Ambassade de Minas Tirith .

Regnak était impressioné par le don de Vaan, il demanda au Seigneur-Vassal Tùor de bien vouloir patienter un instant... Puis il se tourna vers Vaan et lui dit :

"Cher ami, c'est avec grand plaisir que je reçoit votre cadeau, ces ressources nous seront précieuse et nous en feront une bonne utilisation pour libérer le reste de ma famille ainsi que Balvor. Je ne sais comment vous remercier, mais vous aurez toujours notre amitié, et notre soutien !"

Puis il se tourna vers un garde et l'interrogea du regard pour lui demander où était Tùor, le garde lui fit signe qu'il attendait sur une chaise derrière un pillier, Regnak alla le chercher et en lui faisant une bise amicale lui demanda :

"Et bien mon cher ami, comment allez vous ? Celà fait longtemps que je ne vous avais pas vu ! Mais j'aurais eu du mal à sortir de ma prison pour vous rendre visite... Quel bon vent vous ammène ?"

[Economie modifiée]

Vaan dit


-et bien le moyen de me remercier serais de m’accepter en temps que vassale et c’était pour cela que ma sœur était venu. A présent je vais dire a mais hommes de décharger et dés que ma sœur aura finit se pourquoi elle était venu nous repartirons vers notre cité et si jamais vous avez besoins d’or ou de fer ou encor de bois envoyer nous un pigeon messager ou un ambassadeur

hrp: économis modifié aussi

Tùor sourit et prit dans ses bras le si malheureux Regnak.
Sur un ton heureux et plein de gaieté de revoir le Seigneur de Minas Tirith, il expliqua pourquoi il était venu.

"Seigneur Regnak! Que je suis content de vous voir!
Je suis venu pour prendre de vos nouvelles, tout d'abord, car j'étais inquiet des rumeurs d'enlèvement. Je vois que votre forte constitution vous a préservé et évité le pire.
Je suis également venu vous demander une aide financière modeste, mais nécessaire. Nous avons besoin de 85 pièces d'or, pour une raison dont nous avons déjà parlé."

Il invita Regnak à s'asseoir, et lui proposa un thé spécial venant d'Héméros.


"Il vient de la cité assiègé par les Haradrims, au Sud. Il vous fera le plus grand bien. J'en ai toujours un peu sur moi durant mes voyages."

Regnak sourit à Tùor et lui répondit après avoir relaché son etreinte :

"Je suis heureux que vous vous souciez autant de ma santé, je vous raconterais tout ce qu'il c'est passé pendant cet emprisonnement dès que ma famille sera hors de danger... Mais maintenant que je suis de retour, les choses vont bouger...
Quant à votre demande, il va de soit que je vous l'accorde, un garde vous apporteras un coffret contenant les 85 pièces d'or dès que vous ressortirez."

Puis Tùor lui offrit de prendre un thé d'Héméros, Regnak fit apporter de l'eau bouillante et du lait, il se permit aussi d'inviter Vaan à boire avec eux et dit à ce dernier :

"Pour votre vassalisation, si celà ne tenait qu'a moi, il n'y aurais pas de problèmes, mais il faut que vous puissiez convaincre les valaars (admins) du bien fondé de votre demande, sans leurs bénédiction, je ne pourrais vous accorder la mienne..."

Et il se tourna vers Tùor :

"Je vous remercie d'avoir apporter ces feuilles de thé, elles sont excellentes. A votre santé mes amis !"

Tùor trinqua avec Regnak et Vaan, puis, après avoir avalé une bonne gorgée, il s'intéréssa à Vaan :

"Seigneur Vaan, nous nous connaissons pas,mais Berethor m'a parlé de vous. Alors comme ça, vous devenez vassaux de Marchemort? Et bien sachez que notre amitié n'en sera que plus grande!"

Et il trinqua de nouveau.

[Economie modifiée ; +85 po]

Un mois plus tard, un aigle arriva au palais à Minas Tirith, chose étrange pour les non-avertis.

Il entra dedans alors que le Garde faisait sa ronde un peu plus loin, puis rejoint Regnak, et lâcha une bourse remplie dans ses mains, ainsi qu'un mot du Seigneur Tùor remerciant la Tour Blanche de leur aide.

Puis l'aigle reparti avec autant de rapidité qu'il était venu.

Lorsque Regnak ouvrirait la bourse, il pourrait apercevoir 85 pièces d'or.

[Economie modifiée : -85 pièces d'or]

Regnak eu à peine le temps de se remettre de l'apparition de l'aige dans la grande salle, que celui-ci lachait la bourse qui tomba hasard ou non, dans la main du Seigneur de Minas Tirith, celui ci ouvrit la bourse et lu le mot de Tùor. Puis il alla dans la salle des coffres et posa l'or avec le reste des ressources. Puis il fit mander tout les diplomates du palais et leur confia une mission :

"Messieurs, je veux que vous vous rendiez dans toute nos cités amies, au Gondor, en Arnor, chez les Elfes et les Nains, dites leurs que nous avons besoin de bois et que nous offrons du fer en échange, cette mission est très importante, dépéchez vous."

Les gardes, impressionés par le cortège, ouvrirent rapidement les portes, un cavalier se porta au devant des Elfes et salua :

"Salutations nobles amis, je suis Joria, Capitaine de la Garde, je vais vous mener à l'ambassade, Regnak y est en ce moment..."

Sur ces paroles, il se retourna et invita les Elfes à le suivre, ils parcoururent les rues de la ville et arrivèrent devant l'immense batiment de marbre blanc, ils y entrèrent et furent menés à la salle d'audiance, Regnak s'y trouvait, quand les Elfes entrèrent, il se leva et dit :

"Bienvenue à Minas Tirith mes amis, quel bon vent vous ammène ?"

Regnak était impressioné par le geste de l'Elfe, donner autant de ressources alors que le village était en plein développement, c'était un geste d'une grande bonté, il répondit :

"Mon ami, votre geste me va droit au coeur et montre une nouvelle fois la générosité des Elfes ! Je ne peux vous promettre une alliance, car nous en avons une en préparation et nous ne pouvons en avoir trop, mais je vous promet notre assistance en cas d'attaque sur votre cité, nous répondrons à chacun de vos appels. Soyez en certains !"

[Economie modifiée]

Le garde pris l'arme de Vayne et indiqua à son collègue de guider le visiteur jusqu'a Regnak. Ce que l'homme fiit... Ils arrivèrent dans un grand bureau richement décoré, Regnak s'y trouvait et attendait le visiteur, à son entrée il se leva et le salua :

"Bienvenue dans la Cité Blanche mon ami, installez vous et prenez un verre. Mes subordonnés ont préparés les fiches administratives pour ce pacte commercial, il ne manque plus que votre signature."

Regnak tendit le parchemin à Vayne, dessus était écrit :

Citation :

"Moi, Regnak, Seigneur de Minas Tirith et d'Osigiliath, m'engage à fournir à la cité de Minas Arcades et à son Seigneur Vaan 3 tonnes de fer et 4 tonne de bois chaque mois, en échange de celà, ce même Seigneur Vaan s'engage à verser 120 pièces d'or à Minas Tirith.


Ce pacte commercial ne comprends pas de clauses de ruptures et durera un an.

Signature: Regnak"

Regnak roula le parchemin et donna a Vayne la copie pour son Seigneur, puis il rangea le siens avec les documents administratifs avant de répondre :

"Et bien vous direz à Vaan que je serais bientôt à sa disposition pour venir chez vous, mais pour le moment je dois m'occuper d'affaires bien plus urgentes. Remerciez le pour son offre. Vous pouvez séjourner chez nous un moment avant de reprendre la route si vous le désirez."

[Pacte commercial signé, durant 1 an RP Minas Tirith fournira 3 tonnes de fer et 4 tonnes de bois à Minas Arcades en échange de 120 pièces d'or.]

Les gardes regardèrent l'hommes avec une horreur non dissimulée, ils étaient réellement répugnés par cet homme si sale et si malodorant ! Mais les ordres de Regnak étaient formels, tout homme demandant à lui parler devait être ammené jusqu'a lui. Un garde pris donc la direction du palais, faisant signe a l'homme de le suivre. Ils marchèrent pendant une dizaine de minutes avant d'arriver au palais et d'y entrer, ils arrivèrent dans la grande salle où se tenait Regnak. Le garde pris la parole :

"Seigneur, cet homme demande à vous parler..."

Regnak leva les yeux sur l'homme, et après quelques instants le reconnu. Il se leva d'un bond :

"Comment vont mes frères ? Et Balvor ? Comment se fait-il que vous ayez mis tout ce temp ?"

Regnak lui ne souriait pas, au contraire son regard était noir, il répondit sèchement a l'homme :

"Ma soeur se porte très bien, et elle se porterait encore mieux si tout celà n'était pas arrivé ! Très bien donc, dans 3 jours j'enverrais une troupe de cavaliers au même endroit, munis de la même somme. Aurevoir."

Et sans plus un mot, il fit un signe aux gardes qui demandèrent à l'homme de s'en aller.

Un homme bossu et fatigué arriva près des portes de Minas Tirith. Sa longue cape noire crasseuse trainait derrière lui alors qu'il avançait péniblement vers le premier garde qu'il avait pu voir.

"Noble gondorien, salutations ! Je suis un émissaire qui désirerait parler à... hhmmmm... Regnak ? C'est bien son nom ? Le seigneur Regnak frère de feu Marchemort ?"

Le garde acquiesça sans entrain.

"Bien bien... Je viens sous les recommandations de Balor d'Osgiliath. J'aimerais parler à votre seigneur... Pensez-vous qu'il donnerait, dans sa grande bonté, un peu de son temps à un homme tel que moi ?"

Le garde regarda l'homme bossu se diriger vers lui :

*A tout les coups encore un pouilleux qui viens faire la manche...*

Mais l'homme s'adressa à lui d'une manière trop distinguée pour être un simple vagabond, et la suite de ses propos remis les idées du garde en place immédiatement :

"Le Seigneur Regnak devrais pouvoir vous reçevoir dans l'ambassade, vous ne pouvez pas vous tromper, allez tous droit pendant quelques centaines de mètres et vous verrez un énorme batiment en marbre blanc, c'est l'ambassade. Demandez y un entretien... Mais si celà ne concèrne pas la diplomatie, je doute que ce soit Regnak en personne qui vous reçoive mais un de ses subordonnés... Bonne journée tout de même !"

Détournant les yeux du bossu, le garde recommença son travail de garde...

Le vieil homme fit une révérence des plus polies en guise de remerciement puis continua son chemin en direction de l'ambassade. Il la trouva sans encombre et y entra directement. Une fois à l'intérieur, il s'adressa à un autre garde qui faisait sa ronde dans l'établissement.

"Bonjour à vous noble gondorien, Je souhaiterais obtenir audience auprès de Regnak le très sage... Je viens du Mordor, d'Ostigurth pour être précis et je suis ici pour présenter mes amitiés à votre seigneur et peut-être entamer des relations positives entre nos deux provinces, tel que du commerce, et divers moyen de s'entre-aider peut-être..."

Et Belok attendit.