Ambassade de Khazad Dûm

Grishnouk attendait de potentiels visiteurs sur son trône. Un beau panneau
"Enbaçad" avait été placé à l'entrée de la caverne, sur que ça en
jettait !

Celà faisait bien logtemps, que les hommes du sud n'avaient pas comuniqués avec les gobelins, peut être trop logtemps si l'on regardait l'armée elfe aux portes de la mine gobeline. La mine qui d'ailleur d'habitude grouillante à flot semblait avoir été vidée pour permettre l'expantion de leur royaume.

L'émissaire noir du serpent galopait a toute vitesse se hatant de plus en plus en voyant l'armée ennemie, prit d'un desespoir.

* Alors c'est la qu'en sont les gobelins, ces elfes ne seront pas des adversaires facilent. *

Il approchat de l'ambassade, les gardes gobelins préocupés mirent plusieurs secondes avant de remarquer sa présence.

" Je vous salut gobelins, mon maître Suladân III m'envoit à toute hate, je désire parler immédiatement au régent de cette ville. "

L'émmissaire fit revenir a lui le gobelin qui se hatat de remplir son devoir.

Une missive fût envoyé à Kazad dûm.

L'émissaire de Suladân III fut reçu immédiatement. Son cheval fut mis dans une écurie improvisée. On le frotta avec du vin gobelin et lui donna de l'avoine pour le remettre de sa longue course.

L'émissaire fut ensuite reçu, après qu'il est déposé ses armes à l'entrée.

Il fut conduit au régent, Skitch, qui le reçu avec tous les honneurs.

Le gobelin et l'homme entamèrent une longue discussion sur l'avenir de Khazad Dûm et le soutien que Harad apporterait à la cité gobeline.

[ CF tous nos MP Sûladan ça marche ? ]


Finalement la nouvelle de la retraite des elfes parvint dans le palais. C'est avec des larmes de bonheur que le gobelin remercia l'Haradrim :

"-Les gobelins vous aideront toujours et en tous lieu quels que soit vos difficultés. Mais regardez donc la lettre suivante que les elfes m'ont fait parvenir, prenez là, elle me brûle les mains ! :"

Citation :

Salutation Gobelins de Moria, par cette missive je vous transmet mes regrets, en effet mon attaque n'avait pour but que de vous montrez vos faiblesse autant militaire que stratégiquement. Sans vos alliés vous serez tombé en miete et je pense que même ceux-ci aurait eu du mal à vous protéger mais heureusement pour vous la raison de votre allié Suladân III et la mienne aura suffit à ne point faire couler le sang aujourd'hui.Aujourd'hui vous n'avez témoignez que de votre couardise car de toutes les ambassades des messagers me rapporte vos insultes sur mon peuple. Sachez que ce n'est que partie remise, je n'avais aucune raison de vous attaquez de nouveau, j'en ai une maintenant. Prenez garde à vous car maintenant les Elfes noir d'Anirion tiennent dans leur coeur et leur esprit votre lachetée.

Le gobelin laissa son hôte lire la lettre et reprit :

"-Vous avez vu ? Cet elfe ose dire que son attaque n'était que pour montrer nos faiblesses...alors qu'il venait de rédiger un poème déclamant notre prochaine chute !"

Le gobelin partit dans un long ricanement :

"-Il est sûr que la nouvelle de cette retraite fera fort plaisir à mon seigneur et maître, Grishnouk !"

Il se reporta encore sur la lettre :

"-Mais regardez encore, il nous traite de couardise ! Puisse le sang de ses ancêtres l'étouffer ! Nous lui montrerons en temps voulu qui sont les couards, entre ceux qui battent en retraite et ceux qui se prépare au combat !

Enfin, Skitch désigna le plafond de la caverne :

"-Ces mines appartiendront aux gobelins pour encore fort longtemps ! Les oreilles pointues ne nous auront pas de sitôt. Mais reprenons mon cher ami ! Pourquoi ne pas signer un pacte d'assistance militaire ? Cela serait profitable pour nos deux peuples ! Les gobelins seraient heureux d'aider leurs sauveurs ! "

Les gobelins du palais de Grishnouk formèrent une haie d'honneur pour le départ de l'émissaire d'Harad. On lui donna de quoi tenir pour un long voyage, et même si le pain noir gobelin et la viande de rat séché n'était pas très goûtue, ils étaient en tout cas fort nourissant.

Skitch s'approcha du cheval de l'émissaire et lorsque celui ci fut à côté des portes pour le départ, le régent lui lança une dernière fois :

"-Merci beaucoup seigneur ! Puisse votre peuple prospérer jusqu'à la fin des temps ! Quand les cors de guerre sonneront, les gobelins de la Moria arriveront à vos côtés !"

Puis l'émissaire repartit, et Skitch alla préparer le texte de l'alliance qui se scellerait entre les deux peuples.

L’embuscade gobeline avait été bien préparée, car le peuple de Khazad Dûm était sur les nerfs après l’attaque des elfes de la Lorien, qui avait reculé juste avant d’arriver à la cité…

Aussi, de petits groupes d’archers comme celui là parcourait les montagnes et se mettaient en faction à divers endroits pour prévenir une attaque…

Celui ci était dirigé par Grinsh, un des sergents des plus prometteurs. L’émissaire avait été repéré deux heures auparavant, et l’on avait attendue d’être dans une creux bien encaissé pour le stopper…

La flèche décochée quelques secondes auparavant aurait très bien pu se ficher dans la tête. Mais vu que le voyageur était seul, les gobelins préféraient le prendre vivant, puis le dépouiller !

Le voyageur lança alors une vive interjection qui prouvait un grand sang froid, et les gobelins calmèrent leurs ardeurs de pillards avant que Grinsh ne s’avance, étant le seul parlant la langue des humains...

« -Salut humain…je suis Grinsh. Si tu veux voir notre seigneur, descend de ton cheval et nous allons te masquer le visage…nous allons prendre des raccourcis sous la montagne et un étranger ne doit pas connaître nos routes souterraines. »

Les gobelins lorgnaient le cheval avec appétit. Grinsh voyant cela, décida de faire bonne impression pour rassurer le voyageur, et répondant en gobelin :

« -On ne mange pas le cheval ! Celui qui y touche je lui coupe la tête ».

Il tourna son visage affable et ses yeux globuleux vers l’émissaire :

« -Votre cheval sera sain et sauf, ne vous en faites pas ».

Grinsh hésitait fortement. Aussi la verrue protubérante de son nez subit un grattement intempestif de la part de l’ongle de l’intéressé.
Les ordres étaient assez stricts normalement : pas d’armes pour les émissaires. Cela permettait en effet de les capturer plus facilement pour le repas du soir si leur prestation ne plaisait pas à Grishnouk.
Enfin…au pire on mettait le gobelin mort dans le combat contre le susdit repas en accompagnement.
Bref, il hésitait…

Mais l’étranger avait parlé de quelque chose apparemment fort intéressant…Mmmh. Cela méritait réflexion.
On ferait exception. De plus Grishnouk étant en campagne, la régence de Skitch permettait quelques libertés.
Ainsi, après une courte minute de réflexion, le gobelin reprit :

« -Soit, gardez vos armes. Mais pas de plaisanteries hein… »

D’ailleurs, en cas de plaisanteries, il arriverait sûrement à l’émissaire ce à quoi pensait les autres archers en se léchant les babines…humain à l’étouffée c’est bon quand même !

Le cavalier descendit de sa monture et on lui apposa sur la tête un sac de toile.

Puis, l’émissaire fut guidé à travers de sombres couloirs souterrains. Il se cogna de temps en temps la tête, vu que les souterrains étaient plus adaptés à la morphologie gobline qu’humaine, mais on arriva finalement à Khazad Dûm. Après un court trajet à travers le village (enfin ce qui tenait lieu de) on l’amena devant Skitch. Le sac de jute fut enlevé.

La lueur des torches disposées le long des murs suintants de la salle d’audience éclairait un tant soit peu Skitch, assis sur un tabouret, sa lame entre les mains.

« -Qu’est ce qui vous amène, étranger ? »

Oh sombre roi Gobelin, je te salue au nom de Mesyanos et du peuple d'Amon Algo! Dit Sined en posant un genou sur le sol et attendant que Grinsh l'interpela à nouveau avant prendre la parole comme il était coutume lors de la rencontre de deux dirigeants. Cette procédure qui aurait pu sembler grotesque avait pour objectifs de rassurer l'hôte en lui laissant croire qu'il a autorité sur nous. Cela produit son effet à chaque fois. Sined regardait fixement le sol en signe de soumission et attendait.

Skitch, fit claquer sa langue, indiquant ainsi à Sined qu'il pouvait se relever et prendre la parole.

Sined: Il y'a deux raisons qui motivent ma visite. Le première est que je suis chargé de vous remettre un "Manuscrit sur Parchemin" (MP) écrit de la main de mon maître. Le voici donc. Sined lui remit le parchemin au creux de la patte. Le second motif de ma visite est lui, plus conventionel. Nous aimerions commercer avec vous. Nous avons un surplus de production en fer et en chevaux ce mois-ci et cherchons à écouler nos stocks contre de l'or. Il nous restes aussi quelques tonnes de bois que nous pourrions laisser aller. Seriez-vous en besoins de quelconques ressources dont nous ayons à notre disposition sombre et vil régent Skitch?

Le régent écouta patiemment les mots de l’humain. Avec grande attention, même s’il n’en donnait pas l’impression. En effet, il jouait avec sa dague. Skitch la faisait sauter en l’air, et elle retombait sur le pointe, fichée dans la table. Il recommençait l’opération, et à chaque fois la dague se plantait nettement dans la table.

Deux gardes était sur le pas de la porte, et écoutaient avec attention en étudiant le visage de Skitch et ses réactions, car les gardes ne parlant pas le parler humain,, il ne comprenait ce qu’ils entendaient.

Skitch prit le parchemin tendu. Il le parcouru des yeux. Le régent releva la tête et un éclair passa dans ses yeux.

Il plaça le parchemin sur la table et décida d’en envoyer une copie à Grishnouk pour avoir son opinion sur la question. Un signe de tête de Skitch signifia qu’il répondrait à la question du manuscrit parchemin en privé.

Il finit après d’écouter l’homme. Et s’étrangla un peu avant de reprendre :

« -Humain…vous m’avez traité de sombre et vil…Je connais votre préjugés contre ceux de ma race, et certains des nôtres sont ainsi, mais ne réduisez pas notre peuple à une nation de vils couards lâches retors je vous prie…vous avez de la chance que je vous reçoive, car si ça avait été mon seigneur Grishnouk, vous ne seriez plus à l’heure qu’il est…»

Il se retourna un instant pensant que non, en réalité le messager serait toujours vivant avec Grishnouk, mais sur un chevalet de torture…

Et il reprit en se tournant vers l’émissaire :

« -Nous n’avons pas besoin de bois ou de fer, et c’est d’or dont nous avons besoin. Je ne puis accéder à votre requête donc. »

Noble Gobelin Skitch!

Sachez que je suis nécromancien et que j'adore les puissances des ténèbres. Sachez aussi que dans mon échelle de valeur personelle, qui n'est malheureusement pas toujours partagée par mon maître, vous nommé sombre et vil régent des gobelins signifie pour moi la marque d'un très grand respect et sachez finalement qu'il n'y que très peu de personnes à qui j'accorderais ce gage de respect.

Sined savait parfaitement que ce Gobelin ne lui ferait aucun mal. Peut-être son maitre oui, mais lui, non! Il n'aurait pu se permettre d'attirer la foudre d'un nouvel empire sur sa régence... déjà l'attaque des elfes aurait pu être dramatique... Non, il se ferait probablement torturer pendant des années pour une telle offense contre Grishnouk.

Sined n'avait plus rien à faire ici. Il fit donc ses adieux avec révérences malgré sa déception façe à cet échange avorté. Il avait absolument besoin de trouver de l'or... Le temps le pressait et il se remit en route...

Au revoir, Skitch, Régent de Khazad-Dum. Nos routes se recroiseront certainement. Sur ce il enfila lui-même le bandeau servant à lui cacher la vue durant sa re-traversée des grottes devant le mener à l'air libre, attendant qu'on l'escorta...

Le régent salua l’émissaire avec une courte inclinaison de la tête, mais sa révulsion pour la magie, blanche ou noire, l’entraînait à se méfier de cet homme…un nécromancien. Il valait mieux se méfier.

Aussi, lorsque l’homme sortit de la salle, on ne fit rien de menaçant : il fut bandé de nouveau et raccompagné à la sortie de la mine, où il retrouva son cheval sain et sauf.

L’émissaire puis ensuite repartir chez son seigneur en quittant ces sinistres montagnes.

A l’annonce du nom de Valindor, les portes s’ouvrirent immédiatement dans un grondement effroyable.

Dix gobelins sortirent :

« -Notre seigneur est absent, mais Skitch, le régent, va vous recevoir immédiatement. Vous pouvez garder vos armes. Aucun mal ne vous sera fait, nous ne traitons avec la
cruauté qui nous est si célèbre que nos ennemis. »

L’émissaire fut conduit dans le palais, et fut annoncé auprès de Skitch, qui le reçut dans son bureau.

Ce dernier travaillait alors, mais il se leva et salua l’émissaire avec joie. Puis, après l’avoir invité à s’asseoir, il lui dit :

« -J’imagine que c’est à propos de cette affaire fâcheuse ? »

L'homme, toujours pas rassuré, répondit d'une voix tremblottante:

Ou... Oui ! En effet... Je vous apporte donc ce coffret, pour vous-savez-quoi !

L'homme tandit un coffre à son interlocuteur qui l'ouvrit et y découvra 200 pièces d'or. L'homme ajouta: 3 tonnes de fer et 3 tonnes de bois vous attendent dehors, je n'ai pas voulu faire entrer le convoi !!

Skitch, voyant que l'humain n'avait pas l'air dans son assiette, lui dit d'un ton très doux (pour un gobelin) :

"-Messire, la réputation grandeur et de générosité du seigneur Valindor n'est plus à faire dans la Moria. Nous lui sommes fort reconnaissants, et assurez le de toute notre amitié et nos respects."

Le régent se leva, et le tabouret racla le sol, signifiant que l'entretien touchait à sa fin :

"-Puisse votre voyage se dérouler dans les meilleurs conditions. Aussi, voici de quoi vous sustentez durant la route ."

Un gobelin entra et déposa un panier contenant une belle miche de pain et de la viande séchée d'excellente qualité, récupéré lors d'un raid contre une ferme proche des montagnes.

L'émissaire fut raccompagné à la sortie, et les gobelins s'inclinèrent respectueusement sur son passage avant qu'il ne quitte la mine, tandis qu'un contingent allait chercher les ressources.


HRP : J'édite mes ressources

Un homme arriva à proximité du territoire Gobelin et emprunta le petit chemin escarpé qui menait à la grotte de Grisnouk.

Il arriva enfin à uun point ou quelques restes humains étaient en état de putréfaction sur des pieux plantés dans le sol. Il venait d'arriver sur les terre de Grishnouk. Il déchargea 3 caisses de sa charrue avant de planter une feuille avec un poignard sur l'une d'entre elle.

Il savait parfaitement que des yeux l'observaient et qu'il pouvait laissé le butin ici.

Il a écrit:

Récompense de 3 tonnes de fer accordée en raison du témoignage de Grishnouk dans le cadre de l'enquête sur Sined, émissaire d'Amon Algo.

Le restant de la récompense sera versée lorsque les preuves recueillies grâce à vous seront reconnue par notre tribunal. En attendant nous vous remettons cette somme comme preuve de notre d'honnêteté et de notre bonne volonté de régler cette situation de la façon la plus civilisée possible.

Il y'a de fortes chances que l'émissaire ayant traité avec Sined soit amené à venir témoigné devant notre tribunal.

Le conseil d'Amon Algo

C'est pour Grishnouk, cria-t-il de toutes ces forces au vide.

Puis il rembarqua sur sa charrue et fit demi-tour...

[Économie modifiée]

Après le départ de l'humain, les cordes d'une dizaine arcs se disbandèrent lentement dans un sombre froissement. La patrouille sauta prestement de rocher en rocher et arrivant au niveau du sol, s'empara des caisses avant de les traîner dans un sombre tunnel, tout en emportant le message.

Ce dernier fut remis à Skitch, le régent, qui le lut attentivement avant de répondre de sa plume la moins usée :

Citation :

"Le peuple de Khazad dûm vous remercie grandement de votre présent. Nous sommes de plus tout à fait disposer à envoyer les individus compétent pour le procès. Sachez que nous répondrons favorablement à toute demande d'aide pour les suites de l'enqîuete et du procès.

Amicalement, le Royaume de la Moria"

HRP : Ok, merci. Economie modifiée

Un orque capuché pris place face à une des sentinelles qui surveillait l'entrée du batiment.
_"Je souhaite discuter en tant qu'ambassadeur à un de vos diplomates pour une affaire importante."