et s'il lui fallait des arguments plus...."matériels", je ne peus alors le convaincre.

Mais notez bien, noble Guimmar, que je ne demande pas à votre seigneur de rentrer en guerre, Je lui demande juste un soutient militaire, défensif, au cas où nous entreprendrions une action envers les gobelins...

La lumiére à l'intérieur de l'ambassade commançait à faiblir et les ombres à s'allonger. Anëlwen le remarqua...

...Mais laissons là cette discution. L'heure avance et le crépuscule s'approche. Je ne voudrais vous retarder si vous souhaitiez repartir. Mais ce serait avec un grand plaisir que je vous acceuillerais au palais pour passer la nuit et ainsi nous pourrions continuer cette discutions autour d'un bon repas qu'en dite vous ?

Guimmar se mordit la langue. Il avait fait disparraitre l'espoir qui était née au fond des yeux de sa belle à cause de son inhabilité à user les mots. Mais que pouvait-il faire? Il n'était que le représentant commercial de Dimitriov auprès de ce village. Tout ce qu'il faisait quand il était là était faire ce que Dimitriov lui avait dit. La situation le dépassait de beaucoup. Il ne savait pas quoi faire dans ce genre de situation. Tout les variables qu'il y avait à penser, tout ce pour et ce contre, c'était trop pour les connaissance de ce pauvre garçon de ferme qui avait eu la chance d'être ami avec la bonne personne.

Au moins, il se doutait que Dimitriov aimerait avoir plus d'information sur cette situation avant de prendre une décision. Une raison plus que suffisante pour que Guimmar reste pour goûter la gastronomie elfique.

-Je suis désolé de m'être mal fait comprendre. Ce que je tentais de dire est que mon seigneur aurait surement des questions à poser avant de prendre un décision. Malheureusement, ces questions dépasse ma compréhension d'une telle affaire. Il faudrait que vous parliez vous-même afin de requérir son aide. Mais il est présentement en guerre dans le sud. Cependant, si vous lui envoyé un message par oiseau, il va surement vous répondre.

Envoyer sa demande par messager ailés sera indubitablement plus rapide que Guimmar voyagant sur son cheval. En plus, Dimitriov pourra poser lui-même ses questions. Guimmar n'était donc plus d'aucune utilité ici.

-C'est avec joie que j'accepterais votre invitation, mais je doute que ma présence ici ait une autre utilité que de vous priver de votre temps. Je pense qu'il... serait préférable que je parte...Je crois.

Cela lui déchirait le coeur de devoir partir si tôt après avoir fait tout ce chemin. Il allait se priver de deux bonheurs pour absolument aucune raison...Si seulement son amour allait l'empêcher de quitter ce lieu...



[Envoie des MP/RP pour parler à dimitriov. Si tu répond ici, guimmar reste, sinon, il part. C'est comme tu veux]

- Vous avez raison noble Guimmar je vais donc entrer en contact avec votre seigneur....Dimmitriov ?! Si je ne me trompe....Anëlwen se leva alors invitant de la sorte Guimmar à en faire de même, ce qu'il fit, et ils se dirigèrent vers la sortie. A peine arriver à la porte un garde, qui se trouvait à l'intérieur et que Guimmar n'avait remarquer à son entrée, se précipita pour ouvrir celle-ci tout en saluant. Anëlwen et Guimmar se trouvaient maintenant sur le pérron de l'ambassade et furent piquer au vif par l'air frais de cette fin d'aprés-midi hivernale.

Anëlwen resta un instant silencieuse apréciant cette brise fraiche, le regard lointain. Regard qu'elle ne tarda pas à reposer sur Guimmar.

- Je vous renouvel mon offre noble Guimmar. Le crépuscule s'approche et les routes sont peut sûr maintenant que les gobelins sont sorti de leur létargie.... Elle pris une profonde inspiration, qui ressembla plus à un soupir qu'à une inspiration... Restez ce soir au palais et diner avec nous. Cela vous permetrais de connaitre certains membres de ma famille et du gouvernemment. Mon époux et mon fils étant absents vous ne pourrez les rencontrer aujourd'hui. Mais une de mes soeur et un cousin se sont réfugiés ici après leur fuite de Barnas.

Ils étaient maintenant arrivés au bas de l'escalier de l'ambassade et le vent se faisait plus fort.

- Si vous decidiez de partir dès ce soir laisser moi au moins vous offrir une escorte qui vous accompagnerait jusqu'aux frontières de votre royaumme.

[Encore dsl, manque de temps]

Guimmar refusa gentiement l'offre de son amour elfique avant de retourner à son cheval, galopant vers là où son devoir lui indiquait d'être.

Le garde regarda le jeune commerçant et surtout l'écouta se présenter. Après une rapide fouille d'usage le garde pris enfin la parole ainsi que le papier que lui tendais le commerçant :

- Notre seigneur est absent pour le moment mais son épouse devrais vous recevoir. Veuillez me suivre.

Ils entrèrent alors dans l'ambassade vide. Le garde offrit un fauteuil au jeune commerçant puis se dirigea vers la sortie tout en disant :

- Veuillez attendre un instant je vous pris.

Le garde sortit laissant le jeune commerçant dans une pièce agréablement chauffée. Quelques instants plus tard entra une elfe merveilleusement belle et chaudement habillée elle tenais dans la main une petite bourse. Elle s'avança vers le jeune commerçant :

- Bonjour noble elfe, je suis Anëlwen, épouse d'Éléandoreïl, seigneur de fennas Drúnin... dit-elle d'une voix chaleureuse...Ainsi vous venez de la part de ce cher Galedor. Voici les 20 pièces d'or qui manque au cousin de mon époux... elle tendis la bourse au jeune commerçant...Et il est bien évident que nous n'allons lui demander aucun intérêt. Dite lui juste de nous rembourser quand il le pourra, nous ne somme pas presser.

Elle fit une courte pause regardant le jeune commerçant dans les yeux et continua :

- Désirez vous boire quelque chose ?


[ éco modifié ]

Le jeune elfe manqua de s'étaler par terre à l'entrée de la dame de Fennas Drùnin. Il avait voulu se lever, la saluer, et parler en même temps, résultat, il avança bizarrement de deux mètres avant de s'arrêter fixe, pour saluer bien raidement la noble dame à la beauté époustouflante.

"Je ... Je n... Je suis ..."

Emut et gêné, il avait bien du mal à trouver ses mots, qu'il perdait de nouveau, à chaque fois que son regard croisé celui d'Anëlwen.

"Je suis ... très heureux, et honoré... que vous vous déplaciez ... en personne pour me rencontrer.

Je lui transmettre votre message, mais je tiens, moi même... en tant que commerçant... à vous amenez, pour vous et votre seigneur, un objet de mes voyages."

Il avança la main tendu, et en saluant la dame, les yeux et la tête basse, afin de ne pas croiser son regard. LA bourse tomba légèrement dans sa main, puis il se recula très vite, et se releva.

"Je suis un homme d'affaires, et celle ci n'attende pas. Je pense trainer un peu dans votre ville, prendre de nouvelles marchandise, et je vous dit au mois prochain..."

Se retournant après un autre salut à Anëlwen, puis se dirigea vers le centre de la ville, afin de commercer, marchander, ou tout autre activité commercial...

[économie modifié merci ^^]

"Je souhaiterai voir dame Anëlwen, si elle pouvait venir jusqu'à moi car je ne puis rentré ainsi dans votre maisonnée."

Ainsi s'adressa le commerçant d'Imladris aux gardes de l'ambassade de Fennas Drúnin. Ceux-ci le regardèrent bizarrement, non pas pour sa manière de parler où pour ne pas le reconnaître, car les gardes l'avait reconnus, mais plus pour l'étrange chariot qui se trouvait stationner derrière lui. Un des garde pris enfin la parole :

- Euh.....Oui.... Bien sur....Le regard du garde se posait alternativement sur le commerçant et sur le chariot....Si vous me permettez ?

Le garde s'approcha du commerçant pour effectuer la traditionnel fouille corporel, à laquelle se soumis bien volontiers le commerçant qui affichait un sourire malicieux.

- Très bien.. repris le garde qui venait de s'assurer que le commerçant n'était pas armer... Veuillez me suivre.

Ils entrèrent alors dans l'ambassade. Un feu de bois brûlait dans l'âtre de la cheminée mais il sembla au commerçant que la chaleur de la pièce émanait du sol car ses pied pouvaient en témoigner. Le garde offrit un fauteuil et se retira tout en avisant qu'il allait prévenir dame Anëlwen.

Quelques instants après la sortie du garde la porte située à droite de la cheminée s'ouvrit et apparu Anëlwen qui tenait deux verres dans une main et un bouteille contenant un liquide d'un vert clair vif étrange.

Anëlwen revêtait un gilet sans manche et légèrement décolleté d'un rouge vif. Une fine ceinture argenté lui ceintrait la taille et une robe mis-longue d'un bleu jais complétait sa tenue vestimentaire.

Elle se déplaça d'un pas léger et s'adressa au commerçant d'une voie cristalline agrémenté d'un sourire :

- Bonjour noble elfe c'est un plaisir que de vous revoir. Dit moi quel bon vent vous amène par ici. Vous prendrez bien un peut d'hydromel de citron faite par nos meilleurs distilleurs...Dit-elle accompagnant le geste à la parole remplissant les deux verres du liquide vert.

Une fois de plus le jeune commerçant d'Imladris failli tomber face contre terre, devant la beauté d'Anëlwen, et sa tenue... Après un salut des plus courtois. Il prit, de sa main fébrile, un verre que lui donna la belle dame, et le vida d'un trait, tellement il était nerveux. Il parla alors d'une voix hésitante, à peine plus rassuré que la première fois qu'il avait rencontré Anëlwen.

"Je crois que nous ne sommes... euh ... Je m'appelle Nagal, Je suis commerç... Je suis venu vous remettre le paiement de mon seigneur... Et un présent, illustrant notre coopération militaire..."

Il tendit la main espérant que la dame la prendrais, afin de la conduire dehors, sur la parvis. Il se sépara de la dame reine, et couru vers sa charrette à la forme bizarre. Il prit un pans de la toile de lin et tira de toute ses forces, dévoila la pièce mystère...
Sous la lourde toile, sous lequel c'était retrouvé Nagal, se tenait une statue de trois mètres de haut, faite en fer noir, et portant une bannière d'Imladris.
S'extirpant de dessous la toile de lin, il se mit à coté de la reine de Fennas Drùnin.

"C'est une réplique plus petite de la statue de ... Elle a été forgée après la bataille de Goblin Gate... En refondant toutes les armes trouver aux sols, les proportion on fait... que les lames gobelines, étant noir, mélangé aux métaux des lames, elfiques... Enfin la statue à gardé cette couleur noirs caractéristique...

Elle vous est offert en guise d'intérêt..."

[-20 PO de remboursement, et -4 tonnes de fer (comme petit intérêt même si tu en voulais pas ^^).
Eco modifié]

Anëlwen accepta volontiers la main de Nagal. Elle était maintenant enceinte de 6 mois et cela commençait à rendre certain de ses moments difficiles.
* Quelle courtoisie de sa part.* Pensa-t-elle. Nagal avait-il offert sa main dans cette intention ? Sûrement. Il était difficile de ne pas se rendre compte qu'Anëlwen arborait maintenant des rondeurs significatives.

Ils sortirent donc de l'ambassade et Nagal se précipita vers la charrette qui était stationné devant le parvis. D'un geste rapide il tira le drap dévoilant ainsi une grande statue d'un noir profond. Anëlwen fut très surprise et resta un instant muette et pensive.

- Vous savez cela me donne une idée.... Je pense que nous pourrions faire une petite place devant l'ambassade avec diverses statue de se genre arborant les bannières des différentes nations amies. Anëlwen regardait devant elle imaginant sûrement l'effet que cela pouvait donner. Puis subitement elle se tourna vers le garde et lui dit :

- Allez chercher de l'aide pour transporter cette statue. mettez la sur le terre-plein là devant...Dit-elle en indiquant celui-ci devant l'ambassade.

- Noble Nagal; si cela ne vous dérange pas j'aimerais bien rentrer je ne voudrait prendre froid.
Anëlwen porta les mains à son ventre en guise d'explication. Nagal compris alors de quoi il s'agissait et s'empressa de retourner à l'intérieur avec Anëlwen.

- C'est trop d'honneur...Continuât-elle alors qu'ils venaient de passer les portes de l'ambassade... Vous n'auriez pas du. Vous voudrez bien remercier le seigneur Galedor. Puis je vous resservir un peu d'hydromel...Interrogeât-elle alors qu'elle se resservait elle même d'un nouveau verre.

A l'extérieur les elfes se chargeaient de la statue.


[ éco modifiée, merci Galedor ^^]

La troupes qui venait de Minas Ancalimë arrivait maintenant en vue de Fennas Drúnin. Le seigneur Éléandoreïl avait choisi le chemin le plus court en passant par le nord de la comté et au sud des collines du vent. Ils arrivaient donc à l'ouest de Fennas Drúnin. A quelques kilomètres de la ville la petite troupe avait fait une halte pour l'observer.

Au confluent de la Mitheithel et de la Sonoronne la grande ville de Fennas Drúnin disparaissait dans la végétation et cela du, en grande partie, aux pierres aux tons vert et marron des pierres utilisé pour les diverses constructions.

Ça et là on apercevais les fumées sortant des cheminées des habitations. Au nord et nord ouest les deux arnoriens se rendirent compte qu'il y avait des exploitations agricoles et animales.

Le soleil dardait ses rayons sur les arbres presque dénudés en cette fin d'automne. Les tons or et ocre dominaient dans les bois environnant et seul quelques arbres à feuilles caduques étaient encore vert.

La troupe s'élança de nouveau pour parcourir les dernier kilomètres qu'il manquait. Après avoir traverser la Mitheithel la troupes arrivait en vu de la porte ouest. Les deux statues de Huan et Thorondor semblaient observer les voyageurs. La troupe passa entre les statues et pénétra dans la grande ville. La porte fut bien vite refermée derrière leur passage.

Le petit groupe déambula alors parmi les rues de Fennas Drúnin. Celles-ci étaient pavées mais riches en plantes et arbres en leur bordures. Les maisons au style si particulier des elfes se mélangeaient en parfait harmonie avec la nature environnante. Les formes les plus audacieuses y était représenter. Ici sur la droite une maison haute de trois étages s'enroulait autour d'un magnifique chêne. Un peut plus loin sur la gauche une maison semblait sortir du tronc d'un des fameux érables aux feuilles rouges.

Ce qui marqua sans doute le plus les deux arnorien fut le faite que bon nombre de maison étaient construites avec des pierres d'un vert foncé ou bien d'un marron de terre sans parler de celles faites en bois et dont les détails de chacune rivalisait de beauté et d'harmonie.

Après quelque méandres la troupe arriva sur la place centrale de la ville où se situait le palais. Un arbres majestueux dont les années devaient avoir vu bien des choses en terre du milieux trônait juste devant le palais. Sont tronc d'un blanc pur s'élevait bien au dessus du palais de trois étages. Ses branches semblaient vouloir embrasser le dit palais et ses feuilles d'or scintillaient au soleil. Contrastant avec un rouge vif qui venait des feuilles d'un autre arbre en arrière plan.

La troupe s'arrêta devant le palais et Éléandoreïl mis pied à terre.

- Messieurs Bort et Twannor si vous voulez bien me suivre.. Dit-il avec un sourire aux lèvres.

Les deux hommes mirent eux aussi pied à terre et purent alors observer avec un peu plus de minutie la palais. Au centre se trouvait un grosse tour, élégante et élancée, de trois étages se terminant par un toit en flèche. Au tour de cette tour principale venait se greffer une multitudes de tours plus où moins fines où hautes mais toutes se terminaient par des toits en flèches. D'innombrables fenêtres arquées et de diverses tailles ouvraient les murs. Ici et là des balcons agrémentaient les fenêtres. Le palais en entier était un damier blanc et vert où bien même marron dans un équilibres juste. Les murs étaient légèrement sculptés de lignes sinueuses et de symboles elfiques. Même si la taille aurait pu en imposer l'harmonie le faisait paraître d'une grande simplicité. Au b out d'un instant ils se rendirent compte que le seigneur Éléandoreïl les attendait en haut des marche et qu'il était maintenant accompagné d'une elfe.

Ils gravirent rapidement les quelques marches et s'approchèrent de deux elfes :

- Voici mon épouse Anëlwen... Dit Éléandoreïl quand les deux arnoriens les eurent rejoint.. Anëlwen voici Bort et Twannor deux merveilleux cultivateurs de Minas Ancalimë.

- Soyez les bienvenus... Dit Anëlwen d'un ton suave... Mais ne restons pas ici dans le froid voulez vous... Effectivement Anëlwen n'était vêtue que d'une sorte de bustier rouge et ample et d'une jupe mi longue bleu royal. Habillement qui marquait les formes de plus en plus sinueuses de la belle. Elle entrait maintenant dans son septième mois de grossesse...Je ne voudrais pas prendre froid..Continua-t-elle en portant sa main gauche sur son ventre gros.

- Venez nous allons nous réchauffer un instant avant de visiter le jardin. Compléta Éléandoreïl dont le sourire se faisait plus prononcer.

Ils entrèrent donc dans une pièce sommes toute raisonnable et très peut profonde mais dont le plafond avait une hauteur vertigineuse. Les deux arnoriens furent frappés par la chaleur agréable de la pièce malgré l'absence de cheminée. Au niveau de la décoration tout était simple. Sur la droite, proche d'une grande porte arquée se trouvait une petite table fine en bois sur laquelle reposait une statuette élancée. Sur les murs de grandes tapisseries représentant diverses scènes que les deux cultivateurs ne purent identifier et d'autres détails qu'ils n'eurent pas le temps de notés car déjà les deux elfes les entraînaient vers une salle située sur la gauche.

Ils entrèrent alors dans un salon d'une taille confortable remplis de meubles, statuettes, tapis et tapisseries. Au centre du mur gauche une grande cheminée déversait sa chaleur dans la pièce. Ils prirent placent dans le coin droit du salon. Là se trouvait un confortable sofa où alla s'asseoir Anëlwen et plusieurs grands fauteuils de cuir, où du moins à ce qu'il paraissait. Les deux arnoriens Prirent place et Éléandoreïl alla chercher de verres et une bouteille dans un bar se trouvant sur la gauche. La pièce était agréablement illuminer grâce aux très grandes fenêtres.

Éléandoreïl revint et servit les verres d'un liquide d'un bleu turquoise et s'assit près de sa femme en lui donnant un baiser.

- Messieurs nous voici dans ma demeure et je suis ravis de recevoir des hôtes tels que vous... Dit il en prenant son verre à la main... Reposons nous un instant si vous le voulez bien ensuite je vous ferait montrer vos appartements et si vous le souhaiter nous visiterons le jardin dont je vous ais parler et que vous pouvez observer par ici... Montrât il d'un geste de la main. les deux arnorien purent alors voir que dans le coins opposer, sur la droite, se trouvait deux grandes portes fenêtres vitrées ouvrant sur un jardin après une courte pause Éléandoreïl leva son verre rejoint par tout le monde et dit..
Longue vie à nous tous et que les valar nous aides et nous protège.


[ Tu ne sais pas dans quoi tu vient de te mettre. Moi qui voulais décrire mon palais depuis longtemps tu va être servit ^^ ]

Les cavaliers arrivèrent devant les murs de la cité elfique de Fennas Drunin. Une fois arrêtés aux portes, ils purent admirer les immenses statues de Thorondor et de Huan qui gardaient fièrement l’entrée. Cela leur rappela la fois où un des descendants du puissant Thorondor avait fait son apparition à Minas Ancalimë. Cela avait fait du bruit pendant un mois, sans que les gens en connaissent la véritable raison.

Mais ils ne furent pas particulièrement impressionnés par les œuvres de pierres. Mais l’émerveillement qui se lisait sur leur visage fut immense quand ils pénétrèrent dans la ville dont les couleurs des habitations semblaient être en fait une mosaïque de couleurs tirées de la nature. Un assemblage de teintes magnifiques qui donnait toute sa splendeur à la cité elfique du Seigneur Eléandoreïl.

Puis, celui-ci les conduisit devant l’ambassade en passant par les magnifiques rues de sa ville. Bizarrement, ce fut les chevaux qui conduisirent leurs cavaliers humains qui avaient la bouche ouverte, effarés devant tant de beauté. Enfin, il fallait avouer que pour des gens qui adoraient la nature, un tel spectacle valait son pesant d’or.

Ils arrivèrent bientôt devant les portes de l’ambassade où apparut bientôt dame Anëlwen dont les formes ne cachaient en rien l’heureux évènement qu’elle attendait. Cependant, cette dame dont la beauté ne laissait personne indifférent se heurta à deux campagnards qui n’avaient d’yeux que pour la nature et non pas les atours de la gente féminine.
Mais, ils étaient toujours ébahis quand ils pénétrèrent dans le salon de leurs hôtes. L’archétype des paysans à la ville…

Mais alors, qu’ils parvenaient enfin à fermer la bouche et qu’ils allaient parler, Eléandoreïl leur indiqua son jardin, visible depuis les portes fenêtres de la pièce. Et là, leur émerveillement n’en fut que plus grand. Ils restèrent dans cette position un long moment avant de se reprendre conscience. Ce fut Bort qui prit la parole.

Pardonnez notre silence, nobles seigneurs, mais votre ville est magnifique ! Une ode aux bienfaits de Mère Nature. Mon ami et moi avons du mal à imaginer qu’une ville lui rendant un si bel hommage existe ! Une ville magnifique qui fait passer notre paradis pour un petit jardinet d’enfant.
Mais c’est un fait que nous aimerions aller voir votre jardin et vous aider si nous sommes en mesure de le faire. Ce dont nous doutons quand nous voyons ce dont vous avez été capable dans vos rues.

A ses côtés, Twannor était surpris que son ami puisse parler de la sorte ! Des paroles dignes d’un noble. Et les nobles n’étaient pas ce qui courraientles rues à Minas Ancalimë. Pas plus qu’à Nan-i-Naugrim. Il avait entendu dire qu’il y en avaient à Enerond, mais n’en avait jamais vu lui-même. Une légende sans doute… Mais ce qui était sur, c’est qu’il n’aurait jamais cru son ami capable de tant de noblesse. M’enfin, ils allaient voir le beau jardin des elfes et c’était la seule chose qu’il attendait. Il répondit donc, se dressa d’un coup,

Oh oui, J’aimerais aussi voir votre magnifique jardin.

Puis, se rendant compte de son comportement, se rassis en baissant les yeux, le visage rouge écarlate.

***

Pendant ce temps, d’autres cavaliers arrivèrent. Ils portaient l’insigne de Minas Ancalimë. Les gardes les firent donc entrer dans la ville et ils se dirigèrent vers l’ambassade. Là, ils demandèrent à voir un responsable pour affaire. Et ce, après avoir remis leurs armes aux gardes.

Éléandoreïl et Anëlwen ne purent contenir leur rire face aux réactions des deux sympathiques arnoriens.

- Vous pouvez vous relevez noble Twannor...Dit Éleandoreïl d'un ton joviale tout en se levant lui même...Allons donc visiter le fameux jardin.

- Vous m'excuserez de ne pas vous accompagner...Ré-enchérie Anëlwen... Mais je préfère ne pas risquer de prendre froid.

Éléandoreïl embrassa alors son épouse et se dirigeât vers les grandes baies vitrées accompagné des deux arnoriens qui trépignaient d'impatience.

Ils passèrent alors à l'extérieur du palais et avait une vue imprenable sur le jardin légèrement vallonné. Mais le plus grand spectacle était sûrement le majestueux érable aux feuilles rouges sous lequel ils se trouvaient. Tout comme l'arbre devant le palais cet érable, au tronc énorme, s'élevait à une hauteur vertigineuse et semblait vouloir protéger le palais de ses branches.

Éléandoreïl et les deux arnoriens commencèrent alors à descendre la petite allée de fine pierre blanche. Partout les arbres portaient haut les couleurs de l'automne ajoutant ainsi une palette au tons chauds sur le vert vif de l'herbe. Les espèces était d'une variété infini. Les formes se mélangeaient et rivalisaient de diversité et d'ingéniosité. Les tailles, les couleurs, tout se mélangeait avec une harmonie et une légèreté que seul la nature et l'amour sont capable de produire. De temps à autre des maquis de fleurs en hibernation viennent alterner le paysage.

En chemin Éléandoreïl donna des explications sur son projet et demanda conseil aux deux compères indiquant les endroits où ils verraient bien les fleurs hivernales ainsi que le arbres ramenés de Minas Ancalimë. Les conseils sont écouté avec grande attention.

Alors qu'ils remontaient une des allées les trois amoureux de la nature passèrent près d'un stand de tir à l'arc. De là on pouvaient voir, sur la gauche, le palais qui disparaissait presque sous l'érable et de l'autre une partie de la ville.

Après leur courte pause ils continuèrent leur chemin longeant un petit court d'eau en cascade et arrivèrent près de grands bâtiments vitrés et en bois. Ils y entrèrent et la température fort agréable qui régnait à l'intérieur fut la bienvenu.
A peine étaient ils entré qu'Éléandoreïl se mit a appeler d'une voix forte.

- Balalda ?... BAlalda ???... BALALDA??!!!

- Si seigneur ! Vous avez appelez ?

La voix qui venait de répondre était si proche des deux arnorien qu'ils sursautèrent. Mais ce qui les intrigua le plus est qu'il ne virent personne.

- Ah enfin... Répondit Éléandoreïl qui se dirigeât vers les arnoriens...Venez que je vous présente..

c'est alors que, comme par magie, apparu un elfe qui paru jeunes aux yeux de Bort et Twannor. Il était grand et mince, comme la plupart des elfes me direz vous, mais dans son regard se pouvait lire un grande sagesse ainsi qu'une certaine malice.

- Voici Bort et Twannor deux charmants cultivateurs arnoriens. Ceux qui ont gentillement accepté de m'offrir les boutures que je vous ai fait porter. Messieurs voici Balalda spécialiste en toute plantes. Celle-ci n'ont aucun secrets pour lui mais elles lui cache parfois leurs savoirs.

- Enchanté... Répondit baladar en inclinant très légèrement la tête tout en jetant un regard quelque peut rancunier à son seigneur.

- Ne prêtez pas attention à son air farouche...Ré-enchérit Éléandoreïl...Il ne ferait de mal à une mouche.

- Effectivement à une mouche certainement pas.. Rétorqua le dit Balalda en appuyant son regard en direction d'Éléandoreïl qui parti d'un fou rire [ dsl je ne sais pas comment on écrit cela. Si c'est fou rire où faux rire où encore autre chose. ]
Une chose était sur ces deux elfes avait une grande complicité.

- Chers Twannor et Bort voulez-vous bien expliquer à noter ami votre intéressante technique avec les abeilles ?
Donnes nous aussi la bonne méthode pour pouvoir traiter correctement des boutures que vous m'avez gentillement offert ? Nous voulons tout savoir.

- Venez allons nous asseoir en plus je viens de faire du thé.

Ils se dirigèrent plus à l'intérieur de la serre et s'assirent dans de confortables fauteuils de bois au milieux d'une multitude de plante. Balalda servit une bonne tasse de thé bien chaud à tout le monde. Les deux elfes attendaient avec envie les explications des deux hommes.

***************

Pendant ce temps au palais un des gardes était allé prévenir dame Anëlwen de l'arrivée de cavaliers de Minas Ancalimë.

* On dirait qu'Éléandoreïl nous à rameuter toute la ville de Minas Ancalimë aujourd'hui *

Pensait Anëlwen alors qu'elle se dirigeait dans les couloirs en direction de l'ambassade. Quand elle y entra, par le porte sur la droite de la cheminée, elle y trouva quelques cavaliers assis autour de la table. D'une voix amicale et suave elle se présenta :

- Bonjours nobles arnoriens je m'appelle Anëlwen, épouse du seigneur Éléandoreïl. Que nous vaut votre agréable visite ?

[ Désoler du temps de réponse et surtout pour t'entraîner encore plus loin mais j'ai pas pu m'en empêcher XD. ]

Le spectacle qui s’offrait aux deux arnoriens était à couper le souffle. Un jardin dont chaque parcelle semblait avoir été agencée après mûre réflexion mais en même temps, on aurait dit que c’était les facéties et envies de la nature qui avaient modelées ces odes à la Création.

A chaque pas qu’ils faisaient sur le chemin de fine pierre blanche, tous leurs sens étaient sollicités. Que ce soit via les parfums enivrants des arbres ou de l’herbe. Que ce soit via les bruits du vent dans les arbres ou des animaux qui passaient furtivement dans les jeux d’ombres et de lumières dessinés par les rayons du soleil au travers des feuilles. Une expérience aussi enrichissante que lorsqu’ils se laissaient aller au gré de leurs fantaisies dans leur « paradis ».

Mais leurs pas, guidés par Eléandoreïl, les amenèrent à une petite bâtisse de bois et de verre où ils firent la rencontre de Balalda, un elfe comme beaucoup d’autres : jovial et de bonne compagnie. Celui-ci les emmena vers un petit salon où les quatre hommes se mirent à boire du thé, les deux elfes attendant des explications des deux hommes sur leur technique de croisements.

Ce fût Twannor qui commença à parler. Précédemment, dans l’ambassade, il avait été trop impressionné pour parler suffisamment convenablement à son goût. Mais ici, il était entouré de plantes et se sentait à sa place. En confiance.

Et bien, c’est une idée toute bête. En fait, on a réalisé des boutures. Et ensuite, on a isolé chaque arbre le plus possible. Et nous avons placé une ruche à côté de chaque arbre bouturé. Ainsi, les abeilles s’occupaient de récolter le pollen de chaque fleur, autant de l’arbre que de la bouture. Mais en allant de l’un à l’autre, des mélanges étaient faits !

Par la suite, nous avons sélectionné sur plusieurs générations les pousses qui nous intéressaient et en avons fait de nouvelles variétés. Comme ces ciliegia que vous avez gouté Seigneur Eléandoreïl.

Twannor était conscient que son langage ne valait pas celui des trois autres personnes. Mais il était déjà fier de lui. Et puis, au moins il était naturel, de ce naturel qui semblait avoir plus à un elfe. Seigneur de surcroît.

A ses côtés, Bort souriait. Il devinait les pensées de son ami et, le connaissant parfaitement, les trouvait injustifiées… mais Twannor était ainsi et il ne changerait pas si facilement.

***

Les émissaires étaient estomaqués devant tant de beauté ! Les légendes disaient donc vrai : les elfes étaient des femmes magnifiques. Alors que la moitié des hommes l’accompagnant bavaient tel le loup de Tex A., un fameux peintre de Minas Ancalimë (xD), leur chef déglutit et se leva.

Noble Dame, nous sommes honorés de faire votre connaissance. Votre présence parmi nous est un ravissement et nous somme très touché qu’une personne telle que vous daigne nous recevoir.

Il remarqua l’état d’Anëlwen et fût encore plus touché qu’elle se déplace en attendant un heureux évènement. Mais pour éviter qu’elle ne se fatigue à rester avec eux, il se décida à aborder le plus rapidement le sujet qui les amenaient.

Ma Dame, j’irais droit au but afin que cette entrevue ne dure pas trop longtemps et ne vous fatigue pas plus qu’elle ne le fait sans doute déjà dit-il dans un sourire empreint de compassion et de gentillesse.

Voilà, notre seigneur Meneldor nous a demandé de venir solliciter un achat de bois. Nous aurions besoin de 200 tonnes que nous sommes prêts à vous payer 200 tonnes de fer. Je sais que c’est un échange conséquent et que débarquer à l’improviste est impoli voir grossier, mais nécessité fait loi comme il est coutume de dire dans notre région.

Est-ce envisageable ?

[HRP : Edit du 08/06 : Je compte mon échange de ressources avant de lui répondre car sinon, il y a discordance entre nos économies, mais je ferais le RP dès que j'ai fini mes exams Donc, éco modifiée]

Balalda écouta attentivement les explications des deux Arnorien et prenait des notes mentalement. L'idée des abeilles lui plus assez mais il y avait un petit problème.

- Votre technique avec les abeilles me semble des pus pratiques mais je crois que je n'y parviendrais jamais. Nos chers amis les distilleurs utilisent tellement de miel pour faire leur fameux hydromel que toutes les abeilles sont réquisitionnées par les apiculteurs.

A ces mots Éléandoreïl intervint :

- Ah si ce n'est que cela je vais vous arranger cela. J'irais discuter avec notre bonne ami Temelro. Il ne nous refusera pas une petite colonie d'abeille j'en suis sur.

Éléandoreïl pris une gorgée de thé tout en regardant par la fenêtre et continua :

- Ummm le crépuscule commence à apparaître. Si vous le voulez bien rentrons au palais.... Ah Balalda veuillez séparer quelques bouture de l'érable à feuilles rouges je vous pris. Nos chers amis ici présent meurt d'envie d'en élever quelques pieds.

A ces mots Éléandoreïl se leva imité par les deux Arnoriens et l'elfe. Balalda salua alors les trois autres convives :

- Mon seigneur ! Messieurs je vous souhaite donc une bonne soirée et je vais de ce pas séparé les meilleurs boutures d'érable dont je dispose.

Sur ceux Balalda se dirigea vers le fond de la serre tandis qu'Éléandoreïl accompagné de Bort et Twannor sortirent de nouveau dans un froid qui se faisait plus vif maintenant. Ils leur restaient pas mal de chemin à faire pour revenir au palais et ils accélérèrent donc la cadence.

Le vent sifflait dans les branches et le crépuscule devenait de plus en plus sombre alors qu'ils arrivaient aux palais.

Les chandeliers avaient été allumés dans toutes les pièces susceptibles de recevoir des personnes et le cheminées avaient été rechargées en bois. Si bien que lorsqu'il rentrèrent dans le salon la chaleur ambiante leur fouetta agréablement la figure.

Ils retirèrent leur manteaux et Éléandoreïl leurs servit un verre. Puis les ayant installés dans les fauteuils il alla chercher Anëlwen. Tout les quatre passèrent une petite demi-heure à se réchauffer et à discutant tout en grignotant quelques friandises typiquement elfique.

Après cette légère mise en bouche les deux arnoriens furent conduits à leurs chambres par les deux seigneurs, les appartements de ceux-ci se trouvant au troisième étage, ils les avaient donc accompagnés.

Ils étaient tous sortirent du salon et avaient les marches de l'escalier se trouvant dans l'entrée principale. Bort et Twannor eurent une sensation étrange au contacte de la rampe en pierre de l'escalier. Celle-ci était douce et laissait l'impression de s'être savonner les mains. Éléandoreïl remarqua leur étonnement et leur expliqua que cette pierre avait cette étrange faculté.

Le petit groupe entra dans un couloir bien éclairé qu'ils parcoururent jusqu'au bout puis tournèrent sur la gauche et enfilèrent de nouveau un couloir relativement long au bout de celui-ci se trouvait un autre couloir et en face d'eux deux porte de bois finement sculptées.

- Voici vos chambres... Intervint alors Éléandoreïl...Les bains y ont été préparé. Nous nous retrouverons en bas un peut plus tard pour le dîner.

Les elfes quittèrent leurs nouveaux amis et se dirigèrent vers leurs appartements. Bort et Twannor quand à eux entrèrent dans leurs chambres respective.

Les chambres étaient amples et harmonieusement décorées. Un grand lit trônait contre le mur de droite et au milieux de la pièce. En face de celui-ci une grande cheminée où brûlait un feu mais chose assez incroyable la chaleur semblait, comme dans toutes les pièces du palais, venir du sol. Au fond de la pièce une grande double fenêtre arquée donnait accès à une véranda sur le jardin. Une bibliothèque garnie de livre remplissait le mur entre la cheminée et la double fenêtre.

De l'autre coté de la cheminée une porte sculptée ouvrait sur la salle de bain. En entrant dans celles-ci les arnoriens purent respectivement remarquer la grande baignoire taillée à même la pierre et positionné contre le mur de droite. Ils constatèrent aussi que non seulement l'eau était bien chaude mais aussi la baignoire.

Plus tard ils allaient rejoindre les deux seigneurs dans le salon principale.


***************

Ma Dame, j’irais droit au but afin que
cette entrevue ne dure pas trop longtemps et ne vous fatigue pas plus qu’elle ne le fait sans doute déjà dit-il dans un sourire empreint de compassion et de gentillesse.

Voilà,notre seigneur Meneldor nous a demandé de venir solliciter un achat de bois. Nous aurions besoin de 200 tonnes que nous sommes prêts à vous payer 200 tonnes de fer. Je sais que c’est un échange conséquent et que débarquer à l’improviste est impoli voir grossier, mais nécessité fait loi comme il est coutume de dire dans notre région.

Est-ce envisageable ?

Venait de prononcer l'émissaire Arnorien avec un sourire. Sourire que lui rendit Anëlwen mais dans lequel on pouvait déceler un brin de fatigue.

- Je vous remercie de l'attention que vous me porter noble Arnorien mais c'est la plus belle des fatigues que je ressent. Je comprend très bien les nécessités de votre seigneur et il n'est en aucun cas grossier de faire appel à des amis. Nous pouvons effectivement vous vendre cette somme de bois et vos tarifs me semble parfait. Je vais de ce pas faire préparer le convois.

Elle se dirigeât donc vers la sortie de l'ambassade et après une brève discussion avec le garde de planton elle revint s'asseoir avec les arnoriens.

- Le convois sera près dans quelques heures. En attendant voulez vous boire où manger quelque chose ?
[ éco modifiée..Meneldor j'ai accéléré un peut le rp de tes cultivateur mais si tu veux y mettre leurs réaction avant le dîner tu peux. Pour le dîner tu peux aussi accélérez si tu veux .

Maintenant pour tout admin un petit peut vicieux Anëlwen n'est pas à deux endroits à la fois. J'ai considéré que la transaction s'était faite dans la journée et elle a retrouver son mari en fin de soirée Twisted Evil Twisted Evil ]

De nombreux faucons partirent de Fennas drúnin en ce jour de mars. Leur divers destinations était des ville amies où en passe de le devenir ainsi Imladris, Minas Ancalimë, Caras Celairnen, Minas Tirith, Hîdil et Mithlond eurent la visite des faucons ainsi que Erebor, Elositrion, Calenhad, Amon Algo, Edoras et Ost-in-Edhil. Ces faucons avaient tous le même message attaché à leurs pattes.

Citation :

Nobles seigneurs,
Nous, Anëlwen et Éléandoreïl Delmandir, sommes ravis de pouvoir vous annoncé la naissance de la petite Elluinwen. Preuve que l'amour et la joie continu sur cette terre. Souhaitons lui une vie pleine de bonheur.

Le garde regarda l'émissaire d'un regard quelque peut suspect. *Il me semble bien au courant celui-la*. Mais le seul commentaire qu'il s'autorisa fut le suivant :

- Effectivement ils l'ont été mais ils n'étaient pas les seuls et nos armées sont encore aux prises avec eux à la Moria.

Puis il prit les armes que lui tendit l'émissaire et lui libéra le passage. La porte fut refermer une fois que l'émissaire entra. Le premier garde dit à une autre, qui se trouvait derrière la porte, d'accompagner Lisentrail jusqu'à l'ambassade. Le dit garde, tout autant armé que le premier, commença donc à se diriger vers l'ambassade accompagné de Lisentrail, sous le regard des elfes qu'il croisaient en chemin.

L'après-midi était agréable en ce mois de mais et les arbres étaient en fleures. En fait toute plante florissant à cette époque étalaient leur couleurs vives aux rayons du soleil. Un doux parfum émanait dans l'air. L'arnorien pouvait ainsi profité d'une promenade sympathique dans la ville elfique à l'architecture tant caractéristique de leur peuple. Après maints détour dans des rues parfois pavées, parfois non, et dont les tailles variaient ils arrivèrent sur une place où trônait un arbre majestueux.

L'elfe se dirigeât vers un bâtiment au dessus duquel flottait l'étendard de Fennas Drúnin et qui était lui même surveillé par des garde. Après un court dialogue en langue sindarine entre le garde qui accompagnait Lisentrail et ceux de l'ambassade ils entrèrent enfin dans le bâtiment. Le garde offrit un des fauteuil se trouvant autour de la table ronde à Lisentrail et pour la première fois il s'adressa à lui d'une voix étrangement grave pour un elfe :

- Je vous en prie asseyez vous. Je vais chercher notre intendant car mon seigneur est occupé pour le moment.

Le garde saluât l'émissaire et sorti de l'ambassade. Quelques instant après entra un elfe plutôt grand et bien vêtu, avec un livre sous le bras, entra et s'approcha de Lisentrail tout en lui disant :

- Bonjour noble arnorien je me nomme Curufeä intendant de Fennas Drúnin. On m'as prévenu que vous souhaitiez nous faire un emprunt. De combien avez-vous besoin ?

Alors qu'il terminait sa phrase Curufeä s'assit en face de Lisentrail.

[ HRP : Quarell tu n'es pas obliger de m'envoyer trois MPs et un message sur la box juste pour me dire que tu m'as répondu.
Je le vois très bien que tu réponds et c'est le genre de chose qui me donne envie de ne pas répondre, si tu me suit.
Alors si tu es pressé tu fait un joli RP en incluant le fait que tu soit pressé et dans ce cas là j'accélérerais peut être la marche à suivre. Par avance merci ^^]