ambassade de Feaukarak, cité de Krunak l'infâme

Un petit convoi, composé d'une charette bâchée, 10 cavaliers et le même jeune homme qui s'était présenté il y a un mois, se profilaient dans l'horizon noir. Ils arrivèrent vite devant la cité de Feaukarak. Le jeune diplomate s'avança d'un pas timide :

"Bonsoir, messieurs... Nous venons d'Amon Algo, et voici le remboursement du prêt du mois précédent ! Nous nous dirigeons vers la trésorerie ?"

L'orque le regardait très bizarrement, mais il les laissa passer. La compagnie déposa les 10 tonnes de fer ainsi que les 1'000 Pièces d'or, puis repartir tranquillement vers le nord... Ils n'avaient aucune envie de retourner en Angmar, la guerre y faisait rage, mais ils le faisait par devoir envers la patrie.

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Un matin une sentinelle de Feaukarak vit au loin un épais nuage de poussière qui s'élevait lentement dans le ciel. Lorsque que le nuage fut assez proche pour distinguer son origine le soldat vit une petite troupe avancer à marche forcée vers la cité. Elle semblait arriver des montagnes et vouloir arriver dans la cité du grand krunak au plus vite.
Perdu dans ses pensées l'orcs ne vit pas la délégation arriver à grands pas, et lorsqu'il emerga de ses reveries les orcs étaient arriver au bas de la porte et tambourrinaient pour qu'on leurs ouvre.

Une voix plus forte que les autres emergeait du brouhah elle disait:

" Je suis Var-stun fils de Burk grand intendant de Voronwé et fidele serviteur de Vär-so-got notre maitre qui m'envoie ici demander audience. Reçevez-moi!!!"

Tout en leur criant d'attendre le garde partit chercher son supérieur et mander une reponse à la requete des étrangers.

Les sentinelles apercurent au loin les sentinelles de la ville d'Amon Algo. Il était temps car Kator qui consenti avec diligence au prêt fait aux hommes attendaient d'eux une dilignece similaire dans le remboursement, d'autant plus qu'il ne demandait exceptionellement pas de compensation! Ilfut cependant comblé lorsque les mille pièces d'or vinrent s'entasser dans le caveau bien gardé de l'ambassade où s'entassaient de multiples richesses! Kator fit lui même ses adieux à la délégation et leur souhaita un bon voyage. Il alla même jusqua leur accorder une escorte jusqu'aux limites de la principauté de Feaukarak, pour bien souligner la bonne entente des deux villes.

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Les sentinelles de Feaukarak ne savaient plus où donner de la tête ces derniers mois! Des rapaces apportaient des missives en un bal incessant et les délégations se suivaient l'une l'autre! Décidemment, la ville de Feaukarak se trouvait mêlée à une sorte d'intrigue que l'histoire nous révelera peu être....
C'est ainsi que par un sombre matin, les sentinelles virent arriver une troupe crasseuse qui se voulait apparemment fringuante et dominatrice. Cepenadant, ces orques ne connaissaient pas encore la puissance nouvellement acquise par Feaukarak mais ils apprendraient bien vite à traiter les gardes avec plus de déférence car le moindre d'entre eux valait plus aux yeux de Kator, régent de la cité en l'abscence du Maître, que l'orque le plus influent de la délégation. Ils furent cependant introduits, désarmés, et conduit par une forte troupe à l'ambassade, où Kator, dans sa grande bonté, eut la grande magnanimité de recevoir leur représentant Var-stun dans la salle du trône, sous l'oeil attentif de la Garde, troupe d'élite chargée de la protection personnelle de Kator.

Var-stun et son escorte furent d'abord introduit dans l'ambassade puis seul Var-stun fut autorisé à continuer seul et désarmé.

La salle du trône était vaste et des gardes étaient postés tous les 2 gobelins ( unité de mesure fréquente a l'époque bien que non officielle) mais Var-stun en fut nullement impressionné car pour lui rien n'égalait la demeure de Vär-so-got à Voronwé.

Au fond assis sur une chaise et quelques têtes humaines, qui se voulaient être un trône, se tenait Kator.

Arrivé pres de lui et après les salutations d'usage Var-stun lança:

Je suis ici pour, au nom de mon maitre,vous demander de prendre Voronwé et son grand peuple votre protection. En échange d'un partenariat économique vous pourriez disposez en temps de guerre d'une partie des forces de Voronwé si vous l'estimez nécessaire.
Pour formaliser cet accord je propose que vous nous versiez 900 pieces d'or afin de développer l'armée qui plus tard vous sera bien utile.

Quand il eu achevé Var-stun attendit, immobile, la réponse.

[hrp: essaye de pas faire les descriptions de MON ambassade. Je l ai décrite dans un autre rp et ça crée un manque de cohérence.... ]


Kator fut outré par le manque de civilité de l'orque qui osait lui dicter sa conduite! Il ne lui avit de surcroit prodigué les marques de soumision dues à son rang et il avait prit la parole sans y être invité! Cependant, Kator, conscient de la jeunesse de l'orque ne se formalisa pas

"Var-stun! Le marché que vous me proposez vous avantage fortement! Et vous présentez la chose comme si cela était un honneur pour nous, que vous nous fassiez cette proposition, alors que nous pourrions simplement marcher sur votre misérable village avec notre armée et vous réduire en esclavage!"

Il fit une courte pause et il espéra que ses remontrances feraient prendre conscience à l'orque de la dangereuse situation dans laquelle il se trouvait. En effet, sur la terre du Mordor, les ambassadeurs ne bénéficaient que d'une imunité relative et la loi du plus fort régissait toutes les relations!

"Ainsi, vous me proposez de vassaliser votre cité! Mais les termes du contrat ne me satisfont pas! Vous parlez d'une aide partielle de vos soudards en cas de conflict! Alors que vous bénéficiriez d'une protection inconditionnelle de la part des nombreuses et glorieuses armées de Feaukarak ainsi que d'une aide économique conséquente. Ainsi je vous propose que le pacte de vassalité nous unissant reprenne les termes exacts de celui qui uni la puissante cité de Feaukarak et celle d'Erenthang."

Kator , d'un geste impérieux, délégua Grik, son esclave personnel acheté il y avait peu de temps, chercher le dit parchemin . Après de nombreux et bruyants farfouillements dans une pile de documents entassés dans un coin de la pièce. Le document fut enfin exhumé. Grik, d'une voix peu assurée commenca la lecture:

En ce mois de mai de l'année IV de la Nouvelle Ere, le village de Feaukarak jure fidélité et allégeance à la cité d'Erenthang, et ce pour une durée indéterminée. En échange de quoi la cité d'Erenthang offre sa protection à Feaukarak ainsi qu'une aide économique.

Erenthang demande de lui fournir chaque mois un rapport complet de l'état économique et militaire de Feaukarak.

A la fin de la lecture, Kator hocha de la tête.

"Voila qui me parait bien! Il suffit de changer le nom des villes, la date, et de rajouter que Voronoé, ou quel que soit le nom de votre ville, doive aussi venir en aide à Erenthang, si Feaukarak la demande, afin que l'Alliance Mordorienne, sous l'autorité d'Erenthang puisse agir de concert et peut être, un jour unifier le Mordor. Cela vous convient il?"

Pour aider l'orque à faire son choix, Kator fit apporter un coffre bardé de fer, qu'il fit ouvrir. Une lumière divine illumina la pièce: celle du reflet de la lumière sur l'or!

Durant tout le temps qu'avait duré le discours de Kator Var-stun était resté droit et fier bien que la force qui émanait de Kator aurait pu déstabiliser un troll.
Var-stun était profondément vexer par les insultes proférés par Kator à l'encontre de son peuple il manqua plusieurs fois de partir mais il n'en fit rien au contraire il choisit plutot de glorifier le pretentieux orc.

Hum, je crois que mon maitre trouverai son compte dans cet accord. Vous etes bien genereux mais conbien de pieces sonnantes et trebuchantes contient ce coffre??
Pour vous prouver notre fidelité Le Grand Vä-so-got a dors et déjà prévu de vous confier, si vous l'estimez necessaire, une troupe de guerriers de sa garde personnelle pour la garnison defensive de votre cité?

Kator décelait bien la fourberie du personnage, mais il n'en avait cure! Une fois son sceau apposé, il ne serait plus forcé de s'entretenir avec cet énergumène.

"Veuillez apposer votre sceau sur le présent pacte de vassalisation, puis nous réglerons ces petites modélités pécunières ultérieurement!"

Grik s'empressa de tendre à son maitre un document finement manuscrit. Après avoir coulé de la cire de bougie sur la parchemin, Kator tandit le papier à son interlocuteur avec un grand sourire. Il pouvait y lire:

"

Citation :

ce mois de mai de l'année VI de la Nouvelle Ere, le village de Voronwé jure fidélité et allégeance à la cité de Feaukarak, et ce pour une durée indéterminée. En échange de quoi la cité Feaukarak offre sa protection à Voronwé ainsi qu'une aide économique.

Feaukarak demande de lui fournir chaque mois un rapport complet de l'état économique et militaire de Voronwé.

Citation :

La cité de Voronwé ne portera jamais préjudice à Erenthang ni à Feaukarak de quelque manière et se verra contrainte de lui porter secours en cas de conflict."

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Var-stun sans regarder Kator pris le parchemin et relut plusieurs fois le court texte pour s'assurer qu'il n'y avait point d'entourloupe ou une quelconque carambouille. Puis se demandant bien se pouvait être Erenthang et pourquoi on les accusait de vouloir lui porter prejudice.
Enfin se disant que cela devait etre une compliation dont avait l'air de raffolé son nouveau dirgeant il apposa son sceau sans plus de considérations.
Les deux orcs se saluèrent puis Var-stun sortit rejoindre son escorte.
A sa sortie de l'ambassade il trouva ses hommes affairer a fouiner autour d'une grande charette.
Beuglant quelques concis mais clairs ordres Var-stun ordonna à ses hommes de ne pas toucher la marchandise et de se mettre immédiatemnent en route. Ainsi lui et sa compagnie partirent sur le champs.

[ éco modifiée +1000 po]