Ambassade d'Annon Baran

... Les cheveaux galopaient depuis deux jours et ils commencent à resentir le poid des cavaliers sur leur dos. D'ailleur, leurs pas ce font de plus en plus lourds et une pause est la bienvenue.

. L'ambassadeur Quet'haci de Bree est en mission très importante pour sa reine et Annon Barran n'est que sa première étape...

. En voyant les portes, les six cavaliers, composée d'un lieutenant, d'un memebre de l'école de guerre, de l'ambassadeur, de trois cavaliers et d'un maitre chiens avec ses deux compagnons, tirent sur les rennes et les cheveaux, comme un crie de soulagement, expirent puissament tout l'air de leurs poumons.

. Apres quelques minutes, le détachement se retrouve devant la grande porte de la ville qui était deja ouverte et qui voyait un débit de personnes importante passé sous ses pieds. Les cavaliers se mettent donc au trot pour entréer dans la ville et le diplomate du groupe, en voyant l'un des gardes de la porte, se rapproche de lui sous l'oeuil attentif de ses camarades et acoste ce dernier sans gène aucune :

_"Bonjour garde, je me présente Quet'haci, ambassadeur de Bree. J'aimerais que vous m'indiquiez où je peux converser avec un représentant de la ville, ou avec le roi lui-meme dans la mesure du possible..."

"Voila seigneur, commença l'ambassadeur, ma reine, Leyle Lohirim, à une vision du passé, du présent et surtout de l'avenir très précise pour l'harnor, et elle souhaiterai voir le plus tôt possible se qu'il ne reste pour l'instant qu'un fantasme.
Je m'explique : ma reine souhaite la réunification de l'Arnor grace à une stratégie qui lui est propre et elle cherche quelques alliers au quatre coins du pays qui partage sont point de vue. Mais avant de vous en dire plus, j'ai besoin de connaitre votre vision du future pour l'arnor ainsi que le moyen que vous devrai utiliser pour y arriver..."

l'Ambassadeur, regarda l'homme d'un aire perplexe... Il avait refusé une alliance dont il ne connaissait même pas les termes. Il commença à ce poser quelques questions, notament sur sa réel volonté à réunifier l'Arnor. Mais qu'importe, apres tout, il devait tout de même lui présenter le projet de la Reine de Bree car c'est un projet qui est, pour lui, le meilleur qui soit. Il pris donc la parole pour, non pas convaincre l'ambassadeur, mais surtout pour lui montré une toute autre vision de l'Arnor.

"_ Qu'une alliance ne vous intéresse pas, c'est une chose, mais écouté au moins notre vision des choses. Nous voyons une Arnor unifié et dirigé, non pas par un roi, mais par une assemblé. Les autres Seigneurs utilise l'unification comme prétexte pour faire la guerre et ettendre leur territoire. Notre Reine, elle, veux créer une société cohérente ou chacun reste dirigeant de sa terre mais ou tout le monde prend part au grande décision lors d'une asssemblé, le sénat. Chaque seigneur et dirigeant de chaque village aura des sieges à ce senat, proportionnelle à la densité de leur habitant. Ainsi, chaque seigneur garde son pouvoir actuelle, mais la guerre contre le mal verra la naissance d'une nouvelle force ennemie, celle de l'Arnor... Etant donnée que des alliances ne seraientt pas profitable à tous dans des cas certains, peu être le votre, ma reine souhaite créer une réunion de l'arnor en cas de coups dur, en attendant l'arrivé d'un roi. Cette réunion permettra de cibler les problèmes de notre beau pays et de réagir au mieux, plus rapidement possible et en accord avec tous, à des attaques venant de nos ennemies commun. Puis-je compter sur vous si une telle réunion devait avoir lieu?
Pour ce qui est d'amitier, elle est réciproque... "

L'ambassadeur regardant son interlocuteur pensait à ce future si complexe et si proche à la fois. Il espérait au plus profond de lui que tous les peuples de cette terre s'unisse d'une façon qui lui était égale, du momment qu'elle était équitable. Et, ma fois, la proposition de sa reine lui semblé la meilleur. Il se perdit dans ses pensées un moment, jusqu'à ce que son homonyme lui répondit...


[hrp : j'ai réédité, je ne savait pas que le nombre d'alliance était limité et que l'amitier pouvait contourner cette règle.]

HRP : En effet, c'est limité, donc je propose des alliances avec des peuples autres que Arnor, car pour l'instant tous les arnoriens sont mes amis ^^ ! Je considère l'amitié comme une alliance, bien qu'il n'y est rien d'officiel.

Pheïr regarda un long moment l'emissaire et dit enfin :

"Votre reine à une idée très nouvelle de l'Arnor. On voit qu'elle veut passer à autre chose que la royauté. Cela à du bon comme du mauvais.
L'idée d'assemblé est très bonne, je l'accepterai si cela était proposé, mais, juste en attendant un roi. L'Arnor à besoin d'un roi, d'un héros qui le mène vers le haut. C'est pourquoi je ne rejette pas votre idée. C'est une exellente nouvelle ! Cela montre que les gens se bougent un peu pour faire changer les choses.
Je me répete, mais je suis avec vous, mais juste en attendant un roi. Mon seigneur devrai l'être aussi ! Je m'occuperai de l'en informer ! J'espère aussi pour vous que d'autres seigneurs auront les mêmes idées que vous !"

Il attendit une réponse en se reservant du vin, son verre étant vide.

le serviteur proposa un verre de vin que Quet'haci refusa, il devait avoir les idées clairs. Il demanda à son interlocuteur :

"_ j'aimerai que vous répendié l'idées a vos alliées si elle vous semble bonne. J'aimerai que ce système ce mette en place le plus rapidement possible, car l'avènement d'un héros ne se fait qu'en periode de grande confusion et meme voir de guerre. Et je pense que ce genre d'évènement pourrai être fatal pour l'Arnor si elle n'est pas unifié par une manière ou d'une autre. Si vous décidiez de faire part de cette idée à vos alliés et aux alliés de vos alliés, j'aimerai, si cela est possible, être informé de leur réponse par pigeon voyageur afin d'être le plus réactif possible. Je vous remerci grandement ami! Mais le temps pour nous est venue et nous devons partir informer d'autre seigneur."

L'ambassadeur se leva et fit salutations à l'homme...

"_ Je vous en remercie grandement, dit l'ambassadeur en saluant Pheïr, excusez moi pour ce dépard soudain, mais comme je vous l'est dit, ma mission n'en est qu'à son début et le chemin à faire est long. J'espère avoir tres vite de vos nouvelles... au revoir ami..."

Quet'haci salua une dernière fois et fit un signe à ses compagnons qui se mirent immédiatement en route. A peine sortis, l'ambassadeur monta sur son cheval, jeta un dernier coup d'oeuil derrière lui, et repartie avec sa troupe vers un village plus au nord...