La Terre du Milieu
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  [D/Grogmar/Gondor;Numénoréen/Gobel Tolfalas] La Lumière déchirera le Néant

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3 participants
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Grogmar

Grogmar


Nombre de messages : 229

~ Fiche ~
~ ~: Homme
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 [D/Grogmar/Gondor;Numénoréen/Gobel Tolfalas] La Lumière déchirera le Néant Empty
MessageSujet: [D/Grogmar/Gondor;Numénoréen/Gobel Tolfalas] La Lumière déchirera le Néant    [D/Grogmar/Gondor;Numénoréen/Gobel Tolfalas] La Lumière déchirera le Néant EmptyMar 1 Avr 2014 - 9:09

Étendard:
 [D/Grogmar/Gondor;Numénoréen/Gobel Tolfalas] La Lumière déchirera le Néant Bacool12

Race: Harad de sang Numénoréen

Peuple: Gondor

Clan du personnage: Les Dragons des Mers

Surnom du personnage: Dragon Blanc

Prénom du personnage: Grogmar

Frère du personnage: Goldach (35 ans)

Fils du personnage: Goldan (15 ans) Grogram (20 ans)

Fille du personnage: Ellana (18ans)

Âge du personnage: 38 ans

Ville: Gobel Tolfalas

Présentation de votre personnage :

Histoire:

Grogmar naquit dans le proche Harad dans une communauté établie sur la plage d'une grande île nommée Tolfalas. Sa famille était à la tête du clan le plus riche et le plus puissant de tout le village. Par conséquent, il put recevoir une éducation plus que correcte. Un maître lui apprit dès le plus jeune âge à manier les armes de son peuple, c'est-à-dire les deux lances, le sabre et l'arc. Pendant qu'un érudit lui apprenait l'art des lettres et les langues les plus rependues des terres connues comme son père l'avait exigé. Il était l'aîné de sa famille qui comptait également trois frères et quatre sœurs que l'héritier du clan aimait beaucoup. De nature calme et posé, il apprenait vite et bien tout ce qu'on lui apprenait ce qui lui valut de devenir la fierté de son clan. Étant l'aîné de la famille, on lui apprit comment fonctionnait le clan et les lois du village dès son plus jeune âge. On lui expliqua qu'il fallait voir le clan comme un arbre dont le tronc était protégé par ses branches et il devait en retour les guider et les soutenir pour qu'elles restent toujours fortes. Face à ses prouesses en tous les domaines, son premier frère cadet peinait à faire de même et devait rester dans l'ombre laissée par son aîné.

Ne comprenant pas le mal qu'avait son frère à accomplir des choses qu'il trouvait si simple et dans la logique de l'éducation qu'on lui prodiguait en tant que futur chef de clan, Grogmar essaya d'aider aux mieux son frère chaque jour que ses ancêtres lui donnaient. Cette intention, pourtant pleine d'amour, ne réussit qu'à exacerber le mélange de haine et d'admiration que son cadet éprouvait contre lui. En effet, cela ne faisait qu’attirer encore plus l'attention des adultes sur les capacités hors norme du futur chef tout en montrant l'écart qui le séparait de son cadet. Ayant lui aussi reçu l'éducation de son clan et avec lui le respect des traditions, Goldach décida de monter à tous que bien qu'il n'était pas un aussi bon que son illustre frère, il pouvait lui être utile et lui apporter beaucoup comme il allait devoir le faire une fois son aîné à la tête du clan. Il devint rapidement son plus fidèle bras droit, l'aidant lors des manœuvres militaires et faisant circuler les ordres qu'il lui donnait durant les entraînements navals. Il montra également qu'il était né pour diriger des troupes et qu'il savait créer la discipline dans les rangs.

Grogmar commença sa vie d'homme quand on l'appela dans la grande salle où siégeaient son père et les autres chefs de clan. Il s'agissait d'un jour particulier qui se passait tous les cinq ans et durant lequel tous les jeunes en âge passait le teste du sang. Grogmar en avait entendu parler et l'attendait depuis longtemps. Les adultes n'ayant pas le droit d'en parler devant eux et de nombreuses rumeurs circulaient chez les jeunes hommes non-initiés comme lui. Toutefois et comme pour tout ce qui l'entourait, le jeune noble avait pris la chose avec décontraction et réflexion. Cela ne lui servait à rien de se torturer l'esprit avec des éléments qu'il ne pouvait pas maîtriser. Bien que l'idée de ne pas savoir fût très désagréable pour lui tant sa soif de connaissance était grande.

Il était avec une dizaine de jeunes qui comme lui avaient été les premiers à rentrer et il était encore nombreux à devoir passer après eux. Son frère était avec lui. Cadet de trois ans, il avait eu de la chance de ne pas naître un an plus tard sans quoi, il aurait dû attendre encore cinq ans avant de pouvoir passer l'épreuve, car il fallait être mature pour la passer et donc avoir au moins passé les quinze printemps. Tous les jeunes adultes étaient alignés devant l'assemblée des chefs et derrière eux se tenaient les représentants des familles. La tentions était palpable dans le rang, car échouer à cette épreuve était un signe de faiblesses et de déshonneurs pour celui qui échouait ainsi que pour la famille de ce dernier qui n'avait pas réussi à correctement l'éduquer.

On leur donna alors à tous un couteau avant de faire entrer dans la salle une dizaine d'hommes et de femmes par une porte située à la gauche du conseil des chefs. Ils étaient habillés de haillons et des chaînes entravaient leurs membres. On les installa devant chacun des hommes en les faisant se mettre à genoux. Tous comprirent ce qu'on leur demandait de faire et quand un des chefs le confirma de ses paroles, tous attrapèrent les cheveux de leur esclave pour lui trancher la gorge, le planter ou l'éviscérer. Il s'agissait des dix fils de grandes familles et ils avaient tous bien trop à perdre s'ils ne faisaient pas ce qu'ils devaient faire. Pas de pitié ni d'honneur contre un ennemi telle était la devise des Haradrims et ils en avaient encore moins envers les serviteurs du Néant. Qu'il en soit de même pour celui qui déshonore son clan, telle était celle de ce village.

Ils durent ensuite juré allégeance au conseil des chefs avant de pouvoir repartir par une porte située à droite des trônes. Au passage, on les félicita en leur distribuant de la bière et des tapes dans le dos.  Une fête fut ensuite organisée dans tout le village et dura pendant une semaine entière durant laquelle on but et festoya jour et nuit et où l'on hua ceux qui avait échoué. Ils étaient bien peu nombreux à ne pas avoir eu le bras assez fort et on allait les pendre pour cela. Le rite était simple à comprendre. En effet, on y commettait son premier meurtre bien qu'il ne s'agissait que d'esclaves ou des condamnés à mort. Le plus dur était alors derrière les nouveaux corsaires et on pouvait également voir qui était faible dans les rangs. Car si quelqu'un n'était pas capable de tuer un esclave alors comment pourrait-il défendre l'honneur des siens en ne montrant aucune pitié contre les ennemis de son clan ? La fête servait ensuite à faire passer le tout dans un déluge d'alcools et de débauches.

Quand les festivités furent passées, il fallut encore une semaine pour que l'on prépare le voyage pour la nouvelle saison. On affecta les nouvelles recrues dans les bateaux qui manquaient de bras et on nommait les capitaines de nouveaux bâtiments construit durant la pause entre deux saisons. Ceux-ci étant payé par les clans, chacun d'entre eux revenait logiquement à l'un des membres y étant affilié. Grogmar, en tant que fils héritier du puissant clan des Dragons des Mers, en reçut donc tout naturellement un de son propre clan, un puissant galion de guerre corsaire. Son frère, Goldach, fut nommé second de ce même navire, il n'était en effet pas question qu'un second héritier soit sous les ordres d'un sous-fifre, de plus, il pouvait ainsi commencer à prendre ses marques en tant que second sur un vrai navire et durant une vrai bataille.

La flotte partit dès que les préparatifs furent achevés. On avait chargé les cals de provisions suffisantes pour tenir le temps de la traversée, soit un repas pour chaque homme d'équipage. Le père de Grogmar dirigeait l'armada et il décida de contourner Tolfalas pour se diriger vers Sarlond et son port de commerce. Étant partis peu avant midi, les navires arrivèrent en vue du port quand la nuit tombait. Sans attendre plus longtemps, ce qui aurait peut-être laissé le temps à la milice d'être levée, la flottille corsaire lança l'attaque en envoyant les navires de transports soutenus par les puissants navires de guerres corsaires. Les balistes firent immédiatement feu sur les tours de défense du port ainsi que sur les quais où une maigre troupe en arme les attendait déjà de pied ferme.

Grogmar était assez hésitant, car il s'agissait de sa première mission et il n'avait donc que son entraînement derrière lui et n'avait pas encore pris ses marques sur ce bâtiment. Sachant que ses hommes savaient ce qu'ils devaient faire, il distribua ses ordres en suivant les instructions qu'on lui avait donnés durant le conseil de bataille qui avait eu lieu avant le départ. Toujours calme, il cachait son inexpérience par une voix posée et une analyse rapide de la situation. Son frère et second, dans son armure noir comme le jais, donnait les ordres à la perfection ce qui lui facilitait grandement la tâche, car personne ne discutait les instructions. On pouvait tout de même supposer que personne n'aurait de toute manière osé discuter des ordres venant du futur chef de clan.

Les navires s'engouffrèrent dans l'embouchure du port, le capitaine remarqua alors que les gens de la ville tentaient de détacher leurs propres navires de guerre ce qui représentait un danger pour la flotte corsaire qui profitait toujours de l'effet de surprise. Il ordonna donc que l'on tire une salve de projectiles enflammés contre les navires avant de donner le relais aux archers pour que les deux balistes puissent continuer à arroser la ville des flammes corsaires. En regardant le spectacle des carreaux géant et des nuages de flèches enflammées s'abattant sur le port, Grogmar comprit d'où venait le nom de son clan et sourit de toutes ses dents. Le feu dévorait le monde d'une manière magnifique et implacable. Il ordonna l'assaut des quais dès que son navire fut en position et son équipage lui répondit d'une acclamation de joie.

Le navire éperonna promptement un quai en bois et les hommes en arme en jaillir comme une vague marine. Les soldats de la ville tentèrent de s'interposer mais ne faisant pas le poids, ils périrent dans des cris d'horreur et de douleurs mélangées à ceux des corsaires assoiffés de sang et de pillage. Comme on lui avait appris lors des entraînements, Grogmar resta près de son navire avec son détachement de Garde Noir qui lui servait de garde personnel. Il était le capitaine de ce bâtiment et il se devait de le garder. Son frère, second et donc chef de la troupe d'assaut, menait les combattants sur la plage et coordonna le reste du pillage.

On aurait pu croire que Grogmar serait triste de ne pas pouvoir assister au pillage, il n'en était rien. Non pas qu'il avait peur de tuer. Il éprouvait un plaisir non-dissimulé à ôter  la vie des ennemis de son clan et il arrivait même à le faire sans difficulté quand il s’agissait de serviteur du Néant. Non, il préférait juste gérer les opérations de son navire et non sur la terre ferme qu'il n'aimait pas plus que cela. De plus, il n'aimait pas trop ce qu'il risquait de voir durant le pillage. Car autant la mise à mort n'était pas un problème pour lui autant il n'aimait pas ce qu'il avait entendu à propos des exactions des soudards lors des pillages. Sa garde personnelle et lui-même se placèrent donc sur la partie du quai encore stable pour attendre le retour des hommes et pour couvrir la retraite le cas échéant.

Le sac de la ville dura toute la nuit et se prolongea même jusqu'à tard dans l'après-midi du jour suivant. On pilla, brûla et viola sans vergogne ni remord tant et si bien que même de sur le quai, Grogmar put entendre le cris des femmes que l'on emmenait et les hurlements des hommes que l'on égorgeait. Il y avait eu des morts lors de ce pillage et il s'agissait la récompense des survivants. Et bien que le jeune chef n'y participait pas, il n'arrivait pas à savoir s'il n'y aurait pas eu un autre moyen pour obtenir ce que ce pillage allait rapporter. Les hommes rembarquèrent le soir même chargé cette fois de biens et de nouveaux esclaves fraîchement enchaîné. Les pertes étaient légère en comparaison au revenu du pillage et le moral était au plus haut dans les rangs corsaire qui profitait avec joie des dissensions des Gondoriens.

Les navires de transports chargés des fruits du pillage repartirent vers la ville pour les y déposer en lieu sûr avant de rejoindre la flotte à son nouveau point d'attaque, Linhir. Il s'agissait d'un passage dangereux car l'escadrille s'aventurait dans un couloir d'eau dont on pouvait facilement en refermer l'accès ce qui les piégerait entre la terre de leurs ennemis et leurs ennemis. Mais l’appât du gain et la soif de sang qu'avait provoqué le pillage de Sarlond était bien plus fort que la peur d'une coalition hypothétique des Gondoriens. Grogmar ne sut pas pourquoi mais une crainte monta en lui quand son navire passa le cape de l'embouchure. Pourquoi ce nuage ressemblait-il autant à un dragon décapiter ?

Il crut d'abord qu'il s’était inquiété pour rien car la ville ne fut pas plus difficile à prendre ainsi qu'à piller que l'avait été la précédente. Il réussit presque à croire que le mauvais présage qu'il avait vu dans le ciel n'était que le fruit de son imagination. C'est quand on ne vit pas revenir les navires de transports sensé les rejoindre que son cœur se sera. Le lendemain matin, son père ainsi que les membres du conseil organisèrent un conseil clanique extraordinaire dans le navire amiral de la flotte. Une frégate avait été envoyée à l'aube pour voir ce qui bloquait la flotte de transports et elle était revenue criblée de flèches. Il fallait se rendre à l'évidence, les gondoriens les avaient piégés.

Mais le pire restait encore à venir car des cris venant des hommes restés dans le village se firent bientôt entendre. L'information prit du temps à remonter la chaîne de commandement qui était trop fractionné et ne supportait pas bien la surprise. Des troupes gondoriennes arrivaient par le Sud bien que leur nombre de semblait pas être très bien déterminer ce qui ne manqua pas d’immédiatement de diviser le conseil qui perdit de précieuses heures sans arrivé à se mettre d'accord. Un camp soutenant qu'il fallait tenir le village avec les troupes puis écraser la flotte et un autre camp essayait de  faire comprendre qu'il était préférable de partir directement avec toute la flotte pour écraser le blocus et s'échapper de ce traquenard et un dernier camp avait décider qu'il serait mieux d'attaquer la flotte et l'armé en même temps pour éviter de se faire attaquer par le dos.  

Grogmar, bien qui participant comme tous les capitaines sagement assis derrière leur chef respectif, il ne pouvait pas parler et devait user sa patience tandis que les armées coalisées faisaient lentement route vers eux. Et le pire était que les soldats ne préparaient même pas la défense juste au cas où. Pire encore, car la friction entre les différents chefs de clan provoquait même des bagarres et désorganisait les troupes qui ne comprenaient plus ce qui se passaient. Le jeune homme avait bien voulu parler pour exprimer son opinion qui était de partir avec l'ensemble de la flotte. Mais cela aurait été à l'encontre de ce que voulait son père qui désirait se battre sur deux fonds pour écraser toute résistance.

De nombreuses heures passèrent avant qu'enfin le clan des dragons des mers arrivent à imposer sa vision des choses comme presque toujours au final. C'est ainsi que le jeune capitaine retourna sur son bâtiment pour prendre part à la bataille navale au côté de son père. Ce dernier lui expliqua rapidement pourquoi il avait soutenu ce choix tout en sachant que celui de son fils était la bonne solution. Il lui expliqua donc que les différents chefs de clan étaient bien trop fière pour qu'au final ils acceptent que leurs choix soit remis en question, choisir l'entre-deux permettait de ne pas trop froisser les egos et permettait, au final, à chacun de faire ce qu'il voulait. Le clan comptait les meilleurs marins de Gobel Tolfalas et il pouvait donc tout naturellement mener les navires pour la bataille, c'est pourquoi soutenir un tel choix n'était pas regrettable car au final, toutes les troupes du clan allaient mener la bataille qui avait une réelle importance et qui était réellement soutenu par le chef de celui-ci. Grogmar se jura de ne pas oublier ces mots et encore plus quand il comprit qu'il s'agissait des derniers que son père allait lui dire.

Le rapport de force n'était pas à l’avantage du peuple des mers et il ne faisait aucun doute que les différents navires venaient de plusieurs villes. Ainsi, c'est le cœur remplit de rage que les guerriers des vagues se mirent en route toutes voiles dehors. Les balistes lancèrent leurs traits mortels dès que les navires qui les transportaient arrivaient à portée de tir. Les marins de l'autre camp n'étaient pas de la même trempe et ils ne firent usage de leurs propres armes qu'en voyant que ceux de l'ennemi réussissaient à les toucher, emportant déjà dans les flammes quelques navires trop exposés. En moins de temps qu'il faut pour le dire, la mort tomba du ciel des deux côtés et la mer se transforma en l'enfer. Les bâtiments de guerre prenaient feu et des hommes embrasés couraient en tous sens pour tenter de mettre fin à leur souffrance, propageant du même coup les flammes avides de combustible, avant que ces malheureux ne de plongent dans les eaux noires pour ne plus en ressortir.

Grogmar réfléchit rapidement, la situation était catastrophique et les deux flottes allaient s'entre détruire car les flammes ne faisaient pas de distinction entre amis ou ennemis. Le contacte allait bientôt se faire et le chaos allait être d'autant plus terrible que le moindre contact entre deux bâtiments allait provoquer à coup sûr la mort pour l'ensemble des deux équipages. Le feu ne pouvait pas être maîtrisé en même temps que le combat résultant de l'abordage, il allait donc se propager chez les deux navires et les emmener par le fond. Il ordonna donc à son équipage de se tenir prêt à la manœuvre pendant qu'une partie d'entre eux devait continuer à lutter contre les différents points de feu et de fuite dans le bâtiment. Il chargea son frère de cette partie de l’opération pour pouvoir se concentrer uniquement sur la barre du navire.

Le puissant galion fendait les flots, ses voiles en partie transpercée par les carreaux ennemis. Les archers, inutiles pour la manœuvre, étaient placer sur les flancs pour pouvoir continuer à arroser les bateaux gondorien de leurs trais mortels. L'objectif de la première ligne de navire étant de faire le plus de dégâts possible pour que les autres vaisseaux puissent passer à moindre mal et sans rompre la formation. Mais le chaos était bien trop grand et il était évidant qu'aucun passage assez large n'allait pouvoir être former et que la formation n'était plus que de nom une fois la mêlée engagée. Tandis qu'il réfléchissait, son navires manqua de percuter des bâtiments ennemis à de nombreuses reprises mais les habilles marins arrivaient à les éviter de justesse, raclant toute fois la coque de l'un d'eux. Plus puissant et plus lourd que les frégates, le  bâtiment corsaire envoya également par le fond deux d'entre elles en les percutant sur leurs flancs, les coupant en deux comme on rompt le pain et laissant les deux morceaux aux monstres marins. Les marins gondoriens ne méritaient que le néant de toute manière.

Après un temps qui parut interminable, le galion passa le blocus pour se retrouver dans une eau plus calme en tout point par rapport à l'enfer de la bataille. Le capitaine ordonna de faire halte à bonne distance de l'embouchure pour que l'on arrêt les débuts d’incendie et que l'on colmate les brèches éventuelles. L'ordre était d'attendre le reste de l'escadrille pour pouvoir continuer le combat en mer ouverte bien plus propice pour la manœuvre. Un plan assez simple à comprendre mais il était impossible à mettre en pratique. Le problème était que les navires de la flotte n’arrivaient tout simplement pas à passer le blocus. Ils n'avaient pas eu la même chance que le jeune capitaine ou tout simplement ils étaient en plein combat contre l'ennemi  en opposition total aux ordres.

Grogmar ne pouvait pas laisser les navires de son clan se faire envoyer par le fond sans réagir d'autant plus que son père était dans l'un d'eux. Il fit donc donner l'ordre de  faire demi-tour à son bâtiment pour se rapprocher de la bataille à portée de tir des balistes, les hommes et lui n'étant pas très chaud à l'idée de retourner dans le brasier mais il le faudra  bien à un moment. Premièrement, un travail de pilonnage s'entama contre les navires ennemis, trop occupé à combattre contre les ennemis devant eux ou simplement trop désorganisé pour réagir efficacement. Deux caravelles sombrèrent ainsi qu'une frégate avant que le capitaine corsaire ne donne l'ordre de faire voile contre le reste des bâtiments ennemis. Rentrant dans l'océan d'épaves en feu, le galion libre de ses mouvements sabordait les navires ennemis empêtrés dans des abordages féroces. Les uns après les autres, il les coula, libérant du même coup les navires corsaires qui pouvaient rapidement tenter de se sauver des flammes qui les rongeaient.

Le galion venait de libérer un nouveau bâtiment allié quand  un vigile cria en montrant du doigt un puissant navire en flamme. Grogmar le reconnu immédiatement pour l'avoir vu tant de fois partir en mer, il s'agissait du navire de son père. Sans hésiter un instant, le capitaine fit faire voile vers l'épave sombrant de ce qui avait été la fierté de son clan. Des hommes nageaient tant bien que mal dans les eaux sombres et on fit descendre des chaloupes à la mer pour les récupérer. Eux au moins savaient nager là où les matelots ennemis coulaient à pic dans des mouvements frénétiques des membres.

Après un moment, il ne fut plus possible d'approcher le navire en feu car, en un instant, les flammes auraient pris sur le bâtiment, l'emportant également. Le galion resta ainsi sur place jusqu'à ce que la nuit commence à tomber et qu'il devint trop dangereux de rester. Mais malgré tous les efforts de l'héritier et plus particulièrement ceux de son équipage, le père de Grogmar et chef du clan des dragons des mers ne réapparut jamais. Les survivants repêchés ne purent pas donner d'information à son sujet. Le combat s'était rependu dans tout le navire, attaqué par un autre galion ainsi que deux caravelles, sans parler du feu qui profitait de l’inattention des protagonistes pour s'en prendre à l'ensemble des bâtiments.

Il fallut se rendre à l’évidence, le Grand Dragon Blanc était mort. Quand la nouvelle fut enfin prononcée à haute voix, tous les membres d'équipage comme animés d'une seule âme s'agenouillèrent et prononcèrent leurs vœux de fidélités à leur nouveau chef. Le général du reste de la flotte serra des poings pour retenir ses larmes devant ses hommes. Son frère, qui se releva derrière lui, vint alors lui poser une main sur l'épaule  en signe de respect et de compréhensions mutuelles. Grogmar se tourna vers lui et posa également sa main sur l'épaule de son frère. Son regard était dur et sa voix ferme.

« Nous vengerons sa mort, foi de corsaire du clan des dragons des mers.

Goldach lui répondit d'un signe approbateur de la tête, il n'avait pas besoin d'en dire plus car tout était dit de plus la parole du chef de clan faisait acte de loi. On rassembla rapidement le reste de la flotte et on repartit vers le village pour voir comment s'était passé la bataille de ce côté-là. Les drapeaux du gondor qui flottaient fièrement sur les différentes tours montraient que les soldats à terre n'avaient pas eu la même chance et une troupe étincelante de métal se présenta rapidement sur les quais ce qui confirma les craintes du jeune chef de clan. Ses hommes étaient épuisés par la bataille qu'ils venaient de mener et Grogmar ne se voyait pas de leur demander d'attaquer une nouvelle fois ce village où campait désormais une armée gondoriennes prête à en découdre.

Il ordonna donc de faire cap sur Gobel Tolfalas où il comptait reprendre des forces avant de contre attaquer avec des troupes fraîches. Mais une bien triste nouvelle allait encore l'accabler.  

En effet, profitant de l'absence d'une grande partie des membres du conseil des clans ainsi que de la nouvel  du blocus de l'intégralité de la flotte clanique corsaire et par conséquent de son anéantissement probable ce qui enlevait tout risque de représailles venant de sa part, deux chefs de clan mineur avaient réussi à prendre le contrôle de l'ensemble du village par les armes. Ils avaient fait exterminer du même coup toutes les familles des autres clans et prenant possession des fiefs du plus puissant d'entre eux, celui des dragons des mers. La population n'avait pas osée bougée et elle n'aurait de toute manière pas fait le poids face à une troupe corsaire en arme.

Quand la flotte rescapée arriva en vue du port, Grogmar était déjà en alerte sans imaginer l'horreur de ce qui  s'était passé durant son absence. En effet, de la fumée noir se dégageait d'un peu partout dans le village et elle était facilement visible de loin. Ce genre de signe présageait rarement quelque chose de bien et le chef de clan, ne voulait plus rejeter aucun signe des esprits et il avait donné l'ordre de se tenir prêt à toute éventualité.

Mais quand il débarqua avec sa suite, il s'imaginait que des Gondoriens avaient décidé d'attaquer le village. Il ne s'imagina donc pas une seconde que les soldats corsaires qui venaient à sa rencontre n'étaient pas amicaux. Il ne vit la traîtrise que quand il entendit puis vit une flèche se planter dans le torse d'un de ses gardes situé juste derrière lui, ce qui ne laissait aucun doute sur la véritable cible du trais mortel. En même temps, ses soldats réagirent en l'enveloppant lui et son frère dans un schiltron et déjà une partie d'entre eux périt criblé de flèches.  Pris au dépourvu face à une troupe qui semblait les attendre, la troupe de corsaire n'avait pas l'ombre d'une chance. Grogmar ordonna donc le repli dans les navires pendant qu'une troupe de volontaire allait retenir le plus longtemps possible le nouvel ennemi. Goldach voulu se porter volontaire mais le jeune chef de clan réussi à le convaincre qu'il serait plus utile au clan en vie. Une troupe de fantassins fut donc laissée en arrière pendant que le reste de la flotte rembarquait rapidement pour fuir son propre foyer.

Quand ils sortirent du port, Grogmar put se rendre compte de l’ampleur de la trahison et que s'il n'avait pas laissé ses caravelles à l'entrée des quais, lui et ses hommes auraient été pris en tenaille par deux galions ennemis. Ceux-ci étaient en prise avec la flotte loyaliste qui semblait en mauvaise posture. Il ne faisait aucun doute que là aussi, les capitaines parjures avaient profités de la surprise pour tirer les premiers. Toutefois, l'arrivé du reste de la flottille permit d'envoyer rapidement par le fond les deux bâtiments rebelles. L’amiral ordonna ensuite à sa flotte de faire mine de partir vers l'Harondor comme si elle abandonnait le combat pour fuir au loin. Mais quand la nuit tomba, il fit bifurquer ses navires pour qu'ils remontent par le Nord jusqu'à se mettre à l'abri dans une des nombreuses criques de l'île à bonne distance du village.  

Il fit ensuite débarquer une partie de ses hommes ainsi que son frère qui prenait une fois de plus le contrôle de l'assaut terrestre. Prenant les navires en meilleur état, il repartit pour le port de la ville rebelle d'où il mènera l'assaut par la mer. La nuit était sans lune et un brouillard s'était levé peu de temps après le coucher du soleil comme souvent ici, signe que le Roi-esprit était avec eux désormais. Ainsi quand les navires pénétrèrent dans la baie, il était déjà trop tard pour les guetteurs qui périrent criblés de flèches noires. Les hommes descendirent des navires sans bruit et on frappa aux portes des maisons que l'on savait loyal pour recruter le plus de monde possible pour reprendre le village. Les gardes parjures n'étaient pas très nombreux et ceux qui étaient de faction semblaient avoir trop bu pour que leurs réflexes les sauvent des lames ou des flèches des assaillants. Et à en croire ce qu'on put entendre de ces sentinelles avant qu'elles ne se soient exécutés froidement, les chefs de clan rebelles pensaient que les navires avaient belle et bien fuit vers l'Harondor et cette attaque trop rapidement préparée si elle l'avait été orchestrée par le conseil clanique, allait surprendre bien plus que prévu les deux chefs de clan renégats habitués à l'ancien système de décision. Leur manque de discernement était bien la preuve qu’ils n’étaient pas originaires de clan majeur. Ils ne devaient pas savoir que tous les autres chefs de clan étaient morts durant la bataille de la baie de Linhir et Grogmar était désormais le seul à diriger cette armée et bien qu'il n’ait pas prévu cela à la base, il ne comptait pas laisser cette occasion passer pour prendre le contrôle total et exclusif de ce village.

Les guerriers de Goldach firent jonction avec ceux du chef de clan devant les portes délivrées de leurs gardes du palais des clans. Ils n'avaient pas rencontrés plus de résistance de leur côté et ils avaient également pensé à recruter parmi la population pour grossir leurs rangs. Quand les soldats ouvrirent à la volée les portes pour se ruer dans le bâtiment et y massacrer tout sur leur passage, les gardes et les servants, non-reconnu comment membre du clan des dragons des mers, furent traité de la même manière et en moins d'une heure l'ensemble du palais était nettoyer de ses traîtres. Mais une troupe de cavaliers réussirent à fuir par les écuries que personnes n'avaient pensé à fouiller.

Avant que l'on comprenne où ils fuyaient, il était trop tard et quand les hommes arrivèrent sur les quais se fut pour découvrir avec effroi que l'ensemble des navires prenait feu. Cela n'avait pas été difficile car les voiles avaient été abattues pour l'attaque qui s'était passée à la rame et y mettre le feu avec les tonneaux de contenu inflammable, utilisés pour les balistes, était un jeu d'enfant pour ceux qui si connaissaient or tout corsaire digne de ce nom s'y connaissait. Les archers tirèrent bien contre l'unique frégate fuyant vers le large et emportant avec elle les cavaliers fuyards. Mais ce fut en vain car elle était déjà trop loin et la fumée se dégageant des navires en flamme était trop épaisse et cachait la vue.  

Le village était une fois de plus isolé du reste du monde comme il l'avait déjà été avant la création de la flotte clanique. Mais désormais, Grogmar était le seul chef à bord de cette île et bien que la perte de l'ensemble du reste de la flotte était un coup dur, il avait brillé par ses victoires en si peu de temps et s'était déjà doté d'une belle réputation de tacticien naval et de chef avisé. En effet, en moins de deux jours, il avait réussi l’exploit de vaincre la flotte du gondor et il avait réussi à vaincre les chefs renégats avec le peu d'homme survivants.

Comme la coutume le voulait, le clan changea de bannière qui était auparavant un dragon blanc bicéphale pour un dragon blanc tricéphale. En effet, on considérait que le dragon du clan était comme une hydre, quand on lui coupait une tête, deux autres repoussaient. Ainsi, à chaque fois qu'un chef de clan mourait aux combats, son fils prenait la relève mais le souvenir des anciens chefs le soutiendra toujours. Étant le chef du clan et comme ceux avant lui, on le nomma Dragon Blanc. Son frère prit quant à lui le surnom de Dragon Noir comme le portait traditionnellement le chef des Gardiens de la Branche Principale.

La communauté avait fortement souffert malgré le peu de temps sous l'emprise des traîtres et il y avait du travaille pour qu'elle redevienne la puissance qu'elle avait été durant le règne du Bicéphale. Mais Grogmar gardait espoir, son peuple était fort et il ne lui faudrait pas beaucoup de temps pour qu'il relève fièrement la tête. Mais pour sans assurer tout en garantissant la fidélité de tout le village, il fit réunir la population dans le centre du village pour faire une annonce durant laquelle il demanda à tous et à toutes de lui jurer allégeance à lui et à son clan.

Les familles n'étant pas déjà affiliés aux Dragons des Mers n'appartenaient plus à aucuns autres clans majeur, ceux-ci ayant été anéantis par les traîtres. Ils n'eurent donc aucune raison pour refuser cette offre. Le choix fut d'autant plus facile que l'intégralité des trésors récoltés durant le dernier pillage et ayant été retrouvé dans le Palais du Conseil, fut en totalisé redistribué aux familles du village appartenant au clan en fonction du nombre d'homme qu'elles avaient.

Pendant que la population festoya pour fêter son intégrale adhésion au clan ainsi que pour oublier ses malheurs Grogmar et son frère vécurent leur deuil durant deux semaines. Ils avaient perdu en l'espace de quelques jours leurs deux parents ainsi que leurs deux petits frères âgés de quinze et sept ans, et que leurs quatre sœurs âgées respectueusement de douze, deux de cinq et la petite dernière de seulement six mois et ayant été embrochée par une flèche dans son berceau aux côtés duquel ils avaient retrouvé leur mère, elle aussi criblée de flèches. Ils avaient organisé les funérailles peu de temps après la reprise du village. Pour l'occasion, on avait érigé des bûchers funéraires sur une des collines sacrées où, dit-on, un dragon blanc serait mort. Dans chaque bouche, on mit leur pierre d’esprit, un galet blanc que tous les habitants de l’île réservaient à la naissance et qu’ils gardaient aussi précieusement, voire plus, que leur vie. Ceux-ci seraient récupérés une fois le brasier intégralement consumé, avant d'être mit chacun dans une petite boite funéraire de deux pouces sur six. S'il n'avait pas éclaté, on y rajoutait du sel d'eau de mer, dans le cas contraire, on le coulait dans de l'or pour réunir les fragments de la pierre. En effet, cette pierre était censée exprimer les désirs de l'esprit du mort. Si elle explosait, cela signifiait que l'esprit du défunt ne voulait pas se contenter de la vie qu'il avait eue et il fallait donc lui donner de l'or pour qu'il ne hante pas le village. Par contre, si elle résistait aux flammes, cela signifiait que l'esprit était apaisé et qu'il avait bien vécu. On le mettait donc dans son élément naturel pour qu'il puisse y reposer en paix. Les boites étaient ensuite amenées dans l'une des pièces de la demeure du clan réservée spécialement à la vénération des ancêtres et nommé Demeure des ancêtres. Il s'agissait d'une très grande bâtisse construite avec grand soin et disposant d'un nombre colossal de pièces et une catacombe du même ordre. En effet, chaque branche devait pouvoir avoir sa propre salle et celles qui s'étaient éteintes devaient pouvoir reposer en paix à jamais dans la pierre. Chaque clan puissant se devait d'en avoir une et on peut même dire qu'être capable de se payer ce genre de structure était un prérequis pour devenir un clan majeur. Un proverbe du village résumait d'ailleurs assez bien la chose: « Aucune branche ne peut pousser de l'arbre qui ne repose pas sur le terreau de ses ancêtres ».

Pour les défunts morts en mer, on avait mis le galet directement dans le sel avant de laisser le coffret ouvert pendant une semaine durant, avec deux bougies plantées à l’intérieur et devant restées allumées jusqu'à la fin pour permettre aux esprits de retrouver leur demeure éternel. Le fait qu'il y ait deux bougies dans chacune des urnes permettaient de toujours en garder au moins une allumée pendant que l'on change l'autre car si par malheur la lumière venait à s'éteindre le coupable d'une telle négligence devra pour se faire pardonner se donner la mort pour permettre à l'esprit perdu de retrouvé la paix en rentrant dans le galet de l'inconscient qui sombrera quant à lui dans les geôles du Roi-Esprit où il sera puni pour le reste de ses jours comme le sont les traîtres. Pour cette raison et pour s'assurer que aucune branche ne soit souiller de la sorte, la surveillance était laissée à des prêtresses triées sur le volet et qui savaient très bien qu'échouer dans leur tâche n'était pas une option viable.

Une fois les morts accueillies comme il se fallait et le temps du deuil passé, on organisa l'enterrement des boites funéraires des autres clans majeurs, désormais disparus et par conséquent ne pouvant plus entretenir leur demeure des ancêtres. On chercha donc dans, la montagne, une grotte où l'on déplaça toute les urnes en respectant scrupuleusement les branches. Mettant la première branche au font ainsi qu'un plus grand coffre remplit de galet pour les morts n'ayant pas encore retrouvé le repos et appartenant à ce qu'on appelait la dernière branche ou la Branche où toutes se réunisse avant que l'arbre ne meurt. On ne mit pas de bougies pour eux. Un autre proverbe expliquait encore cela : « L'appel de l'arbre mourant est aussi lumineux pour les esprits perdus que le plus grand brasier ». On mura ensuite une première fois avant de déplacer les boites funéraires de la branche parallèle et de murer une nouvelle fois. On plaça ensuite celles des branches secondaires avant de murer une dernière fois et de marquer le lieu par six colonnes de pierres brutes. Il fallut ensuite recommencer l’opération pour tous les autres clans disparu ce qui prit une semaine supplémentaire.

Grogmar organisa, ensuite, rapidement son mariage avec la fille d'une de ses branches secondaires très puissantes. Il comptait par cette union repeupler les branches parallèles de son clan qui avaient très fortement souffert durant la trahison. De plus, il avait toujours convoité cette femme mais il n'avait jamais pu lui demander sa main jusqu'à ce jour vu qu'il n'avait pas encore passé le test du sang et que son père l'avait déjà promis à une autre d'un clan majeur, cette dernière étant morte durant la prise de pouvoir des parjures, il était libre de tout serment. Le mariage se déroula dans le plus grand respect des traditions au suivant printemps et ravit l'ensemble de la population qui put encore une fois festoyer sans retenue. Laissant ainsi les deux souverains savourer leurs nuits de noce comme il se doit.

Le temps passa et de cette union naquit un premier fil et héritier en titre du trône, signe une fois de plus que le Roi-Esprit était avec eux. On le nomma Goldan et il fut rapidement pris en main par des maîtres comme l'avait été Grogmar avant lui. Puis vint un second fils et futur Dragon Noir que l'on nomma Grogram et qui emprunta la même voie que son aîné. C'est entre ses deux naissances que l'on tenta par cinq fois d'assassiner le Gaju. L'enquête révéla pour finir qu'il s'agissait d'une branche parallèle de taille modeste et qui avait accueilli un étranger en secret. Ce dernier n'était autre que l'un des anciens chefs de clan parjures qui avait fui par bateau il y a cela des années. Son acolyte était mort tué par des pillards et il avait retenté sa chance en revenant sur Tolfalas pour prendre le pouvoir. Il réussit une nouvelle fois à s'enfuir et Grogmar renversa sa rage sur ceux qui l'avait aidé dans son entreprise. Ainsi, le Gaju fit un exemple de ce qu'il arrivait au traître. Il fit mettre l'ensemble de la branche traîtresse dans un bateau en y embarquant également leurs urnes funéraires. Leur laissant croire à une chance de survie, il les laissa prendre le large mais tandis que le navire commençait à prendre de la vitesse, un mécanisme se mit en place et déclencha un déluge de feu à bord. Tous périrent dans les flammes et leurs esprits partirent pourrir dans les geôles de la Lumière.

Cette exemple suffit et quand le traître revint après la naissance du second fils, on lui fit d'abord croire qu'il était encore le bienvenu et avant qu'il ne se rendre compte de ce qu'il lui arrivait, il fut drogué. Il fut ensuite empalé sur la place publique où des médecins, si on peut les appeler ainsi, réussirent l'exploit de le maintenir un mois durant dans une perpétuelle agonie avant qu'il ne puisse rendre enfin son dernier souffle. Son corps fut ensuite offert aux chiens et son esprit aux démons de l'ombre des geôles.

Deux ans après cet événement une petite fille naquit dans le couple royal et fut nommée Ellana.  Étant une femme, les cours de guerres furent remplacés par ceux plus approprié à une future dame.  Grogmar fondait de grand espoir sur elle et il savait qu'elle pourra accomplir de grande chose.

Durant toutes ses années, le Gaju réorganisa totalement le système clanique qu'il jugeait obsolète dans certaines de ses fonctions et responsable par ce fait de la défaite terrestre contre le Gondor. De plus, il empêchait ainsi d'autre clan majeur de naître et de s'opposer à son autorité. Il créa les Griffes du Clan, celles-ci remplaçant le conseil clanique à proprement parler, lui aussi dépassé et jugé responsable de la défaite précédente. Par la même occasion, il raffermit son emprise sur Tolfalas et établit son règne en tant que Gaju. Il créa une force militaire permanente bien plus efficace que celle proposée autrefois. Les membres de sa garde personnelle, dédaignés durant les anciens règnes claniques, furent reconsidérés. L’entraînement des troupes intégralement repensé et son équipement réétudié pour copier celui de leur puissant voisin qui semblait bien mieux convenir pour une armée professionnelle. Grogmar n'avait pas l'intention d'être un simple membre de la ligné principale de son clan et il comptait bien faire en sorte que celui-ci sorte définitivement de l’anonymat pour s'étendre et devenir une puissance incontournable de ce côté si de la terre du milieu. Il ne comptait en effet pas s'aventurer profondément dans les terres. Bien que des voix lui soufflaient de plus en plus fort des paroles fanatiques et qu'il y prêtait de plus en plus attention.              

Avec ces réformes profonde, il fallut encore attendre quinze longues année pour que la paix et l'harmonie s'installe confortablement sur l'île, son peuple était désormais apte à s'élever et bientôt plus rien ne sera en mesure de lui faire face sur son terrain.                                                                        

Traits physiques:

De grande stature comme son frère et tous les membres des branches principales qui devait ce fait à son héritage Numénoréen. Il porte ses cheveux noirs longs et retenus par un bandeau serré sur son front. Ses yeux sont verts clairs et son visage est fin et légèrement allongé ce qui lui donne un certain charme. Il port toujours à son cou, bien que caché par ses vêtements, un talisman contre le mauvais œil en forme de demi-lune incrusté d'une multitude de pierres précieuses censées piéger les mauvais esprits et assemblées en étoile à trois branches recourbée en spirales.

Il porte l'armure traditionnelle de la branche principale de son clan, c'est à dire une armure lourde finement travaillée. Les épaulières représentent chacune une tête de dragon et son prolongée par un canon de bras en acier écaillé. Les canons d'avant-bras étant faits d'une plaque de fer dont la jonction au niveau du coude est taillée en vague. Le plastron est une armure de plaque sur-vêtue d'une partie écaillée en son centre. La boucle de la ceinture est massive et représente une tête de dragon. Les tassettes de l'armure sont faites de bande de cuire clouté et d'une jupe d'acier écaillé et sont sur-vêtue d'un appendice du plastron qui couvre les hanches et plus long au niveau de l'entre jambe où il forme un triangle arrondit. Les protège tibias étant fait d'acier rembourré et formant un ensemble de vagues sculptées. Il porte une épée longue à la ceinture et se bat également avec une lance à lame large.          

Traits psychologiques:

Grogmar est quelqu'un de fière et de courageux. Éduqué dès son plus jeune âge à obéir aux règles de son clan, il en respecte avec un zèle exemplaire. Ainsi, il est un homme de parole quand il la donne mais ne montre pas d'honneur quand il se bat contre un ennemi. Il en va de même pour sa pitié car il n'en a aucune. Les ennemis comme les traîtres sont pour lui des cibles à abattre quel qu’en soit les moyens et les méthodes. Ayant reçu une bonne éducation, il se montrera toujours poli sauf si on se montre irrespectueux envers lui ou son clan. Il sera par conséquent un hôte des plus respectueux et accueillant ou le dernier visage que vous verrez avant qu'une lame ne vous tranche la gorge.

Ayant été bercé par la culture de son île natale, il en est ressorti superstitieux et respectueux des traditions. Ayant une peur bleu de tout ce qu'il croit être de mauvaise augure, il port toujours sur lui un talisman pour le protéger. Pour la même raison, si un de ses invitées rentrait dans un pièce sans avoir frapper trois fois à la porte pour prévenir les esprits et en ne passant pas le pied droit en premier, il considérera que celui-ci veut sa mort et le fera partir sur le champ et sous la menace des armes s'il le faut. Pour éviter ce genre de désagrément et l'ensemble de la population ayant les mêmes superstitions, les gardes à la porte se feront un plaisir de frapper à la porte pour les émissaires imprudents... Pour les pieds par contre, ils auront une chance sur deux d'écourter désagréablement leurs séjours. D’autres règles inconnues pour des non-natifs peuvent encore provoquer l'agitation du jeune homme qui considéra cette faute comme la preuve que le coupable est un serviteur du Néant.

Il a pour objectif de relever son clan et de le faire devenir le plus puissant et redouté de tous. De plus, bien que le pillage est la seul chose que son clan a fait jusqu'à maintenant, il compte bien l'élever au-dessus de cela en le professionnalisant le plus possible bien qu'il n'oubliera jamais son passé de corsaire.

Il a été très marqué par la mort de presque toute sa famille et en garde une grande douleur qui le rend parfois mélancolique pendant une journée entière. Seul son frère arrive à comprendre et à apaiser sa douleur quand elle le prend. Il s'agit de sa dernière famille directe et il de la dernière personne avec qu'il peut encore parler librement sans que il ne suive le protocole.

Cet événement marquant que fut la mort de ses proches renforça d'autant plus son opinion concernant les présages et l'importance d'écouter ce que voulaient les esprits et le Roi-Esprit. En effet, il se mit à penser au fil du temps que ce qu'il avait vu dans le ciel avant la débâcle des armées claniques aurait dû prendre plus d'importance à ses yeux. Le manque de crédit qu'il y avait prêté l'avait éloigné de la Lumière et les puissants esprits-mort l'avaient puni pour cela. Cet état d’esprit le poussa à accorder de plus en plus d'importance à l'Ordre de la Lumière et peut être que celui-ci réussira-t-il à le pousser à faire des choses qu'il n'aurait jamais fait sans ce traumatisme.

   
Particularités de votre personnage : Calme/Réfléchi/Instruit en langues étrangères/Superstitieux/Bon combattant/ Respectueux

Fonctionnement plus détaillé du clan:

Divisé en un branche principale entourée d'une myriade de branches secondaires, le clan est régit par des règles strictes établies depuis des générations bien que le clan en lui-même n'est pas aussi vieux. La branche principale est elle-même divisée en deux parties. La Première Branche qui comptait la lignée directe du premier chef de clan. Seuls les hommes y sont comptés car ils sont les seuls à pouvoir hériter du titre de chef de clan dans l'ordre d’aînesse. Les filles ne pouvant que permettre de tisser des alliances avec d'autre clan et permettre au clan le plus puissant de rattacher à lui un clan plus petit, les lignées qu'elles créeront ne seront pas comptées comme appartenant à la branche principale mais en tant que branche parallèle. Vient ensuite les branches parallèles, constituée des lignées ayant commencée par une femme venant de la Première Branche, elles ne se perpétuent que par lignage mâle, une femme d'une branche parallèle donnant naissance à une branche secondaire. Il peut également s'agir de l'ensemble d'un clan lié par un lien patriarcal à la femme du chef de clan (comprenez toutes les lignées partant à rebours de la dite femme et comprenant les même critères que pour rester dans une branche parallèle). La tâche de ces branches est de protéger personnellement la Première Branche.

Puis vient les branches secondaires, il s'agit de l'ensemble des lignées du clan découlant de la Première Branche mais ayant eu deux femmes ou plus entre deux naissances mâles ainsi que les lignées n'ayant pas de lignage directe avec la Première Branche mais faisant partie du clan par allégeance ou mariage.

Les branches secondaires comptent la plus grande partie des membres et doivent servitude et obéissance aux deux Branches principales.    

Le Gaju, nom rapide donné au chef de clan.

Le Dragon Noir. Il s'agit du frère le plus âgé du chef de clan, s'il en a un. Il est le chef des Branches Parallèles et il lui incombe la  charge de la protection de la Première Branche ainsi que de ses possessions. En effet, il est considéré comme le plus proche par son sang du chef de clan. La force du lien du sang étant très important pour les gens de cette île, les chances de trahison son très faible. Cette croyance est si forte que l'on pense que si quelqu'un brisait ce lien, son sang se figerait comme de la pierre et que toute sa lignée subira les pires tourments et malheurs jusqu'à sa disparition complète.

Le Cœur du Dragon ou Cœur du Clan est le nom donné à la femme du chef de clan. Elle dispose d'un pouvoir égal à celui de son époux à ceci près qu'elle ne peut en aucun cas s'opposer à une de ses décisions. Tous lui doivent un respect et un dévouement égal à celui qu'ils doivent à leur Gaju, chef de clan. Dans la culture du clan, elle représente le lien entre les humains et les esprits ce qui lui donne surtout un pouvoir spirituel.

Les Griffes du Dragon ou Griffes du Clan ou simplement Griffes, ils sont au nombre de vingt et forment le conseil du clan. Ils ont la charge toutes les décisions concernant la gestion du clan et ne doivent donner de comptes qu'au Gaju et au Cœur du clan. Ils sont choisis parmi les membres les plus puissants du clan. Lors d'un conseil clanique, chacun d'entre eux dispose d'une voix. A noté qu'aucune décision importante ne peut être entreprise sans l'aval du Gaju ou du Cœur du clan, ceux-ci valant chacun dix voix. A rappelez également que le Cœur du Clan ne peut jamais s'opposer  à la décision du chef de clan et donc agir contre ses intérêts. Il est également à noter que le Dragon noir fait partie également du conseil à auteur d’une voix, car il est fait partie des Griffes. On peut donc dire que les Griffes du Clan, bien qu’étant les personnes les plus puissante du clan après le Gaju, ont surtout un rôle de conseillé personnel quant aux décisions importantes du clan. Ils disposent toute fois d’un importante autorité envers les autres membres du clan.

Origine et détaille sur  la culture du clan:

La culture du clan est un mélange entre celle des corsaires d'Umbar et  celle des Gondoriens. En effet, l'île fut à de nombreuses fois prise et reprise par les différentes factions et la population d'où émergea le clan en à garder des traces.

Le respect des esprits vient de survivants venant de la flotte de corsaire que Sauron avait réclamée pour renforcer ses légions et qui fut anéantie par les Esprits-Mort. Les rescapés, venus s'échouer aux bords de la mort sur les plages de l'île, racontèrent partout que les esprits-vengeurs les avaient châtiés et que rien n'était plus puissant qu'eux, même le Seigneur sombre, et qu'il fallait les apaiser sans quoi ils allaient venir dévorer tous les serviteurs du néant. C'est la chute du Grand-Maître qui prouva à tous la puissance des esprits vengeurs. Depuis, les rites se sont développer chaque année un peu plus jusqu'à devenir ce qu'ils sont désormais.

C'est pour la même raison que les habitants de cette île préfèrent naturellement rester loin de tous conflits entre les différentes puissances pour pouvoir se consacrer à leur tradition et à sa défense farouche.

Les esprits-mort sont les esprits des hommes morts. Selon leurs rites, ces derniers ont deux choix, soit rejoindre la Lumière aux côtés du Roi-Esprit et de son armée ou sombrer dans le Néant et son armée de damnés. Pour aider l'esprit à choisir le côté de la Lumière, il est important de respecter les traditions et ainsi éviter de frustrer l'esprit du défunt dont la frustration le plongera inexorablement dans le Néant. On raconte que viendra un jour où les deux grandes armées des esprits-mort se combattront pour la bataille final qui déterminera l'avenir du monde. C'est pourquoi, il est aussi important pour les membres de l'île que le plus de morts possible rejoigne la lumière. Ce dernier point pouvant amener à une tentative de conquête dans tout le monde des hommes que les gens de Tolfalas considèrent pour beaucoup comme des serviteurs du Néant pour faire de ceux-ci de fière serviteurs du Roi-Esprit et non des messagers du Néant que sont les Valar et autres Maiar. Rien n'est toutefois décidé concernant les Elfes ou les Orques qui tous deux peuvent revenir sur le droit chemin sans quoi une purge devra être opérée pour le bien de la lumière.

Afin que les ennemis tués au combat ne le continuent pas du mauvais côté dans l’autre monde, les armés et les flèches des soldats sont bénie par les prêtresses après leur forgeage pour qu’elles purifient l’esprit des personnes qui seront envoyé dans le pays des morts par celles-ci.  

Les hommes étant les garants du sang et du domaine matériel et les femmes étant les garants du domaine spirituel leur donnant ainsi un pouvoir important dans la société bien qu'elles ne puissent pas espérer exercer des activités autres que spirituel. C'est pour cela qu'on les retrouve généralement comme gardiennes des temples et prêtresses de ceux-ci, c'est également elles qui se chargent des rites funéraires et de la bénédiction des armes. Leurs tâches sacrés étant en rapport avec les esprits, aucun homme n'osera jamais porter la main sur l'une telles, il aura en effet bien trop peur que les esprits se vengent sur lui, c'est pourquoi, il est de coutume d'utiliser l'arc pour éliminer des personnes de la gente féminine, les esprits ne pouvant alors pas intervenir.

Expérience du RP: Assez bonne. Après, je vous laisse en juger.

Présence par semaine: Tous les jours, peut-être qu'une fois et pas longtemps, mais tous les jours.
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Huruk

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Bon... que dire ??
Pour moi, il n'y a pas de soucis pour ta fiche. Enfin ta fiche, je dirai plutôt ton roman Wink
Si les autres sont ok (se que je ne doute pas) on te donnera accès à ta ville
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Grogmar

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Euh, par contre, je suis du Gondor et non de l'Harad
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Merde la boulette... ouais c'est ma faute.
Sauf qu'on avait décidé que cette ville était au Harad... donc je ne sais pas ce qu'on peut faire...

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J'imagine bien ^^

Et encore merci de t'occuper si vite de ma fiche, car c'est vrai qu'elle fait sa taille la coquine  Shocked 
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Huruk

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Mouais mais ça ne m'aide pas si j'accepte de mettre l'ile au Gondor ou non...
Bon, je suis crevé donc je verrai ça demain matin. Désolé
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Fînduir

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Je remercie aussi Huruk qui fait de l'excellent boulot ^^

Je prendrai le temps de lire ta fiche demain Grogmar, c'est promis Wink
Si Huruk dit que c'est bon, alors c'est bon, mais je lirai quand même ta fiche par respect pour ton travail.

Bonne nuit à vous

PS : L'île est bien au bon endroit : Harondor (c'est l'emplacement géographique).
Par contre ce sera une ville gondorienne (le joueur est du Gondor).
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Grogmar

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Merci Talioran, ça me touche beaucoup que tu fasses cet effort  Embarassed
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Huruk

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Bien tu peux déjà commencer à jouer. Ta ville se trouve sous : Harad :: Harondor
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