L'ancienne cité du Nécromancien assiégée par l'Empire de l'E

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Le général de la porte, un certain Keiki, pris alors la parole.

Que le capitaine de la cavalerie vienne faire mon rapport. Amener les blessé à l'exterieur des murs. Dites à l'abruti de Ruiki de venir faire un rapport détaillé de la situation des hommes du haut des murs ainsi que de la ville telle qu'on la voit du haut des murs. Qu'une estafette parte vers le fantassins pour savoir ce qu'ils font et leur prévenir qu'on a dératisé l'entre mur une fois de plus et qu'ils doivent continuer de fouiller la ville.

Que les capitaines en second me fasse un rapide décompte des pertes. Ceux qui n'ont pas combatu ou qui ne se sente pas fatigué se rassemble dans la ville. On part aidé les autres dans peu de temps.

TOURS 133, 134 ET 135

Le capitaine de la cavalerie arriva alors auprès de Keiki pour faire son rapport.

"Général Keiki! Nous sommes tombés sur leur arrière garde. Notre avant-garde, ceux passés par le côté est de la ville dès le début ont été annihilés, mais leur ont causé de grosses pertes. Nous avons été envoyés pour terminer le travail. Nous avons utilisé nos lances comme les défenseurs d'Osgiliath avaient utilisé leurs flèches sur Druss Marchemort. Une excellente tactique! On aurait dit que leurs cavaliers attendaient un ordre pour foncer soit épauler le gros des troupes soit vous prendre à revers en passant par deux poternes situées près de leur position. "

Dans la ville, nous n'avons rien vu. Aucun signe de vie. C'est comme s'ils pensaient nous éliminer dans l'entre-mur. En ce moment, des fantassins sont en train de s'occuper de la fouiller. Une partie ayant été prise par une explosion de plusieurs bombes de leur facture."

Alors qu'il parlait, des estafettes partaient en tout sens, portant des messages, donnant des ordres et comptabilisant les blessés et les pertes. Et déjà, des troupes se rassemblaient pour se préparer à entrer dans la ville tandis que les blessés du front étaient évacués.

Soudain, un soldat s'écria

"Général Keiki! Y en a qui vivent encore!!!"

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Ah ouai ? Gardez les moi au frais, attacher les solidements, on verra ce qu'on en fait. Les Autres rassemblez vous comme je l'ai dit. Si ces chiens attendaient des Ordres, c'est qu'il reste des Ourouks présent dans cette ville. En fin de compte, ces Pechnos encore vivant vont peut être être utile.

Keiki s'approcha alors d'un des Ourouks solidement attaché et mis en respect par plusieurs rhuniens et commença à le questioner sur tout ce qui pouvait s'averer utile par la suite. Lieu des places fortes, nom du chef, sa position etc.

TOURS 136, 137 ET 138

Les Ourouks survivants furent donc cherchés et attachés. Certains interrogés, d'autres prêts à aller intégrer les spacieuses et accueillantes geôles Rhuniennes. Il en ressorti, outre les tripes des agonisants, qu'il n'y avaient plus de troupes dans la cité, que le gros des forces devait s'occuper de charger les troupes divisées en deux et que les ouargues viendraient épauler ensuite les troupes. Mais ils n'avaient jamais imaginés avoir autant d'archers ennemis et autant d'élites présentes.

Déjà, la majorité des blessés étaient ramenés hors des murs de la ville. Tous ceux des murs et des portes étaient ramenés à l'extérieur. Restaient encore ceux ayant subi l'explosion. D'ailleurs, les troupes étaient prêtes à entrer dans la ville, tandis que les estafettes étaient déjà entré dans la ville, à la recherche des groupes de fantassins fouillant la cité.

Keiki reçu aussi un rapport sommaire sur les pertes et effectifs restant.

Citation :: - 743 Cavaliers lourds.
- 7'289 Hallebardiers
- 12'000 Archers
- 7'921 Fantassins à Hache
- 10 Balistes
- 6'459 Infanterie d'Elite
- 19 tours de siège
- 45 Wainraiders
- 150 archers-montés

Mais il précisa que 3 tours de sièges pouvaient être réparées. De plus, environ un millier d'infanteries lourdes, deux milliers de fantassins et un millier d'hallebardiers étaient déployés dans la ville actuellement.

D'ailleurs, dans la cité, beaucoup de groupes de fantassins commençaient à être prévenus par les estafettes et ramenés vers les blessés.

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Bien ! La tactique du Seigneur Naen et de l'Intendant Cirné semble avoir porté ses fruits ! Que tous partent dans la cité ! Il faut aller délogé les sales rats qui doivent s'y caché et les réunir sur la place centrale ! Faites querir le Seigneur Naen et qu'il nous rejoigne, et faites moi ligoter tous les survivant, j'voudrais pas qu'un pechno agresse notre empereur. Les Civils, vous les réunnissez comme j'ai dit. Ce soir, Vin et Viande pour tout le monde mes Amis !

Et un immense cri de victoire se fît entendre tandis que des milliers d'épée étaient tournée vers le ciel. Les hommes se mirent en route pour réunir la populasse encore en vie.

Les soldats exultèrent. La bataille était terminée et bien peu d'hommes, par rapport au nombre d'ennemis, avaient péris. Les archers étaient considérés avec les honneurs qui leurs étaient dus. Grands artisans de la victoire, ils étaient chantés et célébrés par le reste de l'armée. Ensuite, peu à peu, les troupes pénétrèrent dans la ville. Seul un tiers resta à la traîne, affairé à soigner les nombreux blessés. Ensuite, les blessés furent conduis dans la ville, pour être posés sur des lits afin de leur permettre de mieux récupérer de la bataille.
En entrant dans la ville, Naen put y voir de nombreux cadavres ennemis transformés en pelotes d'épingles ou encore brûlant toujours à cause de l'huile bouillante jetée par les assaillants. L'odeur était âcre et beaucoup se pincèrent le nez.

Finalement, ils arrivèrent sur la place centrale de la ville, après avoir passé les maisons ayant explosé et avoir vu les blessés sortis des décombres par les hommes valides. Sur la place, la population avait été réunie. Un nombre incroyable de civils, Ourouks et Humains, se serraient les uns contre les autres, entourés de soldats les tenant en respects. Ils étaient serrés et pourtant occupaient la quasi totalité de la place pourtant impressionnante par sa taille. Naen arriva alors en face d'eux. Mais avant qu'il ne put parler, un soldat lui remit un parchemin avec les pertes de la bataille.

Citation :: - 743 Cavaliers lourds.
- 9'221 Hallebardiers
- 12'000 Archers
- 9'489 Fantassins à Hache
- 10 Balistes
- 7'419 Infanterie d'Elite
- 19 tours de siège
- 45 Wainraiders
- 150 archers-montés

- 6'063 archers d'élites gobelins

Ensuite, vint un lieutenant. Il expliqua à Naen que le palais du seigneur de la cité avait été fouillé. Un grand feu avait brûlé au centre de la pièce, visiblement pour brûler des parchemins. Mais il avait pu découvrir quelques morceaux encore lisibles. L'un d'entre-eux parlait d'objets cachés dans une pièce défendue de pièges. L'autre mentionnait un étrange gardien. Et enfin, le dernier parlait des geôles du Nécromancien. Des éléments bizarres qui mit ensemble devaient certainement avoir une signification...

NAEN GAGNE LA BATAILLE. DOL GULDUR EST TOMBEE ET DEVIENT UNE VILLE DE L'EMPIRE DE L'EST.

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Naen adressa deux mots à un homme le suivant depuis le début et celui-ci ricana quelque seconde avant de partir en direction de l'arrière de la colone où se situait les affaires des hommes comme la nouriture, la réserve des flèches, mais plus important, les Effets personels des généraux et autres personnages important.

Population de Dol Guldur, Aujourd'hui, votre cité passe au Main de l'Empire de l'Est du Rhûn. Vous n'avez aucun soucis à vous faire et je vous garentie à tous un sauf conduit dans la terre que vous voudrez. Ceux qui voudront resté ici le pourront, je m'entretiendrais dans un plus long moment directement avec vous aprés avoir parler à votre représentant et seigneur.

Naen donna ordre aux soldats de ne pas maltraité la populasse et de subvenir à leur besoin dans la limite du raisonable. Le Seigneur de l'Est alla à la rencontre du seigneur de la ville dans son palais pour s'entretenir avec lui... Restait à savoir s'il serait un homme, ou un Ourouk. Et biensûr s'il serait coopérant. La ville était importante au Yeux du Seigneur de l'Est. Elle avait abrité le Dirigeant de la plus Grande Armée de la Terre du Milieu du Dernier Âge. Ce qui n'était pas rien... Loin de là.

Quand Naen arriva au palais, il vit ses soldats terminer de fouiller l'édifice. Seule une pièce restait hermétique à leurs efforts et c'est à coup de bancs utilisé comme un bélier sommaire, qu'ils purent y entrer. Le seigneur de la cité gisait mort dans une mare de sang. Son arme avait atteint son coeur et seul le manche de la dague était encore visible sur le corps de l'Ourouk-Haï. Visiblement, l'Ourouk s'était donné la mort. Il était évident qu'il avait voulu soit éviter la torture et les prisons de l'Empire, soit couper court à tout interrogatoire. Sa pièce fût fouillée mais rien ne fut trouvé. Alors que les hommes semblaient dépités, deux fantassins arrivèrent avec un Dunlending crasseux et en pagne. L'homme fut annoncé comme le conseiller du seigneur de la cité et présenté à Naen. On le jeta au sol et il gémit tel un goret dans la fange.

Au dehors, la population se préparait soit à partir, soit à rester. Mais nombreux étaient les regards fiers et hautains de ces civils qui ne vivaient que pour faire régner la peur sur la partie Sud de Mirkwood. Leurs maisons investies par des blessés rhuniens, beaucoup durent rester sur la place principale mais aucun mal ne leur fut fait.

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L'homme que Naen avait envoyé à l'arrière revint rapidement avec plusieurs sacoche sur ses épaules. Il venait d'assiter à l'échange avec les gardes concernant les informations brûlées et incomplête.

Désolé mon Cher Kyra, il semblerait que le Seigneur de la ville ai sentie votre présence noire...

L'homme regarda derrière Naen et vît le seigneur, un poignard dans le corps.

Arrrrrrk, moi qui m'étais fait une joie de pouvoir transpercer une chaire, la lacéré, lécher la plaie, la re ouvrir, la re lécher la [...]

Du calllllllme, nous avons trouver aparament ce qui semble être le conseiller du Seigneur. Vous aurez tout le loisir de vous défoulez sur lui.

A cette réponse, l'homme souria, ses yeux pétillerent et il se rapprocha de l'homme de Dûn toujours au sol. Il lui releva la tête en le prenant par les joues et tira fort.

Ouh mon petit Cobaye à moi ça ! Ouh c'est mon petit Cobaye hein ?

Du calme hein, il faut qu'il puisse parler.

Mais voyons, vous n'allez pas m'apprendre mon boulot. Est-ce que je vous dit comment prendre une cité moi hein ? Vous réduisez la défense à zéro, je m'occupe de percer les mistères et vous me payez gracieusement.

Exact.

Et puis de toute manière, il a pas besoin de ses doight ni de ses orteilles ou de ses jambes pour parler n'est ce pas ?

Evitez en premier lieu les doigts, il se pourait qu'il doive écrire...

Hum... Si en plus vous jouez les manianimes... Bon, vous deux, attachez le, on va faire ça ici, ça sera beaucoup plus amusaaaaaaaaaaaant.

Et l'homme gloussa tout en montrant deux gardes. Une fois l'homme de Dûn attaché, Kyra prit une sacoche, il sorti de celle-ci une sorte de rouleau de cuir qu'il posa au sol et qu'il déroula. A l'interieur se trouvait moulte outils. Crochet, lame, aiguisé, ou non, lame pour déchirer, lame pour évicérer, lame pour sectioner.

A nous deux mon cher, comment vous appelez vous ? Etes vous réellement le conseiller de ce personnage.

Là, Kyra pris la tête du seigneur et le tira par les cheveux jusqu'à devant le conseiller tout en faisant attention de le laisser hors d'atteinte.

Je vais vous posez plusieurs questions simple. Si vous y répondez, vous n'aurez rien, si ce n'est un repas chaud et une bonne boisson. Si vous vous obstinez à demerer dans le silence, je serais contraint, et ravis -il gloussa à nouveau- d'utiliser mes hum... Dons personnels sur votre personne.

Là, il prit une lame affutée, et déchira l'abdomen du seigneur de la ville ce qui eu pour cause de vider une partie de son contenu.

Première question. Nous avons quelque papier brûler ici et des brides d'informations. Complétez les, et vous serez toujours vivant aprés notre entretien, ce qui n'est déjà pas si mal. Aidez nous à avoir ce que nous voulons, et dans ce cas là, vous serez un homme libre ! N'est ce pas Seigneur Naen ?

Tout à fait, il faut récompenser ceux qui se mettent à notre service voyons... Et puis, j'aurais bien besoin d'un intendant pour cette cité plus tard.

Oui oui, ne jouons pas trop dans le sentimental voulez vous. Donc, soit vous coopérez dessuite, soit je ferais sauter vos orteils un par un comme un bouchon de bouteille de bulle alcoolisé.

Et, joignant le geste à la parôle, Kyra coupa un doigh de l'ourouk, petit à petit, en coupant phalange aprés phalange. Une fois fini, il planta la lame dans un morceau du doigh et fît basculer de droite à gauche le résultat par le manche.

Tic-Tac-Tic-Tac, le temps tourne, faites vite, ma proposition de ne rien vous faire est limité dans le temps, trèèèèèèès limité. Et par pitié, ne bagayez pas ce serait d'un banal et celà n'aurait que pour résultat de nous énerver...

Hrp : Les Citoyens sur la place restent sur la place, ils sont gardés par mes soldats qui ont pour ordre de ne laisser partir personne. Je ne voudrais pas que certains fuient comme ça avant d'avoir pu entendre ce que j'avais à leur dire.

[HRP : T'inquiètes pas, tant que tu n'as pas donné d'ordre contraire, les soldats restent où ils sont, à faire ce qu'ils font.]

Kyra utilisa d'une partie de ses charmes pour appater le Dunlendings. Celui-ci avait les yeux exhorbités et semblait apeuré par ce que lui avait dit le Rhunien. Mais en lui coulait le sang des Dunlendings. Il n'était pas n'importe qui non plus, Humain haut placé dans une société Ourouk-Haï où comptait la force et la cruauté. De plus, sa lignée n'était pas issue du groupe d'Hommes de Dun ayant participé à la guerre de l'anneau, à la suite du chef Wulf. Aucun membre de sa famille ne s'était ensuite installé au Riddermark et n'avait pactisé avec l'ennemi. Sa lignée était pure. Uniquement composée de Dunlendings puissants et sauvages, elle avait uni son destin à celui des Ourouks de Dol Guldur.

Certes à présent son seigneur gisait dans ses tripes et son sang. Certes, lui-même avait peur. Mais ce n'étaient pas là les raisons suffisantes pour qu'il abandonne sa fierté d'Homme. Bien qu'il savait Kyra trop intelligent pour être manipulé par une personne comme lui, il risqua le tout pour le tout.

"Je suis Zorf, bras droit du grand Azark. Maître des légions de Dunlendings et régent de la cité de Dol Guldur."

Il laissa passer un moment avant de répondre.

"Mais je ne vois pas de quoi vous voulez dire (Jamel's copyright^^) à propos des parchemins."

Quand ils lui furent mis sous le nez, il se mit à les lires. En les lisant, il reporta son regard sur les armes du bourreau. Il s'écrit donc

"Ah... CES parchemins! J'ignorais que le seigneur avait les originaux. Moi-même, je n'ai lu que leurs copies dans un ouvrage d'une bibliothèque de l'Isengard. Vous savez, notre cité était jadis une partie du royaume d'Huruk I. Et nos principaux ouvrages ont été déplacés là-bas. C'est pourquoi ils ne sont pas ici et ne peuvent donc être lus en ces murs. C'est extrêmement fâcheux mais je ne peux donc pas vous aider et, voyez-vous, comme disait ma pauvre mère, paix à son âme, les voies du Seigneur sont impénétrables. Aussi, je ne pense pas que l'on puisse savoir si Huruk II vous laisserait accès à sa bibliothèque, vous ne pourriez donc pas lire ces ouvrages et n'auraient donc pas les informations et..."

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La lame fusa, rapide, tranchante, elle s'arreta à quelque centimètres de la jambe du Conseiller.

Mauvaise, très mauvaise réponse mon cher... Nous voulons une réponse organisé. La douleur vous aidera sans doute à vous focaliser sur les réels besoins de notre mission. Entre nous, Zorf, le Grand Azark n'est plus, et le Brave Zorf n'est plus de ce monde égallement. Vous n'êtes qu'une ombre, un homme crasseux, qui pourrait bien le rester tout le long de sa pietre existance sans autre forme de procés.

Vous êtes maintenant un Rat, un Rat Puant, Sale, qui pourrait très bien avoir contracté la peste. Parlons des choses que nous pouvons d'hors et déjà vérifiée. Les Geoles du Nécromancien, le Gardien et la pièces défendues de piège. Est-ce que ces trois parchemin parlent de la même chose ? Si oui, que renferme cette pièce, nous avons des Espions mon cher Azorf, des Espions qui ont su faire leur travail et qui nous ont informer. Vous êtes un bras droit d'exeption, un bras droit bien informer même. Vous êtes au courant de chose qui ne vous concernez pas forcément.

D'ailleurs Seigneur Naen, si votre rapport d'information est éxact, il devait rester 3 espions dans cette ville à épier le moindre fait et geste non ? Il serait temps de les retrouver...

Vous avez raison, je vais demander au capitaine en charge de la fouille de la ville s'il n'a pas trouvé ces braves petits.

Sur ce Naen sorti de la salle laissant ainsi Kyra et les deux gardes seuls face au conseiller. Il alla donner ordres de rechercher les Espions, et égallement de faire un plan détaillé du Palais en l'explorant et de venir le chercher pour toute information importante.

Pendant ce temps, Kyra gloussait et était heureux.

Il est parti, parti parti paaaaaaaaaarti !

Bien, Maintenant que l'amateur est paaaaaaaaaarti, répondez moi viiiiiiiiiiite sinan je serais obligééééééééé de vous transpercerrrrrrrrrrrrrr Niark niark niark niark !

Et sur ce, Kyra laissa courir la lame sur l'épaule du Dunlendings pour lui faire une petite coupure peu profonde.

Que le sang coule coule couuuuuuuuuuuuuuuleuh !

Apparament, sans personne pour le contrôle, Kyra était un homme prêt à tout... Dangeureusement prêt à tout...

Même de son vivant, le sanguinaire Azark n'avait inspiré une telle peur à Zorf. Le Dunlending, d'ordinaire sûr de sa force était apte à remettre à sa place tout Ourouk jugeant sa position imméritée. Sa force était de loin supérieure à ce qui semblait connu chez un homme conventionnel et même les plus grands guerriers de cette terre n'avait pas à espérer avoir plus de la moitié de sa force. Une force brute non travaillée mais suffisant amplement dans cette cité. Mais là, il n'était plus rien. Il essaya de briser ses liens, mais les cordes lui rentrèrent dans la chair et le firent saigner, causant une vive douleur là où la corde entrait en contact avec la chair mise à nue. Ses yeux roulèrent et devinrent blanc, presque aussi impressionnants que ceux de chevaux frappés de terreur.

Son regard se porta successivement, et à plusieurs reprises, des armes de Kyra à ses yeux. L'homme était un fou, c'était indéniable. Se délecter à la vue du sang n'était pas un jeu rhunien. De Dun ou de l'Isengard oui, mais pas du Rhun. Il se dit que pour rester en vie, il n'aurait qu'à jouer le jeu de cet homme. Après tout, ce n'était pas comme s'il avait fuit sur un champ de bataille. Son seigneur s'était suicidé lui aussi. Alors, il capitula :

"Bien, je vais vous le dire."

Il regarda droit dans les yeux de Kyra malgré la peur que ce dément (pensait-il) lui inspirait. Au moins, celui-ci pourrait juger de sa sincérité.

"En fait, oui les trois parchemins parlent de la même chose. Pour résumer et vous en dire l'essentiel une fois nettoyé de toutes les répétitions et idioties dites par les anciens, le premier parchemin parle d'un "trésor", c'est le mot utilisé. Il reposerait dans les geôles du Nécromancien. Nous ignorons la nature du trésor. Nous l'aurions cherché s'il n'y avait pas eu le second parchemin. Celui sur le gardien. D'après ce qu'il en ressort du parchemin et de la fouille d'une partie de la bibliothèque de l'Isengard, celui-ci serait un monstre tantôt éthéré, tantôt solide. D'une taille semblable à celle d'un troll, il serait proche d'une âme qui recouvrirait parfois son corps."

Il soupira puis reprit.

"Ca sonne bizarre et incroyable mais tel est le contenu des parchemins. Le dernier est un plan d'accès aux geôles. Mais vous n'en avez pas besoin... je peux vous y conduire."

Il attendit la réaction de Kyra avec appréhension. Cet homme n'était clairement pas prévisible ou appréhendable. En tout cas pas par lui. Et Zorf n'était peut etre pas une lumière, mais il savait reconnaître l'intelligence et la perfidie.

Dans la ville, on cherchait les espions qui sortirent bientôt d'une grange où ils s'étaient cachés. Ils furent amenés devant Naen.

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Ark ark ark ! Pourquoi répondre si vite ! Et mon Bon plaisiiiiiiiir ?!? On pouvait prendre tout notre teemmmmmmmmps ! N'y a-t-il pas d'autre secret caché dans la bibliothèque détruite ? Et je ne peux pas croire que vous n'ayez jamais tenté de pénétrer dans les Geoles...

Et moi non plus. Apparament vous avez réussi à le faire parler. On va regrouper ça avec les Informations de nos espions... Mais, il est blessé à l'épaule ? Boah, ça a pas l'air profond et puis vous avez raison, ses bras et jambes ne lui servent pas à parler...

Aprés un rapide récapitulatif sur les nouvelles informations acquises entre les divers protagonistes, les questions reprirent.

Bon les Espions, Avez vous des informations concernant le palais en lui même et les Geoles du Nécromancien ? Vous le Conseiler Zorf, répondez aux questions précédement posées rapidement sans détour. Ensuite, nous allons nous rendre aux geoles en notant le plan. En chemin vous aller nous raconter toutes les histoires que vous connaissez... Vous avez l'air d'être particulièrement informer sur les choses de cette ville.

Là, Naen laissa le temps aux Espions de faire leur rapport, puis ils se mirent en route vers les Geoles en prenant soin de délégué à un scribe la tache de noté sur un parchemin le chemin emprunté. Pendant la route, Zorf raconterait alors ses histoires. Du moins, il le devrait s'il ne voulait pas finir en pature à Ouargue...

Le rapport des espions était bien maigre. Ils n'avaient pu récolter que des informations sur la composition d'armée et avaient du se terrer rapidement pour éviter d'être pris dans le feu de l'action.
Quand à Zorf, il répondit aux questions.

"Non, rien qui ne se rapporte aux geôles. Mon seigneur a certainement brûle plus de parchemins pour vous induire en erreur. De plus, il existe beaucoup de copies de ces trois parchemins. Peut-être les a-t-il tous brûlés.

Et au risque de vous décevoir, je n'ai jamais tenté de pénétrer dans ces maudites geôles. Le parchemin parle d'un être tantôt éthéré, tantôt vivant. Mon épée ne peut rien contre cela. Je ne suis pas un couard, mais je sais que je ne suis pas un dieu non plus. Peut-être si j'avais une antique épée cela serait-il possible. Mais pas actuellement. Nous avons même envoyé des berserkers et aucun n'est revenu. Alors croyez-moi, nul ne peut y pénétrer!"

Il se tû alors puis les mena à l'entrée des geôles. Elle était dissimulée dans un petit coin boisé de la ville et la porte était recouverte de plantes grimpantes. Il les écarta vivement puis laissa apparaître une arche en pierre servant d'entrée. Elle était fermée par une énorme pierre. Avec l'aide de plusieurs hommes, il la poussa et l'entrée se dévoila.

Un vent glacial et chargé de haine sorti et glaça les os des hommes. Ils ressentirent l'hostilité qui émanait du vent comme s'il s'était s'agit d'un être vivant. Les plus faibles furent déstabilisés profondément et l'un d'entre eux remit même son repas.

"Voici donc l'entrée des geôles. Souhaitez-vous toujours y pénétrer Seigneur Naen?"dit Zorf, qui craignait visiblement de devoir y pénétrer.

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Je n'ai jamais dit que je voulais y pénétrer aujourd'hui. Mais nous allons le faire. Pas aujourd'hui, pas demain, mais dans un futur proche mon cher Zorf. Et vous serez de la partie si celà peut vous rassurer sur votre sort. Kyra, je vous laisse encore une demi heure avec ce brave conseiller, faite sortir de cette outre percée tout ce que vous pouvez.

Bien monseiiiiiiiiigneur, tout ce que vous voudrez...

Kyra souria alors en direction de Zorf, lui et deux gardes partirent alors en direction du palais pour une nouvelle scéance d'intérogatoire. La seule chose qui pouvait encore rassurer Zorf, c'était que Naen avait dit qu'il irait dans les Geoles... Enfin... Mourir devant Kyra ou dans les Geoles face à un monstre légendaire... Que choisir...

Je vais de ce pas aller voir la populasse qui doit toujours attendre sur la place principale. Nous aurons des affaires urgentes à réglées qui demanderont un long déplacement à l'Ouest. Que l'on envoie immédiatement un Faucon à Uldonawan pour l'Intendant Cirné, dites lui de rechercher dans tout ce que compte de légende le pays ce qui pourrait se rapporter à la définition du monstre. Urgence immédiate. Faites prévenir Keiki que lui et moi ainsi qu'une trégion d'Infanterie d'Elite allons partir dés demain en direction de l'Ouest. En Arnor.

Là, Naen prit le Plan dressé par le Scribe, le regarda attentivement, et le rangea dans sa tunique, prés de lui. En Sécurité. Il prit ensuite la direction de la Place principale. Arrivé labas, il se mit à la vue de tous et attendit d'avoir leur attention à tous.

Peuple de Dol Guldur, vous êtes dés à présent habitant de l'Empire de l'Est. Je suis votre Empereur, Naerin. En terrassant votre défense en une journée, nous avons prouvé à vous tous notre suprématie. Vous ne serez pas traité en ville inferieur, dans l'Empire, Chaque ville est importante, surtout celle-ci, laquelle est très importante à mes yeux.

Votre but dans la vie était de téroriser la région en chassant elfe, marchant, et ville avoisinante. Je vous propose dés à présent d'étendre cette domination à toute la forêt Noire. Oui vous avez bien entendu. Il y a plusieurs Lune, la Forêt noire entière, accompagné de nombreux hommes, et Nains ont déferlés sur nos Terres. Longs ont été les Sièges, et dur a été la vie à cette époque. Mais nous les avons repoussé ! Nous les avons battus, et maintenant, sonne l'heure de la Vengeance !

Vous faites maintenant parti de mon Peuple, et considererais tout ceux qui voudrons rester comme partie intégrante de l'Empire au même titre que mes autres villes. Mes Quattres Autres villes. Et je profite de cet instant, pour vous annoncer qu'aujourd'hui. Une autre ville est tombée ! Une ville Elfique ! Celle du Seigneur Thranduil, qui, à l'aide de fond économique important, avait aidé l'Enemi en lui fournissant de l'aide !

Aujourd'hui, le Sud et le Nord sont tombés. Demain, nous attaquerons le centre de cette formation et porter le coup final au coeur ! Joindrez vous à moi ? Ou préfererez vous partir vers les Terres d'Isengard et du Seigneur Huruk II ? Voulez vous partir en conquête de Terre Elfique trop longtemps souillée par leur présence ? Ou vous terrerez vous dans les frontières d'un pays n'avançant plus ?

Que ceux qui veulent partir parte ! Aucun mal ne leur sera fait et ils seront escorté jusqu'en Isengard. Que ceux qui veulent rester, et voir Dol Guldur, sous l'Etendars de Mistrand et de l'Empire, conquérir plus qu'elle ne l'a jamais le fasse !

A vous de décidez !

Là, les soldats baissèrent leur armes et s'écartèrent pour laisser passer les gens désireux de partir. Aux Portes de la ville, chacun seraient fouillés pour voir ce qu'ils emportaient et une liste précises des personnes quitant la ville serait dressée. De grande choses allaient se passer dans un futur très proche...

Tandis que Kyra et Zorf se dirigeaient vers une salle où ils pourraient laisser libre court à leur passion, Naen alla faire un discours à la populace. Celle-ci fut quelque peu surprise du discours tenu. Ainsi Naen comptait les laisser faire ces rapines et autres pillages. Mais pour son compte! Ils n'étaient plus libres mais pouvaient vivre comme ils l'avaient toujours fait. Après tout, un seigneur en remplaçait un autre, sauf que désormais le seigneur était humain. Une partie de la population se dirigea vers la sortie mais elle était faible. Très faible en comparaison du reste. 20% tout au plus. Mais celle-ci arriverait-elle à destination alors que ce n'étaient que des vieillards, femmes et enfants? Naen leur donnerait-il charrettes et vivres, ainsi qu'une protection? Là était leur seule chance de survie... à moins qu'il ne parvienne à les convaincre de rester, la main d'oeuvre étant toujours utile.

[HRP : je vois pas trop ce que je pouvais dire^^ J'attends que tu me dises ce que tu fais ensuite.]

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Bataille Lock. S'en suit plusieurs Rp dans plusieurs partie, visible ou non.