Une conférence au sommet...

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Deux puissants seigneur de races aussi différentes que ressemblantes, allaient maintenant se réunir dans les provinces des Terres Bleus d'Imladris, dans sa capitale même : Imladris. C'est deux seigneur devait se rendre dans la cité du seigneur Galedor, afin de tenir conseil pour régler leurs différents. L'un deux était de la race des Elfes, cousins de ceux qui peuple la cité d'Imladris. L'autre seigneur était de la race des Hommes, venue de l'Est, des contrées lointaine du Rhùn. Les deux seigneur avait accepté une paix relative afin de permettre une entrevue entre eux. Malgré toutes leurs différences physique comme morale, chacun d'eux étaient avant tous à la recherche de la paix pour le bien de son peuple. Et c'est celle ci qu'il tenteront tous deux de trouver en tenant une conférence à Imladris, l'endroit, bien qu'elfique, déclaré neutre pendant la durer de cette réunion. De nombreux préparatifs avait était fait pour recevoir le seigneur des Elfes de la Forêt Noire, Mergalian... Et le seigneur Humain Naen, l'Empeur de l'Est. Leurs quartiers, séparer par une distance convenable, furent aménager afin de recevoir le plus dignement possible les deux souverains.

En dehors de la cité, à quelques centaines mètres tout au plus, on avait préparer une grande tente blanche dans l'ombre de grands arbres au feuillage touffu. Dans cette immense tente immaculé, se trouvait une grande table de bois noire et ouvragé, avec deux fauteuils immenses à chacun des bouts de la table, un pour chaque seigneur... A coté de ces trônes un autres siège plus modeste, pour chacun des conseillers des seigneurs. Enfin au milieu de cette table, comme séparant la table en deux, un autres siège immense, et confortable, était pour ce qui pourrait être apparenté à un ... Arbitre.
Aujourd'hui devant cette tente attendait le mystérieux interlocuteur de l'Empeur de l'Est, ains que l'elfe inconnu écrivain de la lettre porté à Haral'Mh'Idan. Attendant les deux rois venant de l'Est, empruntant tous deux la route passant par les Monts Brumeux : Cirith Imladris. Il portait toujours sa cape d'un bleu nuit avec son capuchon rabattu ne permettant de voir que ces lèvres.

Bientôt les seigneurs de l'Est seraient là...

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Alors que bon nombre de regard était tourné vers l'Est, un cors long et grave sonna dans la plaine suivit de nombreux cliquetis d'acier s'entrechoquant. Tous tournèrent alors la tête vers le Sud pour voir arriver à pied une délégation d'une douzaine d'homme portant étendars et armures de l'Empire de l'Est. Les armures étaient alors d'un gris étincelant et l'ont pouvait deviner dans leur composition le plus dur et le plus brillant métal du monde.

Arrivé à la tante, un homme portant une armure de cuire légere mais à l'allure forte se dégagea encadré par deux guerriers à la musculature impressionante. Se raprochant de ses interlocuteur, Naen se courba légèrement et les Elfes pûrent apercevoir que, l'armure légere qu'il portait n'était en fait qu'un leur destiné à trompé le premier amateur venu. En effet, en dessous brillait le plus précieux et solide métal brillant qu'il soit sur la Terre du Milieu.

Bien le Bonjour à vous peuples Elfique d'Eriador, et tout particulièrement vous, représentant inconnu venu nous proposer cette rencontre. Je suis Naen Crysta, représentant de l'Empire à l'Est de la Terre du Milieu et dirigeant de celui se trouvant en son sein. Nous avons monté notre camp au Sud de cette position d'où notre arrivé par ce chemin où vous ne sembliez pas nous attendre. En effet, nous avons préféré prendre le risque de chevaucher en territoire Rohirime puis Isengardiens plutôt que de traverser la sombre forêt Elfique se trouvant à l'Ouest de Rhûn.

Marquant une pose et cherchant furtivement les représentant d'Haral'M'Idan des yeux il reprit.

Le Seigneur Mergalian ou son représentant n'est point encore là à ce que je vois... Cela ne devrait tarder je pense.

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En ce matin brumeux, un Easterling se leva doucement, quittant son sommeil afin de répondre à un besoin pressant. Marmonnant contre lui-même en se cognant contre ses camarades, il sortit de la tente où il se trouvait; là, il s'arrêta un instant: dans la brûme épaisse du matin, il lui semblait pourtant voir, au loin, de petits points se mouvant dans l'aube tremblante. Boah, qu'en avait-il à faire? Des mois et des mois qu'il était là, et toujours aps un Elfe en vue; ils ne viendraient plus maintenant. Allant se soulager contre un arbre, il décida qu'il irait l'après-midi même parler à Naen à ce propos: il en avait assez, même s'il était humain, et militaire, de se laver au puits. En pensant à cela, il se rendit soudain compte que sa gorge le grattait; sa soif matinale ne serait pas cette fois-ci étanchée par de l'alcool: il avait fini dans la soirée sa dernière flasque. Grommelant, il se dirigea donc vers le puits en question. Il faudrait vraiment qu"il parle à Naen ce soir. Doucement, il fit coulisser la corde à laquelle s'accrochait le seau vide, et, au bout de quelques minutes, commença de la remonter, le regard dans le vide. Un vide bien plein, d'ailleurs. Il aurait juré avoir vu se mouvoir des formes dans le brouill... Des cavaliers surgirent du mur de brûme, passant à ras de lui, de chaque côté. Il en venait tellement, et tellement rapidement qu'il ne distinguait pas leur visage. L'un pourtant posa son regard sur lui: c'étaient des Elfes. Mais non pas calmes et sages: dans leurs yeux brillaient la sauvagerie et peut-être même la folie. Tandis que le disque rouge de la Soleil se levait au loin, énorme et trouble, le soldat eu l'occasion de voir l'étendue de la marée qui s'écoulait maintenant devant, à côté, et derrière lui: il y avait surement là tous les diplomates de Haral Mh'Idan, qui cependant semblaient plus formés à l'art du combat qu'à celui des mots. L'un d'eux bouscula son seau, mais il ne prêta pas attention à l'eau fraîche se déversant sur ses genoux. Soudain, un cavalier s'arrêta devant lui; tandis que les vague animale continuait de se deverser derrière; son cheval roux piaffant et écumant:
Où se trouve ton maître, soldat?, demanda-t-il, ce à quoi le Rhûnien répondit par un doigt, certes quelques peu tremblant, pointé vers une tente blanche.
Ilkhar, Nadash!, cria-t-il, et sa monture repartit au galop vers la tente en question. En un instant, elle fut encerclée, et alors seulement la marée s'ârrêta. L'Elfe qui avait parlé au Rhûnien (qui, à cette heure, contemplait désespérément sa fiole vide) descendit alors de cheval, et s'avança vers la tente, à l'intérieur de laquelle se trouvaient un Homme et un Elfe, debout à discuter.
Seigneur Galedor, dit-il en adressant à l'Elfe un hochement de tête, Naen. Nous pouvons commencer, je crois.

[HRP: autorisation spéciale de Naen pour utilisation de personnage Rhûnien qui pisse accordée via msn^^]

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L'homme venait d'entré et il semblait que ce soit le seigneur Mergalian.

Bien le bonjour à vous seigneur Mergalian, je suis heureux de voir que vous dégnez venir à notre entretien. La prochaine fois, il sera peut être judicieux de notre part d'organiser cette réunion plus proche de vos forêts. Voilà fort jours que nous vous attendions et je parlais justement au seigneur Galedor d'un retour probable dans la journée vous arrivez au "bon" moment si je puis dire.

Mais bon, trève de reproche et parlons peu mais bien. Nous sommes ici car nous avons une aspiration commune, la paix. Du moins c'est ce que j'ai pu comprendre. Je vous la propose donc mais, étant de nature méfiante au vu de possible rancoeur je vous demanderais de signé un pacte avec clause comme tout bon habitant des terres du milieu. Je crois que le Seigneur Galedor, ne verra aucune objection à cette garentie commune...

L'échange avait été bref et il est vrai que le seigneur Naen était équipé pour repartir. Sans doute que l'entretien se solderais dans l'heure... Mais pour le moment, une tention palpable venait de s'établire dans la tente et ce, au bout d'un seul échange. Sans doute que l'atmosphère que voulait donner le seigneur Galedor à cette réunion serait fort dégradée par le moral des hommes pour qui, le temps est précieux.

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Mergalian ne dit pas un mot, ne fit pas un geste, ne broncha même pas. Il regarda simplement, droit dans les yeux, son interlocuteur. Il n'avait pu, malgré tout, réprimer un soupçon de dégoût, mais cela était passé comme une ombre dans son regard. Au bout de plusieurs secondes, afin qu'enfin il ne restât plus aucun doute sur ce que pensait le seigneur Elfique de la proposition de Naen, il écarta les pans de son manteau brun-vert, laissant apparaître un sabre. Sans laisser le temps à quiconque de faire un geste, il le tira du fourreau, la parcourut un instant du regard, avant de lever la tête pour fixer à nouveau le seigneur Rhûnien. Alors il fit un pas en avant, le leva... et le planta dans la sol, devant lui. L'antique signe des défis.

Nous avons une aspiration commune, dit-il d'une voix profonde où l'ironie teintait, mais ce n'est pas la paix, et nous le savons tout les deux. L'affront a été trop dur. La douleur trop intense. Des deux côtés. Nous sommes venus, suivant les règles de la guerre, afin de nous battre aux côtés des nains et des humains du libre monde. Et vous avez, au lieu de riposter en homme, préféré vous soumettre en lâche. En lâche toujours, alors que je vous proposais la paix, et même l'amitié, vous avez trahi notre confiance, brûlant vives les âmes de nos guerriers, sans leur laisser la moindre chance de la défendre. Et en lâche vous vous présentez aujourd'hui, affublés pour vous protéger de ma colère de cette table, de vos soldats, et d'une cotte de mailles. Ne croyez pas que ce genre de détails peut échapper à nos yeux. En lâche vous avez toujours vécu. Mourez en homme, désormais. Voilà, dit-il en désignant du geste le sabre planté dans le sol, voilà la paix que j'ai à offrir. S'il reste en vous ne serait-ce q'une once de bravoure, prouvez le ce soir. Au moins votre peuple vous pleurera-t-il pour ce qu'il aura cru que vous étiez. Que le sang de nos veines efface celui qui déjà a coulé, et que plus jamais ensuite le fer ne soit croisé inutilement. Car voici le défi que je vous lance: le vainqueur de ce combat à armes égales verra le peuple de l'autre seigneur se soumettre à lui. Il est temps. Votre règne n'a que trop duré, Seigneur, termina-t-il, mettant dans ce dernier mot tant de mépris et d'ironie qu'elle en devenait palpable.

Une chose était sure: l'atmosphère de paix espérée par le seigneur Elfique des lieux avait désormais peu de chances d'exister un jour, surtout après les insultes lancées.

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Les deux seigneurs de l'Est se faisaient face avec leurs rancœurs. Se tenant chacun à un bout de la tente, semblant presque prêt à se jeter l'un sur l'autre sans le moindre signe avant coureur. L'elfe d'Imladris fit un pas en avant, faisant bruyamment retomber son pied au sol, afin d'attirer toutes l'attention de ces deux invités à lui.

"Je crois qu'il est maintenant le temps de commencer, cette réunion, seigneur Naen encore une fois je vous remercie de votre patience, à l'égard du seigneur Mergalian, ainsi qu'a l'égard de mon identité... Vous vous méprenez tous les deux, car je ne suis point le seigneur Galedor, Haut Roi des Terres Bleus d'Imladris..."

Il leva ses mains vers son capuchon, et le tira en arrière, le ramenant sur ses épaules dévoilant une longue chevelure d'ébène. Son visage jeune ne semblait pas être heureux d'une telle situation, pourtant une grande froideur émanait de ses traits juvénile.

"...Je ne suis que son fils, Ëlandor. Et ayant personnellement voulu m'occuper de vos diffèrent auprès de mon père j'aimerai que d'abord chacun de vous dépose ses armes à l'extérieur de cette tente, et ne revienne qu'une fois calmé..."

Doucement, il se dirigea vers son siège, où Ëlandor pris place en regardant les deux seigneurs de l'Est à chaque bout de la tente, derrière un siège qui leur était réservé, et il attendit qu'ils s'éxecutent tous deux. La paix devrait se faire au prix de sacrifices...

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Naen avait écouté l'Elfe impétueux que représentait le Roi d'Haral'Mh Idan se ridiculiser avec ses vaines parôles puis focalisa l'attention sur l'inconu qui l'avait intrigué et convaincu de le suivre. Il ne fût point surpis par ses révélations et se contenta d'opiner de la tête lors de son discours.

Je vous salue donc Ëlandor, fils de Galedor. Votre présence ici tout comme dans mon territoire lors de notre rencontre ne manque pas de me flatter et de m'honorer. En égard à votre sagesse que j'espère aussi grande que votre ame, je refuserais de me battre ici contre celui-qui, même en tord, continue de chercher à mordre.

La réplique avait été prononcé sur un ton volontairement sarcastique avec une pointe de malice dans son âme mais été totallement dénué d'orgeuil mal placé. Il ne s'agissait pas de froisser l'Elfe aboyant plus qu'il ne l'était déjà, Naen était venu pour parlementer tout de même...

Au risque de vous déplaire donc Seigneur Mergalian, notre affrontement n'aura sûrement pas lieu dans les terre d'Imladris, je refuse catégoriquement, et le maitre des lieux égallement, de souiller ce qui fût d'aprés vos livres d'histoire comme un sanctuaire pour nombre de civilisation. Je n'ai d'ailleurs sur moi aucune arme...

Un léger toussotement se fît entendre derière Naen. Ce dernier se retourna alors, comme bon nombre de regards des personnes de l'assistance vers un homme bien batit, ses muscles, sans être volumineux, témoingé d'une force conséquante et sa posture, bien qu'en apparance décontracté, indiquait de par la faible distance entre ses diverses armes et ses mains qu'il s'agissait là d'un homme rompu au combat. Mieux... Un Champion, un Maitre d'Arme, un garde du corps...

Hum... Si nous pouvons biensûr appeller quelques cures dents des armes alors j'en ai quelques uns en ma possession...

Naen passa sa main derière sa nuque et en ressortie une première dague, fine et élancée, elle était faite pour passer entre les plaques d'une armure, faite pour tuer rapidement, sans effort... Il l'a lança sur un des poteaux de la tante derière le maitre d'arme et se ficha dedans dans un bruit mat.

Se baissant, Naen sorti de ses deux genouillères deux autres dagues cette fois-ci, plus épaisses, nul doute que leur efficacité relevé de leur mobilité et de leur faculter à parer nombre de coup porté avec une arme longue. Il les donna à l'homme se trouvant maintenant face à lui tout en déclarant :

Merci Tyrin, tu avais raison, elle sont trés discrète et ne manque pas d'efficacité et ton entrainement à leur maniement ne saura être vain et je te remercie encore de me les avoir prétée. Je préfère toute fois mon arme de prédilection bien qu'un peu plus volumineuse. Tu poura malgré tout commander les mêmes, elle seront forte utile je supose. Tache égallement de dire au coursier que tu envera de me commender ce que tu sais...

Le dénomé Tyrin acquiesa tout en prenant les armes de son Seigneur et fît appeler un soldat passant dehors. Il lui murmura quelque chose à l'orreille avant que celui-ci ne parte en hâte vers une partie du camp inconue. Le garde du corps repris alors sa place derière Naen qui s'était maintenant assis sur le siège qui lui était réservé.

Bien... Je suis fin prêt, puisse cette journée apporter confirmation à nos attentes ou à nos craintes et fixer sur leur sort bon nombre d'hommes et d'Elfes.

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Mergalian rit. Il n'était guère surpris.

Et bien, Seigneur, vous êtes fidèle à mes attentes, prévisible comme seul sait l'être l'humain. Vos belles paroles ne cachent qu'à peine votre désir de vous battre, mais révèlent par contre votre hypocrisie: relevez-vous le défi? Si c'est le cas, mettons-nous d'accord ici-même, devant mes cousins de l'Ouest de l'emplacement, de l'heure, et des conditions du duel. Ensuite, que chacun choisisse chez un peuple ami trois témoins, afin qu'ils puissent assurer que ce combat fut loyal.

L'Elfe se retourna vers le fils de Galedor.

Seigneur Ëlandor, je te salue. J'espère que nous aurons l'occasion de nous revoir. Transmets mes salutations à ton père.

Il avait appuyé sur les mots de la dernière phrase, afin de bien faire comprendre à l'Elfe qu'il espérait autre chose que ce qu'il disait en apparence. Surement le jeune Elfe avait-il compris de quoi il s'agissait: il souhaitait que tout ce qui venait d'arriver là soit retransmis à Galedor, ainsi, si Naen s'abaissait à l'assassiner, au moins le saurait-on. Mergalian se retourna, pour fixer Naen droit dans les yeux.

Êtes-vous prêt pour le combat, petit Seigneur?

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Êtes-vous prêt pour la défaite, Grand Roi ?

La question avait été prononcé lentement, sans défaut de prononciation, droit dans les yeux, avec une tinte satirique ancrée au plus profond de son âme. Les mots déliés laissait transparaitre une moquerie sombre.

Car ce que vous proposez là est un marché qui vous conduira à la mort Sire. Soit ce sera en roulant à mes pieds dans une marre de sang, ou bien au pied de mes légions et de mon peuple. Je ne doute pas que des puissances aussi grande que les notres ne manque d'intéret militaire mais, avez vous un appuis certain du peuple ?

Ne soyez pas hatif à la réponse, vous seriez peut être surpris de savoir ce qui se passe dans vos murs mon cher. Cependant, soyez en sûr que vous connaitrez la réponse un jour, peut être celui-ci sera situé trop loin dans le temps pour que vous ne vous en sortiez.

Le discours ne se jouait pas sur les mots mais sur le ton et l'ironie. Des notions bien plus parlantes que celles qu'utilisaient l'Elfe.

Peut être que dans des jours plus ouvert à la discution vous reviendrez dans le but de fixer votre défis aussi futil soit il, dans ce cas, sachez qu'aucun emmissaire elfique ne sera mal traité dans mes provinces. Sur ce seigneur je vous laisse, vous m'avez fait perdre un temps que je sais précieux.

Naen se leva fît signe à son Champion de le suivre et quitta la tante, les hommes de Mistrand s'étaient préparé depuis longtemps au départ qu'ils demandaient depuis des semaines, celui-ci prit alors moins d'une heure et personne ne pu s'interposer.
La journée avait fixer le sort de bon nombre d'hommes et d'Elfes aujourd'hui. La journée avait confirmer des attentes et certaines craintes.

Nul doute que ces dernières se verront accompagnées par de nouvelles bien fondées d'ici peu...

De son passage dans cette tante, de Naen, seul une dague restait fichée dans un poteau de bois... Peut être un signe qui en disait long sur l'avenir des Elfes et des Hommes.