Et en diagonale le fou balaye tout...

Un homme se percha au sommet de la barricade hâtivement dressée dans la rue principale, bouchant l'entrée de la ville.

"-Vils ourouks, retourner donc chez vous et laissez les braves gens vivre en paix !"

Il semblait faire mine de descendre lorsqu'il reprit en se retournant :

"-C'est votre sang de faïence qui coulera sur cette terre aujourd'hui !"

Immédiatement, mettant fin aux négociations, une volée de flèches peu coordonnées cloua au sol les plénipotentiaires d'Orthanc.

Apparemment, les habitants de Tharbad ne voulaient pas lâcher leurs biens comme cela...

La terrible charge des troupes d'Orthanc commença. Les hommes de Dun, couvert de peaux de bêtes et vociférant férocement, chargeaient de façon incontrolable vers la ville, tandis qu'un amas de fourrures et de lames, j'ai nommé les ouargues, allaient déborder l'ennemi.

Les arbalétriers ourouks avançaient de façon plus disciplinée, arbalète au poing, prêt à lâcher leurs carreaux ô combien mortels.

HRP : yup c'est reparti^^.

Oui, la peur envahit le village, bientôt ils fuiront devant nous.
Chargez, en avant soyez sans pitié.
Hurlait Awillim depuis l'arrière de ses fantassins qui continuaient de courir.
Les arbalétiers avançaient eux aussi d'un pas cadencé vers le village, ils savaient qu'ils allaient bientôt tirer et ouvrir le bal...


Les cavaliers Ouargues respectaient les consignes, contourner un peu le village et charger comme des bourrins.
Cette attaque devait être un exemple pour tous.
Tout ceux de la régions devait maintenant connaitre la puissance d'Orthanc

La charge continuait, vociférante et hurlante. Puante aussi (ça rime) car l'hygiène corporelle des hommes de Dun avait de quoi terrifier un mortel. Même un immortel en fait...

Les ouargues labouraient le sol, soulevant des mottes de terre. Les deux vagues fonçaient à vive allure pour prendre l'ennemi de flanc sur les rues latérales...

Du côté de la ville, plusieurs flèches s'élevèrent dans le ciel, de façon assez désordonnée, pour frapper les hommes de Dun. Ceux qui s'écroulèrent, même blessés, furent impitoyablement piétinés par leurs collègues en furie...

Les ouargues allaient sous quelques instants pouvoir pivoter de façon tout à fait optimale pour un débordements. Les chevaucheurs voulaient tourner tout de suite si possible mais la réputation d'Awilim était telle qu'ils s'en tenaient aux ordres pour l'instant.

Quant aux arbalétriers le claquement sec des cordes signala qu'ils avaient tiré. Les carreaux rasèrent les têtes des hommes de Dun pour achever leurs course contre et derrière la barricade. Des cris de douleurs retentirent dans le village...

De nouveaux, une salve sortit de derrière la barricade pour ôter du sang aux hommes de Dun. Mais c'était à peine une goutte de sang dans la masse...et vu leur fanatisme, certains continuaient de courir avec une flèche dans la poitrine, avant de s'écrouler en vomissant un torrent de sang, tout en gueulant à s'en rompre la gorge : "Huruk ! Huruk!"

La bataille serait vite réglée songea Awillim.
Il observait tout ça depuis sa position arrière quand soudain il se rendit compte qu'il ne pourrait surement tuer personne...

Aussitôt, il tallona sa Ouargue et fonça pour rejoindre le combat.

Du côté des cavaliers Ouargues, on commença à obliquer sur le village, bientôt le sang, les montures semblaient plus attentivent, elles sentaient le sang et la peur, bientôt elles sentiraient aussi la mort de ces hommes.

Les Hommes de Dun ne s'arrêtaient pas de courir vers le futur charnier.
Alors qu'une volée de flèches passa encore au dessus d'eux pour apprendre aux hommes à mieux se protéger.
Les piquiers continuaient leur chemin à pas lent.

Les défenseurs ne pouvaient arrêter une charge d'hommes de Dun entrainé et embrigadé par Huruk, encore moins les quelques imbéciles du tas fanatiques par la nouvelle religion d'Arthen.



[HRP]
Mes hommes de Dun et mes arbalétiers sont à quelle distance de la mini palissade ???

HRP : Tes arbalétriers sont à une cinquantaine de mètres, tes hommes de Dun sont à l'assaut au prochain tour, enfin tu peux décrire l'assaut des rues et de la barricade dans ton prochain post quoi.

Beuglements et vociférements : les hommes de Dun sont presques à la palissade ! Déjà ils prennent leur élan pour bondir et grimper cette barricade qui ne saurait arrêter Orthanc. Ce qui doit être la dernière salve des archers miliciens sort et frappe et les hommes de Dun à bout portant...le rang avant s'écroule. Pas grave, le deuxième devant premier rang donc rien ne change pour Orthanc...

Quant aux ouargues elles obliquent férocement et atteindront sous quelques instant les rues lattérales de la ville : d'ailleurs les chevaucheurs en tête peuvent aperçevoir que les rues perpendiculaires qu'ils vont emprunter donnent sur une concentration de paysans tremblotants amassés derrière une...ho surprise, barricade. Et d'ailleurs les mêmes chevaucheurs peuvent voir des carreaux assez familiers s'écrouler dans les rangs de ces paysans...

Les cavaliers continuent droit sur l'ennemi évitant barricade ou charrette.
Les arbalétiers arrêtent de tirer et recommencent à avancer vers le village d'un pas tranquille.
Les piquiers commencent à ramasser les blessés laissé derrière tout en continuant tout tranquillement.


Les Hommes de Dun arrivent devant la barricade...
Ca une barricade ??? ce n'est qu'un vulgaire tas de cochonneries. Se disait Awillim qui fonçait pour pouvoir aussi taper de l'Homme.
Mais il était encore loin...

Les Hommes de Dun parvenaient en haut de la palissade et se jetaient sur l'ennemi après avoir piétiné l'ancienne première rangée.
Le combat commence enfin... le combat ???
Non, ce n'est qu'un massacre, les ennemis sont écrasés de toutes parts, les Hommes de Dun chargent et massacre tout ce qui se tient debout devant eux. Pas de différenciation entre les soldats, les paysans et les femmes. Il n'y a que des morts en sursis.

Les Hommes de Dun se battent comme d'habitude, on frappe comme des bourrins et ensuite on regarde ce qui traine.
Mais la, on ne pouvait regarder... les autres derrière voulaient aussi participer et poussaient en avant, empruntaient les ruelles pour passer premier, défonçaient les portes pour vérifier qu'ils ne puissent pas massacrer quelqu'un.

La première erreur de ces gens avait été de tuer les émissaire d'Orthanc, la deuxième... c'est d'avoir cru un instant qu'Awillim ne les ferait pas tous massacré.
Ce n'était qu'un village d'Homme et même si Huruk II avait déclaré vouloir ne pas les héradiquer, Awillim ne semblait pas de cet avis.
Comment un tel Ourouk-Hai avait-il put devenir lieutenant ???
Beaucoup se le demandait, peu avait osé poser la question et encore moins vivaient encore...

HRP : Je passe à la conclusion parce que y a rien d'autre à dire : une troupe de 400 miliciens qui prend de face des hommes de Dun et sur les DEUX flancs de la ouargue, un tour c'est largement suffisant pour tous les buter....

Les miliciens semblèrent résister un peu lorsque les hommes de Dun les chargèrent de face sur la barricade. D'ailleurs, quelques sauvages tombèrent au sol avant de finir de grimper l'obstacle.

Mais la charge des ouargues scella le sort de la ville. Déferlant des rues latérales, ces créatures cauchemardesques percutèrent les flancs des miliciens, tandis que les hommes de Dun les débordaient sous le nombre.

La milice fut balayée en quelques instants, et ceux tentant de fuir étaient déchiqueter par les crocs des ouargues mais aussi des hommes de Dun...

Bref, tout fut réglé en quelques instants...Orthanc avait gagné, on ne pouvait trop en douter à ce moment là, et seuls les Dieux savaient ce qui allait arriver au reste de la ville. En fait non... Tout les soldats d'Orthanc savaient qu'un beau massacre se préparait !

Orthanc gagne la bataille.

Tharbad perd la bataille (ça me parait logique...)
Awilim gagne 200 points d'XP à répartir dans les compétences "Charcuterie" et "Boucherie".

Il reste à Orthanc :

- 600 hommes de Dun (dont 100 blessés !)
- 200 piquiers Ourouk-Hai
- 200 arbalétiers
- 498 cavaliers Ouargues (deux morts écrasés lors de la charge..)

Il reste à Tharbad :

-Heuuuuuu...

Tharbad devient le joujou d'Orthanc qui en fait ce qu'elle veut...(à suivre dans le prochain post de notre Admin Vénéré !)





HRP : Bien sûr tu peux décrire un petit massacre en règle dans ton prochain message (c'est même fortement conseillé è_é). Puis si tu veux le moment où on t'amène le chef du village, un certain Berethor, capturé par Hyrsh et Prush, deux chevaucheurs de ouargues qui méritent une belle médaille^^.

Les Hommes de Dun ravageaient tout sur leur passage. Troupes correct au corps à corps, ils massacraient tout les paysans à portée.
Alors que la peur se fesait de plus en plus sentir, les Hommes fuyaient... mais ou pouvaient-ils aller en dehors de contre les Ouargues.
Ce fut un carnage, les cavaliers se croisèrent et pourchassèrent toutes personnes armée... ou non armée.
Awillim abattit son épée et la tête de l'homme s'éleva dans le ciel pour retomber sur un de ses camarade qui voyant ce spectacle partis en courant.
La Ouargue d'Awillim ne lui laissa pas le temps d'aller très loin...


La population était massacrée en même temps que les soldats, il ne fallait pas s'en prendre à des émissaires d'Orthanc et il ne fallait surtout pas contredire un capitaine, surtout si c'est Awillim...

On tua rapidement tout ceux qui avait été capturé, pas de torture, pas d'acte barbare, juste une tuerie en bonne et du forme.


Toutes les troupes commençaient ensuite à piller le village alors que les blesser étaient plus ou moins soigné par les piquiers et les médecins partis avec la troupes.

Quand tout fut finis, on ramassa le butins et toute l'armée partit tranquillement.




[HRP]
Oui, oui, je pille la cité.
Valindor s'occupera de modifier mon économie.

Je modifie l'économie et je lock !