Un messager se rend en Erestor

Au plus profond de la forêt, près de la chaine de montagne de Harlindon, les habitants peuvent voir, dans le sentier principal, une section de 10 cavaliers elfes. L'un d'entre eux portait l'étandart Terri-belloise qui flottait dans les airs. La troupe s'arrêta devant les portes de la ville, à 50 mêtres pour ne pas créer une tension envers leur seigneur et son peuple.

Après que leur présence soit remarqué, 3 d'entre eux s'avancèrent vers la ville. Celui au centre portait une tenue de noble. à ses côtés, il y avait un cavalier portant l'étandart et l'autre qui semblait pls gradé due à l'imposante armure qu'il portait.

Celui au centre pris la parole, on pouvait, à cette distance, concevoir qu'il était de la race des elfes:

Mes saluations, nous venons en ami. Nous avons une missive de la part de notre seigneur et nous venons de Terri-belle. Pouvez-vous m'y annoncer à votre seigneur ou à son domestique?

Après son discour, les elfes descendrent de leur cheval, le tenant d'une main ferme son atelle. ils atendèrent que la porte s'ouvre ou ue réponse de la personne devant eux.

Un soupire de soulagement s'était dessiné sur le visage du noble de Terri--belle. Décidément, il ne semblait pas habitué à avoir des arc braqués sur lui et sa garde. Une carrière dans la politique et la diplomatie dans Terri-belle était fortement la raison de son malaise devant les armes.

Devant cette citée elfique et ses forêts majestueuses, la petite troupe entra dans cette ville.

Inutile de le nous demander, nous allons déja vous donner nos armes, signe de respect mutuel entre 2 citées elfes, ami.

Puis, le soldat haut-gradé, d'un ton beaucoup plus ferme, ordonna à ses hommes de bien léguer ses armes aux gardes d'Érestor. Le noble portait une chemise blanche avec un par-dessus de couleur rouge aux contours dorés.

Pendant que le supérieur en grade discutait sur l'art de la guerre avec l'autre garde Érestois, un des soldats s'avançait devant l'interlocuteur. puis, le noble s'inclina devant lui, créant un peu de confusion parmis les résidents d'Erestor. Pourquoi un noble s'inclinerait devant un de ses gardes? Il est clair que la réponse à cette énigme arrivera si-tôt. le garde retire son heaume, puis il commença à parler de la raison de sa venue en ces terres:

Pardon de m'avoir déplacé à vos portes sans prévenir, mais la situation présente vous prouve le respect que je porte a coeur pour notre peuple. Je me présente, je suis Méridias De Belrive, seigneur de Terri-belle et je suis venue en personne pour vous prouver la volonté et le bien-fait de mon offre. le rôle de messager n'était qu'une couverture car nous avons subi quelques assault de la part des pilliards des mers.

Est-ce que je pourrais échanger avec votre seigneur? je doute que ma noble personne soit en danger maintenant que nous sommes en territoire elfe et sans arme.

La réponse des elfes d'Erestor ne se fit pas attendre. Ils s'inclinèrent respectueusement,

"Permettez-nous de vous souhaiter la bienvenue Seigneur Meridias. Laissez-nous vous conduire à l'ambassade avec deux de vos hommes. Les autres étant nos hôtes et pouvant aller librement dans la ville et ses auberges, les frais étant à notre charge."

Après que Meridias eut choisi deux elfes pour l'accompagner, le capitaine de la garde envoya deux de ses hommes guider les étrangers jusque l'ambassade où on les conduisit face au seigneur Elensar les reçu. Sur le trajet, ils purent admirer l'architecture purement elfique de la ville, avec ses hautes tours et ces toits en flèches. De plus, ils eurent la surprise de voir surgir par moment des Naugrims traversant la ville en vaquant à leurs occupations, saluant poliment les elfes et discutant avec eux sans aucun soucis. Sans les problèmes existant habituellement entre les ressortissants de ces deux peuples.

Une fois dans l'ambassade, une grande ouverture donnait dans une salle soutenue par des arches. Elle était ornée de nombreuses sculptures et de peintures retraçant le voyage d'Elensar avec ses compagnons vers la Terre du Milieu . Tout le long du centre s'élevait
une double rangée de majestueux piliers. Après avoir traversé le premier porche, un long escalier en pierre blanche permit à la délégation d'atteindre la deuxième salle . Celle-ci était
bien plus petite que la précédente mais son rôle était bien plus important. Cette seconde salle ne renfermait qu'une grande table en son centre, seuls les piliers en son extrémité et les ornements sur les murs habillaient cette pièce.

Spoiler:

Dans cette salle, se trouvait Elensar. Il accueillit chaleureusement, mais sans fioriture, Méridias et ses hommes, tandis que les gardes quittaient la pièce et retournaient à leur position.

"Soyez les bienvenus Seigneur Méridias et vous tous. J'espère que votre voyage fut bon. On m'a prévenu de votre souhait de discuter avec moi. J'espère qu'il ne s'agit de rien de funeste?"

Il s'était rassit dans son fauteuil, attendant qu'on lui expose la raison de cette visite impromptue.
[HRP : J'ai repris ce qu'Elensar avait écrit sur son ambassade quand il jouait encore, histoire de faire plus réaliste. Donc, sous copyright Elensar ]

Depuis si longtemps méridias n'avait pas vue une accueil chaleureuse à son regard, si longtemps vue des visages semblables qui montre le respect pour ses frères. Enfin, cet elfe était soulagé . Il est clair que le voyage de cette mince patrouille était à la fois stressante et lourd, car ce fut la première pour méridias qu'il arpentait les terres de si loin, ne s'arrêtant habituellement aux limites de sa frontière. de Terri-belle Jusqu'aux portes d'Érestor, le seigneur de Terri-belle pensait qu'il était rendu à sa dernière chevauchée avant de rejoindre les rivages blanc par la lame de ses ennemies, même qu'il en rêvait la nuit. il est clair que son offre ne saura pas hostille, car il ne peut se permettre une nation contre lui.

En s'inclina devant le seigneur, signe de respect pour l'autoritée émise en place, il permetta à ce dernier de voir le mince sourire caché sous son armure d'orgueil, signe qu'il avait très bien aprécié son entrée en les terre Érestoire. Puis, il pris soin de se mettre près de la fontaire, au centre de la salle, face à l'interlocuteur, pour lui répondre enfin de sa raison.

Je n'ai pas assez de dire pour témoigner d'une si grande esthétique qu'est votre citée à mes proche, seigneur Érestois. Votre ville reste loyal à la tradition elfique et je suis honoré de l'apercevoir. Je vien en ami pour vous soulagé de toute anxiété SIR. En fait, je suis venue vous proposer une offre qui, je l'espère, vous enchantera comme moi quand je l'ai constaté.

Je propose une alliance qui unira nos deux peuples Elfes. Laissez-moi vous expliquer pourquoi je suis si hâtif sur ce point:

Pour commencer, nous sommes assez prêt l'un de l'autre, donc nous pourions avoir des bonnes relations commerciaux. comme je peux le constater, vous ne devez certainement pas manquer de bois et moi, vue que ma citée est en fait une citée-portuaire, j'en consomme un peu plus qu'une ville sans côte. Donc, nos deux nations pourrait s'enrichir et finnallement se complêter avec nos forces et nos lacunes.

De plus, vue notre rapprochement, si une attaque se présente, nous saurons en mesure de se rendre chez la cible avant même qu'elle soit assiégée de tout bord.

Ensuite, sur le plan de la culture, nos deux peuples pourrait apprendre l'un sur l'autre, afin de rendre nos citées plus puissantes avec plus de connaissance sur diverses domaines.

Pour finir, Ma citée possède d'une voie maritime vers tous les eaux imaginable de la terre du milieu et elle sera, bien attendue, à votre disposition si vous voulez vous faire une place sur la mer. les frais de location et d'entretien saura que de 10 pièces d'or par bateau pour deux mois.

Bien-sur je suis ouvert aux négociations, donc si vous voyez une autre alternative, je vous pris de me faire part de cela, mais sachez que je vois que des gains et du bénéfice pour nos deux peuples si nous signons ce traité. Si vous le désirez, je vous laisserai 1 mois pour me revenir avec une décision ou une autre offre. au-dela de cela, je prendrai pour acqui que ma requête à été refusée. Sinon, j'ai en main les papiers officiels qui pourrait commencer notre union et nos très bonnes relations dès maintenant. Dès que j'aurai une réponse, nous déciderons des clauses du traité.

Méridias ce tût, car il avait bien expliquer ses thèses qui explique pourquoi il avait considéré cette offre positve pour Ellessae et lui.