Ambassade de Fennas Drunin

Le conducteur sourit aux deux Elfes et répondit:

"Je transmettrais vos salutations à Regnak, et c'est avec joie que nous acceptons de nous reposer dans votre caserne. Mais avant celà mais deux compagnons vont porter ce coffre jusqu'a votre trésor, si vous aviez l'amabilité de les y conduire je vous en serais reconnaissant. A présent je vais allez me reposer. Je vous souhaite une bonne journée, merci encore de votre aide et de votre gentillesse. Au revoir Dame Anëlwen, au revoir seigneur Armendor."

L'homme les salua une dernière fois et se retourna, il alla au chariot et se dirigea vers la caserne .

[Economie modifiée, de rien très cher ^^]

- Ne vous inquiétez pas pour le coffre vous pouvez le laisser ici nous nous en occupperons.
Lui répondit Armendor. Puis il accompagna les trois hommes a la porte de l'ambassade. Une fois là il dit à un des gardes de les accompagnés a la caserne. Puis apres les avoir de nouveaux salué Armendor retourna dans l'ambassade.

[ Dommage que Regnak soit pas venu j'aivais des idées de fou pour le recevoir ^^]

Un des gardes regarda l'émissaire qui c'était adresser à eux.
Quand celui-ci courba la tête humblement le regard du garde devint suspicieux. Le garde n'étant pas habituer à ce que les personnes se rendant à l'ambassade le traite avec autant de respect, à tord, trouva la politesse de l'émissaire suspecte.

Il lui répondit donc d'une voix calme mais sèche :

- Mon seigneur, Éléandoreïl Delmandir, est absent depuis fort longtemps. Mais son épouse et son fils son ici je vais voir si un d'eux peut s'entretenir avec vous. Pendant que je vais m'informer vous pouvez vous libérez de vos armes au près de mon camarade, si vous en avez.

Le garde se dirigeât vers l'ambassade quand il se retourna et rajouta à l'intention de l'émissaire :

- Vous pouvez laisser votre destrier ici un palefrenier va venir s'en occuper.

Puis il rentra dans l'ambassade. Le deuxième garde s'avança, un peut, en direction de Sined et attendit que celui-ci lui remettre ses armes ce qu'il fit dans l'instant.
Ces formalités accomplies le garde ouvrit les portes de l'ambassade et ils y pénétrèrent.

Le garde accompagna Sined jusqu'à la table en bois, devant la cheminée chargée mais éteinte, et offrit un des confortables fauteuils. Le garde qui était resté muet jusqu'à maintenant pris la parole d'une voix calme :

- Veuillez attendre ici un instant je vous prie.

Puis il saluât Sined et le laissa seul à l'intérieur.
Sined eut alors tous le loisir d'admirer la nouvelle décoration de l'ambassade. Sur chacun des murs de "côté" on trouvait maintenant une tenture à l'emblème de la maison d'Éléandoreïl et un immense tableau représentai de magnifiques paysages. Sur le mur d'entrée une bibliothèque avait été installée.

La lumière de cette après midi d'automne filtrais par les fenêtres de l'ambassade y donnant une ambiance chaleureuse. Sined observait la pièce quand soudain la porte située sur la gauche de la cheminée s'ouvrit. Une magnifique et jeune Elfe entra dans l'ambassade tout en refermant la porte derrière elle.

Elle était vêtue, inhabituellement pour des Elfes, d'un bustier étroit en tissus soyeux d'un mauve claire et d'une jupe mis longue d'un bleu roi. Ces vêtemments mettaient merveilleusement en valeur les courbes parfaites de l'elfe.

Elle se dirigeât vers Sined et lui dit d'une voie très douce et chaleureuse :

- Bonjour noble Sined, c'est bien cela ? Je me nomme Anëlwen épouse d'Éléandoreïl, seigneur de Fennas Drúnin, que me vaut l'honneur de votre visite ?

A l'extérieur de l'ambassade un palefrenier vint chercher la monture de Sined et l'emmena vers les écuries.


[ HRP pardon d'avoir pris la direction de ton personnage mais c'était pour avancer un peut. Si tu veus modifier tu peus reprendre à partir du momment où mon garde s'approche pour prendre tes armes et j'éditerais ce message ]

[HRP: Pas de prob, c'est pas comme si tu venais de lui faire signer un don de 300 pièces d'or à ton royaume!!^^]

Sined fut estomaché par l'incroyable beauté de cette Anelwen. Il rougit un peu car le temps le pressait et il devrait couper court aux discussions. Il était attendu à Amon Algo. Comment trouverait-il la force d'outrepasser toute les conventions, et ce face à une dame aussi voluptueuse de succroît.

Je m'excuse madame de devoir m'adresser ainsi à vous. Je dois rentrer chez moi le plus rapidemment possible et ne pourrai remplir convenablement les us qui vont de soit lorsque deux nouveaux peuples se rencontrent.

On m'a avisé par pigeon messager que votre ville serait prête à nous faire un prêt... Nous aurions besoin d'une somme de 175 po que nous pourrions vous remettre le mois prochain (rp). Nous disposons aussi de ressoucres en fer et de bon chevaux. Peut-être cela vous intéresserait-il?

Sined inclina la tête pour bien signifier sa dévotion et le grand respect qu'il portait à cette dame. C'était la première fois qu'il s'entretenait avec une elfe...

Anëlwen qui c'était assise en face de Sined, pour des raisons pratiques évidents, ainsi ils n'avaient pas à tourner la tête pour ce parler, resta un instant silencieuse tout en regardant celui-ci dans les yeux. Sined eut l'impression qu'elle regardait au plus profond de son âme.

Après quelque instants, donc, elle pris la parole de la même voie douce et chaleureuse qu'était la sienne :

- Effectivement nous pouvons vous accordez un prêt et une fois n'est pas coutume...Elle eut à ces mots un petit sourire que Sined ne put définir exactement s'il était purement amicale où un brin malicieux....nous vous demanderons de nous rembourser cette même somme.
Maintenant veuillez m'excuser un instant je vais prévenir mon intendant qu'il prépare la somme dans les plus bref délais.

Sur-ce elle se leva et sortie part la même porte part laquelle elle était entrée plutôt. Anëlwen réapparue quelques instant plus tard tenant une bouteille, contenant un liquide turquoise, et deux verres dans les mains.
Elle s'assit de nouveau et remplis les deux verres. Elle en tandis un à Sined et but une gorgée du sien.
Puis elle prit de nouveau la parole :

- Voici de l'hydromel faite par les meilleur distilleurs de Fennas Drúnin. En ce qui concerne votre généreuse offre de fer et de chevaux je me vois dans l'obligation de refuser pour le momment mais qui sait si un jour nous sommes dans le besoin nous ferons sûrement appel a vous.

Anëlwen finissait sa phrase quand la porte s'ouvrit de nouveau et un elfe entra portant dans ses bras un coffre en bois finement sculpté, et d'une taille moyenne.
Il le déposa sur la table puis saluât avant de repartir en fermant la porte derrière lui.

Anëlwen poussa délicatement le coffre vers Sined tout en lui disant :

- Voici les 175 Po que vous m'avez demander. Je vous en prie vérifiez que la somme y est bien complète. Nous attendrons donc votre remboursement la semaine prochaine.

[ voila je modifie mon économie ]

Sined jubilait et se rongeait de l'intérieur à la fois. Il bouillonait tant ses sens étaient stimulés. Les couleurs, l'hydomel, les étoffes aux murs, Analwen...

Il était déchiré car il devait repartir immédiatement...

Madame, je vous en prie. Je n'ai pas besoin de vérifier car j'ai toute la confiance du monde qu'un être tel que vous ne se tromperait avec des nombres aussi petit qu'une fraction de votre age...

C'est avec grand respect que je vous implore de me permettre de quitter immédiatement pour ma ville. Je suis attendu...

Analwen acquiesa puis il partit immédiatement...

[HRP économie modifiée et ps, voila ma revenge pour la prise de contrôle de caractère^^... mais si t'es pas d'accord j'édit!]

Sined sorti de l'ambassade.
Un des gardes se dirigeât alors vers les écurie pour aller chercher sa monture tandis que l'autre allait lui remettre ses armes.
C'est alors qu'Anëlwen sorti sur le perron de l'ambassade accompagnée d'un jeune elfe que Sined n'avais pas encore vu.
Elle regarda intensément le garde qui s'immobilisa alors et fixa Sined.

Puis elle pris la parole :

- Noble Sined je vient de recevoir une bien curieuse missive de la part de vos supérieur pourriez vous m'expliquer ?

Le jeune elfe s'approcha alors de Sined et lui tandis la missive puis retourna au coté d'Anëlwen

Sined put alors lire :

Le conseil d'Amon Algo vous envois cette missive pour vous faire part d'une affaire de la plus haute importance. Nous avons découvert récemment qu'un des émissaires de notre royaume préparait un renversement du pouvoir en Amon Algo. Ce même émissaire aurait tenu des propos haineux contre les elfes et les arnoriens. De plus plusieurs sources nous indiquent qu'il pratiquerait la Nécromancie. Nous avons reçu la confirmation par le seigneur Grishnouk lui-même des propos qui furent tenus dans son ambassade. Cet homme ce nomme Sined et nous vous envoyons ce message justement parce qu'il devait se rendre tour à tour dans chacune de vos villes. Nous vous prions de bien vouloir nous faire part de l'attitude que Sined à adopté lors de sa visite de vos ambassades et tout spécialement si cela corrobore les dires du Seigneur Grishnouk. Sachez aussi que cette prise de position adoptée par l'un de nos émissaires ne reflète pas du tout le sentiment de notre village à l'égard des autres peuples et qu'advenant la confirmation de ces accusations nous n'aurons d'autres choix que d'appliquer la peine capitale sur sa personne. Il serait décapité sur la place publique. Le conseil d'Amon Algo

Anëlwen laissa le temps à Sined de lire et repris la parole :

- Je leur rétorquèrent que votre conduite ici avait été irréprochable envers nous.
Maintenant j'aimerais avoir des explications sur la réelle destinée du pret que je viens de vous accorder.

Au loin on pouvais apercevoir le garde qui se dirigeait vers l'écurie.

[ Edit Éléandoreïl : Message annulé suite à une missive reçue d'Almon Algo.
Re Edit : le message est valable vu que Mesyanos avait poster une minute avant que j'édite. ( c'est ça d'avoir une connexion internet lente ) Pardon. ]

Anëlwen regarda Sined dans les yeux un instant puis se tourna vers le garde et lui dit :

- Cher Finlandir, veuillez faire querir une de nos monture pour cet homme. Puis elle se retourna vers Sined et lui dit :

- Il me semble que les affaires en votre royaume ne sont pas très claire et cela ne nous regarde que peut.
Je ne sais de quel cote vous vous ranger, et cela aussi ne m'importe peut pour le momment, mais s'il est un conseil que votre seigneur devrait suivre c'est bien celui de mettre de l'ordre dans son royaume car si non cela pourrait lui être extrêmement désavantageux.

Le garde qui était parti chercher la monture de Sined revint avec un autre cheval.

Anëlwen montra le destrier, de la main, à Sined et ajouta :

- Voici un cheval reposé et vigoureux faite un bon voyage. Et n'oubliez pas une chose...Le temps est le véritable maître de ce monde et grâce à lui toute chose prend sa forme véritable.

Anëlwen saluât sined et le laissa partir.

Cela faisait bien des mois que Guimmar était venu au village du seigneur Éléandoreïl. Il avait suivit Dimitriov dans son assaut contre Julasta, mais à peine que l'attaque eu commencé que son seigneur l'eu envoyé en mission diplomatique. Quoi qu'il en soit, retourner au splendide village elfique n'était pas pour déplaire à l'homme.

Après quelques jours de voyage, Guimmar arriva finalement à la cité de Fennas Drunin. Et comme la première fois qu'il était venu, il était bouche bée de par la beauté de l'architecture elfique. C'est comme si la magie l'entourait. C'était magnifique.

L'émissaire reprit ses esprits. Il était là pour affaire et Dimitriov pourrait avoir besoin de lui dans la bataille. Il accéléra le pas de son son cheval, ce qui ne l'empècha pas de s'émerveiller à chaque fois qu'il tournait un coin de rue.

Il finit par arriver à l'ambassade qu'il avait tant cherché la dernière fois qu'il était venu. Il mit pied à terre et s'approcha des gardes qui protégeait les portes de la batisse...

Finlandir, le garde principale attaché à la protection de l'ambassade, aperçu un cavalier au bout de la place s'approchant à un allure respectable mais dont le regard était distrait par la beauté de la ville qui avait pas mal grandie depuis sa dernière visite. Finlandir n'eut aucune difficulté à le reconnaître et un sourire amusé et plein de sympathie s'afficha sur son visage.

Quand le cavalier mis pied à terre finlandir fit un pas en avant et lui dit :

- Bonjour noble Rhoirrim, quelles bonnes augures vous amènes de nouveau parmi nous.

Finlandir aimait bien cet émissaire et se permis une certaine familiarité tout en restant respectueux :

- Venez-vous vous installer définitivement parmi nous ?

Guimmar s'approcha de la grande porte de l'ambassade. Cette fois, il espérait que l'ambassadeur de Minas Tirith ne serait pas mit en priorité avant lui. Cependant, il n'y avait aucune trace qu'il y avait d'autres émissaire, bonne chose pour le petit rohirim.

Il sourit à la remarque du garde.

-Ma foi, cela serait avec plaisir. Mais je doute que mon seigneur Dimitriov me pardonne si je ferais cela.

Il eu un bref rire.

-J'ai bien peur que cela soit encore pour faire du commerce si je suis là. Y a t'il un ambassadeur pret à me recevoir ou il va falloir que je m'ennivre encore des beauté de votre ville?

[ MDR pour l'ambassadeur de Minas Tirith qui sait on as à
peine commencer; ]

- Il suffira de convaincre votre seigneur de l'utilité d'un bureau permanent dans notre belle ville dont vous allez apprécier encore quelques instant les charmes car je vais aller voir si dame Anëlwen où son fils son disponible. Veuillez m'excuser un instant.

Il laissa donc l'émissaire profiter de la vue à la porte. Puis il revint.

- Dame Anëlwen vous attend veuillez laisser vos arme ici si vous en avez. N'ayez crainte nous allons nous occuper de votre destrier.

Guimmar s'exécuta et entra dans l'ambassade. Une fois la porte passée Guimman entra dans une vaste salle dont la chaleur agréable lui sembla venir du sol même.

Une jeune elfe, d'une beauté sans pareil, l'attendait debout devant la table. Elle était vêtue d'une longue robe d'un bleu roi ré-hausser de dessins brodé de fils d'or. Elle portait aussi un gilet bordeaux et une fine ceinture argentée cintrait sa taille.

Elle invita Guimman à s'asseoir , de la main, tout en lui disant :

- Bonjour noble Rhoirrim je me nomme Anëlwen, épouse d'Éléandoreïl seigneur de ces lieux, que puis-je pour vous ?

Guimmar admira encore un peu la ville le temps que le garde aille vérifier la disponiblité des ambassadeurs. Il pouvait prendre tout le temps qu'il voulait, le rohirim n'en n'aurait jamais assez d'admirer le paysage elfique de la ville. Quelques minutes plus tard, le garde revint.

Guimmar fit comme il lui était demander et se sépara de son épée et de ses quelques couteau de lancer. Puis, il entra dans l'ambassade.

Une magnifique elfe recevit l'émissaire du Rohan. Guimmar fut abasourdit lorsqu'il la vit. Comment est-ce que de telle beauté pouvait exister? Le coeur des hommes n'était pas près pour une telle magnificiance, et encore moins le coeur du rohirim. Cependant, il avait une mission à accomplir et Dimitirov lui faisait confiance. Il fallait qu'il garde le contrôle de lui-même.

-Belle Dame Anëlwen, si je me présente humblement devant vous, c'est par demande de mon seigneur Dimitriov. Il souhaiterait vous emprunter la somme de 500 pièces d'or. Nous vous rembourserions 600 pièces d'or et deux tonnes de fer le mois prochain.

Il ne savait plus quoi dire. Il avait peur d'insulter la dame de son coeur en lui faisant un compliment déplacé. Il préféra rester silencieux le temps que l'elfe lui donne sa réponse.

Un cavalier arriva épuisé d'une longue route effectuée à grande allure. Il arriva aux portes de Fennas Drunin et s'adressa aux gardes;

Je suis un messager du conseil d'Amon Algo. Je portes un message qui doit être remis immédiatement à Dame Analwen. Je laisserai mon cheval se reposer quelques heures et j'irai moi-même me sustenter à l'auberge. Si Dame Analwen à un message pour le conseil, elle peut me le donner et je le leur transmettrai dès mon retour à Amon Algo. Mais je ne puis rester longtemps.

Il remit le parchemin ainsi qu'un coffre qui étais d'une grande beauté. Le garde reconnaissait les talents d'orfèvrerie de son village et ne pouvait se tromper, ce coffre avait été fabriqué selon les secrets de constructions propres à son peuple.

Sur le parchemin était écrit:

Citation :

Dame Analwen, Peuple de Fennas Drunin,
Nous vous remercions profondémment du support que vous avez manifesté à l'égard de notre peuple. Votre prêt nous as été des plus utiles et soyez certains de notre collaboration pour quelconques nécéssités que vous pourriez connaître dans le futur.

Vous trouverez ci-joint à ce parchemin, le coffret dans lequel vous nous aviez prêté la somme 175 pièces d'or que nous vous remettons tel que prévu en ce premier jour de Novembre de l'an 1.

Aussi, étant donné la nature des rapports positifs que vous avez eue avec Sined, et dont vous avez fait mention dans le cadre de notre enquête, nous vous invitons à venir témoigner en personne. Toutes les personnes ayant traitée avec Sined seront inviter à faire une déposition afin que le juge puisse étudier la situation en toute connaissance de cause.

Si vous désirez communiquer avec nous vous pouvez transmettre votre message à notre cavalier qui vous a porté l'or et cette missive. C'est un homme de confiance et il nous transmettra votre message dès son retour.

Avec le plus grand des respects,
Le conseil d'Amon Algo

[Écnomie modifiée, -175po pour Amon Algo]

Anëlwen sourit intérieurement en voyant le trouble du Rhoirimm qui se lisait sur son visage. Elle écouta les paroles de celui-ci puis, après un rapide calcule mental, elle lui confirma l'échange :

- Noble Rhoirrim cela me semble plus que raisonnable. Mais je vous en prie asseyez vous je vais faire le nécessaire pour que cette somme vous soit remise sur le champ.

Anëlwen se dirigeait vers la porte située à droite de la cheminée quand Finlandir entra soudainement dans l'ambassade. Il se dirigeât vers Anëlwen tenant un papier dans la main.

- Dame Anëlwen... Appela-t-il, d'une voix douce....Un cavalier d'Amon Algo vient de nous remettre ce document.

Il tendit le parchemin à Anëlwen qui le lut et répondit à Finlandir :

- Très bien.....Je vous donnerais une réponse dans une minute...Maintenant veuillez m'excuser.... Dit -elle à l'intention de Gimmar, puis sortit par la porte située sur le coter de la cheminée. Finlandir acquiesça de la tête et sorti lui aussi laissant, ainsi, seul dans l'ambassade.

Anëlwen revint quelques instants plus tard avec une bouteille contenant un liquide, d'un rose vif, et deux verres. Elle remplit les deux verres et bu une gorgée du sien.

- C'est de l'hydromel aux fruits rouges, nouvelle inventions des distilleurs de Fennas Drúnin. Un coffre va ètre préparrer où des sacoches si vous préférés. Aller vous rester parmi nous ce soir ?

Pendant ce temps à l'extérieur Armendor porta un document à Finlandir. Celui-ci se dirigeât vers l'auberge où se trouvait le cavalier Numéorin. Il entra dans la taverne et trouva rapidement le cavalier qui était entrain de boire une bière au bar. Il lui remis donc le document qui était sceller. A l'intérieur on pouvait lire le message suivant :
A l'intention du conseil d'Amon Algo,
Merci de votre remboursemment ponctuel.
Permettant ainsi de confirmer la confiance et l'amitié que nous tenons à l'égard de votre peuple.
Vous pouvez aussi conter sur ma présence lors du procès du dit Sined.
Amicalement.
Anëlwen Delmandir


[ économie modifiée pour les deux ( je le trouvais sympa celui-là! ]

Quand l'elfe eu accepté l'offre que lui proposait Guimmar, celui-ci fut étrangement soulagé d'un poid sur ses épaules qui n'avait pas lieu d'être. C'est comme si, pour Guimmar, au lieu d'accepter ce prêt, elle avait accepté son amour. Bien sur, il savait qu'il n'en était rien. Elle était elfe, belle et immortel, et lui était fils du Rohan. Son cheval et une fille bien normal était tout l'amour qu'il pouvait espérer.

Quand la dame quitta la pièce, ce fut comme si on lui avait arraché une partit de son âme. Il se sentait tellement déchiré, que les beaux décors de la pièce dans laquelle il se trouvait semblaient vides et distants. Néanmoins, son tourment ne dura pas car sa belle revint, bouteille et coupes en main.

Il prit la coupe que Anëlwen lui tendit mais ne but pas. Il était trop absorbé à contempler la merveille qui s'offrait à lui. Il enviait ce brevage qui avait la chance de toucher les lèvres de sa douce. Il n'avait que faire du verre. Il voulait verser l'hydromel sur le corps de sa reine et le boire sur son sein. Il voulait...Non, il fallait qu'il se ressaisissent. Cet amour n'avait pas raison d'avoir lieu. Il ne pouvait exister. Il fallait...

*Dit quelque chose, imbécile, arrête de la fixer!* Lui ordonna sa voix intérieur.

-Je prendrai tout ce que vous voudrez me donner...

Guimmar fut horrifié de ses paroles. Comment avait-il pu oser dire ses paroles à double sens. Il ne méritait que la potence. Il fallait qu'il se reprenne. En bon rohirim, il vida sa coupe d'un trait, n'en prenent même pas le temps d'en déguster les arômes, déposa son verre sur la table, puis se leva.

-Je suis désolé, mais je ne puis rester. Mon seigneur est en pleine bataille et il faut que je retourne à ses cotés. Mes respects au seigneur Éléandoreïl.

Il s'inclina, un peu trop même, puis tourna sur ses talons pour quittez l'ambassade. Il ne fallait pas qu'il reste plus longtemps, sinon, il ne répondrait plus de ses actes.

À l'extérieur, son cheval l'attendait. Des gardes avait fixé des sacoches de voyage à son cheval. Guimmar ne prit même pas le temps de saluer les gardes ou bien de jeter un dernier coup d'oeil à la vue que lui offrait la ville. Il ne faisait que fixer droit devant, faisant aller son cheval au triple galop, retournant le plus rapidement possible à Calenhad...Et surtout, mettant le plus de distance possible entre lui et la belle Anëlwen.


[Moi qui déteste les elfes, il faut que je me crée un perso qui est amoureux d'une elfe. J'ai un problème lol Économie modifiée!]

Un mois s'était écoulé. Un long, très long mois durant lequel le coeur de Guimmar se tordait dans sa poitrine à la seule pensée de sa belle dame. Un mois durant lequel il avait du réprimer ses sentiments, les cachés, de peur de ne pas être comprit, d'être rejetté...

Il eu grand mal à retenir sa joie lorsque Dimitriov le chargea d'aller rembourser le royaume elfique qui avait si gentiment accepter de leur prêter une somme assez conséquante. Malgrée le long trajet qu'il devait faire, en charette cette fois de par la nature d'une partit du remboursement, il avait le coeur léger. Chaque pas qu'il faisait le rapprochait de plus en plus vers celle pour laquelle son âme se déchirait à chaque jours qui passait.

Les jours nécessaire au voyage qui menait à Fennas Drunin avait passé comme dans un rêve aux yeux de Guimmar. Et finalement, il était là, parcourrant les rues qu'il avait tant aimé regarder lors de ses premières visites. Mais cette fois son regard, bien qu'il fut remplit des même étincelles d'exitation que les fois précédente, ne parcourrait pas les magnifiques maisons, les pavés si ingénieusement placés, ni même les nuages qui semblait être si proche, mais pourtant si lointain. Il ne voyait rien de tout cela, il ne voyait que les drapeaux qui s'élevait loin devant lui. Il s'agissait des drapeaux qui indiquait l'emplacement de l'ambassade, là où il pourrait revoir sa bien-aimée.

Contrairement au reste du voyage, les quelques centaines de mètres qui le séparait du portail lui sembla être plus loin que la terre de ses ancêtres. Pourquoi son cheval allait-il si lentement? Si se n'était de cette stupide charette, il pourrait faire aller son cheval au triple galop et entrer dans l'ambassade, saisir sa douce par la taille et l'enlever vers le soleil couchant. Guimmar se secoua la tête afin de lui remettre les idées en place. Il ne pouvait pas se défaire de son chargement, c'était sa seule raison de sa venu ici. Et il pouvait encore moins kidnapper la femme du seigneur du village, cela déclencherait une guerre entre Calenhad et Fennas Drunin. Guerre qui, au fond de son coeur, ne lui dérangerait pas de déclencher si cela lui permettait d'être avec son amour, même si ce n'est que pour un bref instant.

Finalement, son cheval s'arrêta devant les escaliers qui menait aux grandes portes de l'ambassade. Ce fut avec grande peine qu'il se retenu de courir vers les portes, d'écarter les gardes et de se lancer les bras ouverts vers la dame de la maison. Mais le poid de la réalité était plus lourd que la volonté de Guimmar et ce fut presque en trainant des pieds, d'un pas hésitant, qu'il se présenta aux sentinels.

Finlandir aperçu le Rohirrim, qu'il connaissait maintenant assez bien, s'approcher et n'en cru pas ces yeux quand il vit la charrette qui le suivait.

- Ah vous avez fait vite pour vous décider. Je ne pensait pas que vous vous installeriez chez nous aussi rapidement et surtout que vous convaincriez vote seigneur. Dit-il avec un sourire.

- Si vous vouliez parler avec dame Anërwel je vous en pries entrez, tout en laissant vos armes ici, je vais la chercher.

Le garde ouvrit la porte à Guimnar et parti chercher Anëlwen.
Guimnar attendit quelques instants seule dans l'ambassade quand Entra, par la porte à côté de la cheminée, Anëlwen.

Anëlwen était habillée d'une grande toge d'un bleu très sombre. Elle tenais aussi à la main une bouteille, que Giumnar reconnu, et deux verres.

Anëlwen avait un air grave et préoccuper mais elle sourit légèrement à l'intention de Guimnar tout en lui disant :

- Bonjour noble rohirrim c'est un plaisir de vous revoir. Veuillez m'excuser mais je ne crois pas me souvenir de votre nom ?!

Elle lui fit signe de s'asseoir, ce qu'elle fit aussi, puis remplis les deux verres, en offri un à Guimnar et bu un grande gorgée du sien.

[GUIMMAR! Pas Guimnar espèce d'oreille pointu! (même si ça sonne mieu lol)]

Guimmar ne releva pas la remarque du garde. Son esprit était fixé sur autre chose, sur sa belle. Elle était là, dans ce batiment, à quelques portes du bonheurs absolu. C'est alors que le doute s'empara de lui. Était-il présentable? Allait-elle être heureuse de le voir? Allait-il pouvoir lui parler sans avoir l'air du parfait idiot qu'il était? Que de question et aucune réponse.

Avant même qu'il puisse trouver une glace afin de se repeigner, la belle, la magnifique, la parfaite dame de son coeur lui apparu comme dans un rêve. Mais ce rêve était la réalité, au grand bonheur de Guimmar. Elle avait à la main, une flasque contenant le breuvage qu'il avait si vulgairement ingurgité lors de son départ hâté de sa dernière visite. Il avait bien hâte de boire cette boisson dans un verre qui avait toucher la main de dame Anëlwen.

Avant qu'il puisse goûter à ce plaisir, il due faire façe au pire obstacle qu'il aurait pu avoir. Sa belle ne se rapellait plus de lui. Non, pire encore, elle ne se souvenait pas de son nom. Leur dernière rencontre, qui se trouvait aussi à être la première, passa devant ses yeux à toute allure. Horreur! Ce n'était pas son amour qui l'avait oublié, c'était lui qui ne s'était pas présenté, contrevenant à toutes les règles de politesse les plus élémentaires. Alors qu'il approcha du siège auquel il avait été invité à s'asseoir, il se présenta à la hâte.

-Je suis Mimar...Je veux dire Mamir...Euh..Ahem.

*Imbécile!*

-Mon nom est Guimmar, représentant de mon seigneur Dimitriov, de Calenhad.

Il s'inclina. Il espérait, de tout son coeur, que cette présentation suffisait. C'est alors qu'il vit la coupe que lui tendait sa dame. Il due se retenir de toute sa volonté pour ne pas arracher des mains de sa bien-aimée ce cadeau qu'elle lui faisait, et encore plus d'effort pour ne pas partir avec la main qu'elle lui tendait. Malgrée cela, le bref instant où les doigts de Guimmar et de Anëlwen se touchèrent rendirent le rohirim la personne la plus heureuse en terre du milieu. Il était tellement envahit par ce sentiment qu'il eu presque oublié qu'il était là en mission commerciale. Il s'assit donc à la place qu'on lui avait indiqué.

-Je suis venu avec une charette remplit de tout mon am... de tout le remboursement que nous vous devions. Six cents pièces d'or et deux tonnes de fer comme convenue.

Qui avait-il à dire de plus. Il était là pour rembourser et elle était belle, mais ça, il ne pouvait lui dire.

Malgrée le fait que l'amour rend aveugle, l'air préoccupé de son hôte ne resta pas invisible aux yeux du rohirim. Il devait y avoir quelque chose qui la perturbait. Mais, même malgrée cela, ce qu'elle était belle quand elle était tourmentée.

-Si je peux me le permettre, vous me semblez...préoccupé. Y aurait-il quelque chose que je puisse faire afin de vous appaiser?

[ Tabarbak !!!.. Désoler c'est qu'avec ces petits caractère j'avais lu Guimnar autant pour moi. ]

Anëlwen regardait Guimmar mais elle paraissait absente, même si elle écouta ce que dit celui-ci.

-Si je peux me le permettre, vous me semblez...préoccupé. Y aurait-il quelque chose que je puisse faire afin de vous apaiser?

A ces mots son regard sembla s'illuminer mais la préoccupation ne le quitta pas.

- Premièrement je tenais à vous remercier d'être venu nous rembourser.... Lui répondit Anëlwen en le regardant dans les yeux....Maintenant en ce qui concerne votre offre d'aide, noble Guimmar, je ne sais bien ce que vous pourriez faire car voyez vous les gobelins ont attaqués une ville elfique, Barnas, pour être plus précise.

Nous ne savons quelle position adopter car c'est un phénomène nouveau pour nous et nous ne voulons prendre de decision hâtive. Notre seule but est de vivre en paix et surtout loin de tout ombre malfaisante. Mais les terres elfiques viennes d'être souillées et il faudra sûrement de nombreuses années avant de redonner une vie à ces terres.

Anëlwen regarda le verre qu'elle tenait dans ses mains pendant un instant puis repris en un soupir comme si elle se parlait à elle même:

- Qu'allons nous donc faire ?!

[ Je modifie mon économie, merci ]

Guimmar avait poposer son aide seulement comme une formule de politesse. Mais, dès qu'il eu dit ces quelques mots, le regard dson amour changea. Bien que toujours triste, quelque chose brillait au fond de son regard, une étincelle.

Guimmar eu que trop de peine à répresser la joie qui s'emparrait de lui et qui semblait vouloir exploser en un milier de couleur. Il était la cause du réjouissement de sa dame, de celle pour qui il pourrait tout faire, que ce soit dompter le plus sauvage des animals et le chevaucher afin d'aller lui décrocher la lune ou bien d'aller affronter les dieux eux-mêmes. Il était près à remplir le moindre de ses désirs.

Il ne parvenait pas à décrocher son regard de celui de sa bien-aimé. Il s'était perdu dans le bleu de ses yeux. Tout ce qu'elle dit par la suite ne fut qu'un écho lointain aux oreilles du jeune rohirim. Comme s'il se trouvait dans une caverne profonde et que quelqu'un à sa sortie tentait de lui indiquer le chemin du retour.

Quand Anëlwen détourna son regard pour le plonger vers le verre quelle tenait, Guimmar revint brutalement à la réalité. Les paroles qu'elle lui avait dit le submergèrent, le mettant à jours sur ce qu'était devenu la réalité durant son absence.

-C'était naturel de venir vous rembourser...

*Noble! Elle m'a appellé noble!*

-Je crain que mes paroles ne soit plus prometteur que mes capacités. Je ne suis qu'un homme, sans pouvoir autre que celui que Dimitriov a bien voulu me donner. Je n'ai rien à offrir si ce n'est mon bras. Je ne possède ni la force, ni quoi que ce soit qui permettrait à un homme seul de changer les choses...

Guimmar se sentait vraiment pathétique. Il avait voulu faire bonne impression, aider sa belle. Mais à la fin, il n'avait qu'exprimer qui il était, un homme normal. Il n'était pas comme Dimitriov, qui lui savait comment utiliser une armée, quel mots il fallait utiliser et quand il fallait le faire. Locos était plus fort que deux boeufs et savait se faire aimer de tous. Tant qu'à lui...Il n'avait rien de plus de ce qu'on lui avait donner. Il maniait l'épée certe, mais pas mieux qu'un autre. Il pouvait monter à cheval, mais tout les enfants du Rohan peuvent le faire depuis leur tout jeune âge. Finalement, il n'était qu'un homme ordinaire, mais armé de la plus redoutable des armes, l'amour.

-Je me souvient...C'était il y a bien longtemps déjà...C'était peu après que Dimitriov soit devenu le dirigeant de Calenhad. Un émissaire de Edoras, la capitale du Rohan, vint un jours pour nous demander de l'aide. Nous n'avions pas eu de relation avec cette ville depuis bien des générations, outre les quelques visites de politesse de rigueur. Bien que rien ne nous ait lié à eux, Dimitriov accepta sans hésiter d'envoyer la totalité de notre cavalerie, aussi peu nombreuse qu'elle l'était à l'époque. Je me suis longtemps demandé pourquoi il avait fait une telle chose. Envoyer à la mort près de deux cents cavaliers pour un village qui n'as rien fait pour nous depuis des décénies.

Et puis, un jours, alors que je labourais le champs de mes parents, j'ai comprit. J'ai comprit pourquoi Dimitriov avait agit ainsi. J'ai comprit ce qui nous liait à cette ville, et à toute les autres du Rohan. C'est l'amour. Pas l'amour avec un grand A, mais celui qu'on se porte entre frères, entre amis, entre habitants d'un même pays. Quand j'eu comprit, j'ai pleuré. J'ai pleuré quand je me suis rendu compte à quel point aveugle et sans coeur j'ai été...

Qu'est-ce qui lui avait prit de lui raconter cela? Pourquoi continuait-il de se descendre comme cela en face du désir de ses nuits. Vraiment, il n'était qu'un homme.

-Vraiment, je suis incorrigible. je vous raconte des sornettes alors que vous êtes en plein dilemne...

Il porta sa coupe pleine, qu'il tenait depuis le début de l'entretient, à ses lèvres, tentant de noyer son idiotiedans l'hydromel.