Ambassade de Uldonawan (Appartenant à Mistrand)

Le garde avait donc cédé à leur demande et le petit groupe fut mené à l'ambassade. Avant d'y être introduit ils furent fouillés sauf Alasila. Les gardes chargés de la fouille furent quelques peut embarrassé ne sachant trop comment réagir leur bonne éducation leur interdisant de fouiller une femme alors que le professionnalisme leur intimait de le
faire. Alasila pris alors les devants et, avec un légers sourire au coin des lèvres, elle repoussa sa cape bleue nuit, de voyage, en arrière. Vêtue d'un simple bustier en cuir rouge foncé moulant et d'un pantalon de la même qualité le tout compléter par de grandes bottes marrons en tissus. Tenue vestimentaire qui, outre le fait de mettre indéniablement en valeur les formes voluptueuse de la belle, permettait de constater qu'aucun objet ne pouvais être caché sans être facilement repérable.


Alasila dégrafa sa ceinture à laquelle était suspendue une épée qu'elle remit aux gardes. Les divers bracelets, bagues, colliers et autres bijoux, héritage familiale s'il en était, n'étant pas menaçant la troupe fut alors introduite dans l'ambassade.

Quelques instant plus tard le seigneur des lieux fit donc son apparition. Malgré un quiproquo somme toute compréhensible la conversation s'engagea.



Alasila s'avança alors en direction du seigneur Naen et de sa voix suave lui répondit en ses termes :

- Bonjour à vous empereur Naen. Si c'est bien ici que je doit vous
nommer. Vous sembler sur le départ et je ne voudrais pas vous retarder j'irais donc droit au but. Ma jeune nation se réveille hors vous n'êtes pas sans savoir qu'un nation en éveille consomme de grandes sommes de ressources aussi je vient ici vous faire un emprunt.

Alasila fit une courte pause observant la réaction de Naen et rapidement repris le file de la discussion :

- Mon village à un grand besoin d'or. Disons que 1 000 pièces d'or
pourrais résoudre pas mal de chose. Si par bonheur vous pourriez nous en prêter plus je vous serait reconnaissante.

De nouveau Alasila fit une courte pause pour ne pas surcharger Naen en information
et surtout pour lui laisser le temps de faire ses calculs. Malgré tout Alasila ne voulant abuser du temps de l'empereur elle concluât :

- En ce qui concerne le remboursement et selon la somme que vous m'accorderiez j'aimerais pourvoir vous rembourser un maximum en ressources comme du fer du bois ou des chevaux. En autre termes j'aimerais pouvoir vous rembourser en un minimum d'or et s'il était possible d'avoir un délais assez important pour vous rembourser. Je sais que je ce que je vous demande peut vous paraître osé et voir même abusif de ma part. Mais je fait appel à votre générosité et surtout à votre aide.

Alasila espérait du fond du coeur que le fait qu'ils soient compatriotes aide à la négociation. Son visage était serin et avenant aucun signe d'une amabilité trop forte où d'un orgueil quel qu'il soit ne paraissait sur le jolie minois d'Alasila. Peut être un léger pétillement dans les yeux violet sombre de la princesse de Szrel-Kain trahissait une anxiété certain à l'attente de la réponse de Naen.

[ J'ai fait le plus vite que j'ai pu. J'essaye de ne pas retenir ton peso trop longtemps. ^^]

Economie modifiée

Alasila fut ravie de cette aide opportune et légèrement déçue de ne pouvoir s'entretenir avec Naen. *Mais ce n'est que partie remise*. Pensât elle. *Je suis tombée au mauvais moment mais qu'importe nous aurons sûrement l'occasion de nous revoir*. Alors que quatre gardes revenaient avec deux lourds coffres chargés des milles pièces d'or Naen les offrit à Alasila et en profita pour signer quelques documents.

Alasila se demanda un instant comment ils allaient transporté une telle cargaison mais cela n'était pas le problème. Alors que Naen laissait ses document de coté Alasila le regarda dans les yeux et cette fois avec un léger sourire lui dit :

- Je vous remercie grandement de votre générosité et vous pouvez être sur que vous serez remboursé le plus tôt possible. Je ne vous dérangerais donc pas plus longtemps vu que vous semble presser. Nous nous reverrons sûrement dans un moment plus propice pour discuter. Je vous salue donc et en vous remerciant de nouveau sachez qu'en cas de besoin vous pouvez comptez sur notre aide.

Après un rapide signe de la tête de Naen Alasila et sa troupe prirent les coffres et s'éclipsèrent.

[ éco modifié. Merci ^^.]

Alors que les chariots étaient conduits aux entrepôts trois des cavaliers de Szrel-Kain étaient quand à eux emmené à l'ambassade et furent reçus par Cirné, après une fouille d'usage. Le dit Cirné les reçus donc.

Bien le bonjour à vous frères de Szrel-Kain. Votre retour est très en avance sur ce que nous avions prévu !

- Bien le bonjour frère de l'empire... Répondit Kumros du haut de ses 1m98 et de sa voix de basson... Je suis Kurmos sénéchal de Szrel-Kain c'est un plaisir de vous rencontrer.

D'une poigne de fer, dont il ne maîtrisait pas vraiment la force, Kurmos serra la main de Cirné qui sans doute s'en souviendra. A ce moment des domestiques apportèrent des plateaux d'aspects fort alléchants.

Il ne faut pas que votre jeune nation soit handicapé par quelques dettes. L'empire Wain Raiders n'est pas à quelque pièce d'or ou tonnes de ressources prés... Que vous nous apportez vous donc ? Continua Cirné se à quoi Kurmos rétorqua d'un air fort joyeux :

- Mais ne vous en faites pas. Si nous venons vous rembourser une partie de notre due c'est que nous le pouvons et surtout nous ne voulions pas que vous soyez pénalisés par notre faute. Nous vous avons amenez 8 tonnes de bois et 6 tonnes de fer soit un équivalent de 480 pièces d'or.

Kurmos fit une courte pause durant laquelle il jeta un coup d'oeil aux plats qui avaient été déposé sur la table et après une fraction de seconde d'intense réflexion il repris tout en gratifiant un des cavaliers qui l'accompagnait d'une grande claque dans le dos, qui aurait sûrement décoller les poumons du pauvre chevalier s'il ne s'était pas préparé.

- Je doit vous avouer que nous sommes quelques peut presser mais vos friandises ayant une bonne allure et ne voulant vous offenser nous ne pouvons donc refuser votre accueil si agréable. Hein les gars ?!

Ce à quoi il rajouta une bonne bourrade dans le dos de l'autre chevalier qui du faire un pas en avant pour ne pas tomber à la renverse.

[ éco modifié - 6 tonnes de fer et - 8 tonnes de bois. Merci ^^.]

Hrp :

-1640 Po; +265 tonnes de fer; + 25 tonnes de bois

Les elfes fûrent regardé d'un étrange façon... La population n'était point habitué, surtout au vu des derniers contact, à voir des Elfes parcourir la cité... Ils arrivèrent à l'ambasse et fûrent méticuleusement fouillé puis pûrent pénétré dans une pièce plutôt vaste et qui s'ouvrait sur la plaine aux alentours d'Uldonawan. Cirné attendait là et se retourna quand les Elfes entrèrent.

Tiens mais qui voilà donc.... Osnim qui s'avance jusqu'ici... Comment allez vous et qu'es ce qui vous amene... J'espère que ce n'est pas quelque affaire avec le Seigneur Mergalian, vous me décevrez fort sinon...

D'un air contri, Elrohir signa le papier.

Voilà, l'affaire est conclue. Nous allons donc partir le plus rapidement possible, et amener l'or.

Il sortit accompagné des autres elfes, qui prirent l'or et se mire en route pour Osnim.

[Economie modifiée : +4000 pièces d'or]

Après avoir été fouillés et été débarrassé de leurs armes la plus part des cavaliers se rendirent dans l'auberge la plus proche tandis que deux de ceux-ci chargèrent les sacoches sur leurs épaules et se furent conduit devant Cirné.

Bonjour à vous étrangers, quelles affaire vous porte ici ? Peut être venez vous de la part de la dame Alasila Rhunien?


- Bonjour camarade ! S'exclama l'un des cavalier tout en serrant la main de Cirné, Je me nomme Bernom et voici Ortus, le dit Ortus serra lui aussi la main de Cirné et les deux hommes s'assirent dans le sofa en face de Cirné tout en déposant leurs sacoches à leur pieds.

- Nous venons effectivement de la part d'Alasila et notre souveraines, vient par notre biais, rembourser notre dette et aussi vous faire un achat de fer.

Bernom fit une courte pause puis embraya :

- Nous souhaiterions vous acheter 20 tonne de fer et si je ne m'abuse vous devriez être déjà au courant, fini t il avec d'un air entendu.

- Effectivement....Tout cela est parfait, répondit Bernom.

C'est alors qu'Ortus donna un léger coup de coude à Bermon et lui chuchota quelque chose à l'oreille sur quoi Bernom repris tout en se passant la main dans la nuque, Ah... Oui.. J'allais oublier....Serait ce abuser de votre amabilité si nous faisions un petit changement ?!

En fait au lieu des 20 tonnes de fer prévue nous aurions besoin de 30, cela vous dérangerait il ?

Bernom fit une courte pause puis repris :

- Quand à notre ville elle se porte très bien je vous remercie. Elle ne s'est d'ailleurs jamais aussi bien portée. A ce que j'ai entendu dire de grande chose se prépares mais je n'en sais malheureusement que peut de choses. Et de votre côté Mistrand est elle toujours assiégée ? Avez vous réussis à chasser les divers envahisseur qui étaient venu profaner les terres Rhûniene ? A ce propos je me permet de vous renouveler notre soutient. Si nous pouvons vous être utile surtout n'hésitez pas.

Cirné avait accéder à la requête de Bernom qui s'en trouva satisfait. De plus les nouvelles que lui donnait Cirné étaient somme toute assez bonnes.

En effet, les nains se sont retirés sans combattre il y a un moment... Nous n'avons pas compris très bien leur geste mais qu'importe sinon la fin n'est ce pas ?

- Effectivement. Mais les nains sont de bien étranges créature est il est assez difficile de savoir ce qui motive leur réactions. Mais comme vous le dites l'important c'est que tout finisse bien.

Cirné appela un serviteur et après avoir annoncé le chargement d'un convois supplémentaire des boissons et des collations furent amené. Bernom et Ortus prirent tout deux un verre qu'il burent rapidement avant de donner les deux sacoches à Cirnés.

- Voici 520 pièces d'or pour le remboursement, dit Bernom en tendant une des sacoches qu'il ouvrit puis faisant de même avec la seconde il annonça :

- Et voici 900 autres pour les 30 tonnes de fer.

Ils laissèrent le temps à Cirné le temps de vérifier si tout y était, tout en profitant des amuses bouches et de la boisson.

Les trois hommes discutèrent un peut mais rapidement Bernom et Ortus durent s'absenter auprès de leur hôte pour aller rejoindre leur ville natal où le fer était attendu.

[ éco modifiée merci ^^].