Armendor se rend à Ost-In-Edhil

Anëlwen et Armendor avaient longuement discuter cette nuit là. Les rumeurs, apporter par les joailliers commerçant avec Ost in Edhil, étaient terriblement sombre. Il semblerais que Barnas était à feu et à sang.

- Serait-il possible que les gobelins, récemment réveillés de la Moria, soient déjà en conquête ? Avait dit Armendor à sa mère.

- Je ne sais pas mon fils. Mais ce que nous redoutions tant est entrain de se dérouler. Il faudra maintenant redoubler notre vigilance si nous voulons préserver notre paix. Lui répondit-elle.

Le feux de cheminée crépitait derrière eux et diffusait une lumière agréable dans le salon. Armendor le regardait fixement tout en réfléchissant. Il était assis de biais pour pouvoir profiter de la chaleur de celui-ci tout en regardant sa mère.

- Mère.... reprit -il après une pause.....croyez vous vraiment qu'ils vont continuer ainsi ? Notre paix est elle menacée ainsi que celle des autre villages proches ?

- Je ne sais, mon fils, seul l'avenir nous le dira. Avait-elle répondue d'une voix calme. Pourtant elle était extrêmement ennuyée par cette situation, mais elle ne voulais rien laisser paraître à son fils, ce qui ne fut pas chose aisée.
Leur discussion dura ainsi une bonne partie de la nuit et ils avaient pris une décision. Armandor allait se rendre des le lendemains à Ost in Edhil pour leur offrir leur aide. Cela ne ravit pas Anëlwen de voir partir son fils ainsi mais ils n'avaient pas trop le choix, il fallait aller vite.



Le lendemain, donc, Armendor et sa mère se levèrent très tôt. Le temps était froid mais le ciel dégager, annonçait une belle journée. Armendor revêtit des vêtemments bien chauds aux tons bleu et vert foncés. Il enfila ensuite une grande cape blanche qui paraissait être en fourrure. Il pris son épée et un arc, avec son carquois, et se dirigeât, accompagné d'Anëlwen, vers la caserne, tout en discutant.
Pendant que le cheval d'Armendor, ainsi que l'escorte de dix cavaliers qui allaient l'accompagner étaient préparés, Anëlwen et Armendor peaufineraient les dernier détails de ce qu'Armendor allait offrir au dirigeant d'Ost in Edhil....

L'heure de la séparation arriva enfin et après une longue embrassade avec sa mère Armendor monta à cheval et toute la troupe se dirigea vers leur destin. Au sortir de la ville Armendor se retourna pour lancer un dernier regard en direction d'Anëlwen puis enfila sa capuche et éperonna sa monture....





Armendor et sa troupe arrivèrent au niveau de Barnas, sans pour autant en être proche, à la tombée de la nuit. Une grand colonne de fumée venant en direction de Barnas semblait confirmer le fait que celle-ci était attaquée les elfes observèrent un instant ce maudit présage puis montèrent un petit camp et firent un feu. Quelques heures plus tard, alors que tous le monde se préparait pour dormir et le tour de garde organiser, une groupe de loup s'approcha du campement et semblait vouloir l'attaquer.





Ce fut le seul incident qui troubla le sommeil des elfes. Le lendemain la troupe se remis en route. Une heure après leur départ Armendor eut, un bref instant, l'impression d'avoir aperçu des ombres les suivants, mais il n'eut aucune confirmation de cette sensation.
Aux environs de midi la troupe elfique passait les portes d'Ost-in-Edhil et Armendor n'eut pas trop de difficulté à trouver l'ambassade, son père la lui ayant décrit. Ils s'arrêtèrent donc au relais le plus proche de celle-ci. Ils mirent tous pied à terre et Armendor remis son épée et son cheval à l'un des cavalier qui l'accompagne puis se dirigea vers l'ambassade.


Il marchait d'un pas calme et sans se presser commençant a penser aux mots qu'il allait utiliser quand il se rendit conte qu'il était déjà en vue de l'ambassade.
Il se découvrit la tète et fit les dernier mettre d'un pas plus rapide et sur.
Une fois rendu là il commença à monter les marches de l'ambassade tout en s'adressant au garde se trouvant à l'entrée.


- Bonjour, je me nomme Armendor Delmandir, fils d'Éléandoreïl souverain de Fennas Drúnin, est-il possible d'avoir une entrevue avec votre seigneur où quiconque ayant autorité dans votre magnifique ville.

Il venait de terminer son ascension et se trouvait maintenant face au garde affichant un sourire plein de sympathie.

Le garde regarda Armendor de bas en haut, puis il sourit et dit d'un ton calme :

"Le Seigneur d'Ost-in-Edhil est malheureusement absent en ce moment. Mais entrez dont dans le bâtiment, vous rencontrerez certainement Dame Urániel, sa fille.

C'est elle qui a la responsabilité de l'ambassade durant l'absence de son noble père."

L'elfe de Fennas Drunin acquiesça d'un signe de la tête et salua le garde avant de le dépasser pour entrer dans l'ambassade. Une fois à l'intérieur, il n'eut aucun mal à reconnaître Urániel. Elle était assis à une grande table au fond de la pièce, et tenait une plume qu'elle trempait soigneusement dans un encrier avant de rédiger proprement sur le parchemin en face d'elle. Armendor s'approcha mais n'osa pas l'interrompre tout de suite. Après quelques minutes, elle le remarqua enfin et se retourna brusquement vers lui.

Elle était brune et avait les yeux verts. Ses traits fins, ses lèvres roses et son visage bien long la rendait spécialement belle, même pour une elfe.

"Vous désirez ?

- Je me nomme Armendor Delmandir et je suis le fils d'Eléandoreïl seigneur de Fennas Drunin. Je viens ici en son nom.

- Et bien je vous écoute jeune elfe. Je suis Urániel Telqantir fille de Lómend Telqantir, seigneur d'Ost-in-Edhil et gardiens des antiques forges elfiques de notre cité. Que puis-je pour vous ?"

- Euh.....et bien....Armendor était troublé. Il passa sa main dans sa chevelure chatain clair et passa les pans de sa cape en arrière car l'émotion de s'adresser à une si belle elfe et la chaleur de la pièce commençaient à l'incommoder un peut.
Il prit une longue inspiration et regarda la belle Urániel dans les yeux pour ne pas se laisser distraire et lui répondit enfin :

- Je suis venu vous offrir l'amitié de notre ville et des ces souverains. De plus nous avons appris par nos joailliers que la ville de Barnas est attaqué. J'ai d'ailleurs pu le constater par moi même. Nous voulions vous offrir notre aide, si vous en avez besoin d'ailleurs. Nous pension vous envoyer une petite armée en appuis défensif. Si vous êtes d'accord nous ferions partir le plus vite possible cette armée pour qu'elle puisse venir grossir les rangs des votre. Qu'en pensez- vous ?

Armendor s'arrêta un instant puis repris aussitôt en se passant de nouveau la main derrière la nuque.

- Veuillez excuser ma maladresse belle Urániel mais je n'ai encore jamais eu a faire de diplomatie.

A peine avait-il fini sa phrase qu'il se rendit conte de sa vraie maladresse * Belle Urániel. ben voyons tu pouvais pas trouver autre chose non*.

L'elfe sourit en entendant sa dernière phrase... Mais elle se reprit rapidement et son visage redevint sérieux.

"Barnas est en ruine malheureusement... Les elfes qui y vivaient ont fuit le village il y a quelques jours... Les gobelins en ont pris possession mais un fait étrange : ils ont quitté la ville instantanément après l'avoir pillée. Barnas est donc un village fantôme à présent, où seuls les spectres des combats errent encore dans les ruelles..."

Sa voix était triste, elle fixait le sol.

Armendor fut choquer par la réponse d'Urániel il ne pensait pas que la ville de Barnas avait pu être détruite si rapidement. Mais la tristesse dans la voix d'Urániel et son attitude l'émurent plus encore. Il eut envie de la prendre dans ses bras et de la serrer fort contre son coeur, qu'elle pose sa tête sur son épaule et pleure.

Instinctivement il s'approcha d'elle, près, très près. Mais il se réprima de l'embrasser. Un espoir fou naissait en lui
* Et si elle posait se tête contre mon épaule pour se laisser aller....*

Il ne savait que dire et resta là un instant près d'elle tout en la regardant avec douceur et une sorte d'amour qu'il n'arrivait pas à définir.

- Ummm....Urániel ? Finit-il par dire d'une voix très douce.

Elle leva son beau et doux visage et regarda Armendor.
Une décharge transperça de nouveau le coeur d'Armendor.
*Je ne vais jamais y arriver * Se dit il tout en s'apprêtant à prendre la parole de nouveau.

- Si ça ne dépendait que de moi je vous emmenerais...euh je veut dire les elfes qui vivent ici...et ceux de Fennas Drúnin aussi bien sur... enfin bon j'emmènerais tous les elfes loin de ces terre où ne règne que guerre et massacre.

Armendor fit de nouveau une pause et se passa de nouveau la main derrière la nuque. Il n'était décidément pas alaise, lui qui d'habitude est plutôt sur de lui.

- En attendant je peut vous proposer l'envoi d'une armée pour vous protéger...tous... ici.
A moins que vous n'ayez une meilleur idée ?

[ Talioran ? ]

EDIT : Désolé Eléandoreïl... Je suis passé un peu à côté... J'avais pas mal de boulot et de trucs à faire (et lire)...

Je m'en occupe tout de suite ^^

Urániel regarda le jeune Armendor et lui sourit. Elle avait l'air moins triste, comme si l'approche de l'elfe de Fennas Drunin lui avait d'une certaine manière réchauffé le coeur.

"Envoyer une armée dites-vous ? Pour nous aider à nous défendre ?"

Elle réfléchit un instant, son visage redevint sérieux, puis elle reprit :

"Notre armée est grande Seigneur Armendor... Ne vous en faites pas pour nous, nous saurons nous défendre...

Sachez que votre offre d'amitié et les preuves de cette amitié que vous nous fournissez actuellement seront rendues au centuple par mon père. Je vous retourne notre amitié en son nom ! Sachez que si un jour le malheur vous touche, nous serons là pour vous apporter soutien et réconfort comme vous venez de le faire avec moi."

Urániel également avait l'air de plus en plus gênée, elle qui au départ paraissait calme et forte. Elle baissa les yeux et dit d'une petite voix :

"Si jamais nous nous trouvions attaqués, combien d'unités seriez vous prêt à nous envoyer ?"

Armendor fut touché par les paroles d'Urániel et voulais la remercier du fond du coeur, ce qu'il fit d'ailleurs en la regardant doucement et en lui communiquant silencieusement ses profond remerciements qu'aucun mots n'auraient réussi à exprimer.

Ils restèrent ainsi un instant, silencieux, lui la regardant et elle les yeux baisser. Puis Armendor rompis ce silence :

- En ce qui concerne le nombre d'unités que nous pourrions vous envoyer ce-ci est très variable et cela dépend de différents paramètres. Nous ne nous étions pas préparer à la guerre et meme si nous disposons de tous les moyens pour avoir une grande armée nous n'avons pas encore décider de sa fonction. Mais il vous suffi de me dire de combien d'unités vous auriez besoin et je verrais ce qu'il est possible de faire.

Par ailleur nous avions penser rendre Barnas à ses occupants mais cela nous entraînerais dans une guerre plus que désagréable et j'aurais d'ailleurs voulu avoir votre opinion à ce sujet.

Armendor était rester proche d'Urániel et même si son envie de la serre dans ses bras restait présent celle-ci avait diminuer, tant les propos qu'ils tenaient étaient graves.

[ Tu es pardonner j'imagine que ça ne doit pas être facile tous les jours.]

Urániel leva la tête et fixa Armendor. Elle ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit pourtant... L'elfe de Fennas Drunin la regardait sans dire un mot, attendant qu'elle s'exprime, bien qu'il se doutait que c'était difficile pour elle.

"Le nombre importe peu... Et de toute façon je ne serais pas capable de vous dire de combien d'elfe nous avons besoin exactement... Mais le fait que vous soyez là nous suffit, même si vous n'envoyez que 50 elfes nous seront tout de même reconnaissants !

Concernant Barnas notre heure viendra... Nous la récupérerons... En quel état ? Je ne saurai le dire...

La vraie question est : parviendrons-nous à venger nos frères massacrés par les gobelins ?"

Urániel était triste, son visage, si beau, n'exprimait rien d'autre que lassitude et chagrin.

Armendor était submergé par la tristesse d'Urániel mais il se récupéra rapidemment car il avait toujours été un optimiste.
Il pris la main droite d'Urániel dans les siennes et l'approcha de son coeur, il avait agit sous l'impulsion et s'en rependait déjà car il avait peur de la réaction qu'Urániel pouvait avoir.

Il resta un instant regardant celle-ci dans les yeux cherchant les mots qui pourraient la réconforter, où bien était-ce pour ce réconforter lui-même ?

- Chère Urániel, ... Ces mots étaient sortis de la bouche d'Armendor sans qu'il y ais réfléchit.
* Idiot * Se dit-il à lui-même.
Puis il continua en tentant de paraitre le plus naturel possible.

-La vengeance ne me parrait pas être la meilleur des solutions car cela risque d'attirer plus de tristesse et de ravages que nous en subissons déjà.


-Mais, et comme je vous l'ais déjà dit, il est une chose que nous pouvons tenter : la reconquete de Barnas.
Dans ce cas il me faudais l'appuis des troupes d'Osth-in Edhil en défense. Nous ne savons si les gobelins possédent des alliers. Mais dans le cas où ils en posséderaient, et où nous tentions une attaque, vous serrait-il possible d'intercepter toute armée ennemi en mouvemment vers les terres elfiques où allant au renfort des gobelins ?


-Vous comprendrez que dans ce cas il nous serait difficile de vous envoyer des renforts, comme je vous l'offrais au-part avant, car il nous faudrais mobiliser toute nos troupes sur le front offensif.

Armendor était profondément triste de ces évennements et surtout des conditions qui l'avait ammener à rencontrer Uràniel. Il aurait tellement aimer pouvoir parler d'autre sujets que de guerre. Au plus profond de lui il espérait que ces facheux évennements prennent fin rapidement pour pouvoir revenir discuter de choses plus agréables, et qui sait.....

Mais pour le momment l'heure était grave et il fallait prendre des descisions.

[ Je sais que tu est très occupper Talioran je fait juste un petit up pour ne pas être trop oublier ]

Urániel réfléchit un instant...

"Reprendre Barnas ? pensa-t-elle. Pourquoi pas après tout, ce ne serait que justice !"

Elle fixa Armendor et répondit, d'un ton sûr et décidé :

"Je convaincrai mon père de vous aider soyez en sûr ! Dites nous quand et nous serons à vos côtés !"

Armendor vit sur le visage de la belle Urániel une expression de force qu'il n'avait pas réellement remarqué auparavant. L'elfe qui n'était que la belle Urániel devint aussitôt Urániel la courageuse !

Elle se sentait bien en la présence de ce jeune elfe originaire de Fennas Drunin. Elle se devait de convaincre Lómend, son père, de les aider dans leur quête ! Pour la paix en Eriador ! Pour la justice !

Pour la première fois depuis qu'ils sétaient rencontré un sentiment de force et de détermination émannait du visage d'Urániel qui rendit celui-ci encore plus beau. Armendor fut surpris et ravis de sentir cette nouvelle force en elle.
* Cette force....cette aura qui émane de son corp...Aaahhh...Urániel...*

Armendor resta calme, malgrés son coeur qui battait la chamade, il lui fallait prendre maintenant une descision et enter le désire de rester auprés d'Urániel et son devoir de rentrer Armendor était tirayé. Mais il savait qu'il n'avait pas le choix et aprés un long silence pendant lequel il fixa Urániel, il pris son courage à deux main et se lança :

- Urániel....Dit-il en prenant un grande inspiration silencieuse...il ne sera pas necessaire que vous envoyer une grande armée. Je ne veus pas que vous vous afféblissiez et seulemment quelques unitées seront nécessaire. N'envoyer que le strict minimumm et garder le reste en defense. Je pense que le plus rapidemment serait le mieux car il ne faut pas que nous laissions le temps à ces....créature de faire plus de dégats. Il serait bon, aussi, que vous restiez en alerte et si vous pouviez intervenir sur tout mouvemment de troupe hostil à nos peuple, nous vous en serions reconnaissant.

Armendor fit une pause car venait maintenant la partie la plus difficile pour lui :

- Il va falloir maintenant que....à ces mots il baissa la tête. Son coeur se serrait et la pression qu'il exerçait sur la main d'Urániel se fit plus forte.... Vous comprennez...ma mère est seule à Fennas Drúnin et mon père est absent il faut donc que je rentre....Soudainement il releva la tête et continua d'une traite....Mais je reviendrais dès que tout cela sera terminer je vous le prommet.

L'émotion pouvait se lire sur son visage et il ne tenta pas de s'en cacher. Il resta un instant fixant Urániel dans les yeux puis il porta, doucemment, la main de celle-ci à ses lévres et en son creux y déposa un baisser. Il referma alors la main d'Uraniel comme s'il voulais que celle-ci garde le baisser comme un cadeaux.
* Chére Urániel je reviendrais....je le jure.*
Il la regarda une dernière fois et s'appréta à repartir...

Urániel sentait encore les frissons lui parcourir le bas de la nuque alors qu'Armendor s'apprêtait à la quitter. Elle lui sourit, il lui sourit à son tour et l'elfe de Fennas Drunin partit.

Urániel resta seule ainsi un bref instant avant de reprendre ses esprits et de courir vers les escaliers. Une fois à l'étage, elle marcha d'un pas vif vers la volière. Elle rédigea un message rapidement :

Citation :

Cher Père,

A Ost-in-Edhil nous avons eu la visite d'un noble elfe venu tout droit de Fennas Drunin, j'ai nomme le fils d'Eléandoreïl Delmandir : Armendor. Il m'a redonné espoir !

Suite à l'attaque de Barnas, la bannière de Fennas Drunin s'est déplacé vers la ville pour la reprendre et venger les elfes morts au combat. Sa quête est pure, et il a besoin de notre aide.

Pouvons-nous envoyer des troupes en soutien de son armée ? Ô Père je vous en conjure, entendez mon appel.

Avec mes salutations les plus sincères, votre fille, Urániel Telqantir

La princesse elfe s'empressa de rouler le parchemin et de l'accrocher à une pate d'un des pigeons. Elle ouvrit ensuite la fenêtre et l'oiseau s'envola aussitôt !




La réponse vint le lendemain, et Lómend acceptait la requête de sa fille !
Les troupes d'Ost-in-edhil seraient envoyées à Fennas Drunin et confiées au commandement du général de cette cité ! Puisse leur quête être menée à bien ! Puisse Barnas être vengée !


[HRP]Déplacement des troupes :
https://terredumilieu.superforum.fr/deplacements-f53/ost-in-edhil-vers-fennas-drunin-t2597.htm [/HRP]

En cette fin d'après midi de décembre un cavalier s'approcha d'Ost-in-Edhil. Un vent frais et assez fort s'était lever quand le cavalier s'apprêtait à passer l'entrer de la ville. Les gardes en factions allèrent arrêter le cavalier mais celui-ci découvrit son visage et annonça qu'il venait de Fennas Drúnin. Les gardes le laissèrent donc passer.

L'émissaire trouva rapidement l'ambassade car les explication d'Anëlwen furent précisent. Il se présenta donc devant les gardes et leur dit :

- Messieurs serait il possible de parler avec le seigneur Lómend Telqantir ? Je viens de Fennas Drúnin et mon seigneur Éléandoreïl m'as charger de remettre un document à votre seigneur.

[ Chers admins svp. Idem que pour Hîdril ]

[ Désoler huruk de ne pas répondre tout de suite. Je pensais que mon personnage serait libéré beaucoup plustôt. Il en va de même pour l'autre rp. Ne m'en veus pas ]

L'émissaire de Fennas Drúnin saluât les elfes qui passèrent à leur cotés et s'adressa de nouveau au garde tout en lui tendant un message scellé :

- Je vous laisse alors la charge de remettre ce message à votre seigneur.

Lómed Telqantir pourrait alors lire le message suivant :

Citation :

Noble Lómed Telqantir,
Nous ne nous connaissons pas encore mais je croit que vous devez savoir que mon fil Armendor entra en contacte avec votre ville et plus particulièrement avec votre fille Urániel.
Je voulais donc vous convier à une réunion qui aura bientôt lui à Fennas Drúnin entre divers seigneurs de l'Eregion et du Rhudaur pour discuter de la sécurité en nos régions.

Cela sera aussi une occasion pour nous rencontrer et faire ainsi plus ample connaissance. Veuillez s'il vous plaît nous donner une réponse rapidement.
Qu'Ilúvatar veille sur les votre.
A bientôt je l'espère.
Éléandoreïl Delmandir souverain de Fennas Drúnin.

Une fois le message remis l'émissaire saluât le garde et s'en retournait à Fennas Drúnin tranquillement.

Le garde prit le parchemin et s'empressa de l'apporter à son Seigneur.

Après avoir lu la requête du Seigneur de Fennas Drunin, Lómed rédigea la sienne et la fit porter jusqu'à la cité d'Eléandoreïl.

La réponse venait d'être donnée.

[MP envoyé]