Ambassade d'Orthanc [Capitale]

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Huruk se redressa en entendant les parole de son vassal.
Pour le bois, je ne vois pas de problème à faire du commerce ensemble, c'est tout à fait normal.
Un Homme s'avança: Excusez moi Seigneur, mais peut être faudrait-il vérifier nos réserves car...
-Silence ! Répliqua le Roi. Mon vassal me demande du bois pourquoi le lui refuserais-je ??
Disparait de ma vue.

L'homme recula en s'inclinant et disparu rapidement.
Huruk regarda à nouveau son Vassal.
Ce que vous avez à gagner ?? Mais simplement d'agrandir votre territoire. Je comptais vous laisser une des deux cité.
Pour le peuple de l'Isengard, vous faîtes partie de son royaume.

Une faveur ??
Huruk II fronça les sourcils.
Je n'aime pas trop quand on me demande des faveurs... mais je vais tout de même écouter votre faveur, je verrais ensuite...

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Eomund se leva à la suite de son seigneur et l'écouta les quelques secondes qu'avaient duré ses paroles pour enchainer :

Je vous remerci de me permettre un échange de bois contre du fer voila la quantité que je désire si bien entendu vous en avez la possibilité : 150 tonnes de bois contre contre 120 de fer... Nous pouvons trouver un meilleur arrangement si vous le voulez mais étant donné les prix du fer par rapport au bois je pense que les prix sont corrects...

Je suis d'accord ave vous pour vous aider à faire tomber ces cités... Mais cela est, je pense, étroitement lié à la faveure que je vais vous demander. Pour que nos armées respectives aient un grand minimum d'egalité, j'ai besoin de ressources militaires plus importantes qui me seraient alors plus facilement ouvertes si vous me permettiez de pouvoir gérer mon argent à ma guise...

Voici donc ce que je vous demande : j'aimerais ardemment que vous baissiez vos taxes que vous prélevez sur Edoras chaque moi et même, pour acceder à mon souhait le plus ultime : les annuler

Le vassal, après la requête qu'il venait de faire à son suzerain, se tut et observa les yeux d'Huruk, impassibles et visiblement, trahissant une activité intellectuelle intense...

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Huruk semblait tout à fait d'accord pour l'échange que lui demandait son vassal.
Vint alors une nouvelle demande qui le fit froncer les sourcils.

Pour l'échange, je n'y vois pas de problème, c'est avec plaisir que j'accepte.
Mais...

Le Roi se leva et on retira les sièges ainsi que la table, il se tourna pour se rendre à son trône tout en continuant de parler.
Vous m'insulter un peu Seigneur Eomund...

En quoi est ce que nos armées devraient-elles être sur un pied d'égalité ??
L'armée de l'Isengard est nettement plus puissante que celle d'Edoras et cela n'est surement pas un problème étant donné que nous sommes liés par votre parole et la mienne et que votre armée est une armée dans l'Isengard.

Huruk se retourna en s'asseyant sur son trône.
De plus, auriez vous déclarer il y a quelques secondes que vous ne m'aiderez pas si je ne baissais pas vos taxes ???

Huruk II semblait irrité et ne lâchait pas son vassal des yeux.
L'auditoire retenait son souffle pour voir ce qui allait se passer.

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Son suzerain avait mal pris ses paroles, Eomund se devait de se rattrapait...

Je suis content que vous ayez accepté l'échange, merci roi de l'Isengard

Mais vous avez mal compris ce que j'ai dis et vous avez pensé mes paroles malintentionnées... Ce que j'ai dis concernant l'armée, c'est que lors des sièges de ces cités, je devrais posséder un minimum de ressources pour pouvoir influencer, même de facon minime, la bataille, si vous vous souvenez bien j'ai dis un garnd minimum d'egalité

Vous semblez le prendre mal mais au fond je ne désire les utiliser que pour accroitre mon armée dans le but de vous, ou plutôt devrais-je dire, nous aider... Je ne refuserais d'ailleurs pas de vous aider même si vous ne décidiez de ne rien m'enlever. Je participerais quoiqu'en soit les circonstances à cette guerre, que vous me baissiez vos taxes ou non... Je dis juste que je pourrais, disons, plus aider si votre réponse est positive...

Aussitôt qu'il eut repondu à son seigneur, Eomund inclina légèrement la tête pour témoigner du respect à son suzerain

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Huruk restait assis à regarder son vassal du haut de son trône. Il ne disais rien, laissant parler l'Homme d'Edoras.

Alors nous participerons à cette guerre.
J'attends des nouvelles de mes alliés. Bientôt nous serons prêt à frapper.
Combien de troupes pouvez vous mettre à disposition ??

Huruk restait droit et fière, il était le Roi, la personne la plus puissante en Isengard et peut être même sur toute la terre du milieu.
Dans la salles, personne ne bougeait.

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Eomund écouta attentivement les paroles d'Huruk, quand il eut fini, il répondit à sa question

Bien, seigneur Huruk, nous irons à la guerre, je peux mettre à disposition environ 5000 hommes en armes, plusieurs unités confendues avec un même chiffre de miliciens armés...

Je désire savoir... Acceptez vous de baisser mes taxes ? Je vous demande cela de siegneur à seigneur et sachez que si votre réponse est positive, j'aurais une dette envers vous dans cette vie ou dans une autre

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Bien répondit simplement le Roi après avoir entendu le nombre de troupes que peut mettre Edoras à disposition.
Il semblait réfléchir au effectif qu'Orthanc allait dépêcher alors que Eomund continuait de parler.
Et doucement, il se renfrognait.

Parce que si je ne baissait pas les taxes vous ne me seriez pas redevable ???
Huruk tendit le bras derrière son trône et pris son épée avant de la poser toujours dans son fourreau devant lui. Elle repose sur les accoudoirs.

Je vous ai laissé la vie lors de la chute de votre cité alors que vous nous aviez attaqué.
Je ne vous ai pas trop taxé.
Lorsque l'argent ne venait plus, je suis venu chercher des explications et je vous ai pardonné pour ce petit retard.
De plus, j'ai diminué vos taxes à ce moment la.
Je vous ai fait un prêt sans intéret.
J'autorise avec joie le commerce entre nos cités.
Je vous protège contre tout ceux qui vous en voudrait... surtout contre les alliés de Doc-Triam.
Je vous propose d'agrandir votre domaine.
ET JE VOUS OFFRE à MANGER à MA TABLE !!

Le Roi regardait son vassal de son trône les deux mains sur son épée.
N'êtes vous donc pas redevable ??
De Seigneur à Seigneur... tss... n'oubliez pas que vous êtes mon vassal Eomund d'Edoras.

Les gens dans la salle ne parlaient plus, tous attendaient la suite.
Huruk observait son vassal sans bouger, attendant ses commentaires. Mais il ne semblait plus du tout joyeux comme au début de l'entrevue.

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Eomund fut de plus en plus etonné par la sermonade d'Huruk au fur et à mesure qu'il parlait, quand il eut terminé, son vassal éclata d'un rire gras et sonore

Je vois que nous ne sommes pas du tout d'accord, vous vous moquez de moi et m'insultez, c'est un affront que je ne peux laisser impuni, je suis prêt à me battre jusqu'à la mort pour préserver mon honneur

Eomund avait alors donné un fulgurant coup de pied sur la table qui se renversa, deversant à terre les outres de boissons et les mets succulents qui avaient tant fait son délice il y a à peine quelques minutes... Le seigneur d'Edoras avait alors pris sa lance qui était en bandoulière à son dos et se mit en position de combat, n'ayant pas été desarmé, elle était toujours avec lui.

Après quoi, Eomund cracha en direction du Roi

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Huruk sourit, il semblait aux anges.
Ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah

Le Roi de l'Isengard rigolait depuis son trône en observant son vassal qui venait de l'insulter.
Moi vous insulter ??

Mais vous êtes mon vassal, vous m'avez jurez allégeance... alors je pense que vous êtes plus entrain de vous insulter que moi de vous insulter. Il n'y a rien de déshonorant pour vous comme pour votre peuple.
Huruk se leva de son trône, l'épée dans son fourreau à la main.

Souhaitez vous maintenant savoir les erreurs que vous venez de faire ??
La première de redemander que je baisse vos taxes. Car j'avais déjà décidé de le faire.
La seconde, de penser m'être égal voir supérieur.
La troisième... simplement de penser que votre honneur vos plus que votre vie et celle de vos sujets.
Mais il y a une chose que je supporte encore moins. Vous avez cracher dans ma demeure et jeté de la nourriture que je vous ai offert par terre.

Huruk ricana encore une fois, il semblait beaucoup s'amuser, mais pourtant il ne semblait pas des plus joyeux. Comme si il aimait être en colère.
Maintenant poses cette lance et incline toi devant ton Suzerain!!
Et je verrais ce que je ferais pour l'insulte que tu viens de me faire.

Dans la salle, les ministres et la coure ce sont reculés contre les murs de la Grande Salle alors que la garde particulière du Roi s'est avancée.

Devant le trône s'avance trois soldats, un Ourouk-Hai, un Homme et une Femme, tout les trois armés d'épée.
Cinq arbalétiers sont aussi prêt à tirer depuis qu'Emund a shooté dans la table devant lui.

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La lance tenu en diagonale dans sa main, Eomund n'avait entendu ce qu'Huruk lui avait dit que d'une oreille, l'autre tendu lui servait autant que son oeil à visualiser les differents gardes se mettre en position. Les jambes écartées et soufflant très fort pour détendre les muscles de sa mâchoire et de son crâne tendues au maximum, le seigneur d'Edoras était prêt à mourir au combat

Je ne veux que vous ne m'arrangiez quoi que ce soit, Roi de l'Isengard et je refuse de me plier devant vous et encore moins combattre mes frères pour mon profit, quel qu'il soit...

Si vous n'êtes pas un lâche, je vous demande d'ordonner à vos arbaletriers de baisser leurs armes. Je suis prêt à combattre en corps à corps autant de guerriers qu'il faudra

Pendant qu'il parlait, Eomund n'avait pas jeté un seul coup d'oeil à son interlocuteur, ses yeux étaitent rivées vers les arbalétriers, il recracha sur le sol sans détourner la tête pour provoquer son interlocuteur

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Huruk continuait de sourire, pourtant plus l'Homme parlait, plus le Roi de l'Isengard fronçait les sourcils.
Mais vous vous êtes déjà plié devant moi. Vous m'avez juré allégeance.
Pour votre vie et celle de vos sujets.
Et aujourd'hui, vous les mettez tous en danger..

Vous ne voulez pas combattre vos frères ??
Ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah... mais que faites vous alors à Doc-Triam ??

Son visage s'assombrit soudainement.
Et ne dites pas des imbécilité pareille.
Moi, un lâche ??

Suki, qui est le plus fort de la garde présent ici ??
La femme devant le Roi ne bougea pas, malgré le fait que son Seigneur lui parlait, elle ne quittait pas des yeux Eomund. Doucement elle dit: Je dirais que Roku et Zaho seraient parfait, mais ils sont tout les deux ailleurs. Aussi, je propose de tester une nouvelle recrue qui est arrivé dans la cité pour passer les testes pour entrer dans votre garde, Ramco.

Huruk fronça les sourcil, Jamais entendu parlé...
- Il a été recommandé par le Général Asriel.
Huruk II sourit une seconde Mmm, d'accord.

Aussitôt un garde partit en courant pour le chercher.
Pendant que d'autres entraient dans la pièce et que le Roi regardaient son vassal.
Attendez encore deux minutes et je vous propose un petit combat.
Ça vous va ??

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Eomund jeta un regard exasperé sur Huruk et poussa un long soupir...

Fermez votre royale gueule, vous parlez trop ! Si vous voulez vous battre venez tout de suite et combattez moi, je suis impatient et ne peut attendre, si dans une dizaine de secondes personne ne m'a chargé je me précipite sur vous, roi !

Si vous n'êtes pas un lâche comme vous le prétendez, je me fiche de Asriel ou de Ramco, combattez moi, un duel à mort, vous gagnerez sûrement car mieux equipé, mais au moins je mourrai dans l'honneur et les lauriers, vous me comprenez clairement maintenant j'espere, arrêtez de me faire des discours !!!

Eomund sourit narquoisement à l'homme trop arrogant et fière qui se tenait devant lui

Vous vous croyez roi, vous êtes roi d'une poignée d'imbeciles puants, il n'y a aucune gloire à ca. Cessez je vous prie de vous vanter en disant être le plus puissant de la Terre du Milieu et combattez moi à armes égales si vous êtes ce que vous prétendez êtres

Eomund éclata d'un rire sonore et cracha aux pieds d'Huruk

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Huruk se gratta la tête.
Mais je suis Roi, faire des discours c'est obligatoire... je préfèrerais manger un peu, plutôt que de m'ennuyer à parler. En plus, je vous rappel que vos sujets êtes mes sujets...
Huruk ne quittait pas des yeux son vassal alors que ses gardes se plaçaient entre eux.
Huruk soupira en souriant.

Très bien, puisque je n'ai pas le choix, je vais devoir y mettre de ma personne.

Mais... en même temps, je suis le Roi de l'Isengard, votre Suzerain... je ne peux pas me battre comme un chiffonnier.
Mon casque!

Aussitôt un serviteur s'avança avec le casque couronne du Roi et la lui remit en s'inclinant. Il recula le plus rapidement possible pour être sur de ne pas prendre un coup.
Huruk mit son casque et regarda Eomund.
Arbalétriers, baissez vos armes.

Et tirez dans ses jambes.

L'ordre était clair, les cinq premiers arbalétriers présents tirèrent dans les jambes d'Eomund alors que ceux qui étaient arrivé ensuite se mettaient en position.
En même temps, les garde autour du Roi resserraient leur rang.

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Eomund avait apprecié la promptitude du roi et la rapidité de l'execution, prêt à se battre, Eomund recut des flèches sur les tibias et les pieds, il tomba à genoux et pointa sa lance vers Huruk, prêt à la projeter si il le fallait ou à défendre chèrement sa vie

Quand je traitais vos sujets, je parlais uniquement des Ourouk-Hai, roi ! Je vois que vous utilisez tous les moyens que vous possédez pour m'achever facilement, vous êtes bien un lâche...

Le déchu seigneur d'Edoras essaya de péniblement se relever sur ses pieds, il en serait sûrement incapable mais il fallait tenir le coup, au moins quelques secondes encore...

MESSAGE D'UN ADMIN

Plus rapide que le vent. Plus puissant que le feu. Plus mystérieux que l'océan. Plus solide que le rock. Voici Meneldor l'admin connu dans le milieu comme Naf-Naf 007 l'espion de l'APACS.

Plus sérieusement, au vu de la tournure de la situation, il va de soi que je vais devoir arbitrer ce petit combat. Actuellement, au vu de la situation : pièce et non extérieur, arbalétriers super entrainés, distance de tir, Eomund se prend en effet des carreaux dans les jambes. Et le problème c'est que ces petits machins, ça détruit méchamment les os! Et détruire un os comme le fait un carreau (blindé de morceaux tranchants), ben ça a un peu la mauvaise habitude de trancher muscles, nerfs, vaisseaux... Donc, je vais vous passer le chapitre infection, techniques médicales de TDM etc, mais ça fera mal au final :/

En tout cas, pour l'instant, continuer avec un Eomund les jambes brisées, cloué au sol incapable de se relever et gérant plus ou moins sa douleur Wink

Mais attention, Meneldor is watching you XD

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Alors apprenez à parler pauvre con.
Mes sujets sont aussi bien les Hommes que les Ourouk-Hai.
Et moi, je suis leur maître, j'ai pouvoir de vie et de mort sur chacun d'entre eux !

Le Roi fit un geste et trois garde se jetèrent sur Eomund gisant à terre pour lui enlever ses armes.
Huruk II s'avança tranquillement et regarda l'homme qu'il considérait comme son vassal baignant dans son sang.
Je vous aimais bien Eomund, mais votre trop grande fierté vous a couté la vie.

Qu'on le soigne et qu'au moins on le maintienne en vie le plus longtemps possible.
Qu'on appel Garardas aussi.

Huruk regarda à nouveau l'homme qui avait été fouillé et refouillé et dont on essayait de contenir les hémorragies.
Moi je suis lâche ?? Le ton du Roi était calme et serein, ce qui fit reculer les domestiques présent comme si ils redoutaient ce qui allaient suivre.

Mais Huruk II continuait tranquillement de parler:
Et qu'est ce qui vous a fait croire un seul instant que vous pouviez vous croire mon égal pour me défier ??
Comment avez vous put croire un seul instant que votre vie égalerait une goutte de mon sang ??
Vous n'êtes qu'un de mes sujets. N'oubliez pas ça pendant le temps qu'il vous reste à vivre.
Les médecins s'activaient autour d'Eomund avant de pouvoir le déplacer dans une pièce plus adaptée pour ses soins.

Vers Valindor

Garardas continuaient de discuter avec les envoyer de Valindor quand on fit irruption dans son bureau.
Arumsan se leva d'un bond. -Comment osez vous ??
-Pardonnez, moi seigneur, mais le Roi... le Roi demande le Grand Intendant... vite !!

Garardas se leva doucement.
Que se passe-t-il ??

Le serviteur releva la tête et en essayant de reprendre sa respiration.
Le Seigneur Eomund... vassal d'Orthanc à insulter le roi et menacé... Il a été arrêté, mais est gravement blessé et le Roi vous demande...
Garardas était soucieux cela se lisait sur son visage.
-Le Roi est il en colère ??
-Non mon Seigneur, justement... il semble calme...

Garardas était maintenant apeuré, et il se tourna vers les deux Hommes.
Pardonnez moi, mais on a attenté à la vie du Roi. Je dois partir.
Arumsan connait parfaitement nos demandes et je verrais de toute façon avec le Roi le traité que vous conviendriez et vous dirais si des choses ne vont pas.
Vous êtes bien entendu invité à rester dans le palais aussi longtemps qu'il vous plaira.
A bientôt.

Et Garardas partit rapidement derrière le serviteur laissant les trois Hommes qui se regardaient étonné.
Garardas était visiblement inquiet, mais essayait de faire bonne figure.

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Eomund voyait des gens qui s'affairaient à le transporter pour l'emmener on ne sait où, il se débattait avec toute l'ardeur qui lui restait pour échapper de leur emprise et retomber par terre

Huruk, tu m'as estropié à vie, que ma malédiction te poursuive éternellement, un soldat brisé est un soldat mort, je vous prie de mettre fin à mes jours de par votre lame...

Considérez cela comme la dernière volonté du condamné !

Eomund continuait de se débattre pour échapper et retomber par terre...

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Huruk regardait Eomund se débattre sans sourciller mais sourit largement à sa dernière volonté.
Allons, il n'est pas encore temps pour ça. Vous vivrez encore un peu.
Son sourire de dément fit trembler plusieurs personnes dans l'assemblée mais aucune parole ne vinrent troubler les ordres des médecins qui fesait attacher le blesser et l'emmenèrent par des garde dans l'infirmerie du palais. Il l'assommèrent à moitié pour pouvoir le transporter.

Suki, que ma garde le surveille, seul le Grand Intendant mes médecins et moi même devons pouvoir l'approcher.
La femme s'inclina largement et s'éloigna avec une poignée d'hommes.
Un immense Ourouk-Hai arriva alors.
Huruk lui jeta un coup d'oeil tant sa force semblait évidente avant de retourner sur son trône.
Le grand Ourouk croisa Suki, qui le renvoya et on put voir Garardas arriver.
Le roi se leva alors et tout les deux sortirent pour se rendre dans le bureau du Roi.

[HRP]
Bon ben Eomund... t'es emprisonné...
Si tu veux continuer des RP alors qu'on te soigne, tu peux le faire ici Wink

Moi j'ai pas le temps de faire une suite RP tout de suite, mais demain j'essayerais.

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[HRP]
Je suis emprisonné d'accord, mais ca implique quoi, pourquoi tu veux pas tuer Eomund qu'on en finisse ?

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Huruk a écrit:: Garardas continuaient de discuter avec les envoyer de Valindor quand on fit irruption dans son bureau.
Arumsan se leva d'un bond. -Comment osez vous ??
-Pardonnez, moi seigneur, mais le Roi... le Roi demande le Grand Intendant... vite !!

Garardas se leva doucement.
Que se passe-t-il ??

Le serviteur releva la tête et en essayant de reprendre sa respiration.
Le Seigneur Eomund... vassal d'Orthanc à insulter le roi et menacé... Il a été arrêté, mais est gravement blessé et le Roi vous demande...
Garardas était soucieux cela se lisait sur son visage.
-Le Roi est il en colère ??
-Non mon Seigneur, justement... il semble calme...

Garardas était maintenant apeuré, et il se tourna vers les deux Hommes.
Pardonnez moi, mais on a attenté à la vie du Roi. Je dois partir.
Arumsan connait parfaitement nos demandes et je verrais de toute façon avec le Roi le traité que vous conviendriez et vous dirais si des choses ne vont pas.
Vous êtes bien entendu invité à rester dans le palais aussi longtemps qu'il vous plaira.
A bientôt.

Et Garardas partit rapidement derrière le serviteur laissant les trois Hommes qui se regardaient étonné.
Garardas était visiblement inquiet, mais essayait de faire bonne figure.

Les deux arnoriens continuèrent de parler de choses et d'autres avec le jeune Arumsan. Ils finirent, après de nombreux verres d'hydromel, par se retirer dans les chambres qu'Arumsan avait eut la bonté de faire préparer pour eux.
Quelques jours plus tard, les deux émissaires, après avoir entretenu des relations par Pigeon Messager avec Darith, à Caras Celairnen, réclamèrent une audience auprès de Garardas ou d'Arumsan, afin de finaliser le traité qui unirait à jamais la Grande Orthanc à la modeste Caras Celairnen.
Lorsqu'ils demandèrent à un ourouk de garde, étonnemment poli, soit dit en passant, d'aller quérir soit Arumsan soit Garardas, il s'installèrent dans deux grands fauteuils et observèrent les aller-retours des diplomates qui s'activaient dans cette partie du Palais Royal. On aurait dit une fourmillère et cela amusa les deux compères qui y opposèrent le calme plat qui régnait au même endroit, à Celairnen!
Il est vrai que ces dernières années, la politique de Valindor était plutot de faire profil bas et de ne pas trop se faire remarquer en Terre du Milieu...
Mais le pacte qui est au point de se finaliser propulserait Celairnen au devant de la scène mondiale, comme par le passé...

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Le Garde revint l'air grognon. Il s'approcha des deux hommes d'un pas raid.
Suivez moi, grogna-t-il amicalement et il les entraina un peu plus loin.

Dans l'ambassade on courait un peu partout s'affairant à des taches parfois ingrates, parfois primordial.
Un jeune Homme portait deux seaux d'eau à bout de bras, il ne devait pas avoir douze ans, mais il portait ses seaux avec dignité. Devant une porte, un soldat lui ouvrit la porte en souriant et lui ébouriffant les cheveux.
Plus loin un Homme chargé de parchemin marchait à vive allure à travers le couloir. Alors qu'un Ourouk-Hai portait une petite cage contenant un pigeon voyageur.

Devant une porte gardée par deux soldats, l'Ourouk-Hai frappa deux coups sec et ouvrit la porte en s'effaçant pour que les deux envoyés de Caras Celairnen puisse entrer et il referma la porte derrière eux.
C'était la même pièce où ils avaient rencontré Arumsan et Garardas quelques jours plus tôt.
Derrière le bureau se trouvait Garardas qui consultait un parchemin où l'on pouvait lire une liste de nom.
Le grand Intendant, roula le parchemin et le posa à côté.
Bonjour messieurs, comment allez vous ??

Il se leva et s'inclina un instant. avant de se rasseoir et de poser les mains sur les accoudoirs de sa chaise attendant de savoir la réponse de ces deux émissaires.

Dans cette pièce qui possédait avant des étagères chargées de livres étaient à moitié vidé et une malle ouverte sur le sol et remplie de parchemin attendait.

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Les deux hommes suivirent l'Ourouk et furent introduits dans le bureau de Garardas. Là, ils constatèrent le desordre qui règnait dans la pièce et se sentirent gênés ! D'ailleurs, Darith s'en excusa:

Bonjour Garardas, nous nous portons très bien et cela grace à votre charmant accueil !
Mais il semble que nous vous dérangeons, nous pouvons repasser à un autre moment si vous le souhaitez !

Les deux émissaires se sentaient mal d'interrompre le travail dans lequel le vieil homme semblait être plongé... Mais malgré tout, ce qu'ils s'apprêtaient à faire vallait bien de retarder un petit peu ce que faisait Garardas...

Malgré tout, conscient que Celairnen avait déjà bien fait traîné cette histoire d'alliance, Darith ne pouvait pas insister pour signer rapidement à présent... De plus, rien ne pressait vraiment...

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Garardas sourit franchement et déclara en posant le parchemin encore plus loin, Ne vous inquiétez pas, je déménage mon bureau dans l'académie, enfin, disons, plutôt une partie de mon bureau.
Alors, que puis-je pour vous ??

Il semblait ravis d'avoir de la visite et restait là à regarder les deux hommes.
Il semblait plus vieux, mais pourtant plus joyeux que la dernière fois qu'ils l'avaient vu.

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La joie qui rayonnait sur le visage du vieil faisait réellement plaisir à voir.
Aussi, c'est avec un grand sourire que Darith s'assit au bureau de Garardas et exposa sa pensée.

Très cher ami! Darith avait bien choisis ses mots. C'est avec un très grand bonheur et avec un profond respect que je vous demande, en ce beau jour de juillet, de conclure le traité d'alliance qui allierait à jamais la Grande Orthanc et le Royaume d'Huruk II, Roi de l'Isangard avec la respectueuse province de Caras Celairnen et la juridiction de Valindor, protecteur discret de l'Arnor.

Il avait prononcé ces paroles avec une profonde satisfaction et un grand cérémonial, ainsi qu'avec un large sourire trahissant sa joie de se livrer à un exercice aussi privilégié que de s'allier avec un si puissant Royaume...

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