Ambassade de Fennas Drunin

HRP
j'avais zapé cette discution


L'ambassadeur, Qui aurait avec joie aimé voir les plantations, dit a l'ambassadeur:
Je regrette, il me faut aller chercher votre or. La prochaine fois avec plaisir. Au revoir et a biientot!
Sur ceux, il enfourcha le cheval blanc qu'il nommait Astre et partit au galop.

Les gardes furent stupéfait de cette visite éclaire. D'abord un cavalier qui s'approche au galop ensuite celui-ci ne se présente pas et les seuls mots a part :

Voici le remboursements de Grislac.
Un garde sorti donc et pris la bourse et avant même qu'il ait pu dire quoi que ce soit le cavalier fit volte face et s'en retourna aussi vite qu'il était venu. Les gardes échangèrent un regard de stupéfaction. Celui qui tenait la bourse rentra dans la ville et les portes furent refermées derrière lui. Il se rendit donc à l'ambassade et alla chercher Curufeä. Après un moment ils se rencontrèrent et le garde donna la bourse à Cururfeä en lui disant que c'était le remboursement de Grislac.

Curufeä pris la bourse et recompta plus par habitude que par soupçon.

[ éco modifiée merci ]

"Notre tâche est de rester pour guider les peuples libres."

Cette phrase lourde de sens résonnait bruyamment dans la tête de Lomed Telqantir. Il était d'accord en partie, mais pensait qu'il ne fallait pas guider les peuples sur le chemin de la guerre !

Nous défendre ? Très certainement... Attaquer ? Ô grand jamais !

Lomed se leva de son siège et prit la parole de sa voix claire et forte :

"La mort de nombre de nos frères n'est jamais une bonne chose Messires ! Même si cela entraine la libération d'une cité ! Aucun sacrifice ne doit être permis !

Je vous rejoins quand vous dites qu'il nous faut éclairer les peuples libres de notre sagesse et les guider sur les voies de la vertu ! Mais je ne pense pas que nous pouvons faire cela en entamant une grande campagne militaire !

L'Isengard est dangereuse ? Certes, mais comme le Mordor, le Rhûn et le Harad... Nous ne pouvons nous permettre de nous concentrer uniquement sur l'Isengard sous prétexte que nous sommes plus proches d'eux !

Si nous voulons réellement faire quelque chose, il faut être fédérateur, regroupper les hommes pour qu'ils se battent ensemble ! Je pense que ce sera bien suffisant... S'ils ont besoin d'aide, alors ils en auront... Mais je ne pense pas qu'une attaque des elfes soit réellement la meilleure chose à faire.

L'Isengard ne nous attaquera pas... en tout cas pas tout de suite... Le Seigneur Arthen de Derwath est bien trop occupé à gérer sa cité, et le Seigneur Huruk d'Orthanc a d'autres plans en tête selon nos éclaireurs...

L'Isengard n'est donc pas une réelle menace pour l'instant...

Par contre, concernant les bandits, je suis d'accord avec vous ! Ces brigands qui rôdent dans la région sont dangereux. Nous devons renforcer nos cités pour éviter que notre peuple ne souffre d'un raid hasardeux..."

Le Seigneur Lomed terminait gentiment son discours, et le Seigneur Filenwol n'avait pas l'air d'être contre son avis... Qu'en était-il de Galedor et d'Eléandoreïl ?

[HRP : désolé de poster ainsi à la rien à voir, mais fallait que je cloture notre RP donc, je fais un petit poste ]

Bort et Twannor se trouvaient devant leur jardin, à Minas Ancalimë. Ils étaient fourbus par leur journée de dur labeur. En effet, ils venaient de travailler durant toute la journée à l’entretien de leur jardin et s’étaient aussi occupés de bouturer les érables ramenés de Fennas Drunin où ils avaient été offerts gracieusement par le seigneur Eléandoreïl lui-même. Mais ces boutures-ci ne serviront pas à obtenir des croisements, mais à obtenir de belles pousses pour avoir de vigoureux arbrisseaux qui viendront embellir leur paradis.

Tout en admirant leur travail, ils repensaient à la mémorable soirée passée avec ces seigneurs. Un moment inoubliable fait de chants, de rires et de discussions plus intéressantes les unes que les autres. Les deux arnoriens avaient eu la surprise de voir que les elfes se comportaient tous avec eux comme Eléandoreïl, Anëlwen ou Balalda. Une agréable surprise qui leur fit passer une agréable soirée et où ils lièrent une amitié avec ces gens qui partageaient les mêmes passions qu’eux.

Perdu au beau milieu de ses pensées, Bort fut sorti de ses rêveries par un long soupire venant de Twannor. Il le regarda et son ami répondit aux questions que lançaient ses yeux.

J’aurais aimé rester plus longtemps. Mais après tout, nous ne pouvions pas abuser de l’hospitalité de ces gens.

Bort sourit et posa sa main sur l’épaule de son ami.

Ne t’inquiète pas, nous les reverrons bientôt non ?

Oui t’as raison, on se l’ait promis pour voir lesquels des deux ont le mieux usé de nos échanges.

Ces paroles éclairèrent le visage des deux hommes qui se remirent au travail.

****

Dans le même temps, une petite caravane parvenait aux abords de Fennas Drunin. Le cavalier à sa tête se remémorait l’échange fait quelques mois précédents. Un échange important qui avait énormément aidé Meneldor. La vue de Dame Anëlwen et de son ventre rond, signe d’un heureux évènement était prêt à arriver, l’avaient profondément troublé. Tant de considération et de gentillesse dans un tel état. Il voulait la remercier et avait même était voir Meneldor pour cela.

Lorsque celui-ci lui apprit la naissance de l’enfant des souverains de Fennas Drunin, il osa demander la permission de s’occuper d’un cadeau au nom de toute la population. Proposition acceptée par Meneldor qui ne pouvait malheureusement pas se déplacer.

Et maintenant, il attendait devant les portes de la cité afin d’obtenir la permission des gardes de pouvoir entrer dans la ville et de faire ce pour quoi il avait fait le déplacement.

Éléandoreïl, ainsi que tout les seigneurs présent avaient écouté
avec attention les paroles de Galedor puis de Lómed. Éléandoreïl buvait de son hydromel et restait pensif. Il regardait l'intérieur de son verre tandis qu'une phrase prononcé par Lómed lui tournait dans la tête "Si nous voulons réellement faire quelque chose, il faut être fédérateur, regrouper les hommes pour qu'ils se battent ensemble ! Je pense que ce sera bien suffisant..." Avait dit le seigneur d'Ost-In Edhil.

*Être fédérateur oui mais il ne faut pas non plus que nous abusions d'une telle situation. L'histoire nous à montré qu'a trop attendre les forces du mal on ressurgit à chaque fois.* Pensa Éléandoreïl Alors que Lómed terminait sa phrase Éléandoreïl reposa son verre et après s'être resservi il repris d'un ton calme :

- Noble Lómed je comprend parfaitement ce que vous ressentez et ne veux en aucun cas me mettre dans une guerre même si récemment j'y ai été obligé. Je suis d'accord avec vous dans le sens où nous devons effectivement servir d'exemple aux hommes et leur montré la voix de la paix mais tant qu'il existera des peuple malfaisant sur cette terre seul Valinor sera notre refuge. Mais je veux croire qu'un jour nous pourrons accomplir l'oeuvre des Ainur et faire de cette terre une terre de paix.

Éléandoreïl à ces mots s'arrêta un instant. Son être tout entier exhalait sa volonté profonde de vivre en paix complète.

- Malheureusement nous ne pourrons jamais réaliser cette oeuvre sans casser de pots... Repris Éléandoreïl avec un ton plus grave... Souvenons nous que dans le passé, du moins à ce que j'ai pu en lire, Les Ainur furent maintes et maintes fois repoussés et leur oeuvre détruite pour laisser Morgroth agir. Et ce n'est que lorsque celui-ci fut enchaîner et bannit que les terres du milieux on retrouver une paix qui ne dura certes pas longtemps mais qui eut le bonheur d'exister.

- Peut être ne devons nous pas nous lancer contre l'Isengard où contre toute autre peuple au service de la destruction. Je suis parfaitement d'accord sur ce point mais il me semble que nous devons nous souvenir des histoires du passé et surtout essayer de ne pas reproduire les erreurs qui furent produites durant les années.

- Que nous devions aider les hommes à ce regrouper les hommes je suis parfaitement d'accord mais il me semble que notre devoir est bien plus que celui-ci nous devons les instruirent et les aidées lorsque leur cause est juste. Souvenons nous que par manque de prévention les Numenoréens se sont écroulés.

- Notez bien que je ne souhaite rien de tout cela mais je veux attiré votre attention pour que nous soyons bien conscient qu'un jour où l'autre nous seront amenez malgré nous à prendre les armes. Du moins il me semble et je ne le souhaite pas.

- Mais laissons là pour le moment l'Isengard et tout le reste... Continua Éléandoreïl... Et pensons ce que nous pouvons faire pour protéger nos route et pour nous rapprochés. Le but principal pour lequel je vous ai tous convier ici est en effet pour que nous nous connaissions pour certains et que nous nous rapprochions pour tous. Que nous puissions nous entre aider.
Si l'un d'entre vous à des problèmes je pense qu'il serait intéressant que nous les exposions et que nous nous joignons pour les résoudre. En ce qui me concerne je suis prêt à aider chacun de vous dans le maximum de mes possibilités.

Après un tel discourt Éléandoreïl se tu enfin laissant la place à quiconque souhaitait s'exprimer.


********

De l'autre côté de la ville une petite caravane se présentait au portes. Les gardes l'observait avec attention en ces périodes trouble et surtout avec les personnes présentes en ville la garde était sur les nerf. Lorsqu'un des cavaliers s'approcha des portes et déclina sa provenance un grand soulagement se fit sentir parmi tout les gardes et les portes furent ouvertes. Un garde se chargea de conduire la caravane jusqu'à l'ambassade et alla chercher l'intendant. Après quelques instants celui-ci sortit de l'ambassade et salua les Arnoriens :

- Bien le bonjour nobles Arnoriens je me nomme Curufeä intendant de Fennas drúnin que puis je pour vous ?

Curufëa ( Dsl je l'avais mal écrit c'est bien Curufëa et non pas Curufeä comme je l'ais mis moi même ). Curufëa, donc, resta interdit un instant alors que Mandarb découvrait les chariots. Dans le premier se trouvait du bois, beaucoup de bois. Mais apparemment Mandarb semblait trouver cela peut au vu de la réflexion qu'il fit à l'intendant :

Nous avons ouïe dire que votre seigneur avait quelque peu besoin de bois. Dès lors, mon roi m'envoie vous en remettre 15 tonnes. C'est peu, je le concède mais nous espérons que ce petit geste vous aidera.

C'est extrêmement généreux de la part de votre seigneur...Répondit alors Curufëa... Et détrompez vous c'est bien plus que nous en avons souhaitez. Peut être que cela vous paraît peut, et je m'en réjouit car cela veut dire que votre économie se porte bien, mais croyez moi pour nous c'est une très belle quantité.

Mandarb sourit à l'intendant et continua :

Mais cela n'est pas ce que je souhaiterais vous montrer, venez.

Mandarb arborait un sourire jusqu'aux oreilles. Il guida l'intendant jusqu'à un chariot mieux protégé que les autres et ayant des renforts sur les roues et aux endroits sensibles.
Paré pour protéger un trésor. Et trésor il y avait : à l'intérieur on pouvait voir plusieurs objets utiles pour de jeunes parents : berceau sculpté, divers vêtements brodés, jouets importés d'Erebor avec la marque du Val. Un présent du royaume de Meneldor pour les heureux parents.

Voici des présents de nos habitants. Vous avez des tenues brodées par nos
femmes. Certaines ont des motifs faits d'or ou d'argent. Ces motifs sont variés. Ils vont de représentations d'animaux à des images plus abstraites. Ensuite, vous avez des jouets portant la marque du Val qui font le bonheur des enfants. Et enfin un landeau fait par nos
meilleurs artisans. Meneldor lui-même s'est occupé des sculptures d'aigles et de beornides.

Curufëa fut de nouveau surpris et époustouflé en voyant la qualité et la beauté des objets. Jamais il n'avait vu de travail d'hommes et celui-ci était magnifique. Il prit un des jouets dans la main et l'observa sur toute les coutures. *Il n'y as pas à dire du très beau travail* Pensa-t-il. Pendant quelques instant il regarda plusieurs des objets et vêtement, curiosité d'elfe oblige, puis posant un regard émerveiller sur Mandarb il lui répondit d'un ton troublé :

- C'est...Magnifique....Mon seigneur sera sûrement ravis.... Je peut m'avancer sans aucun doute en vous disant que vos artisans on fait des merveilles et qu'ils soient remerciés. Qu'Illúvatar veilles sur chacun d'eux...Curufëa reporta de nouveau son regard sur un des jouets qu'il tenait dans ses mains puis repris de nouveau :

- Mais vous devez être fatigues d'un tel voyage Si vous le désirez je vous accompagnes tous dans la meilleur taverne de la ville...

[ HRP : éco modifiée. Merci beaucoup mon ami ]

[HRP : Ok, j’édite mon message précédent et fais gaffe à son orthographe dans celui-ci ]

Mandarb était heureux que ces présents plaisent autant à Curufëa, signe que sa démarche était un succès. Il avait été tellement touché par la gentillesse et la prévenance de Dame Anëlwen, qu’il avait décidé de faire de son mieux pour la remercier.

- C'est...Magnifique....Mon seigneur sera sûrement ravis.... Je peux m'avancer sans aucun doute en vous disant que vos artisans on fait ces merveilles et qu'ils soient remerciés. Qu'Illúvatar veilles sur chacun d'eux...

- C’est très gentil de votre part et vos sentiments nous honorent. Mais vous devez savoir que la marque du Val est le signe des jouets construits avec maîtrise et doigté par les Nains d’Erebor. Nous, nous nous sommes contentés de faire le landau, les vêtements ainsi que sélectionner les dits jouets.

Tandis que Mandarb parlait, Curufëa regardait attentivement l’un des jouets. Songeur, Mandarb se dit que s’il parvenait à savoir si cet elfe avait des enfants en bas âge, il pourrait lui ramener quelques jouets qui feraient fort plaisir à celui qui les accueillait avec tellement de bonté. Certes, c’était un des rôles déchus à sa fonction, mais Mandarb avait toujours entendu son père dire que chaque bonne action était récompensée. Ne voyant pas toujours de récompense, il tâchait, du mieux qu’il pouvait, de récompenser lui-même ces actions. Aussi bien que ses faibles moyens lui permettaient.

Mais il fut sorti de ses rêveries par la voix de son hôte :

- Mais vous devez être fatigues d'un tel voyage Si vous le désirez je vous accompagne tous dans la meilleur taverne de la ville...

A ces mots plusieurs têtes se retournèrent vers l’Intendant de Fennas Drùnin. Plusieurs hommes avaient en effet bien besoin d’un rafraichissement après un voyage passé à esquiver les villages où certains seigneurs quelque peu belliqueux auraient pu les attaquer pour leur voler leur cargaison. Mais, voulant d’abord accomplir sa mission, Mandarb répondit,

- Certes, ce serait une jolie fin pour notre voyage. Et je pense que mes compagnons ne me contrediront pas. Mais j’aimerais, si possible, d’abord que l’on porte ce bois là où vous l’entreposez et ces présents là où est leur place. Ceci, afin de pouvoir profiter de vos breuvages dans les meilleures conditions. N’êtes vous pas de mon avis ?

Derrière lui, plusieurs hommes acquiescèrent et même ceux qui avaient soif reconnurent que les propos de leur meneur contenaient du vrai. Dès lors, ils attendirent la réponse de l’Intendant, le seul à pouvoir choisir la suite des évènements.

Curufëa resta encore quelques instant à regarder les jouets. Puis se sortant de sa rêverie il reporta son regard vers Mandarb :

- Oui le Val... Bien sur ... La marque d'excellence des Naugrim... Dit Curufëa en reportant son regard sur Mandarb... Mais ce n'est pas pour autant que vos artisans on fait des merveilles et d'autant plus en allant trouver de tels objets que ceux fabriqués par les artisans du val. Ces objets sont assez difficile à trouver et j'imagine qu'il n'as pas du être facile à vos artisans de les trouver. Donc c'est en soi-même une prouesse que de dénicher de tels objets sans parler de l'excellent travail des couturiers où couturières sans parler des ébénistes. Quoi qu'il en soit vous remercierez vos artisans. Bon ne restons pas la ! laisser tout cela les gardes vont s'en occuper.

Et comme pour confirmer ses dire Curufëa se retourna vers un des garde et dit :

- Illunar ! Veux tu bien t'occuper de faire décharger ces chariots s'il te plaît. Porte l'or en lieux sur et les présents dans le salon de nos seigneurs.

Le dit Illunar fit un signe d'approbation et commença à appeler d'autres elfes. Curufëa se retourna alors vers les Arnoriens et avec un large sourire les invita à le suivre :

- Venez allons donc nous rafraîchir le grossier... La petite troupe commença à se diriger vers l'auberge la plus proche tandis que Curuf6ea demandait des nouvelles du pays à Mandarb :
Mais dit moi comment ce porte vos régions ? Cela fait bien longtemps que je n'ai eut l'occasion de me promener.

***********************

De l'autre coter de la ville un homme se présentait aux portes de la ville.

Bien le bonjour amis elfes! Je suis
Mandrîl de Caras Celairnen, la Cité dirigée par Monseigneur Valindor!
Je souhaiterais me rendre à votre ambassade! Sauriez-vous m'indiquer où
elle se trouve?

Ah, j'oubliais, je possède un petite épée, voulez vous que je vous la remette ?

L'elfe de garde saluât Mandrîl et l'invita à entrer :

- Bonjour noble Mandrîl entrez je vous en prie. Je vais vous accompagner à l'ambassade. Je vous serais effectivement reconnaissant de bien vouloir laisser votre épée ici. Vous comprenez les derniers temps ne sont pas trop sur.

Le garde, n'ayant encore jamais vu Mandrîl, appliquait les consignes à la lettre.

- Vous pouvez laisser votre cheval ici aussi nous nous en occuperons.

Après que Mandrîl se soit décharger il suivit le garde qui l'accompagnât à travers la ville, aux couleurs naissante de l'automne, jusqu'à l'ambassade. Le garde fit installer Mandrîl dans un des confortables fauteuils de l'ambassade et s'éclipsa après s'être excuser. Quelques minutes plus tard un elfe entra dans l'ambassade et se dirigea vers Mandrîl tout en le saluant :

- Bonjour noble Mandrîl je me nomme Adermil...Dit l'elfe d'une voix clair... Que nous vaut le plaisir de votre visite ? Voulez-vous boire quelque chose ?

Mandrîl accepta le verre qu'offrait Adelmir qui allât chercher rapidement une bouteille et deux verres. De retour à la table les deux homologues s'assirent et Adelmir les servit en hydromel.

Mandrîl expliqua donc le but de sa visite qu'Adelmir écouta avec grand intérêt. Au fur et à mesure que Mandrîl le visage de Adermil devenait plus sérieux sans pour autant ne paraître plus préoccupé de cela. Ils avaient maintenant l'habitude d'entendre parler de l'Isengarde et de ses méfait. Le fait que d'autres peuples partagent leurs angoissent et surtout aient une vision semblable le rassura. Alors quand Mandrîl eut terminer son exposer de la situation c'est sans détour et avec le coeur soulagé qu'Adermil répondit esquissant un sourire :

- Effectivement noble Mandrîl j'ai entendu parler de bien des choses au niveaux de votre seigneur, Valindor, en bien cela va de soit, et aussi en mystère... Adelmir plongea son regard franc dans celui de Mandrîl... Mon seigneur Éléandoreïl nous as averti que de grande choses allaient arrivé et il semblerait que celles-ci sont déjà en court.

Adermil fit une légère pause durant laquelle il but une gorgée de son verre et en profita pour se remémoré ce que lui avait dit Éléandoreïl et continua :

- Je peux donc vous assuré que mon seigneur fera tout ce qui est en son pouvoir pour défendre nos régions et sera sûrement aux cotés de votre seigneur pour la défense de l'Eriador. Mon seigneur est actuellement en réunion avec divers seigneurs de l'Eregion et du Rhudaur justement pour traiter de la sécurité en nos régions et de l'attitude à suivre. Il est évident qu'il sera ravis de vous venir en aide. Si vous avez des points plus délicats à traiter je peu aller chercher son épouse.

Mandarb et les siens furent étonnés de ne pas pouvoir aider au déchargement. Mais après tout, à Minas Anor, fait comme les Gondoriens, avait-on l’habitude de dire chez lui, et il ferait ce qu’on lui demandait de faire.

Dès lors, lui et ses compagnons délaissèrent les chariots non sans avoir fait remarquer aux gardes de prendre soin des objets offert en cadeau à Elluiwen, la douce enfant d’Anëlwen et d’Eléandoreïl. Ils marchèrent donc tous derrière l’Intendant de Fennas Drùnin, hormis Mandarb qui marchait à ses côtés et discutait un peu avec lui.

Mais dites-moi, comment se portent vos régions ? Cela fait bien longtemps que je n’ai eut l’occasion de m’y promener.

L’elfe avait engagé la conversation, et en bon hôte et fier habitant de l’Ouest de l’Eriador, Mandarb répondit.

Et bien, l’automne rend nos régions magnifiques. Les arbres se parent de leur couleur de saison et nous offrent un spectacle magique. L’air froid qui vient du Nord oblige nos habitants à rentrer le maximum de nourriture dans les greniers et entrepôts en prévision de l’hiver. Mais notre région garde toute sa beauté d’antan. Ses immenses plaines n’ont d’autre maître que le Vent et ne sont soumises qu’à ses caprices.

Les quelques forêts qui sont encore aux abords de nos cités restent visités que superficiellement par nos bucherons et chasseurs. Mais je suis persuadé que leur profondeur est le lieu d’un spectacle magnifique mettant en scène toutes les beautés de la Nature. Enfin, comme vous l’entendez, c’est une région magnifique et les mots seuls ne sont pas capables de décrire parfaitement celle-ci. Il faut au curieux, laisser tous ces sens être stimulés par la nature d’où je viens…

Au fur et à mesure qu’ils avançaient, ils finirent par arriver devant l’auberge, guidés par Curufëa qui, tout en écoutant Mandarb, avait guidé leurs pas vers leur destination.

[HRP : Il s’agit de ton auberge, je te propose donc de nous introduire le lieu et qu’on puisse y RPyer brièvement^^]

Tandis que le petit groupe déambulait en direction de l'auberge Curufëa se laissa prendre pas la description de Mandarb et imaginait parfaitement les grandes plaines de l'Arthedain aux tons ocres et or sur un fond vert avec le lac Vesperal en fond. Alors que Curufëa était dans sa visite spirituel aux lieux qu'un jour il eut la chance de visiter la porte de l'auberge s'ouvrit à l'entrée d'un elfe laissant échapper une sympathique mélodie qui sortie Curufëa de sa rêverie. Il regarda alors Mandrab et avec un sourire lui dit :

- Ah nous y voici vous allez voir c'est fort sympathique !

Et embrayant le pas il ouvrit la porte aux Arnoriens qui entrèrent et reçurent un choque.

Un puissant tronc d'arbre s'élevait au centre de l'auberge. En approfondissant un peut l'observation il était facile d'imaginer que l'arbre devait être plusieurs fois centenaire. Un bar rond entourait le tronc. En levant la tête on pouvait se rendre compte que les premières branches avaient été mise à profit pour soutenir une mezzanine au premier étage. Mais il était difficile de dire combien d'étage pouvait avoir le bâtiment et même si celui-ci avait un toit où si le dit toit était formé des branches de l'arbre.

En reportant son regard au bar celui-ci était plein d'elfes et d'hommes voir même de quelque nains. Preuve de l'ouverture de la ville et de ses habitants. Malgré cela les arnoriens purent sentir de rapides regards, de la part des elfes, en leur direction. Curufëa s'avança et pausant sa main sur l'épaule gauche de Mandrab lui dit :

- Venez allons nous installer.

Ils se dirigèrent vers une des alcôves creusées dans le mur et s'assirent sur les banquettes de chaque coté d'une table en bois. Les banquettes étaient en pierres mais par un étrange phénomène celle-ci étaient chaude, d'ailleurs tout la pièce était agréablement chaude mais il n'était pas possible de voir aucune cheminée. Après quelques instant une jeune et jolie elfe s'approcha de leur table et leur demanda :

- Noble Curufëa quel plaisir de vous voir ici. Vous nous faite tellement peut l'honneur de votre présence parmi nous que cela en devient un évènement. Mais dit moi que désirez vous ?

L'elfe avait un grand sourire aux lèvres. Curufëa lui répondit donc :

- Vous êtes bien aimable ma chère Luiwen et vous savez qu'il ne m'est pas souvent possible de venir dans votre charmante auberge. Bon trêve de courtoisie et voyez si vous avez en réserve votre fameux aldaglar pour nous tous.

En terminant sa phrase Curufëa eut un regard malicieux envers l'elfe qui lui rendit son regard et ajouta :

- Hum je vois ! Vous avez des invités de marque.

Puis avec un sourire elle leur tourna le dos et se dirigeât vers le bar. Curufëa expliqua alors aux arnorien que c'était une boisson particulière et spécialité de la maison mais qu'ils ne leur dirait qu'après avoir goutter de quoi elle était faite. Quelque minutes plus tard l'elfe revint portant une très étrange carafe en métal, qui semblait lourde et la plaça sur la table. Elle les gratifiât de nouveau d'un sourire et s'en allât de nouveau. Curufëa prit, de la main droite, une des formes ovales se trouvant sur le côté et la faisant coulisser vers le haut la détacha de l'ensemble. Il la plaça ensuite au bout du bec et fit tourner une petite boule au sommet de la carafe libérant une vapeur sous pression qui émit un sifflement et libérât un arôme fort et sucré de plante. Alors de la main gauche, et en un mouvement rapide, il leva l'anse se trouvant sur l'arrière de la carafe. Puis il la rabassa doucement. Du bec sortit un épais liquide rouge marron, fumant, et le tandis, une fois plein, à Mandrab. Il répéta plusieurs fois l'opération jusqu'à ce que tout le monde soit servit. Il leva alors son petit gobelet et le mettant au centre de la table pour toaster il dit :

- A la paix et la prospérité.

( HRP pour indication le breuvage à pour goût le chocolat, l'alcool, de fruits rouges, d'épices, et de plante. Et désoler du retard ^^ )

Vers minuit, dans la nuit claire, se présenta aux portes de la cité un cavalier, seul. Vétu de noir, il surgit des ombres telle une apparition, que l'on ne voit qu'au dernier moment mais dont l'on ne peut plus ensuite détacher le regard. Après un moment passé à silloner dans le silence nocturne ce qui restait de chemin le séparant de la ville, il s'adressa aux gardes, relevant sa capuche pour laisser entrevoir un visage profond.
"Salutations, frères des Plaines de l'Ouest. Je suis ici en ami, et dépose à vos pieds mes armes, annonça-t-il de but en blanc, débouclant sa ceinture à laquelle était accroché un petit sabre Elfique pour la tendre aux soldats. J'ai longtemps chevauché pour venir jusqu'à vous. Malgré l'heure tardive, m'accorderez-vous un entretien avec le Seigneur de cette cité?"
Malgré la fraîcheur de la nuit, le cavalier se tenait droit sur sa selle d'un brun sombre aux reflets violets. Il regardait les gardes droit dans les yeux, attendant une réponse, mais semblant prêt à patienter ainsi des années durant s'il le fallait. Tout dans son visage inspirait la sérénité. Il attendait...

"Bien, répondit l'Elfe après une brève hésitation, conduisez-moi à lui."

Aussitôt, il descendit de cheval, et, tandis que le premier garde l'emmenait vers les écuries de service, le lieutenant s'occupa de conduire l'Elfe au travers de rues sinueuses. Après un moment passé à marcher dans un silence complet, bien que nullement froid ou agressif, ils arrivèrent au petit bâtiment en pierres entouré de quatre statues d'Elfes, qui, si elles remuèrent bien quelque-chose à l'intérieur d'Obesdraï, le diplomate, ne purent lui ramener de souvenirs précis, et pour cause: il s'agissait plus d'un rappel de ses gênes que d'une leçon apprise par ses parents sur ces grands rois. Intrigué, il ne garda cependant pas la tête levée plus d'une demi-seconde, non pas qu'il fut gêné un instant à l'idée qu'on le sache ignorant des grandes légendes de son peuple, mais il n'était pas venu pour cela, et le loisir d'étudier de plus près ces grandioses édifices lui serait donné plus tard... Ou pas. Il huma l'air, puis se reprit. Voilà bientôt deux siècles qu'il n'était pas parti en mission diplomatique ailleurs que dans les fermes et villages alentours, et même là, ses habitudes heurtaient les gens. A force de vivre avec les loups, on en devient un, et il se trouvait justement que leur chef de meu... Leur chef était un loup accompli. Personne ne chassait mieux que lui, et chaque année, à la grande fête de lugnasad, il ressortait vainqueur de la chasse, malgré l'entrainement acharné des autres chasseurs et chasseuses du village.
Il laissa le lieutenant le fouiller devant les portes de l'ambassade, puis entra à sa suite. Après avoir été anoncé, il entra dans la pièce où se trouvait l'intendant.

" Salut à toi, cousin, paix sur toi et les tiens. Je suis désolé de me présenter à cette heure indue, mais j'ai longtemps chevauché, et la situation est urgente. Je me présente aujourd'hui devant toi car mon chef a une requête à te soumettre. Il souhaiterait que ta cité lui fasse prêt de 1600 pièces d'or, qu'il te rembourserait d'ici peu de temps, avec interêts. Est-ce possible, frère?"

[Eléan ? Talio ? Il me semble qu'une vieille réunion traîne ici depuis trop longtemps...]

Écoutant attentivement tous les propos, que chacun des seigneurs elfes tenaient, Galedor commença a penser que certains faits ne semblait connu que par quelques uns, tandis que les autres c'était malencontreusement contenté de maigres indices... Ce qui avait poussé cette interrogation à Galedor, fut une phrase du seigneur Lomed, parlant de l'Isengard. Comme si cette phrase poussait à la curiosité, Galedor ne devait pas hésité à en demander plus, sinon cette question resterait en suspens dans son esprit, ne sachant quoi en faire.

"Seigneur Lomed, malgré que les preuves s'accumulant pour prouver que l'Isengard se déchaîne autour de lui, vous avez tenu à nous dire que l'Isengard n'est point un danger pour nous. Vous semblait aussi en savoir plus que nous sur la question, mais je vous propose que vous partagiez vos connaissance avec nous si cela ne cause aucun ennuie...

Je pense que certaines des créatures les plus noires du monde, que Morgoth entraina jadis dans la corruption, doivent être écarter de notre chemin. Si il est possible de discuter avec de telles créatures, je n'y manquerai pas une fois de le faire, mais je doute que ce soit le cas, surtout avec les gobelins, nous en avons eu la preuve avec les gobelins du Sud des Monts Brumeux.

Engageons donc des discutions avec ces peuples que nous pensons maléfiques... Et voyons donc les cités qui serai prêt à nous aider pour construire un monde pour les Hommes."

Un changement de discours relativement radical... Mais pour toutes personnes attentives remarquera que l'aspect militaire de ces négociations avec d'autre peuples n'avais en aucun cas était oubliée...