Visite a Cassadar.

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Kourajeu l'un des émissaire de Pirgul, fut envoyé a Cassadar, vu que a Brak-Shattur cela n'avait pas fonctionner autant essayér ailleur.

"Dans unegrotte on a grandiiiiii....
Depuis tout jeune on vole des pigeoooooons....
Piquer l'argent c'est notre viiiiie.......
Et nos loisirs c'est le pognoooooon......"

Il s'arreta devant la porte de la mine et dit a voix haute et claire.

"Bonjour habitant de Cassadar j'voudrais bien rencontre vot chef pour parlementer."

[HRP : bon, je nettoie un peu tout ce HRP^^]

Alors que l'été était bien entamé, les plaines du Withered Health où s'élevaient les mines de Casadar étaient calmes. Les terres gobelines avaient longtemps redouté la présence des nains de Dum-in-Korn et encore plus leur nouvelle relation avec l'Erebor et le Royaume renaissant du Haut Roi Mazarbul Silk II. Ce ne fut donc pas étonnant que dès que Kourajeu le gobelin arriva à ses abords, une foule d'yeux malveillants apparurent sur les côtés du chemin qu'il foulait de ses pieds sales mais habiles.
Pressant le pas et surtout son baluchon contre lui, il arriva à la porte de la Mine où il demanda audiance.

Mais la diplomatie n'est pas une valeur coutumière des gobelins et des gens vivant dans la crainte d'un ennemi. Alors, pour des gobelins vivant dans la crainte d'un ennemi, il ne fallait pas espérer une once de diplomatie. C'est pour ça, qu'en moins de temps qu'il ne faut pour dire ouf, que dix gobelins d'élites sortirent des fourrets bordant la mine et encadrèrent le gobelin. Avant de le transpercer de leurs lames habiles, ils reconnurent une peau verte... qui n'avait de verte que le nom vu son état poisseux, oedémisé et craqué.

Le chef de la fine équipe s'avança, sous le regard méfiant des autres gobelins et, crachant par terre après avoir ôté son casque, lança à Kourajeu sur un ton méprisant :

"Kek'tu veux ti?"

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Kourajeux est une fiertée des diplomate du groupe D.I.L.P: Diplomate Ignorant La Peur, un groupe de gobelins qui poussent leur membre a oublier la peur a grand coup de massue et de parole endocrinante qui ne laisse au gobelin qu'un seul désir celui de négocier, ce processus ne marche pas pour les troupes reguliere celle-ci oublians alors la peur mais aussi comment combattre.

Ce n'est guere surprenant que Kourajeux, n'ai pa eut peur des guerrier, maisplutot de leur lance, l'un d'eux lui dit.

"Kek'tu veux ti?"

"Ah Ke j'voudré bien côsé a vot'chef pour parlmenté bizness."

Le chef des gobelins d'élite haussa un de ses sourcils. En fait, le seul qui lui restait, l'autre ayant été visiblement brulé et la plaie rosâtre qui se trouvait en lieu et place de son défunt sourcil indiquait clairement qu'il ne restait plus là qu'une zone imberbe où son ancien signe de virilité ne pousserait plus jamais. Le gobs en question se plaisait à raconter qu'il avait survécu au feu d'un immense Ver, mais dans la réalité, c'était un bain un peu trop bouillant que lui avait préparé sa défunte mère. La pauvre, ayant quelques épars cheveux (ou plutôt poils) blonds, voyant que le bain annuel de son rejeton était bouillant, alla se chercher une paire de gants mais ne prit rien pour son pauvre petit être malformé.

Derrière le diplomate du D.I.L.P. et le chef de la patrouille, les autres gloussaient, se demandant ce que le chef allait faire de cet idiot perdu loin de chez lui. Mais bizarrement, le chef jugea qu'il serait plus préjudiciable de ne pas tirer bénéfice de la venue de ce gobelin et il accepta de le laisser entrer.

"Oki doki. T'peux rentrer. Mais t'ention! Pas d'entourlipouilles : on veux tes armes, tes bouts de verre et tes guêtres... non, ça en déconne hahaha."

Puis, tandis que le gobelin s'éxécutait, il hurla en tournant la tête vers la porte de la mine :

"Oh les gars! Laissez passer le gobelin que voilà! V'la ti pas qu'il veut causer à not'chef!"

Puis, alors que le lourd bruit des portes tournant sur leurs gonds se faisait entendre, il se tourna vers un de ses hommes,

"Toi là! Eskot le! Et à la moindre entourlipouille... Zquik!"

Cette phrase, accompagnée d'un geste gracile et charmant de la main du gobelin en travers de sa gorge ne laissait aucun doute quand à la teneur du message...

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Voyant que sa vie ne tenait qu'a un sourcil, il preferat suivre toute les indication qu'on lui imposat jusqu'au chef de Casadar. employant pour la forme son language pompeux.

"Bien le bonjour votre grasouillete majestuositée, mon vénérable Furoncle lumineux et chef Pirgul m'envoie vous demander une pret, d'envirron euh hum....six cent-cinquante piecette dorée qu'on vous rendrait évidemment dans de bref délai et majoré de disons septante pieces. Si biensur votre gracieuse boursouflure est d'accord."

Le chef tronait dans une salle creusée à même la pierre où se mélangeaient la fange et des cadavres pourissants près desquels se régalaient quelques gobelins. Autour du trône, deux immenses gobelins dépassant les autres d'une tête et formant la garde rapproché du seigneur de Casadar qui n'en était pas moins impressionnant.
De ses deux petits yeux empleins de haine et de cruauté, il considéra la pitoyable créature qui se trouvait devant lui et avait l'audace de lui demander un prêt. Il ouvrit sa bouche, découvrant ses crocs acérés (et pour la plupart pourris) et parla :

"Tu viens ici sans te présenter et tu me demandes de l'or! Mon or! Gagné à la force de mes bras en étripant ces misérables nains et leurs copains à grandes oreilles.

Tu es bien hardi toi! Et dis moi en quoi ça me serait utile? Les septante pièces, je les prends en réduisant ta ville en charpie! D'ailleurs, donnes moi une seule bonne raison de ne pas te tuer!"

Tout en parlant, il avait sorti un immense cimeterre dont il lécha la lame. Ce faisant, il découvrit ses bras précedemment cachés par l'ombre réignant dans la salle. Ils étaient couverts de cicatrices et apportaient du crédit à ses propos.

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Kourajeu ne s'effraya pas devant ca lame, mais un petit fond
d'instinct gobelin lui fit tout de meme déglutir difficilement le tout
accompagné d'une miniscule goutte de sueur le long de la nuque.

"Euh...Eh bien premierement sa vous éviterait une guerre ouverte avec un royaume
gobelins asser proche de l'erebor, c'est vrai qu'avez vous a ganez a
déployer un contingent armé vers Azanulimbur-Dum, les nains vous
verrait assurément et le gros pataux Silk le puant *Crachat* enverrait
a coup sur son armée pour vous détruire, a moins que vous n'ayez ce
qu'il faut pour vous défendre contre l'armée d'erebor tan redoutée de
ce coté de la terre du milieu......."

il laissa sa phrase en suspens le temps que son interlocuteur comprennent bien puis il surencherit:

"Avec ce pret vous gagnerez la gratitude de notre empire, naissant certe,
mais vaut il mieux un ennemi puissant et des allié en pleine croissance
ou deux ennemi dont un qu'on sait qu'on ne peux vaincre seul?"

Tout ce vocabulaire soigné avait fatigué le pauvre et minuscule cerveau
ramoli de Kourajeu cependant il était sur que ce qu'il avait dis , qui
était vrai chaque gobelins de ce coté des montagne le savait,
travaillait le roi assis en face de lui d'ailleur il lui semblat avoir
vu un tressaillement dans le regard du monarque a la mention du nom de
"Silk".

Le grand gobelin de Casadar regardait le petit émissaire Kourajeu. L'évocation du nom de Silk avait fait s'alarmer les petits gobelins qui bouffaient dans le coin. Les gardes d'élites avaient déglutis tandis que l'émissaire et le grand gobelin se regardaient. La bouche du natif de Casadar s'ouvrit en un fin rictus d'où siffla sa voix ne répétant qu'un seul mot :

"Silk...Silk..."

Il frappa son poing sur l'un des rebords de son trône et il s'emporta.

"Ce nain! Cette fripouille qui tente de dominer nos terres! Comment oses-tu prononcer son nom en ces terres? Ne sais tu pas que des têtes sont tombées pour moins que cela?"

Il rapprocha son épée de la gorge de Kourajeu et appuya un peu plus sa pointe. Un mince filet de sang s'écoula le long de la gorge de l'émissaire. Cela excita l'un des deux gardes encadrant le voyageur. Le sang appelant le sang. Mais un claquement de dents du grand gobelin le fit se calmer.

"Tu veux mon or? Et pourquoi n'attaquerais-je pas ton chef pour gagner plus de septante misérables pièces? Cela renflouerait bien mes caisses de devenir le propriétaire d'un second village. Qu'à tu à répondre raclure de bidet?"

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l'emissaire de Pirgul se disait qu'il serait bien rester chez lui ce soir mais il avait un boulot et mourir ici ou chez lui s'il avait échoué....

"J'ai...j'ai a répondre....J'ai a répondre que si vous aviez voulu nous attaquer sa serait déja fait! pis si vous avez les nerf quand je dis silk...silk silk silk *il se mis a le chantonner* c'est que vous ne avez peur! oui les nains veulent nous prendre nos terre!

"Et je voudrais votre or" on dit si t'est pas joli soit au moin poli! Je voudrais votre or pour faire plaisir a mon chef qui veux une armée pour casser la tete au nain se qui te ferai un probleme en moins ! en plus t'y gagneria septante piece de plus et un guerre a regarder ou t'est meme pas concerné et t'a tout a y gagné si on boute les nain or d'ici tu pourra te la couler douce avec tout ton tralala! et si on se fait exploser laors tu pourra continuer a vivre ta petite vie!!!"

Ses yeux était exorbité, sa respiration saccadée, et son interlocuteur couvert de postilion.

Un steak... voilà tout ce que représentait désormais le pitoyable Kourajeu aux yeux du grand gobelin des Mines de Casadar. La pauvre petite chose ne se rendait pas compte que ses mots ne faisaient que salivait le seigneur auquel il avait l'audace de faire une morale typiquement gobeline. En plus, il venait de se retirer de l'étreinte de son cimeterre et dansait au milieu de ses gardes. Le chef de la Mine et des environs ramena son sabre à portée de langue et en lécha le sang qui s'y trouvait.

"Attrapez-moi cet avorton!"

A ces mots, ou plutôt ces hurlements, Kourajeu fut littéralement soulevé par deux gardes et ramené devant le grand gobelin. Celui-ci passa sa lame le long de la tunique du misérable steack qui se tenait devant lui. Il le regarda pitoyablement.

"Tu me rendras cent pièces d'or! Et tu t'y appliqueras en deux mois! D'ailleurs, il vaudrait mieux que je te donne de quoi t'en rappeler... Genre un noeud dans un mouchoir."

Un sourire malfaisant s'afficha sur son visage tandis qu'on amenait le coffre contenant les 650 pièces d'or. Il trancha une jambe à Kourajeu qui fut rapidement bandé et à qui on donna une béquille de fortune. Un baton en somme.

"La souffrance est bien bonne tu ne trouves pas? Niark niark niark. Je t'aurais bien coupé un bras, mais il faudrait que tu portes ça, alors une jambe suffit."

Il planta son sabre dans la jambe fraichement coupée et la remonta à sa bouche pour s'en repaître, sous le regard avide des gardes. Mais d'un geste, ils furent calmés et on les envoya escorter un Kourajeu souffrant et gémissant. Il fut jeté hors de la ville qui l'attendait dans un mois et encore dans un autre...

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partant aussi vite qu'il le put Kourajeu emmena l'or qu'il devra rembourser majoré de cent pieces d'or supplémentaires.

[HRP] désolé j'avais pas compris loléco modifiée. [HRP]

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Furtifs, rapides et silencieux les porteur se hatèrent pour déposer le petit coffret devant casadar, une fois terminer il s'enfuirent rapidement.

Quelque gardes approchèrent, exéminèrent le coffret et trouvèrent un mot.

Voila le premier versement de l'or qu'on vous doit,
325 pièces.Le suivant le mois prochain.
Pirgul.

[HRP] éco modifiée -325 pièces d'or.[HRP]

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le dernier envoi d'or et Pirgul aurait fini sa dette envers ces gobelins fou furieux de casadar, quatre cent vingt-cinq pieces d'or pour ariver au total des sept cent-cinquante précu, les porteur ne s'attardèrent, pas depuis que Kourajeu est mort on dit qu'on peut entendre ses cri d'agonie a l'entrée de la mine de Casadar, mais personne n'a jamais été vérifié.

[HRP]éco modifiée-425 po[HRP]

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