La Terre du Milieu
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 Jeu littéraire

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Arthen




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MessageSujet: Jeu littéraire   Jeu littéraire EmptySam 23 Fév 2013 - 14:44

HoY !

Afin de célébrer mes vacances j'ai eu dans l'idée d'animer quelque peu ce forum avec un petit jeu !


Règles :
-Il s'agit de rédiger une texte à contrainte
-D'une manière ou d'une autre, il va falloir ressentir la présence d'un des thèmes qui suivent. Mais attention, on doit sentir que le récit est clairement ou en -bonne- partie construit dessus.
-Il faut intégrer, à la différence des thèmes, tout les mots
-Vous êtes totalement libre à propos du type ou de la longueur du récit

Thèmes (déterminés par moi, j'en propose des plus simples que d'autres) :
-l'enfance
-l'architecture
-la célébrité
-la mythologie
-la Terre du Milieu !


Mots obligatoires (choisis au hasard à l'aide de http://fr.wiktionary.org/wiki/Wiktionnaire:Page_au_hasard cela dit j'en ai éliminé pas mal) :
-germanite/germanium (espèce minérale)
-violine (substance extraite de la violette)
-calmar
-délocalisation


Si quelqu'un se sent d'attaque j'attends avec impatience le résultat. Sinon n'hésitez pas à proposer vos thèmes et vos mots et je m'y essaierai Very Happy

EDIT : Suppression de décommenter, car langage informatique.


Dernière édition par Arthen le Mer 6 Mar 2013 - 17:48, édité 1 fois
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Huruk

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MessageSujet: Re: Jeu littéraire   Jeu littéraire EmptyDim 24 Fév 2013 - 19:00

Tu t'attends à un texte d'une certaine longueur ?



(et les modos vont bientôt recevoir du boulot ^^)
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Arthen




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MessageSujet: Re: Jeu littéraire   Jeu littéraire EmptyDim 24 Fév 2013 - 20:09

Non non comme indiqué la liberté est totale ! Même si tu te sens l'âme d'un Hugo tu peux rédiger un poème ;p

Et si vous avez besoin d'un coup de pouce je réitère ma disposition.
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Arthen




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MessageSujet: Re: Jeu littéraire   Jeu littéraire EmptyVen 8 Mar 2013 - 22:48

J'ai enlevé un des mots : « décommenter » me rendant compte qu'il s'agissait d'un terme informatique, et donc peu adapté ici. Je suis allé trop vite !


En tout cas j'ai osé mon propre défis et en voici le fruit :

C'était devenu une sorte de rituel entre nous. Tout d'abord, je me réveil. Les cheveux encore ébouriffés et les yeux mi-clos je déambule dans les couloirs sombres de la maison tel un zombie. C'est en ouvrant la porte d'entrée que la lumière envahissante du soleil frappe mes yeux sans retenu. Il décline à peine de son zénith mais je m'efforce de distinguer les formes qui se dressent devant moi pour en reconstituer leur réalité.

Ils sont là, comme toujours. Mes deux petits parents. Je souris. A ma vue ils plissent les yeux et affichent un large sourire accompagné d'invitations à venir de la main. C'est alors que je l'élance comme un bougre à travers la cour de gravier et rejoins l'énorme champ qui fait face à la maison. Van gogh aurait adoré notre tableau : maman, dans sa fine robe jaune, se penche régulièrement pour cueillir des bouquets de violettes qu'elle utilise pour nous concocter un superbe sirop de violine particulièrement savoureux. Papa lui est allongé dans les hautes herbes et contemple l'horizon une gerbe de blé à la bouche. Il doit sans doute faire mine de ne rien voir arriver à chaque fois. Je lui saute dessus en criant et nous voilà chahutant par terre. Nos éclats de rire s'étendent dans la plaine, elle nous appartient.

Enfin... bientôt plus. Alors que notre petit jeu prend fin cette idée s'empare de mon esprit et me voilà précipitamment assombri, démoralisé. Maman s'en aperçoit et s'agenouille à mes côtés me caressant la nuque comme elle a l'habitude de faire.

« - Tu sais ça n'est pas si terrible ! Tu pourras découvrir de nouveaux terrains de jeux là-bas comme... la forêt !

- J'm'en fou de la forêt. On est bien ici y'a la mer.

- Oui on est bien... mais...

Je l'interromps : - Oui je sais je sais ! Le village sera bientôt sous l'attaque d'un calmar géant et on doit déménager. Mais toi papa tu peux pas le tuer ? Je me tourne vers lui

-Euh... c'est gros ce genre de bestiole tu sais ! » Il sourit noir, je sens bien qu'il est pas à l'aise.

Il se force à rire. Maintenant je devine qu'il veut détourner le sujet en me demandant de rejoindre la maison pour aller dans son bureau et de l'y attendre. Paraît qu'il a une surprise pour moi. Mais mon âme d'enfant n'a pas besoin de plus ; me voilà m'élançant à travers le champ convaincu que si j'arrive plus vite... plus vite j'aurai mon cadeau !

Au fur et à mesure que je m'éloigne papa et maman se dévisagent et font une mou gênée. Papa ouvre la discussion.

« -Il est trop jeune pour comprendre...

- [silence de ma mère qui penche la tête au sol]

- On ne peut pas lui expliquer à son âge les soucis des adultes... Surtout de ce genre...

- Comment ça ? Tu en as honte ?

- Non mais... [pause] il ne comprendrait pas.

- Ben quoi ? Il ne comprendrait pas que ton usine de fonderie de zinc, à l'instar des concurrents décide de délocaliser ?

- Mais enfin soit raisonnable !

- Ton fils est plus mâlin qu'il en a l'air. J'espère seulement que quand il comprendra il ne nous en voudra pas... »

Là-dessus papa se redresse et la mine basse, il rejoint lentement la maison. Au seuil de la porte il arrache à son visage un nouveau sourire forcé et me rejoint. Je connais bien l'endroit ! Son bureau sent le vieux bouquin, probablement en raison de la poussièreuse bibliothèque qui s'élance au fond. Son bureau au centre de la pièce est aussi mon centre d'attention. Le deuxième tirroir plus précisémment. Papa en sort souvent ses cadeaux que j'exhibe fièrement dans ma petite vitrine en verre.

Il entre dans la pièce et attrape une petite clé au fond de sa poche qu'il décroche de son trousseau. Il me contemple avec avidité et dévore chaque instant de bonheur que traverse mon regard impatient. Finalement il se résigne à plonger la clée dans la serrure de ce fameux tiroir. Malheureusement je suis trop petit pour voir ce qu'il contient mais ce qui est certain : c'est que c'est un véritable trésor. Il en sort un tout petit chiffon et le saisit des deux mains, comme pour le protéger de l'extérieur. Il regarde à l'intérieur et sourit.

Je suis tout trépignant. Je me hausse sur la pointe des pieds dans l'espoir de voler un regard sur l'objet mais pas moyen : je suis vraiment trop petit ! J'acroche alors le pantalon de papa et tire par à-coup.

Devant ma ténacité, il cède. Il referme le chiffon et me le tend. A peine l'ai-je entre les doigts que je m'enfuis avec, comme si j'avais peur que papa change d'avis ! Je cours rejoindre ma chambre où je m'adosse au pied du lit, fesses par terre. Savourant le moment je déplie les bords du mouchoir un à un avec parcimonie. Soudain le petit bijou rayonne au creux de ma main et me nargue de sa beauté. C'est un petit caillou noir aux reflets d'argent et de jade à la surface rugueuse. Je me lève et ouvre la porte en verre de cette vitrine qui constitue, finalement, l'un des rares jouets que je possède. Et mon plus précieux ! Je dépose légèrement mon bijou en écartant délicatement du bout du doigt les précédants occupants. Et voilà ! Il trône en première ligne au milieu de ma formidable collection. Papa entre dans ma chambre, toujours aussi enjoué. Son arrivée concorde toujours par ma précipitation vers un petit coffret que j'attrape sous le lit. Encore un de nos rituels. J'en sors une étiquette blanchâtre un peu froissée et un stylo bille que je tend aussitôt à mon père.

« - Tu es satisfait ?

- Oh que oui !

- Super alors ! Tiens donne moi ce petit papier... [Il griffonne quelque chose dessus]

- Et voilà, tiens. [Il me le rend et je tente de déchiffrer ce qu'il a écrit]

- Jaimani ?

- Ahahahaha, non ! Mais tu y es presque. C'est Ger-Ma-Ni-Te. [m'épelle-t-il] Cela rappel l'origine du savant qui a découvert l'un des composants de cette pierre. Ainsi, toi aussi en la regardant tu te souviendras d'où tu viens... d'accord ? »

_________________________

Dur dur de dissimuler ces mots tellement ils sont atypiques !

Je vous donne mon texte... à vous de juger maintenant ! Very Happy
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Grogmar

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MessageSujet: Re: Jeu littéraire   Jeu littéraire EmptyMar 20 Aoû 2013 - 21:45

En espérant que cela vous plaira ^^

__________________________________________________________________________________________________________________________

Le seigneur Thorin, seigneur d'un royaume du Gondor était au banquet d'une fête pour son anniversaire. De nombreux convives étaient présents et la fête battait son plein. Le roi parlait avec ses sujets tout en mangeant les mets les plus raffinés raffiné des Terres du Milieu, mais surtout celui qu'il préférait parmi tous, du calamar frit qu'il faisait directement venir des mers du Sud.
-Mais c'est d'une bien belle robe que vous portez là, dame Elima. Dit le roi en souriant d'un air lubrique et dévorant le décolleté plongeant de la dite demoiselle.
-Oh, merci mon seigneur. Il est vrai que l'on dit le violine fort beau à porter. Répondit-elle le rouge aux joues d'être ainsi complimenté par le roi.
-Violine, j'aime beaucoup ce mot. Mais si nous allions continuer cette conversation plus loin du bruit de la foule.
Se mettant la main sur la bouche l'air confuse, la demoiselle répondit:
-Oh, j'en suis fort peiné, mais je crois que mon fiancé n'apprécierait pas de me voir partir avec un si bel homme que vous, mon seigneur.
-Et bien soit, si la discussion vous déplaît. Dit le roi offusqué.
-Oh, pardonnez-moi, je ne voulais pas vous...
-Non, je comprends. Maintenant partez de ma vue je vous prie. La coupa-t-il.
Le roi se tourna immédiatement vers une autre discussion, laissant cette femme qui s'était refusé à lui dans son dos. Au passage, il attrapa un nouveau calamar frit qu'il croqua avec énervement.
Le suzerain se réveilla le lendemain matin dans son lit et son regard se tourna vers la charmante concubine qu'il avait ramené avec lui. Cette dernière quittait la chambre à pas de loup, son mari risquant de ne pas avoir trop apprécié son escapade qui lui avait quand même valu de gagner quelques hectares de terre supplémentaire sur son voisin. Le roi aimait se montrer reconnaissant envers les femmes qui partageaient sa couche. En effet, il était loin d'être aussi beau que l'avait dit cette traînée qui avait osé refuser son invitation plus que claire. De seulement cinq pieds de haut, le roi en faisait trois de large et son visage en était tout boursouflé. La graisse semblait couler par les pores de sa peau et une odeur forte se dégageait en permanence de son corps et cela malgré la quantité astronomique de parfum qu'il s'aspergeait tous les jours. Cela expliquait qu'aucun roi n'avait encore jugé bon de marier leurs filles à lui malgré les terres dons il disposait.
-Tous des rapaces puant. Mes armées sont puissantes... Pourquoi ne me respect-il pas ! Arg...
Un violant mal de ventre frappa le suzerain qui se plia en deux dans son lit.
-J'ai dû trop abusé de calamars frits... Ou ils n'étaient pas frais ? Oh peu importe, je ferais fouetter tous les cuissot. Ça me distraira. Et puis cela va sans doute passer.
Mais les maux du roi ne firent qu'empirer au point de le clouer au lit sans qu'il puisse seulement bouger un bras sans être emporté par des douleurs au ventre. Les cuisiniers furent fouetté jusqu'à ce que le roi ne soit plus malade et périrent après quelques jours seulement. Déjà dix médecins étaient passés et aucun ne trouvait d'où venait la maladie et tous leurs traitements restaient sans effet et le roi les fit tous pendre pour trahison contre le royaume.
Puis un jour, un homme vint frapper à la porte du château et se dit médecin. Encapuchonné, il refusait de dévoiler son visage ce qui fâcha le roi puis, il le soigna des mots dont il souffrait en quelques jours seulement. Le roi en fut si heureux qu'il le couvrit d'or et le nomma médecin personnel.
Le temps passa sans que plus aucun incident ne viennent rompre l'harmonie du royaume puis le roi retomba malade à un point encore pire que la première fois. Alors, il rappela son médecin qui vint à son chevet.
-Il faut que vous me soigniez encore une fois. Je vous payerais tout autant et même plus. Dit le roi.
Alors, l'homme se pencha sur le lit du suzerain et lui fit boire un breuvage acre avant de lui répondre calmement.
-Mais pourquoi vous soignerais-je ? J'ai déjà tant d'or que je pourrais vivre sans besoin le restant de ma vie.
Le roi le regarda avec des yeux mêlant la haine et incompréhension.
-Je... je vous l'ordonne! Ou je vous reprendrais tout ce que je vous ai donné! Vous n'aurez plus rien, vous entendez! Plus rien!
-Mais voyons, vous m'avez déjà tout pris.
Alors, le médecin leva sa capuche, révélant un visage totalement détruit et au nez tranché.
-J'étais un jeune fermier quand vous avez délocalisé mon village pour construire votre palais. Nous gâchions votre vue et vous nous avez envoyé dans une zone si aride que rien n'a plus poussé dans nos champs. Puis des harads, dirigé par un sanguinaire colosse, sont venus dans mon village. Nous étions protégés par la distance autre fois, mais plus là où nous étions. Alors, ils nous ont massacrés jusqu'au dernier... Sauf moi, car j'étais le seul à avoir réussi à me défendre. Alors, ils me torturèrent pendant des jours avant de me laisser pour mort. Mais comme vous voyez, je suis encore vivant.
Il se stoppa pour regarder le roi qui tentait de parler sans pouvoir. Puis de bouger sans le moindre succès là non-plus. Il sourit de ses lèvres déchirées il y a bien longtemps maintenant.
-Je vois que le produit fait son effet. Vous ne pourrez plus bouger avant au moins deux semaines. C'est bien car vous n'en avez plus qu'une à vivre. Ah oui, je n'ai pas fini mon histoire. J'ai survécu, car un homme, un sage et bon homme, m'a sauvé. C'était un médecin, l'un des meilleurs et ma vie reprit doucement. Je revivais, vous m'entendez! Mais votre cruauté ne pouvait pas me laisser, elle me collait à la peau semble-t-il mon maître vint pour vous soigner. Malheureusement pour lui vous l'avez assassiné avant qu'il ne puisse se rendre compte que ses vieux yeux avaient confondu une plante avec une autre. La voix du jeune défiguré tremblait de rage contenue. Trop de gens sont morts par votre faute. Alors, je vous ai sauvé, car je savais que la potion de mon maître allait finir par faire quand même effet. Puis je vous ai subtilement fait consommer du germanium, c'est une pierre assez spéciale pour sa toxicité. Elle provoque, avec le temps et à de bonne dose, une maladie du rein fatal et incurable par contamination de tout le corps de vos propres déchets. Sans doute y a-t-il un remède, mais je m'assurerais que personne ne vous le donne.
Il remit sa capuche et quitta la pièce en intiment aux gardes qu'ils ne devaient laisser personne rentrer, car « le roi doit se reposer ». Et la semaine passa durant laquelle, le jeune homme s'occupa de continuer à donner à manger au roi avec toujours sa petite dose de poison qu'il ne prenait même plus la peine de dissimuler dans quoi que ce soit. Ainsi, le suzerain savait qu'il mangeait sa propre mort à chaque repas.
Puis vint le jour où le roi mourut. Le médecin sourit avant de s'asseoir sur le rebord de la fenêtre.
-Voilà, mère, père, frère, amis et gens de mon cher village. Je vais pouvoir vous rejoindre le coeur tranquille. Maître et femme, j'aurais respiré plus longtemps que tous ses chiens qui sont responsables de vos morts.
Et il se laissa tomber la tête la première. Ses derniers murmures avant que sa tête ne touche le sol furent « Enfin, douleur quitte mon corps »et son dernier regard se porta vers le Sud-Est.
Loin, loin, vraiment loin de là, dans un village du pays de Harad, tous les habitants étaient couchés au sol. On parla, là-bas, d'une pestilence soudaine qui aurait frappé tout le village avant de disparaître tout aussi rapidement. Le chef de ce village se nommait Blogor le Sanguinaire

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A vous de jugez maintenant ^^

PS: Arthen:> Très bien comme texte study
PS 2: Ça fait du bien de pouvoir écrire un petit rp Razz
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Arthen




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MessageSujet: Re: Jeu littéraire   Jeu littéraire EmptyMer 21 Aoû 2013 - 18:15

Merci pour la participation et félicitations !

Il faut admettre que les mots sont difficiles à placer hein ?

Je n'ai pas très bien saisi la fin ; ça fait référence à quelque chose ?
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Grogmar

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MessageSujet: Re: Jeu littéraire   Jeu littéraire EmptyMer 21 Aoû 2013 - 18:23

Le "médecin" a rendu visite aux Harads qui avaient pillés son village et il leur a donné discrètement un cadeau qui n'est pas trop bien passé drunken 

Et pour les mots, j'ai inventé une histoire autour pour tout dire mais c'est vrai que la délocalisation m'a juste servi de raison pour la vengeance et le faite que cette pierre soit toxique m'a aidé ^^
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