Ambassade de Minas Tirith .

Joachim acquièça aux paroles de l'Elfes, lui faisant comprendre que sa demande était acceptée, et quelques jours plus tard l'échange était conclu.

[HRP/Economie modifiée, désolé pour le RP..]

Lorsque l'homme demanda Marchemort, les gardes le regardèrent comme s'il se moquait d'eux :

"Vous devriez savoir, en tant que ville vassale à Minas Tirith, que notre bien aimé Seigneur Marchemort est décédé il y'a des mois de celà, mais il est vrai que nous n'avons pas vu de délégation de Calembel lors des funérailles... Nous vous attendions pourtant... Mais il semble que les Seigneurs étrangers se soient plus préocupés d'honnorer la mémoire d'un grand homme que ses propres vassaux... Enfin bon, je vais vous conduire à son frère Regnak, le nouveau dirigeant."

Et sur ces paroles, le garde guida l'homme du Lamedon jusqu'a la salle du trone ou Regnak se trouvait :

"Salutation homme de Calembel, quel vent vous apporte ici, et quelles nouvelles de Alec McAdson ?"

Regnak avait reconnu les couleurs du clan McAdson, et s'était adressé à l'homme d'un ton plutôt froid.

[Mmmh Huruk... Je pensais qu'un RP interne à mon royaume ne compterais pas sur l'externe, donc je pensais que comme les conseils ne durent pas longtemps en RP, mais longtemps en HRP, je puisse utiliser quand même mes personnages... Mais bon, en attendant je vais faire ce que tu me dit.

EDIT Talioran : Oui mais c'est dans les règles... Ton personnage ne possède pas le don d'ubiquité ]

L'homme qui reçut l'émissaire de Calembel n'était pas Regnak contrairement à ce que ce qu'il pensait, mais un de ses subordonnés, ce dernier fut étonné par les paroles de l'émissaire et lui répondit :

"Monsieur, votre Seigneur est toujours le vassal de cette cité, et bien qu'il ne se soit pas beaucoup manifesté, et qu'il ai tendence à prendre ses décisions sans en parler à personne, il à toujours notre soutien. Soyez en certain. Etait-ce là la seule raison de votre venue ? Si c'est le cas vous vous êtes inquiétés pour rien."

Pendant qu'ils parlaient, le soldat de Minas Ancalimë fut ammené devant un autre des subordonnés :

"Bonjour ami de l'Arnor, que nous vaut cette heureuse visite ?"

[HRP : Quand tu marques subordonné, tu parles des gardes ou d'un diplomate? Dans le doute, je vais considérer la seconde option car on est déjà jeudi^^]

L'émissaire de Minas Ancalimë entra dans le bureau du diplomate local. Sur l'injonction du gondorien, l'arnorien prit place dans un siège on ne peut plus confortable.

Répondant à la question de son hôte, il exposa la raison de sa venue.

Je suis Jimba, envoyé de Shu d'Enerond. J'ai pour mission de venir vous rembouser le prêt de 30 pièces d'or que vous nous aviez consenti. Cela nous a été fort utile et notre population vous en est reconnaissante.

Il posa alors un coffret contenant les pièces d'or sur la table. Jimba était physiquement différent des hommes de l'Arnor. Ressemblant plus à un suderon qu'à autre chose. Et pour cause, il est né au Harad et y a passé son enfance. Receuilli par une caravane dans son enfance, il a ensuite grandi en Arnor et s'est intégré à la population, adoptant ses us et coutumes. Avant de s'engager au service de Meneldor. Et aujourd'hui, il s'occupait d'un remboursement au Gondor. Que de chemin pour le petit orphelin haradrim...

L'homme de Minas Tirith était un Diplomate nommé Arak, il avait entendu parlé d'un don à Minas Ancalimë, mais pas d'un prêt... Malgrès celà, les hommes de Meneldor venait rembourser la somme, ce qui enlevait un peu de la valeur au cadeau de la Cité Blanche, mais en disait long sur les fières valeurs des hommes de Meneldor. Arak eut un petit sourrir et répondit :

"Eh bien mon ami, vous remercierez votre Seigneur de la part de la Cité Blanche, cet acte l'honnore."

Il fit appeler un garde qui ammena le coffret dans la salle au trésor, puis demanda a Jimba :

"Voulez vous vous reposer quelques jours parmis nous ? Ce serait un plaisir de vous acceuillir !"

Jimba tendit donc le coffret à Arak. Puis, il se leva et regarda le diplomate de la capitale du Gondor.

Je suis très touché par votre proposition, mais mon seigneur m'attend et je ne peux pas me permettre de prendre du retard dans mon voyage.

Sur ces mots, il s'agenouilla, posant la main sur sa poitrine et quitta la pièce. Il sorti rapidement de l'ambassade et retourna auprès de sa monture, récupérant son arme au passage.

Il quitta ensuite la cité et retourna vers les vastes terres arnoriennes...


[HRP : économie modifiée^^]

Un homme arriva devant l'ambassade et se laissa fouiller par les gardes. Après cette formalité il s'adressa à l'homme qui semblait être le dirigeant durant l'absence de Regnak.

"Messire, dit-il en lui fesant une révérence. Je suis le seigneur Tùor. Je suis de passage dans votre cité depuis les funérailles du regrétté feu-Marchemort, et je viens d'être informé par un de mes fonctionnaire qu'une alliance que j'approuvais viens d'être accépté par les deux partie. Il s'agit de notre cité et des rohirrims de Calenan, dirigée par les Seigneur Eorl le Jeune. Comme de coutume, je viens faire ratifier cette alliance par Minas Tirith."

Il sortit un parchemin froissé par le voyage qu'il venait d'effectuer et qui comportait, après les clauses, les signatures d'Eorl et de Tùor, ne laissant que peu de place pour celle de Minas Tirith.

Les gardes, après avoir fouillé rapidement le visiteur, le guidèrent jusqu'à l'un des subordonnés de Regnak, celui-ci reconnut immédiatement Tùor et s'inclina devant lui :

"Messire, c'est un honneur de vous reçevoir ici ! Permettez moi de me présenter : Sobror, assistant du Seigneur Regnak.Quel bon vent vous ammène ?"

A cette question, Tùor expliqua sa présence et tendit la feuille à Sobror qui la prit, et, après l'avoir lue en entier se dirigea vers son bureau où il prit un sceau, il fit couler de la cire rouge sur la feuille et appliqua le sceau de Minas Tirith dessus, représentant l'Arbre Blanc. Puis il tendit la feuille à Tùor :

"Voilà Messire, votre alliance avec Calenan est acceptée, puissiez vous rester unis jusqu'à la fin des temps !"

L'heure était grave...Le Harad refaisait surface...
Au loin un homme arrivait...

Il faisait nuit mais la torche était visible du haut de la Tour Blanche. Sans doûte était il encore loin mais il arrivait vite.
En effet, un heure plus tard on put le voir aux portes de la ville. Il remonta la Cité Blanche, puis alla voir Sobror, le fonctionnaire en charge de celle-ci pendant l'absence de Regnak et autres.

"Je suis Tùor, dirigeant de Cair Andros, et je vient en cette nuit pour requérir votre soutien. Au loin, par delà l'Anduin, un immense armée Haradrime, signalée par des délégués aux affaires étrangères de ma cité se trouvant à Héméros, se dirige vers cette cité.
Selon les rôdeurs partis en éclaireurs, elle contiendrait plus de 10000 lances! Certes nos soldats valent mieux que ceux du Harad, mais mon aide ne suffira pas, et je viens vous donner ce conseil :

Sauvez Héméros! Elle ne vous est pas affiliée, mais si elle est détruite, tout un pan du Gondor tombera, et, Qual tprose, nous perdrons le contrôle de l'Anduin!
Le Sultan Suladân le sait bien, et vous seuls, hommes de la Tour de Garde, pouvez sauver la situation.

D'ici quelques jours, un corps expéditionnaire passera près de votre ville. Certes, vous ne pourrez préparer vos forces avant qu'ils ne soient passés, mais suivez-les! Ceci est une demande, mais aussi un conseil.

Ne ratez pas l'occasion de prouver votre valeur, et ne sombrez pas dans la lâcheté!
Ne laissez pas l'Harondor tomber au mains des Suderons!
Nous courrons un trop grand risque!

Sobror, vous êtes le seul à pouvoir prendre une telle décision!
Il FAUT repousser les Haradrims!"

Le discours finit, Tùor regarda Sobror et attendit sa réponse, plein d'espoir, mais aussi de peur, de peur pour l'avenir du Gondor, actuellement en crise.

Juste après que Tùor aie finit sa demande, un aigle alla se poser sur son épaule.

"Teck? QUe fait tu là?, dit-il."

Il regarda ses pattes, et aperçut un parchemin.
Il le prit, le lut, puis le donna à Sobror :

"C'est le parchemin de l'alliance avec une cité Elfe qui vient d'être fondée. Elle est vassale de la cité de Mergalian, Haral'Mh'Idan. Les Archers Elfiques nous seront utiles. Ne perdons pas confiance en nos voisins du Nord."

Sobror écouta Tùor avec un air grave, à la fin de son discours un aigle se posa sur son épaule et Tùor lui donna le parchemin, il le lut et ratifia l'alliance. Puis il rendit le parchemin a Tùor et lui dit :

"Seigneur, la situation est grave je vous l'accorde, mais notre Seigneur et sa famille on disparus depuis des mois, ils ne sont jamais revenus d'Harlond. Nous sommes actuellement entrain d'établir un vote pour nommer un Intendant pour diriger efficacement la cité en l'abscence de Regnak, je suis moi même candidat, étant le premier assistant de Regnak et avant lui de Marchemort j'ai une longue expérience en matière de gouverne, d'ici quelques jours la décision sera prise et quelque soit la personne élue, je vous assure que nous punirons ces Haradrims !"

Le garde ne savait pas à qui s'adresser en premier, puis jugeant plus important l'affaire d'Harlond il s'adressa a l'homme :

"Comment ça ?! Nous pensions qu'il était chez vous ! Des marchands nous on rapportés qu'ils avaient été vus aux portes d'Harlond il y'a plusieurs mois de celà ! Mais ce n'est pas à moi de m'occuper de cette affaire, allez à l'ambassade, le général Hadrol vient de rentrer et il à déclaré l'état de crise, c'est lui qui dirige a présent la ville pour ne pas qu'elle sombre dans le chaos."

Puis il se tourna vers la jeune fille :

"Et bien suivez ces hommes jusqu'a l'ambassade, un diplomate vous reçevra comme il se doit."

Les hommes d'Harlond firent route vers l'ambassade sous le regard suspicieux du garde, ils furent introduits dans la grande salle de l'Ambassade où Hadrol était en pleine réunion avec un grand nombre d'hommes, un garde vint lui annoncer l'arrivée des hommes d'Harlond et Hadrol cessa toute activité. Il se dirigea vers eux et sans meme les saluer ou leur laisser le temps de le faire il leur lança :

"Où sont Regnak et la famille règante ?! Celà fait des mois qu'ils sont chez vous ! Qu'est-ce qu'il se passe !"

Neutre...

[HRP]
Double poste, mais autre personne


[RP]
Un homme se présenta devant la ville.
Il était plutôt mal habillé, mais il avait une petite épée à sa ceinture et un bouclier en bois.
Il ne devait pas s'être lavé depuis plus d'une semaine et empestaient.
Bonjour, je souhaite voir celui qui dirige cette cité sans la famille régnante.
Je viens car j'ai eu des nouvelle d'eux.

Il souriait tranquillement aux gardes.
Il était venu avec un autre cavalier qui fit demi tour et s'éloigna tranquillement.

Hadrol avait la bouche ouverte de stupéfaction, comment cet homme osait-il élever la voix alors qu'il n'était pas chez lui ? Il pris son air le plus menaçant et répondit :

" Je ne vous crois pas ! Des marchands itinérants m'on dit qu'ils avaient vus Regnak, sa famille et Balvor arriver à Harlond, et depuis nous n'avons plus eu de nouvelles ! Que c'est il passé ?! Répondez !"

C'est à ce moment là que les gardes arrivèrent en compagnie d'un homme sale et mal habilllé dont l'odeur était insuportable. L'un des gardes pris la parole :

"Général Hadrol, cet homme dit avoir des informations sur le Seigneur Regnak..."

A ces mots Hadrol se tourna vers l'homme et lui intima l'ordre de parler.

Neutre

Je fais un poste avec les deux types ^^


[RP]

Les soldats d'Harlond semblaient outragé des propos du général.
Mais lorsqu'il voulu parler, on emmena un homme dans la pièce.

L'homme était crasseux et un peu puant...
Mais il ne semblait absolument pas gêné de sa tenue et s'avançait tranquillement dans la pièce.
On lui avait pris son arme, et semblait faché d'un tel manque de confiance...

Il prit la parole:
Bonjour à vous tous, je me nomme Editro. Mon chef m'envoie ici pour vous donner des nouvelles de vos maîtres...

Il fit une pause en regardant toute l'assemblée, il ne semblait pas s'attacher au général.
Ils sont actuellement en bonne santé, mais quelque peu... immobilisé.
Je suis ici pour vous arranger une réunion.

Le général n'en croyais pas ses oreilles, selon cet homme, Regnak et sa famille étaient retenus prisonniers !

"Comment ça immobilisés ? Répondez ! C'est moi qui représente l'autorité ici, je vous ordonne de parler !"

Sur ces paroles, Hadrol avait complètement oublié les hommes d'Harlond...