Retour à la maison

Éléandoreïl et Galedor venaient de saluer une dernière fois leurs amis, le seigneur Talioran et le nouveau roi de l'Arnor Valindor ainsi que feandros et fengir. La troupe d'elfes composée d'Éléandoreïl, Galedor et les dix cavaliers, reprirent la route en direction de l'Eregion et du Rhudaur.
L'aprés-midi était ensoleillée et la température était fort agréable.

- Si ça ne vous gène pas j'aimerais que nous pression le pâs car il me tarde de revoir les miens. Avait dit Éléandoreïl. Le seigneur Galedor aquiesa de la tête et tous les cavaliers les accompagnant semblaient étre du même avis.

Éléandoreïl jetta un dernier regard en direction de Talioran et Valindor, qui se saluait respectivement, Talioran monta à cheval et fit un signe de la tête à Éléandoreïl, qui le lui rendit. Puis Éléandoreïl se retourna et éprona sa monture. Le cheval se cabra légerement, heni, et parti au galop. Le reste de la troupe s'élença derrière lui. Ils franchirent les portent d'Annúminas en coup de vent si bien que les gardes en furent stupéfaient et ne se rendirent compte de qui venait de les passer que lors que ceux-ci se trouvaient déjà hors de vue.

Éléandoreïl et Galedor chevauchaient silencieusement, cote à cote, entouré de l'escorte de Fennas Drúnin. Tout ces évênements avaient replonger Éléandoreïl dans de vieilles histoire que lui conta autre fois son père, qu'il tenait lui même de son père Elrond. Cette découverte plus que surprenante d'artefacs d'une telle valeur avait déconcerter Éléandoreïl.

*Ce pourrait-il qu'il y ait d'autres objets d'une telle valeur discéminer sur les terres du milieux ? Et si c'était le cas la découverte de certain de ces artefacs pourrait devenir un dangers enorme, selon qui les trouvent....*.
Pensa-t-il.

Mais ses idées s'evanouirent rapidemment de son esprit car les dernières nouvelles reçus de Fennas Drúnin l'inquiétait encore plus.

- Il semblerait que l'esprit de Morgoth habite encore sur Arda. Dit Éléandoreïl qui s'était retourner vers Galedor.
Celui-ci lui répondit d'un hochement de tête et l'expression de son visage en disait long sur ce que lui inspirait les dernier evenemments occuruent en Eregion. Ce furent les seuls mots qui furent pronnoncer durant tout le début de leurs voyages.

La troupe avançait à vive allure et personne ne les vit. A leurs sortie d'Annúminas la troupe avait pris le chemin le plus court pour rejoindre l'Eregion. Ils avaient suivit le Baranduin pendant plusieur kilometres pour enfin le traverser à la hauteur de Fornost Erain. Ils avaient ensuite obliquer en direction des colines d'Emyn sûl au peid des quelles ils arrivèrent la nuit tombante. Ils firent donc halte et un campement de fortune. Un feu fut allumé et Éléandoreïl tira quelques lembas qu'il avait emporter dans sa "quantine", il en donna un à chaqu'un. Le ciel était claire et la lune et les étoile l'éclairait de leurs rayons. Éléandoreïl les observa un instant.

* Qu'Elbereth et Manwë nous guide et nous protèges en ces momments difficil*. Telles étaient les pensées d'Éléandoreïl quand une brise vint lui répondre et le tirer de ses pensées.

Il regarda ces compagnons de voyage. Tout le monde était silencieux et pensif. Éléandoreïl rompit alors le silence.

- Je sais que des heures sombres nous attendent. Mais cela n'est que passager. Il nous faut maintenant commencer à nous proteger et surtout à rester vigilant. Nous devrions commencer à surveiller les frontières de nos royaumes et à nous unir le plus possible.

Tous c'étaient retourner vers Éléandoreïl. Celui-ci resta un court instant silencieux. Puis il s'adressa à Galedor :

- Je sais que j'ais été injuste à votre égard, noble Galedor, lorsque je reprocha les méfaits de vos ancêtres à l'égard des miens. Car voyez vous nous avons, d'une certaines manière, les même ancêtres mais je ne voulais pas accepter qu'en moi coule un sang qui fut maudit. Comme vous le savez Elrond était aussi bien de déscendance des Noldor comme des Nandor et même des hommes. A ces mots Éléandoreïl baissa les yeux mais les releva bien vite.
Ce n'était que me voiler la face que de vouloir rejetter ces diverses origines dont je suis finalemment fier. Je voulais donc vous demander d'excuser ma maladresse et ma naïvetée.

Éléandoreïl regardait Galedor dans les yeux et celui-ci pu voir le profond regret qu'Éléandoreïl ressentait à ce momment.

- Désormais je ne me mentirais plus à moi même et je porte avec fierté ces différente origines. J'espere donc que vous pardonnerez ma jeunesse et ma fougue. Finit-il par dire.

Il fit une pause pendant laquelle il plongea son regard dans le feu.....

Galedor le dévisagea un instant, puis se fendit d'un immense sourire.

"Je ne puis que vous pardonnez, vous venez de me mettre la puce à l'oreille"

Eléandoreïl parut surpris, il ne comprit pas tout de suite ce que Galedor voulu lui dire.

"Je vous excuse, car la jeunesse, est toujours un période fougeuse, je l'ai aussi vecu, et j'ai l'impression de la revivre, après mon... depuis que..."

Il ne semblait d'un coup plus aussi confiant. Il ne souhaite pas parler de son passé, si long, si dure, si...

"... Enfin cela n'a pas d'importance, mais dans ma jeunesse, j'ai longuement dû étudié la généalogie de mes ancêtres, et je viens de me souvenir, qu'Elrond, votre grand-père, et Gil Galad, mon père avaient un liens de parenté. En effet nous n'appartenons pas uniquement à la même race, nous sommes aussi de la même famille...

Nous sommes cousins éloigné, mais à un degrés si éloigné que celui ci même m'échappe, mais en nous coule le même sang, nous n'avons aucune honte à avoir de nos ancêtres, ils ont fait ce qu'eux jugeaient bon, aujourd'hui nous en faisons de même."

Sur le moment de cette révélation, le seigneur de Fennas Drùnin, parut interloqué. Galedor décida cependant de reprendre sur une note moins joyeuse.

"Morgoth, à toujours hantait les sombres nuits des elfes, il notre plus puissant adversaire, mais où qu'il se cache, en attendant son heure, qu'il y reste. Je me préocupe plus de notre futur destins. Vous parliez de nos ancêtres, si vous tenez à vous racheter, sachez que vous n'avait nullement besoin de le faire.

Nous sommes les garants des Monts Brumeux, le premiers rempart de l'Arnor contre les forces de l'Est, et toutes ses immondes créatures. Une mission nous est confié : protéger les hommes.

Et si Morgoth, tenait à nous faire venir un nouveaux mal en Terre du Milieu, nous le renverrons de là où il vient."

La tension était monté, à la mention de Morgoth, Le Noir Ennemi. Galedor ne souhaitait pas en parler plus longtemps.

"J'ai été perplexe de la découverte de cet anneaux, il ressemble étrangement aux mien. Il m'est venue à l'idée que je pourrai trouver où ont échoué les deux autres anneaux elfiques, il se sont perdu voilà 500 ans, je souhaite les retrouver, il n'ont plus de pouvoir, mais leurs beauté à d'être conservé..."

Ils arrivèrent à un croisement, qui signifier que la séparation était proche. Galedor se tourna vers Eléandoreïl et son escorte.

"J'ai était ravi de faire se voyage avec vous, peut être nous retrouverons nous, j'ai promis aux seigneur Regnak de passé le voir après la mort de son frère, je suis attendu à Kalfalas il me semble... De longues chevauché m'attende encore. J'en profiterai pour me renseigner sur les anneaux de la Terre du Milieu."

Il déscendit de cheval, pour dire au revoir à son nouveau cousin, bien que lui même ne savait comment prendre cette nouvelle, puis regardant vers l'Est, vers sa route... Il ajouta avant de partir.

"Je pense passé vous voir à mon retour, nous avons beaucoup de choses à nous dire..."

[ Si tu souhaite ajouté quelque choses, ne te géne pas, mais j'ai pris soins d'ajouter le passage du carrefour, si tu souhaite partir vers d'autre destinations rapidement.]

Apparement de vieux souvenir étaient remontés à la mémoire de Galedor. Souvenirs apparament difficiles, à ce que put en juger Éléandoreïl, et le seigneur Galedor, après une certaine indéscision, refoula ces souvenir au plus pronfond de sa mémoire.

*Quels sont ces souvenirs tant sombres qu'ils ne souhaite m'en dire mot ?...Il semble qu'il ait un age fort avancé aurait il vécu durant ces ages sombres de la terre du milieu ? Si c'est effectivemment le cas je comprend son attitude car les chant au sujet de ces époque pas les plus joyeux même si parmis eux certains sont les plus beaux qu'aucun des eldar n'ais jamais composé...* Ainsi allait les pensées d'Éléandoreïl lorsque le seigneur Galedor dit :

- Nous sommes cousins éloigné, mais à un degrés si éloigné que celui ci même m'échappe, mais en nous coule le même sang, nous n'avons aucune honte à avoir de nos ancêtres, ils ont fait ce qu'eux jugeaient bon, aujourd'hui nous en faisons de même."

Effectivemment ils étaient coucins et pour Éléandoreïl tous les elfes l'étaient d'une manière où d'une autre. Mais le seigneur Galedor et Éléandoreïl avaient effectivemment une parrenté assez proche. Mais ce qui interloqua Éléandoreïl fut le fait que Galedor était le fils de Gil-Galad.
* Ce seigneur est bien plus ancien que je ne le pensait....Effectivemment nous avons un lien de parenté assez proche enfin de compte.... Il faudra que je me renseigne un peut plus à ce propos...*
Le visage d'Éléandoreïl c'était illuminer un instant à ces propos mais lorsque Galedor évoqua Morgoth et les silmarillis son visage redevint plus sérieux.

Ils avaient discutés jusqu'à une heure avancée de la nuit et lorsqu'ils allèrent dormir un tour de garde fut organiser. Éléandoreïl rêva et il lui sembla que Manwë lui parla et l'averti des dangers des silmarrillis et du réveil des ombres.
Le lendemain ils voyagèrent rapidemment. L'heure de la séparation était arrivée. La troupe fit halte à un carrefour et les deux seigneurs descendirent de cheval.

"J'ai était ravi de faire se voyage avec vous, peut être nous retrouverons nous, j'ai promis aux seigneur Regnak de passé le voir après la mort de son frère, je suis attendu à Kalfalas il me semble... De longues chevauché m'attende encore. J'en profiterai pour me renseigner sur les anneaux de la Terre du Milieu."

Dit le seigneur Galedor. Éléandoreïl lui répondit avec un sourire.
- J'ais, moi aussi, été ravis de pouvoir voyager de nouveau avec vous, mon "cousin". Je me renseignerais aussi au sujet des Silmarilli. Mais je pense qu'ils nous faudra etre prudent. Ces choses ne sont à prendre à la légère. Elrond, mon grand-père, en posséda un comme vous le savez surement et je ne sais ce qu'il advint de cet anneau. Mais quelque soit nos découvertes je pense que nous devrions etre tres prudent.

Ils se saluèrent donc. Remontèrent sur leurs montures respective et avant qu'il ne se sépare Éléandoreïl ajouta :

- A bientot donc mon cousin. Ce sera avec plaisir que je vous reverrais bientot. Qu'Illuvatar éclaire votre chemin et vous protège.

C'est ainsi qu'ils se séparèrent. Le reste du chemin jusqu'à Fennas drúnin fut avallé en quelques heures.


Le soleil s'approchait de l'horizon et dardait ses rayons d'or sur Fennas Drúnin. Les elfes vacquaient à leurs occupations lorsqu'une rhumeur monta dans la ville. Des cavaliers se dirigeaient à grande allure en direction de la ville. Des gardes sortirent en observation et des cavaliers se dirigèrent en direction de la troupe. Dame Anëlwen fut prévenu et elle ordona aux troupes de se tenir prètes.

La troupe d'Éléandoreïl appercevait maintenant Fennas Drúnin. La ville n'était encore qu'un point scintillant sous les rayons du soleil. Le coeur d'Éléandoreïl se remplis alors d'une joie immense. Il tira alors le cor qu'il tenait à son coter et le prota à sa bouche.

Le son du cor emplit la valée d'une puissant mélodie.
Par trois fois Éléandoreïl souffla dans son cor et par trois fois la puissante mélodie remplie la vallée et par trois fois le coeur d'Anëlwen battit à se rompre. Elle sortie du palais et commenca à se dirigée vers la sortie de la ville.

Les chevaux de la troupe d'Éléandoreïl et galoppèrent encore plus vite. Les cavaliers qui étaient venus à leur rencontre comprire, au son du cor, qu'il sagissait de leur seigneur qui revenait enfin. Quand les deux troupes se rencontrèrent ceux venant de Fennas Drúnin s'arrangèret por faire une courbe et se joindre à la troupe de leur seigneur qui se dirigeait vers leur ville. Tous les cavaliers venu à la rencontre d'Éléandoreïl le saluèrent. Salut qu'il leur rendit sans prendre le temps de ralentir, bien au contraire. Il franchit le court bordant Fennas Drúnin à une vitesse tel qu'il sembla le survoler et en quelques instants il fut aux portes de sa ville. En passant les premières maisons Éléandoreïl apperçu son épouse qui descendait la rue. Encore quelques mettres... Et Éléandoreïl sauta de cheval, alors que celui-ci n'était pas encore arreter, et courru dans les bras d'Anëlwen et s'embrassèrent longment. Un cercle d'Elfes commançait à se former autour des deux seigneurs tandis que le reste des cavaliers entraient en ville. Éléandoreïl se tourna alors vers les habitants de Fennas Drúnin une grande fète le soir même.
Anëlwen et Éléandoreïl se rendirent au palais, enlacés. Le soir venu de grnades tables avaient été installées, sous les arbres, dans les jardins du palais et des lanternes, penduent aux branches, scintillaient tel des lucioles dans la nuit.

Éléandoreïl annonça à son peuple que de grands évenemments se profilaient et que de grands hommes apparaissent. Puis ils discutèrent plus discrètemment avec Anëlwen. Il lui raconta tout de son voyage sans ommetre un détail. Celle-ci l'écouta attentivemment et lui conta aussi toutes les dernières nouvelles depuis son départ. Malgrés l'absence de leur fils l'atmosphère était décontractée et toute la ville était heureuse de retrouver son seigneur. Tard dans la niut Éléandoreïle et Anëlwen se retirèrent et s'aimèrent passionnément.

Quelques jours plustard alors qu'ils se promenais dans la ville pour voir les travaux accomplit en l'absence d'Éléandoreïl Anëlwen lui annonça qu'elle était enceinte.