Ambassade de Mithlond

[HRP]aucun problème pour ton édit, c'est parfaitement naturel[/HRP]

Talioran écouta les paroles d'Eléandoreïl jusqu'au bout. Un fois son discours terminé, ce dernier se leva et s'apprêta à partir quand un autre seigneur elfique pénétra dans la grande salle de l'ambassade. Galedor en personne était venu livrer les montuers elfiques conformément à ce qu'avait promis l'émissaire d'Imladris avant de partir.

Tout étonné, Talioran se leva également et, pendant qu'Eléandoreïl saluait Galedor, le noldo en fit de même.

"Mais c'est avec un grand plaisir que je vous offre une coupe de vin mon ami !"

Il alla prendre la bouteille ainsi qu'une coupe et la remplit du délicieux jus. Il tendit ensuite le verre plein à Galedor qui l'accepta visiblement avec joie.

"Vous êtes venu pour m'apporter les chevaux ? Bien, l'or vous attend."

Talioran se retourna et appela :

"Fengir ! Fengir amenez l'or je vous prie !"

Un elfe apparut dans le fond de la pièce. Il portait un sac qui parraissait lourd qu'il transmit à Talioran. Ce dernier regarda à l'intérieur et compta rapidement la somme.

"Voici donc 400 pièces d'or conformément à ce qui avait été décidé."

Galedor s'illumina en goutant le vin de Talioran.

"Après ce vin, je me dit que je viens de conclurent ma meilleur affaires."

Il bu une nouvelle gorgée puis reprit.

"Comment allez vous cher ami, si je puis me permettre de vous appelez ainsi ?"

[hrp] J'ai modifié mon economie [/hrp]

"Mais c'est avec plaisir que vous pouvez m'appeler ainsi !
Et je vais plutôt bien si vous voulez tout savoir... La vie est paisible je dois dire ici à Mithlond... J'avoue que je trouve la vie plus tranquille ici qu'à Fondcombe... J'ai vécu un moment à Fondcombe et je dois dire que la ville de Mithlond est plus isolée, moins confrontée aux problèmes de voisinnage...

Nous n'avons aucun voisin ici à part des elfes ou des arnoriens... c'est vous dire si nous sommes tranquilles...

Et de votre côté comment allez-vous ?"

[HRP]j'ai modifié mon économie également [/HRP]

Fengir se frotta le menton... Il regarda attentivement l'émissaire de Caras Celairnen et dit :

"Si comme vous dites il s'agit d'ancien elfique, il s'agira certainement de Quenya... Malheureusement, cette langue n'est presque plus parlé en Terre du Milieu depuis bien longtemps... Elle a en effet été peu à peu remplacée par le Sindarin, langage des elfes Gris promulgué par Elu Thingol et Melian si ma mémoire est bonne...

Le quenya est la langue maternelle des noldor... et comme vous le savez peut-être, le seul elfe qui soit un noldo pur se trouve être Talioran lui-même... Je ne pense même pas que Fendros notre héraut qui se trouve avoir des origines noldor ne puisse le lire... Nous avons bien notre général en chef, Urár Alcarin qui est à moitié noldo, mais il n'est pas dans la cité actuellement..."

L'émissaire elfe se frotta le menton en réfléchissant au problème de l'homme...

"Bon nous avons une dette envers vous ! Même si Talioran se refuse à pénétrer plus profondément dans les terres, je vais essayer de le convaincre de venir dans votre cité ! Ne bougez pas !"

Fengir quitta alors l'émissaire et partit en direction de la porte principale qui donnait sur la Grande Salle de l'ambassade... Il alla chercher Talioran qui se trouvait encore en grande discussion avec Galedor de Fondcombe et Eléandoreïl de Fennas Drunin. Il vint lui murmurer quelques mots à l'oreille. Ce à quoi Talioran répondit clairement :

"Je refuse de quitter Mithlond ! Je n'entrerai pas plus dans les terres... Je ne peux partir maintenant, alors que je reçois des invités... JE sais que nous avons une dettes envers eux, mais je ne peux me déplacer pour rembourser de l'or et traduire de l'elfe... Allez à ma place !"

Fengir regarda Talioran, ne comprenant pas exactement...

"Mais Monseigneur, je ne puis lire et encore moins traduire le quenya... je ne vois pas comment je pourrai me montrer utile là-bas..."

"Prenez avec vous Feandros, il saura vous aider !"

"Mais il ne lit pas le quenya !"

"Il le lit un peu, et je suis persuadé qu'à vous deux vous parviendrez à traduire cette langue ancestrale... Bonne chance !"

Et Talioran se retourna vers ses convives Galedor et Eléandoreïl pour continuer leur discussion... Au moment où Fengir allait quitter la pièce, Talioran ajouta :

"Et n'oubliez pas de leur rapporter la somme qu'ils nous ont prêté, avec le petit quelque chose en plus que nous nous étions convenu, et remerciez les encore pour leur aide..."

Fengir s'inclina et retourna auprès de l'émissaire de Caras Celairnen... Il s'excusa :

"Je suis sincèrement désolé noble émissaire, mais je n'ai pu convaincre le seigneur Talioran... Mais j'ai été mandaté, ainsi que Feandros pour venir effectuer la traduction !"

Galedor observé la salle d'un air absent, il admirait l'architecture si particulière de ce palais.
L'arrivé de Fengir le fit sortir de ses rèveries.
Après que celui ci eu quitté la salle il reprit.

"Je suis en parfaite santé ainsi que ma famille, Imladris reprend vie peu à peu ..."

Il marqua une courte pause, et pris grise mine.

" ... Cependant, je sens l'ombre des montagnes sur mon coeur, comme un danger qui émmane encore des ses hauts sommets. Je ressens aussi un désir vaillant, mais qui remplira toujours mon de tristesse. J'ai envie de tirai l'épée et d'anneantir cette menace une fois pour toute."

Il finit la puis repris joyeusement, presque comme un nain ayant trop bu.

"Seigneur Eléandoreil, c'est avec une grande joie que je viendrai avec vous à la demeure du seigneur Valindor.
Je souhaitai avant de partir vous signifier mon affection a votre égard et vous affirmer moi-même que vous pouvez compter sur mon soutien."

Il rempli les trois verres de nouveau, et leva le siens.

"Le seigneur Eléandoreil m'a dit en venant me voir dans ma demeure, de ne pas gaspiller d'alliance pour des elfes dont aucun être ne pourrai mettre la parole en doute.
Je voulai donc que nous buvions au royaume elfique libre..."

[HRP] Désolé pour le retard je sais que je vous est bloqué pendant quelques jours, je vous prit de m'excusez.[/HRP]

Mais c'est tout naturel, je comprend que votre souverain ait d'autres choses à faire que de traverser l'Arnor pour traduire un texte !

Je vous remercie donc d'accepter de me suivre...

L'émissaire rassembla ses affaires et, lorsque les deux elfes furent prêts, il leur dit:

Eh bien, nous partont pour Annùminas! Là bas, vous trouverez le gîte et les couverts pour vous restaurer, en espérant que vous réussissiez à traduire ce texte...

Les trois cavaliers sortirent tranquillement de l'ambassade et prirent la direction d'Annùminas, conquête toute fraîche de Valindor...

MERCI DE VENIR ICI

Éléandoreïl avait écouté attentivement les paroles de l'émissaire Arnorien ce qui réveilla sa curiosité.
* Un texte en Queyan c'était plustot rare et je pensait etre un des rare priviligiés a avoir encore un ou deux ouvrages rédigés dans cette langue*.
Une autre chose attira son attention le fait que le seigneur Valindor se trouvait à Annùminas et non à Caras Celairnen.
Et en entandant les paroles de Galedor il repris la parole:

- Voyez noble Talioran, l'inquiétude, dont je vous fesait part plustot au sujet des peuples qui nous entoure, Galedor et moi meme, n'est, Helas, pas que mienne et ce cher Galedor la rescent aussi. Meme si pour le momment nous ne sommes pas directemment atteint, l'insécuritée reigne en nos contrées. Et nous nous sentons un peut démunis. Mais vos conseils m'ont éclairés et j'espere que le futur vous donneras raison.

Puis Éléandoreïl regarda Galedor et lui dit:

- Cher Galedor que pensez vous d'aller a Annùminas car si ce que cet émissaire Arnorien est vrais le seigneur Valindor se trouve là-bas et je comptait m'entretenir directemment avec lui...De plus cette histoire de texte en Quenyan m'intrigue fortemment qu'en penser vous.

Éléandoreïl attendit que Talioran prene le verre que Galedor venait de servir avant de prendre le sien, car il trouva cela un peut etrange voir meme tres familier de sa part, que d'offire un bien d'autruie, mais il ne releva le fait, imaginant que Galedor devait etre troublé.

[ Désole aussi du retard beaucoup de travail ici. ]

Après les paroles d'Eléandoreïl, Galedor ajouta un mot avant d'écouter Talioran.

"Puisqu'aucun de nous ne souhaite signer un accord ayant autant de valeur que nos paroles, faisons comme si nos verre remplaceraient les plumes."

Il venait de baisser son verre afin de mieux les voir, et il le releva aussitôt après avoir fini.

Après les sages paroles de Galedor, Talioran leva également son verre et s'approcha.

Son verre était encore collé à celui de Galedor lorsqu'il dit :

"Venez Eléandoreïl, trinquez avec nous ! Et concernant vos inquiétudes à tous les deux, ne vous en faites surtout pas... une fois que nos provinces seront prospères et suffisamment développées nous réglerons ces problèmes... même par les armes si nous n'avons aucun autre choix..."

Eléandoreîl le regarda un peu surpris...

"Je suis un elfe qui préfère la diplomatie par choix, car j'ai déjà vu maintes guerres inutiles... Mais il est de gens malheureusement qu'aucune langue ne peut résonner et que seule l'épée peut convaincre..."

Puis en se retournant vers son verre et vers Galedor :

"A nous ! Aux elfes de l'ouest ! Et que nos cités et nos peuples vivent longtemps et prospèrement !"

Éléandoreïl fut quelque peut surpris de la phrase de Talioran mais elle le rassura et il en fut extremment ravis.
Il joignat donc son verre a celui de ces amis:

- Aux Elfes de l'ouest, a notre amitié et prosperité.
Longue vie a nous!

Quand ils eurent trinqué et but de leur verres Éléandoreïl s'adresa de nouveau a Galedor:

-Galedor, voulez vous donc m'acompagné en direction d'Annunimas ? Et vous, cher Talioran ne voulez vous réelemment pas vous rendre là-bas ?

Après avoir bu son verre Galedor regarda Eléandoreïl avec un grand sourire.

"C'est avec grand plaisir que je voyagerai avec vous.

Je ne puis vous obliger de quitté votre cité, mais l'air des jeunes forets que nous traverserons vous ferons le plus grand bien. Je vous laisse libre choix de refuser mon invitation."

Il commença a remettre sa cape de voyage.

"J'aillai oublier, j'ai fais porter quelques bouteilles dans votre cave, et je ne vous oublie pas mon chére Eléandoreïl puisque j'en est suffisament pour deux."

Il leur fit un nouveau sourire aussi large que le premier.

- C'est fort dommage que vous ne vouliez nous suivre, noble Talioran, mais je cromprend vos apréhension. Je ne doute pas qu'un jour où l'autre vous finirez par resortir et meme venir nous rendres visite. En attendant ce jour, je vous salu, portez vous bien, et a bientot suremment.

Éléandoreïl ce tourna ensuite vers Galedor et lui dit:

- Bien cher amis allons y donc.

Éléandoreïl et Galedor se dirigèrent vers la porte. Un peut avant de sortir Éléandoreïl se retourna et dit a Talioran:

-Ne vous inquiétez pas je prendrais des nouvelles des Elfes que vous avez envoyer a Annunimas et vous enverrais un messager. Au revoir donc, cher amis.

Puis ils sortirent et rejoignèrent l'escorte d'Éléandoreïl. Bientot ils étaient tous près pour partir vers Annunimas.

Un cavalier arriva aux triple galop devant l'ambassade de Mithlond. Il eut presque des difficultées à arretter son cheval mais il y parvin avec une grande adresse. Il sauta à terre et se dirigea vers les gardes en leur tendant son épée et en disant:

- Désoler de mon arrivée si brutale mais j'aurais voulu m'entretenir le plus vite possible avec le seigneur Talioran.

Il regarda avec impatience la réponse des gardes et reprenait son souffle.

Le cavalier de Fennas Drunin demanda à voir Talioran, mais le garde ne comprit pas tout de suite...

Qui était cet elfe qui ne se présentait pas et qui demandait à voir leur seigneur ?

Pourtant, Narendil le jeune chef de la garde passait par là et assista à la scène. Il s'approcha donc et dit d'un ton calme :

"Qui êtes-vous ? D'où venez vous ? Et quelle est la raison de votre visite ? Répondez à mes trois questions et vous verrez peut-être ensuite le Seigneur Talioran... Il est en ce moment assez occupé..."

Narendil ne dit plus rien, il fixa le cavalier elfique et attendit sa réponse.

Le cavalier fut surpris que les gardes ne le reconnaisse pas car cela ne fesait que quelques jours qu'il avait quitter Mithlond.

Il repris un instant son calme et répondit au garde qui venait de s'adresser a lui :

- Veuillez m'excuser, je pensait que je serait facilemment reconu car il y as quelques jours à peine j'accompagnais mon seigneur, Éléandoreïl, ici même.

Je me nomme Finlendir, capitaine de la cavalerie de mon seigneur Éléandoreïl qui se trouve en ce momment a Annunimas et d'où je viens.
Mon seigneur m'envoit ici pour donner des nouvelles des Elfes que le seigneur Talioran envoya à Annunimas.

Serait-il possible que je m'entretienne avec le seigneur Talioran ? Cela ne sera pas long.

Narendil resta crispé comme à son habitude...

"Oui je vois... vous faisiez parti de la suite du Seigneur Eléandoreïl qui se trouvait à Mithlond il n'y a pas longtemps... Très bien, vous pouvez entrer, suivez-moi."

Narendil souffla quelques mots à l'oreille du garde qui acquiesça, puis il entra dans l'ambassade par la grande porte principale et Finlendir le suivit.

Une fois à l'intérieur, ils marchèrent tranquillement dans le couloir en direction de la salle principale... Une fois arrivés, ils virent Talioran assis à la grande table au fond de la pièce, il était installé au même endroit où Eléandoreïl et Galedor l'avait laissé... Il tenait une plume et écrivait sur un parchemin, perdu dans ses pensées.

En entendant des pas, il leva la tête et aperçut les deux elfes qui venaient dans sa direction. Il se leva aussitôt et dit :

"Ahhh bienvenue à Mithlond ! Vous venez me porter des nouvelles de Fengir et Feandros ? Alors comment leur travail se passe-t-il à Annùminas ?"

Le cavalier saluat Talioran et lui répondit :

- Bonjour, noble Talioran, je me nomme Finlendir, et effectivemment je vient vous apporter des nouvelles de Fengir et Feandros. Ils se portent bien.

En ce qui concerne leur travail je ne peut, malheuresemment pas, vous renseigner a ce sujet car je n'ais pas eut de contacts direct avec eux. Mais mon seigneur m'envoit, en plus de vous rassurer, vous demander de bien vouloir le retrouver, ainsi que vos Elfes et le seigneur Valindor, à Annuminas.

Mon seigneur à vraimment insiter pour que vous alliez les retrouver. Votre présence leur est indispensable m'a-t-il confier. Il m'as d'ailleur demander de vous acompagner jusqu'a Annuminas si vous acceptiez de vous déplacer, il va de soit.

Talioran fronça quelque peu les sourcils... Il regarda l'émissaire sans bouger avant de répondre avec un peu de gêne :

"Est-ce réellement si important que cela ? Je n'aime pas sortir de ma cité... Cela fait 500 ans que je n'ai pas vu les Terres... Ma présence est-elle réellement indispensable ?"

Talioran s'avança vers l'émissaire, en regardant le sol.

"Si vous ne pouvez rien me dire c'est que vous ne savez pas... Votre seigneur ne vous a pas dit pourquoi je devais absolument venir à Annùminas ? Y a-t-il un rapport avec le texte ? Fengir et Feandros ont-il échoué ?"

Finlendir regarda Talioran et lui répondit:

- Effectivemment je ne sais la raison exacte pour laquelle mon seigneur a besoin de vous là-bas. Mais je peut vous assurer que votre prèsence est indispensable. Il semblerait effectivemment que cela ait un lien avec un texte... dont apparemment vous connaisser l'existence. Mais mon seigneur ne m'as pas expliquer tous les détails de cette affaire.

Mais je vous le répete, mon seigneur a réellemment insister pour que vous alliez les rejoindres.

Finlendir regarda avec anxiété Talioran en le laissant réfléchir.

Le visage de Talioran se crispait de plus en plus... Ses sourcils se fronçaient et sa bouche se compressait...

"Fengir m'avait déjà informé qu'un émissaire de Caras Celairnen me demandait de venir traduire un texte à Annùminas... Et j'avais déjà refusé... A la place j'ai envoyé Fengir et Feandros s'en occuper..."

Talioran fit demi-tour et retourna s'asseoir à sa place. Il reprit sa plume et se remit à écrire.

"Je suis sincèrement navré, mais avec le peu d'informations que vous me fournissez je ne suis pas réellement enclin à vous suivre jusqu'à Annùminas... Je fais confiance à votre Suzerain Eléandoreïl, mais je voudrais tout de même savoir pour quelle raison exactement je devrai me déplacer, alors que mon voeux de ne pas sortir des Havres Gris avait été très clair..."

Finlendir était quelque peu déstabilisé par les dires de Talioran... Avait-il fait le chemin pour rien ? Il ne s'avait pas exactement pourquoi Talioran devait rejoindre Eléandoreïl... Et il ne se voyait pas retourner à Annùminas demander des précisions pour revenir ici les transmettre...

Talioran, le nez plongé dans son parchemin ajouta :
"Vous pouvez utiliser les pigeons près de la fenêtre si vous désirez communiquer avec Annùminas... Ils sont très efficaces et rapides... Vous pourrez m'expliquer la situation plus clairement en un rien de temps. Je ne bouge pas d'ici de toute façon..."

Finlendir ne se voyait pas retourner a Annunimas pour aller demander plus d'informations. Et apparemment Talioran ne sortirait pas de son royaume sans une bonne raison. Il accepta donc d'utiliser un des pigeons.

Le seigneur Talorian lui preta une plume et un papier et Finlendir écrivit un court message qu'il remis dans une petite cartouche accrochée à la patte d'un des pigeon. Finlendir retira le pigeon de sa cage puis, tout en lui murmurant à l'oreille le nom d'Annuminas il s'approcha d'une fenetre ouverte et le fit s'envoller. Il espéra que le pigeon irait à bonne destination.

Finlendir resta accouder a la fenetre attendant le retourd du pigeon. Ce qui ne durea pas si longtemps. Au bout de quelques heures le pigeon revint et alla se poser sur sa cage.

Finlendir s'approcha et attrapa le pigeon puis en retira le message qui se trouvait dans la cartouche le lut puis il remis le pigeon dans sa cage. Enfin il se dirigea vers le seigneur Talioran et dit d'une voix calme comme s'il ne voulait derranger :

- Seigneur Talioran.... Veuillez m'excuser...Voici le message que m'envoit mon seigneur d'Annunimas.

Finlendir tendait un papier sur le quel était écrit les mots suivant:

Cher Talioran, le sceptre d'Annuminas a été retrouvé ici meme, à Annuminas. Le texte, que Fengir et Feandros ont déchiffré, se trouvant sur la statue, fait mention de ce sceptre. Mais il reste un doute quand a la fin du texte qu'ils n'ont, malheureusemment pas déchiffré. Auriez vous l'amabilitée de bien vouloir nous rejoindre car il semble que ce texte ait une importance crucial dans l'explication de la présence du sceptre sur cette statue.

Talioran lut attentivement le message... Il se frotta le menton pendant quelques secondes avant de relever la tête et de répondre à Finlendir :

"Et bien à ce que je vois le destin de l'Arnor se joue en ce moment à Annùminas... Pas de tout l'Arnor mais d'une bonne partie en tout cas..."

Le noldo se leva et commença à marcher vers l'émissaire de Fennas Drunin.

"Mon aide est requise à Annùminas et pour une cause importante... Le moment est venu pour moi d'accomplir ce pourquoi je fus renvoyé... Ou en tout cas le début..."

Finlendir ne comprit pas tous les mots de Talioran car il ne connaissait lui-même pas son histoire... Mais il acquiesça avec le sourire alors que Talioran ajoutait :

"Bien nous partons sur le champ vers Annùminas... Je vais parcourir les plaines de l'Arnor, et cela fait 500 ans que je ne les ai pas admirées...

Que l'on fasse préparer ma monture !"

Et les deux elfes sortirent de l'ambassade ensemble en direction des écuries...